C’était la veille de Noël dans une ville moyenne de France.
La neige venait bénir le sol de ses flocons et le froid encourageait les gens à rester avec leur famille.
Rares étaient les personnes qui osaient braver le froid, peu importe leurs raisons.
Nathan était une de ces personnes.
Non pas qu’il avait des obligations professionnelles ou qu’il rentrait chez lui, il s’aventurait dans les rues dans un autre but. Il atteignit une boutique à la devanture discrète et y entra avec un soupçon d’hésitation.
L’intérieur des lieux contrastaient fortement avec l’extérieur tant la subjectivité de l’endroit ne faisait aucun doute quant à sa nature : Nathan était dans un sex-shop.
Ce dernier était plutôt calme, les fêtes aidant. Mais malgré tout, il était ouvert et l’ambiance qui s’en dégageait faisait parfaitement son office.
Nathan mettait les pieds pour la première fois dans ce genre d’endroits et son air hésitant trahissait aisément ce fait.
Le voyant dans l’embarras, l’homme derrière la caisse l’interpelle avec un direct : « Je peux vous aider ? »
Nathan ne savait pas où se mettre, mais ne voulant laisser place à une gêne encore plus importante, il répondit en hésitant : Euh… Ou…Oui. Je cherche un film un peu spécial.
Sans le laisser terminer, le vendeur lui explique l’agencement de la boutique : « Les films sont de ce côté et sont classés alphabétiquement et par genre. Vous trouverez donc dans ce rayon les gangbangs, dans celui-ci le softcore, et ainsi de suite. Nous avons une vaste sélection de films et de catégorie qui devrait vous satisfaire. Si vous avez besoin d’un conseil en particulier, n’hésitez pas à me le demander !
Nathan remercie timidement le vendeur et se dirige vers le rayon des films, passant devant des vibromasseurs, des plugs, de la lingerie et autres jouets tous plus étonnants les uns que les autres. L’endroit était vaste malgré les apparences et Nathan arrive enfin aux films. Se laissant guider par les pancartes de genres, il s’arrêta net dans la section intitulée creampies et se mis à fouiller parmi les titres. Après plusieurs instants, Nathan ne trouvait pas son bonheur. Il décida de retourner à l’entrée et d’interroger le vendeur.
« Monsieur ? », s’exclama le vendeur.
« Je cherche un film qui s’intitule « J’en n’ai plus », mais je ne le trouve pas en rayon.
– Ah ! Le fameux film où faute de capotes, Claire Castel et plusieurs charmantes stars du X français se font prendre dans tous les sens par plusieurs hommes pour finir dans une orgie de sperme dans leurs orifices ! Je n’en n’ai malheureusement plus de dispo en vente actuellement, mais il doit m’en rester un pour visionnage. Attendez, je vérifie sur l’ordinateur. »
Le vendeur, malgré sa politesse extrême savait de quoi il parlait et était même très passionné dans sa manière de parler. Après une brève recherche, il repris la parole :
« Je n’en ai effectivement plus en rayon, quelques uns sont en commande, mais je devrais les recevoir après les fêtes, cependant. J’en ai toutefois bel et bien un en visionnage.
– En visionnage ?, s’interloqua Nathan
– Oui, nous avons des cabines à l’étage où les gens peuvent visionner les films comme du cinéma et, s’ils le désirent, se « soulager » devant. Tout est équipé sur place. C’est moins cher que d’acheter le film, mais il est impossible de contrôler ce dernier. Une fois le film lancé, vous ne pouvez mettre pause, avancer, reculer. Malheureusement, je vois que ce film est actuellement consulté. Je peux vous proposer d’attendre que la personne ait fini ou de regarder un autre film. Puisque vous aimez les éjaculations internes, nous avons en nouveauté une compilation des meilleurs scènes françaises du genre de ces dernières années. Cela vous tente-il ? Pour les fêtes, il y a 30 % de réduction sur le visionnage. »
Nathan n’avait personne chez qui aller, rien d’autre à faire pour ces fêtes. Il se laissa donc tenter.
