Le lendemain matin, Anne se lève tôt car les souvenirs de la soirée l’ont réveillés et elle ne se sent pas très à l’aise. Sans réfléchir, elle enfile un petit déshabillé en satin pour aller préparer le petit déjeuné. Il faut qu’elle parle à Maxime et qu’ils oublient cette soirée au plus vite. Alors qu’elle prépare des toasts devant le plan de travail, Max arrive dans la cuisine et découvre sa mère dans son petit déshabillé qui ne cache pas grand-chose de ses formes. Le souvenir de la veille réveille sa libido et son sexe se met à bander. Il passe derrière sa mère et l’embrasse sur une joue en posant une main sur ses fesses. Surprise, Anne sursaute et se retourne en retirant la main de son fils en lui faisant face.
– Salut mon fils. Il faut que je te parle. Nous devons oublier ce qui s’est passé hier, ce n’est pas bien !!
– Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée !
Max glisse une main entre les pans du déshabillé et commence à caresser la chatte de sa mère avant de reprendre :
– Tu as déjà oublié que je pourrais parler de Pierre à papa ! Il glisse un doigt entre les lèvres encore humides de sa mère.
– Non, je n’ai pas oublié, mais…. Non, arrête ! Non, si….. oui , continu… ton doigt, c’est bon ,oui ! Maxime masse le clitoris de sa mère et celle-ci se laisse aller au plaisir telle une chienne lubrique.
– Tu vois que tu peux ne pas être raisonnable ! Et puis, pense à la petite chatte de Julie que tu vas pouvoir bientôt lécher. Il glisse un doigt entre les lèvres intimes de sa mère qui gémit en fermant les yeux.
– Tu te rappelles ce que tu es pour moi, maintenant ?
– Ohhh, ouiii !! Je suis ta petite pute !!!
– Oui, c’est ça, ma petite pute obéissante.
Il la retourne sans trop de ménagement, soulève l’arrière du déshabillé et plante sa grosse queue dans la minette toute mouillée de sa mère. Il passe les mains sous ses bras et saisit les seins d’Anne pour les malaxer. Cette dernière donne de grands coups de reins pour que la bite de son fils la perfore. Cette manœuvre excite au plus haut point Max qui ne tarde pas à jouir dans le ventre de sa mère. Anne, sentant la déferlante de semence explose à son tour en hurlant sa jouissance. Max se retire en disant :
– Maintenant que tu es revenue à la raison, je vais te dire ce que tu vas devoir faire aujourd’hui.
– Je t’écoute, dit Anne qui ne s’est pas encore remise de ses émotions.
– Papa rentre ce soir !
– Oui et alors ? demande Anne avec une pointe d’anxiété.
– Comme d’habitude, vous allez faire l’amour et je veux que tu te débrouilles pour laisser la porte entrouverte et faire l’amour avec papa comme tu l’as fait avec Pierre l’autre jour. Je veux pouvoir vous observer sans être vu et je veux que tu sois une vraie chienne avec lui.
– Il ne voudra jamais, de peur que tu nous entendes !!
– J’ai tout prévu, je ne serai pas à la maison quand il rentrera et tu lui diras que je devais aller chez un ami pour préparer notre prochain partiel et que je dois rentrer tard dans la nuit.
– Bien ! Comme tu voudras mais fais très attention quand tu rentreras.
– Je serai à proximité de la maison et il suffira que tu fermes les volets du salon pour me faire comprendre que vous montez dans votre chambre.
