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Quand j’ai le blues…

Quand j’ai le blues…



Quand je m’ennuie et que j’ai le blues, j’ai un remède infaillible. Je vais laver ma voiture à la station, près de chez moi. C’est excellent pour la tête. Concentrée sur ce que je fais, j’oublie mes soucis… C’est aussi, et peut-être surtout un excellent endroit pour faire des rencontres. Et quoi de mieux pour chasser l’ennui !

Mercredi après-midi, c’est ce que j’ai fait. Je me suis préparée pour l’occasion : maquillage sobre, soutien-gorge bleu lavande, petite culotte assortie. Sur ma peau brune, c’est très beau. Et par-dessus, une petite robe d’été, fleurie, toute simple, très courte, boutonnée devant. Je contrôle dans le miroir, dans mon entrée. Je défais quelques boutons en haut, pour faire un joli décolleté, je déboutonne en bas, pour qu’on voit bien mes cuisses. Je tourne sur un pied, la robe se soulève bien. Je relève le bas de la robe, je regarde mes fesses : pas mal. Je regarde devant : c’est moins bien, nettement moins bien. Mes poils dépassent ! J’hésite un peu, et puis j’enlève la culotte.

Quand j’arrive à la station de lavage, je le vois tout de suite. C’est Lucas, un homme que j’avais rencontré ici, au printemps , je crois. Il m’a vu arriver aussi, comme s’il me guettait. Il n’est pas seul. Je lui rend son sourire, mais je n’ose pas aller vers lui. La présence de son copain me gêne. Je mets des jetons dans l’appareil, et je m’empare de la lance. Elle se dresse entre mes mains. Elle crache à pleine puissance son jet sur la carrosserie de la voiture. Je suis obligée de la tenir avec fermeté. Chaque fois que mon regard se tourne vers mon admirateur, il m’observe, détaillant chacun de mes gestes. L’eau et le détergent forme une mousse blanchâtre sur la tôle. Il s’est établi entre nous une sorte de conversation muette. Je commence par l’arrière, et je finis sur le capot, à l’avant. La pression tombe d’un coup, projetant une dernière giclée entre les phares. La lance retombe, lourde et sans vigueur. Les images de notre après-midi me reviennent. Nu dans ma baignoire, il était beau. Son sexe était superbe. À cette évocation, un humidité se forme entre mes cuisses. Je ne lui avais pas offert la moindre résistance…

Finalement, il vient vers moi, il me salue, m’embrasse. Il me demande si j’habite toujours « cet incroyable loft, avec la baignoire au milieu de la pièce ». Comme je dis oui, il me demande si je serais d’accord pour le montrer à son ami, qui ne veut pas y croire.

Nous voilà dans la montée d’escalier qui mène à mon appartement, un rez-de-chaussée décalé, dans le vieux Grenoble. Je les précède, je les entends chuchoter derrière moi. Ma robe est bien trop courte, et eux pas suffisamment discrets. Cela m’échauffe !

Chez moi, je leur sers à boire pendant que Lucas fait visiter les lieux. Je m’installe dans mon canapé, en les attendant. Ils s’assoient, l’un à gauche, l’autre à droite. On échange quelques banalités, puis les mots font place à un silence lourd. Je romps la glace en posant mes mains sur leurs cuisses. Lucas montre la voie en m’embrassant. Éric, son ami, caresse ma nuque. Lucas détache ses lèvres des miennes et se recule. Il caresse maintenant mes cuisses et soulève ma robe. Il a bientôt la confirmation de ce qu’il avait cru apercevoir, dès tout-à-l’heure à la station. « Qu’est-ce que je t’avais dit, Mademoiselle n’aime pas les culottes ! ». Éric semble subjugué.  » Elle a une superbe touffe, en plus ! »

A partir de cet instant les choses vont vite. Ils s’emploient à me déshabiller, Lucas glisse à mes pieds, ouvrent mes jambes et vient me lécher, constatant immédiatement combien je suis excitée : « Tu es trempée, ma cochonne ! » Il écarte mes lèvres, débusque mon clitoris, qui se dresse, énorme et gonflé. Éric a enlevé son pantalon et me présente, à genoux sur le canapé un sexe en parfaite érection. Je le saisis, je le branle, je le porte à ma bouche. Je dépose une bulle de salive sur son gland, je l’enroule dans ma langue, je l’avale un peu plus, ma main descends vers ses couilles.