– C’est au premier étage, passez par ces escaliers. Votre séance Cabine n° 109. Appuyez sur le bouton pour lancer le film. Amusez vous bien ! »
Le vendeur, un sourire radieux regarda Nathan partir vers les cabines. Une fois à l’étage, Nathan constate que l’endroit est vraiment plus important qu’il n’y paraissait. Il y avait bien une dizaine de cabines et les escaliers menaient vers d’autres étages.
Voyons. Cabine 109 c’est celle-là !
Nathan entra dans la cabine, et quelle ne fut pas sa surprise de voir sur le lit devant une grande télé, une jeune femme nue, les jambes écartés en train de se caresser et avec un jouet dans l’anus. Rapidement, la femme remarqua l’arrivée de Nathan qui était figé sur place devant ce spectacle. Elle ne s’attendait pas à de la visite, mais Nathan était encore plus surpris. Il lui était impensable de voir une belle jeune fille, aux environs de la vingtaine, faire ce genre de choses dans ce genre d’endroit ! Pour lui, des filles aussi belles avaient autant de sexe qu’elles désiraient en un claquement de doigts. Ses seins, étaient fermes et ses tétons étaient bien raides d’excitation, laissant deviner un certain volume de poitrine naturel, malgré le fait qu’elle était allongé. Sa chatte était trempée par son doigtage au point de laisser une auréole humide de mouille sur la couverture du lit. Sa chevelure blonde aux reflets roux et légèrement ondulée atteignait ses épaules sur le matelas et soulignait parfaitement sa peau laiteuse.
La demoiselle avait toujours les doigts dans son intérieur et sans une once de colère interpella Nathan : « Que faites-vous dans ma cabine ? »
– Heu… On m’a dit d’aller dans la cabine 109 et…
– N’en dites pas plus, je vois l’erreur ! Le dernier chiffre et encore tombé ! Combien de fois faudra-t-il le signaler ! Ca aurait évité ce genre de situation ! Ici, c’est la cabine 106. Le 6 a du mal à tenir. Regardez, le chiffre n’est pas aligné, ce qui veut dire que c’est pas la cabine où vous deviez vous astiquer le manche. Hihihi.»
Mais le chiffre était loin d’être le centre d’attention de Nathan. Le film diffusé sur l’écran était celui qu’il cherchait !
« C’est bien « J’en n’ai plus ! », n’est-ce pas ? C’est le film que je voulais au départ. Il est bien ? »
– Vous ne croyez pas que le moment est mal choisi pour parler de film ?
– Pardon, désolé de vous avoir dérangé. Je suis sincèrement désolé. Je m’en vais.
– Et en plus, il se moque de moi ! Tu as une belle fille nue, les jambes écartés qui se touche devant toi et tu préfères regarder un film puis partir ? C’est quoi le problème avec les mecs ? Je t’ai pas dis que tu devais partir, alors si ça te dis de tenir compagnie à la jeune demoiselle esseulé que je suis pendant les fêtes. Car ce gode que je viens de sortir du trou c’est bien, mais ça ne peut pas tenir compagnie.
Nathan était gêné de voir la fille approximativement du même âge que lui changer de ton et l’inviter à regarder le film avec elle. Elle insistait en tapotant l’espace du lit à côté d’elle comme d’une invitation pour s’asseoir.
Nathan voulant vraiment voir ce film, fini par céder et s’installa à côté de la belle. Cette dernière n’avait cependant pas l’intention de regarder le film maintenant qu’elle n’était plus seule et voyant que l’intrus n’avait pas compris ses vraies intentions recommença à se caresser et repris la parole : « T’es venu pour le film ou pour te branler ? Tu peux sortir ta bite, ça nous mettra à égalité vu que t’as profité de la vue de ma chatte. »
Nathan était gêné, mais finalement baissa son pantalon et sorti son sexe de son caleçon. Après tout, regarder un des films les plus excitants de l’année et ne pas éjaculer en guise de remerciement serait d’une pure cruauté. Cela ne diminuait cependant pas la sensation de gêne qu’il sentait d’être à côté de cette étrangère qui l’a invité à regarder le film.