Sur ces mots, Maxime prend rapidement son petit déjeuné et quitte la maison précipitamment pour aller en cours. Anne après avoir pris un bon petit déjeuné entreprend de prendre un bain. Une fois dans l’eau bien chaude dans laquelle elle a ajouté des sels de bain, Anne repense aux dernières heures qu’elle vient de vivre. Son cochon de fils l’a obligé à faire des choses contre nature mais dans son fort intérieur elle sait qu’elle n’attendait que ça depuis qu’elle l’avait vu dans sa douche un jour où il avait laissé la porte ouverte. En repensant à ce moment, sa main glisse machinalement entre ses cuisses. Elle revoit encore cette queue plus épaisse et plus longue que celle de Thierry. Et encore, elle l’avait vu au repos !!! Anne était en train de réaliser qu’inconsciemment c’est cette grosse bite qu’elle voyait dans ses rêves. En glissant un doigt dans sa chatte qui est de nouveau humide, elle pense à la stratégie qu’elle va adopter ce soir pour satisfaire les envies lubriques de son fils. Elle imagine plusieurs positions qui permettraient à Max de la voir en action avec Thierry mais, peu à peu, elle se voit avec Pierre sur le lit conjugal. Un deuxième doigt glisse dans sa chatte, maintenant toute trempée, elle se voit faire signe à son fils pour qu’il entre dans la chambre et qu’il vienne la prendre avec le père de sa petite amie. Elle cesse sa caresse immédiatement et après avoir terminé sa toilette elle s’empresse d’aller consigner ce fantasme dans « son cahier des secrets ». Elle détaille toutes ses pensées en masquant l’identité de ses partenaires (on ne sais jamais ! Thierry peut lui aussi, tomber sur son cahier), mais elle reste suffisamment précise pour que Max comprenne, s’il lui reprenait l’envie de lire à nouveau son cahier secret. Ceci étant fait, elle se prépare activement pour se rendre à son travail. La tournure sensuelle de ces dernières heures la pousse inconsciemment à enfiler une jolie parure en dentelle noire et une paire de dim-up avec une couture sur l’arrière de la jambe. Puis, elle opte pour son petit tailleur blanc, celui dont la jupe lui arrive au dessus du genou mais dont la subtile fente sur le devant de la cuisse laisse deviner le haut de son bas. Elle ajoute à cela une paire de chaussures noires vernis dont les hauts talons soulignent à merveille le galbe de ses jambes. Elle s’admire dans la glace et pense que son « Mac » serait fier de la voir dans cette tenue. Elle se plait à regarder son reflet de pute de luxe dans la glace. Les hommes qui vont se présenter à la boutique cet après-midi n’ont qu’à bien se tenir car elle espère bien voir dans quelle mesure elle leur fait de l’effet. L’après-midi d’Anne se passe bien et elle constate avec plaisir que sa tenue ne passe pas inaperçue auprès des quelques hommes qui visitent la boutique. Elle prend même un malin plaisir à aguicher un homme accompagné de sa femme. Ce dernier attend que sa femme tourne la tête pour la déshabiller du regard. Coquine, Anne profite de ces courts instants pour prendre des poses qui laissent deviner le haut de son bas et c’est avec une belle érection que l’homme quitte la boutique au bras de son épouse. C’est toute excitée qu’elle rentre à la maison où elle retrouve Max qui se prépare à partir. Maxime regarde sa mère qui vient d’entrer dans le salon et lui dit admiratif :
– dis donc, maman, tu es très sexy habillée comme ça !
– Oui, je sais ! Ce que j’ai vu dans les pantalons des hommes qui ont visité la boutique m’a laissé penser la même chose. Je suis ravie que cela te plaise !!
– Oui et j’espère que tu seras aussi bandante tout à l’heure ! Il faut que papa ait très envie de toi.
Il pose un léger baiser sur les lèvres de sa mère en disant :
– Bon, j’y vais ! Prépares-toi pour papa car je serai dans les parages aux environs de 22H00.
– File mon chéri, je ferai comme tu me l’as demandé.
A son tour, Anne pose ses lèvres sur la bouche de Max mais elle les ouvre pour glisser sa langue et offrir un vrai baiser à son fils. Max entrouvre ses lèvres et leurs langues se mêlent pour la première fois. Sur ce doux baiser, Maxime quitte sa mère avec un peu de regret mais dans l’espoir de passer une très bonne soirée. Il est 20H00 et Thierry va bientôt rentrer. Anne file prendre une douche, se maquille et passe dans la chambre pour revêtir sa tenue de soirée. Elle enfile une paire de bas identique à celle qu’elle a porté dans la journée puis la petite jupe de la veille qu’elle a pris soin de laver avant de partir au travail afin de faire disparaître les taches de sperme qui la maculaient. Elle ne juge pas utile de mettre des sous vêtements et enfile un petit chemisier en soie en prenant soin de fermer juste assez de boutons pour que l’on devine sa poitrine bien ferme juste en dessous. Pour finir, elle chausse les talons hauts qui ont soulignées le galbe de ses jambe durant la journée.
20H45, elle se rend au salon et prépare un apéritif en sachant que son homme va rentrer sous peu. Elle pose les verres sur la table au moment où elle entend la porte d’entrée s’ouvrir.
– Chérie, c’est moi ! Thierry entre dans le salon et découvre sa femme assise dans son fauteuil dans une tenue aguichante.
– Je t’attendais pour l’apéritif, mon chéri, et tu arrives juste au moment où je pose les verres sur la table.
– Tu es seule ? où est Maxime ?