Lucas est maintenant entre mes fesses, sa langue s’employant à détendre mon anus, encore un peu crispé. Je suce avidement la queue de son copain, mais celui-ci, soudain moins timide, échappe à mes lèvres. Je n’ai plus l’initiative, il me retourne, passe un bras sous mon ventre, et, sans plus d’attention, me prend en levrette. Lucas s’est redressé à son tour, il a enlevé son pantalon, et vient me présenter sa queue, grosse, tendue, qu’il impose à ma bouche.  » Je me souvenais bien que tu venais draguer à la station, tu es toujours aussi chaude, toi ! »

Le bassin d’Éric frappe mes fesses, chaque fois qu’il est au fond de moi, et me précipite contre le ventre de Lucas, m’obligeant à l’avaler plus loin. Pour être sûr que je le fais bien, il a plaqué sa main sur ma nuque, me poussant sur la queue de son ami.

Ils se parlent entre eux, comme si je n’étais plus que leur chose. « Eric, on va la prendre tous les deux, fais-la venir sur toi, je viendrais derrière » Les événements s’enchaînent ainsi. Je suis couchée sur le ventre d’Éric, qui a repris possession de ma chatte. Lucas mouille mon anus de ses doigts enduits de salive. Il force le passage, glisse trois phalanges. Je le supplie d’aller doucement, mais j’ai très envie de lui, là… Il se guide entre mes fesses, je sens son gland pousser sur mon sphincter. Il s’enfonce lentement, s’arrête puis repart et ne stoppe que lorsqu’il est entièrement en moi. Puis ils accordent leur rythme, et me soumettent à leur coït qui devient vigoureux, ne me ménage absolument pas. Le psyché devant lequel j’ôtais tout-à-l’heure ma culotte est heureusement placé. Il me suffit de tourner la tête, pour nous voir : les fesses de Lucas qui se contractent spasmodiquement, les cuisses d’Éric, qui rythment la cadence, leurs couilles puis leurs queues, enfoncées en moi, dans les deux orifices justement prévus par la nature. C’est tellement excitant de me voir ainsi prise que je jouis, en les suppliant de ne pas s’arrêter. Lucas m’insulte : « Tu es une salope, Olivia, une très grande salope ! »

Alors, il se retire et je pense qu’il va jouir à son tour, sur mes fesses. Éric poursuit son œuvre dans ma chatte, ruisselante, béante. C’est ce que doit se dire Lucas, lorsque je le sens repartir à mon assaut. Mais, au lieu d’investir à nouveau mon anus, encore ouvert, il se glisse le long de la queue de son ami et me pénètre à son tour. Oh ! C’est une sensation incroyable, deux queues me prennent la chatte ensemble, vivant leur propre rythme. Cela provoque en moi des spasmes qui m’amènent à la jouissance, une jouissance forte, rare. « Tu en penses quoi, ma cochonne ? » me demande Lucas. Je ne réponds pas, je glisse mes mains entre nos corps, je saisis, leur couilles, tour à tour. Je nous regarde dans le miroir. Je ne vois que leurs queues s’engouffrant dans ma chatte démesurément étirée. Deux queues ensemble !

Lucas accélère son rythme, je sens qu’il va jouir, je le supplie de se dégager. Il le fait en hurlant et je sens son sperme s’écraser en giclées sur mes reins, et haut dans mon dos. Je me redresse, abandonnant Éric, mais je viens le chercher entre mes seins, où il ne dure que quelques secondes, éjaculant une semence épaisse sur son ventre et ma poitrine. En riant, je me masse de cet onguent généreux. Nous reprenons notre souffle et nos esprits…

Je vais vers la baignoire pour me doucher. Lucas me suit. Je le laisse me doucher. L’eau et chaude. Il insiste avec le pommeau entre mes fesses. La chaleur me rend molle. Lucas me fait asseoir, mes jambes à l’extérieur de la baignoire, en appui sur mes bras. Il a lâché la douche, me soutient. Je me laisse aller contre lui. Il me caresse. Ses doigts cherchent à m’ouvrir… et m’ouvrent. Il glisse ses doigts dans ma chatte, me branle gentiment, le pouce sur mon clitoris. Puis il vient entre mes fesses et force mon anus. Deux phalanges vont et viennent maintenant vivement dans mon cul. J’aime ça ! J’adore ça…Je le préviens mais il est trop tard. Je pisse, d’un jet puissant, vertical. Je hurle en jouissant, d’un long râle. Il me semble que je ne vais pas pouvoir m’arrêter de pisser. Il me pistonne de plus en plus violemment. Je jouis en arrosant mon ventre et ma toison. C’est brûlant, c’est odorant. Éric s’est rapproché, médusé, … Sans doute n’est-il pas habitué à voir jouir une fille ainsi. Lucas s’est accroupi dans la baignoire, me saisit sous les fesses et m’approche de sa bouche. Il boit les dernières giclées de mon urine. Je n’y peux rien, j’adore cela, faire boire ma pisse…

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