– Oui, je suis seule. Max est parti réviser son prochain partiel chez un ami et il devrait rentrer très tard. C’est pour cette raison que j’ai pensé que je pouvais te faire une surprise !
– Et la surprise me convient, dit-il en posant une main sur sa cuisse et en se penchant pour l’embrasser.
– Prends place, mon chéri, je vais te servir ton apéritif.
Thierry s’installe sur le canapé, Anne se lève pour saisir les verres sur la table basse en prenant soin de se pencher suffisamment pour que Thierry devine ses fesses nues sous sa mini jupe. Elle se retourne et tend son verre à Thierry avant de s’installer près de lui. En s’asseyant, sa jupe remonte et laisse apparaître ses cuisses nues au dessus de ses bas. En trinquant avec sa femme, Thierry pose une main sur ces cuisses attirantes et Anne lâche un soupir. Cet encouragement n’était pas nécessaire pour que ce dernier glisse une main entre les cuisses offertes de sa femme. En trinquant avec son mari, Anne ouvre doucement les cuisses pour lui faciliter un peu la tâche sans le laisser aller trop loin. Tout en sirotant son apéritif, elle maintient son excitation en l’empêchant de lui caresser la chatte de trop près. Après un bon quart d’heure de ce traitement elle ouvre enfin ses cuisses largement et laisse son mari investir sa vulve. Il glisse un doigt entre ses lèvres intimes et vient chercher son clitoris. Il trouve le petit bouton de sa femme et le caresse lentement alors que sa femme pousse de petits soupirs. Dans un mouvement, Anne regarde sa montre. Il est 21H30 et Max n’est sûrement plus très loin maintenant. Dans un souffle, elle demande à Thierry :
– Tu as faim, mon chéri ?
– Oui, de ta chatte mon cœur, lui répond-il.
– Ok, viens, allons dans la chambre nous serons plus à l’aise.
– Bien, mais j’aimerais prendre une douche après cette journée de forte chaleur.
– Tout ce que tu voudras mon chéri, on se retrouve dans la chambre !
Anne laisse Thierry se rendre dans la salle de bain et choisit une musique langoureuse sur la chaîne Hi-Fi en sélectionnant les enceintes de leur chambre. Puis, elle attend de ne plus entendre l’eau couler pour fermer le volet du salon. Elle s’assure que Thierry est bien arrivé dans la chambre avant de gravir l’escalier. Elle le retrouve allongé sur le lit, le sexe en érection. Elle prend soin de laisser la porte entre ouverte comme Max lui a demandé et elle commence à retirer son chemisier dans une danse langoureuse. Excité, Thierry saisit son chibre et se branle doucement. Anne lui demande de se mettre en travers du lit car, de cette façon, elle sait qu’elle va masquer la porte à sa vue en le chevauchant. Thierry s’exécute sans se poser de question, Anne ouvre un tiroir du dressing et en sort un bas opaque ainsi qu’un god énorme. Elle monte sur le lit et se met à cheval sur les cuisses de son mari. Elle pose le bas sur les yeux de son mari et en le serrant derrière sa tête, elle lui dit :
– Ce soir, tu vas faire l’amour à une autre femme. Penses à la femme de tes rêves et baise moi !!
– Mais c’est toi la femme de mes rêves ! dit-il en pensant déjà au petit cul de Julie car lui aussi a craqué sur la beauté de la petite amie de son fils.
– Je ne te crois pas, mais ça m’excite de voir ta queue se dresser quand tu penses à une autre, dit-elle se saisissant de sa bite.
– Penses à cette salope car elle va te sucer, dit Anne en approchant ses lèvres du chibre de son mari.
Thierry pousse un gémissement en sentant les lèvres de sa femme enserrer son gland, imaginant que c’est la bouche de Julie qui engloutit sa queue. Anne le pompe vigoureusement pendant quelques instants et fait une pose pour lui demander :
– Alors, elle te suce bien ta petite pute ?
– Oh, oui, c’est trop bon mais donne moi ta chatte, salope !!
– Tiens, la voilà, elle est à toi !
Anne enjambe son petit mari en relevant sa petite jupe sur ses hanches, s’empale sur sa queue et commence à le chevaucher tout en se demandant si son fils est déjà là à les regarder. Sans savoir s’il est vraiment là, elle est très excitée à la pensé de l’image qu’elle lui offre. Elle veut cependant lui en offrir plus et se couche sur le torse de son mari sachant qu’il peut ainsi voir ses fesses bien écartées et son petit trou ouvert. Au bout de quelques instants, Anne ne tient plus. Il faut qu’elle en ait le cœur net. Max est-il là à reluquer son derrière qui monte et qui descend sur la queue de son père. Elle dit dans un souffle à Thierry :
– J’aimerais bien avoir une deuxième queue en moi !!
– Oui, tu me l’as déjà demandé et je te promets que tu l’auras un jour !
– Je vais me retourner et tu vas mettre un doigt dans le cul de la salope que tu es en train de baiser !
– Ohh, oui ma petite pute, tourne toi que je te défonce le cul, dit Thierry en pensant encore plus fort à Julie.
Anne se retourne et s’empale de nouveau sur la bite de son homme. Ce dernier enduit son pouce de salive et le pose sur la rosette de sa femme. Anne en se retournant a pris conscience de la présence de son fils et accélère ses mouvements sur la queue qui la laboure en le regardant droit dans les yeux. Cette présence l’excite au plus haut point et elle crie des insanités alors que Thierry lui enfonce son pouce dans le cul.
– Oui, allez-y mes gros salauds ! Baisez-moi comme une chienne en chaleur !!!
A ces mots, Max qui regarde sa mère se faire défoncer a sorti sa bite de son jogging et se branle en la regardant. Anne se saisit du god, l’enduit de sa salive et le glisse dans la main de son mari en lui demandant :
– Mets le moi dans le cul, dit-elle en se penchant au maximum vers l’avant (elle sais que cette position approche son visage du bord du lit).
– Oh, oui penche toi bien ! Comme ça tu es ouverte au maximum, dit Thierry en introduisant l’instrument entre les fesses de sa femme.
– Ohhh, ouiii, vous me faite du bien avec vos grosses queues. Elle se fait bien baiser ta petite salope mon chéri !! Comme j’aimerais avoir une grosse queue dans la bouche pendant que vous me baisez ! dit Anne en regardant son fils droit dans les yeux.
– Oh oui ma petite Ju… jouisseuse. Fais-toi prendre par tous les trous comme une bonne petite salope.
Anne fait un signe de la main à son fils pour l’inviter à venir se faire sucer et glisse deux doigts entre ses lèvres pour simuler une fellation en gémissant de plus belle. Max a une hésitation mais le regard lubrique de sa mère l’encourage à faire un pas dans la chambre. Son père est tellement occupé à pourfendre sa femme en pensant à Julie qu’il est loin de se douter que Max est arrivé au bord du lit et qu’il vient d’enfourner une bonne partie de son dard dans la bouche de sa mère. Elle accélère les mouvements de son bassin sur la queue de Thierry et pompe activement le membre de son fils en poussant des Mmmh… Mmmmh…. Mmmmh !! Thierry en entendant cela dit à Anne :
– Comme tu le fais bien ma petite salope, on croirait que tu suces une vraie bite !! Anne lâche temporairement la grosse queue de son fils pour répondre :
– J’ai tellement envie d’une grosse queue que je me suis enfoncé trois doigts au fond de la bouche. C’est tellement bon dit-elle en reprenant en bouche le chibre de Max.
Elle reprend sa fellation tout en s’activant sur la queue de son mari qui, de son coté, s’applique à lui défoncer le cul avec son god. Elle sent que la jouissance de Max est proche et se concentre sur sa pipe pour que ce dernier jouisse afin qu’il puisse se retirer de la chambre avant que Thierry n’explose en elle. Les mouvements experts des lèvres de sa mère sur sa queue ne tardent pas à faire jouir Max qui se mord les lèvres pour ne pas faire de bruit en déversant sa semence dans la bouche maternelle. Sans faire le moindre bruit, il se retire de la chambre alors que sa mère avale son jus avec délectation en jouissant sur la queue de son mari. Sentant que Thierry ne va pas tarder à exploser à son tour, elle lui demande de se retenir car elle veut qu’il lui jouisse dans la bouche. En fait, elle souhaite seulement dissimuler le goût du jus de son fils dans sa bouche. Anne se désempale du pieux de son mari et a tout juste le temps de se retourner pour recueillir su sa joue la première giclée de son mari. Elle saisit la queue toute luisante de sa mouille et approche sa bouche pour recevoir les dernières giclées de sperme entre ses lèvres. Elle retire enfin le bandeau qu’elle avait posé sur les yeux de Thierry pour qu’il puisse la regarder se délecter de sa semence en se caressant les seins. Thierry lui caresse les fesses et saisit le god qui est resté planté dans son petit trou pour continuer à l’enculer doucement. Anne soupire et s’écroule sur le torse de son mari. Elle l’embrasse tendrement et lui demande :
– Ca t’a plu mon chéri ?
– Oui, il y avait bien longtemps que nous n’avions pas fait l’amour comme ça ! Tu m’as terriblement excité en faisant ta petite salope !
– J’avais très envie de te faire plaisir, comme tu le fais encore maintenant entre mes fesses. Oui…. Vas-y continus, défonces moi bien le cul !!
Thierry accélère les mouvements de sa main et sa femme ne tarde pas à prendre un pied anal d’enfer. Thierry retire le god de la rosette de sa femme et ils restent un long moment dans cette position à savourer cet instant de bonheur. C’est Anne qui, au bout de quelques minutes, rompt le silence en se laissant rouler près de son homme pour pouvoir saisir sa bite qui s’est ramollie :
– A qui pensais-tu ce soir en me prenant comme une chienne ?
– A personne en particulier dit Thierry alors que sa queue recommence à grossir en pensant à Julie.
– Je suis sûre que tu pensais à quelqu’un, ta queue est en train de te trahir ! Allez, dis-moi minaude-t-elle.
– Tu as raison mais je ne peux vraiment pas te dire à qui je pensais en te prenant comme une petite pute.
– Si tu me le dis, je te dirai à quelle queue je pensais en suçant mes doigts.
– Je veux bien te le dire mais promets moi de ne pas te fâcher car ce n’ai vraiment qu’un fantasme !
– Promis ! Aller, dis-moi !
– Et bien, heu !! En fait, je pensais à ….. euh, Julie, la petite amie de Maxime.
– Je te crois car ta bite vient de se raidir d’un coup. Je dois admettre que tu as bon goût car elle est effectivement assez craquante pour son age. Si j’étais un homme, je crois que j’aurais aussi envie d’elle.
– Je vois que tu n’es pas fâchée ! Maintenant, c’est à toi de respecter ta promesse et de me dire à qui tu pensais en suçant tes doigts avec tant d’ardeur.
– Eh bien, ce n’est pas très facile à dire ! Bon, j’ai promis, je me lance. En fait, pour tout te dire je pensais à la queue de Max.
– Comment ça, Max ? Notre fils ?
– Oui, mais ne te fâches pas ! Ce n’est qu’un fantasme qui m’est venu alors que je l’ai aperçu un jour sous la douche alors qu’il avait laissé la porte ouverte. Son sexe est bien plus gros que ce que j’ai pu voir et je t’avoue qu’il m’est arrivée d’en rêver.
Un peu abasourdi, Max glisse une main entre les cuisses d’Anne et constate qu’elle mouille abondamment en glissant un doigt entre ses lèvres intimes. Cette situation l’excite et il a soudain envie de faire une proposition indécente à sa petite femme :
– Nous pouvons nous bander mutuellement les yeux et tu pourras me sucer en pensant que c’est la queue de ton fils que tu as dans la bouche. Ensuite je te prendrai en pensant que tu es Julie !
– Je suis d’accord dit Anne en sautant du lit pour saisir un deuxième bas dans le dressing.
Elle revient sur le lit. Ils se bandent mutuellement les yeux et Anne approche ses lèvres de la queue de son mari. Pensant fortement à son fils, elle lèche d’abord le gland avant d’y poser doucement les dents, puis elle ouvre doucement la mâchoire pour engloutir la belle queue jusqu’au fond de sa gorge. Elle glisse une main entre ses cuisses pour se caresser car le fait de penser que son mari lui ait proposé de le sucer comme s’il était Max la fait mouiller terriblement. De son coté, Thierry derrière son bandeau imagine Julie nue devant lui en position de levrette et il trouve qu’elle le suce divinement. Il sent que la jouissance ne va pas tarder et décide qu’il va la prendre en levrette pour remplir son ventre de sa semence. Il sort sa queue de cette bouche enchanteresse et contourne sa femme pour venir planter son dard dans la chatte trempée d’Anne. En pensant encore plus fort à Julie, Thierry lime sa petite chatte à grands coups de boutoir arrachant de profonds gémissements à sa femme. Anne repense à ce matin où Max l’avait prise en levrette dans la cuisine. Elle se caresse alors frénétiquement le clitoris et part dans une jouissance sans limite alors que Thierry explose au plus profond de sa chatte. Après tous ces efforts, ils s’écroulent sur le lit et s’endorment enlacés dans les bras l’un de l’autre.
A suivre
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