La fille se redressa et regarda le sexe de Nathan. Il n’était pas très dur, mais commençait à montrer de sa grandeur. De sa main libre, elle saisi la verge de Nathan et commença à la caresser.
– Moi, c’est Claire. Et au cas où tu ne l’aurais pas compris, j’ai envie que tu me prennes et me remplisses mes trous.
– Euh… Enchanté Claire. Je suis Nathan, mais malheureusement je ne vais pouvoir faire cela.
– Qu’est-ce qu’il y a ? Je ne te plais pas ? Je ne t’excite pas ?
– Ce n’est pas ça. Tu es carrément canon, mais je n’ai pas de protection.
– On s’en fout, c’est moins pratique pour me remplir les trous de ton foutre de toutes façons.
– Logique. Mais on vient tout juste de se…
Claire ne laissa pas finir Nathan de parler qu’elle avalait déjà la queue de son visiteur comme pour faire signe que la discussion était close et qu’elle aurait le dernier mot.
Nathan n’en était pas moins excité et fini par se laisser aller à apprécier la pipe que Claire était en train de lui prodiguer. Bien baveuse et avec une agilité linguistique hors du commun, le gourdin de Nathan était on ne peut plus raide, prêt à faire son office de marteau piqueur pour petit minou dissipé.
-T’as une bonne queue. Je me régale. Regarde comme je salive ! J’ai hâte que tu me pilonnes comme une petite chienne.
Mais Nathan ne voyait pas son sexe se faire sucer. Tout ce qu’il apercevait était la chevelure angélique d’une Claire qui s’appliquait pour lui administrer la meilleure fellation qu’il n’ait jamais reçu.
Voyant que la chatte de Claire était demandeuse, il commença à son tour à caresser l’antre de plaisir de sa partenaire. Elle était déjà totalement trempée, signe que la belle avait déjà bien fait son boulot.
– Tu aimes ? Demanda Claire.
– J’adore ! Tu suces comme une déesse et ta chatte est trempée. J’ai jamais eu la bite aussi dure de ma vie. J’ai envie de toi, mets-toi à 4 pattes que je te prenne.
– Haha, tu es entreprenant finalement. J’aime ça.
Claire se mit à sur ses quatre pattes et se doigta la chatte pour préparer l’arrivée du bâton de viande. Mais à sa grande surprise, Nathan était en train d’envahir l’anus de Claire avec une facilité déconcertante malgré son diamètre pas gigantesque, mais qui n’avait cependant pas à envier une bonne majorité d’hommes. Il y resta sans bouger quelques instants.
– Putain, ça rentre comme dans du beurre ! Tu m’excites tellement et t’as des fesses tellement bandantes que j’ai pas résisté de les visiter d’abord !
– Le petit coquin ! Me prendre par le cul sans demander et sans dire bonjour à ma minette d’abord, c’est un coup à me soumettre. Tu veux faire de moi ta petite chienne ? Alors encules-moi comme jamais t’as enculé quelqu’un !
– Tu es la première que je prends par derrière, donc je ferai de mon mieux.
-Oh ! Alors dans ce cas, laisse-moi t’aider. Ne bouges pas et laisse-toi faire.
Claire commença à bouger ses fesses de haut en bas avec la verge de Nathan encastrée dans son anus. Puis profitant de sa position de levrette, elle se balança d’avant en arrière, délicatement d’abord, puis de plus en plus violemment. Nathan voyait sa bite qui s’enfonçait et ressortait du cul de la belle, mais il ne faisait pas le moindre mouvement pour cela. Les seins de la nymphomane se balançaient également sur le même rythme. Claire était surexcitée et se redressa pour enlacer le cou de Nathan tout en continuant les coups de reins. Le veinard en profitait pour masser les seins de la belle d’une main et de caresser sa chatte de l’autre, la faisant crier de plus belle.
– Oh putain ! T’es une enragée, toi ! Ralentis, je ne vais pas tenir bien longtemps à ce rythme dans ton trou si étroit !, lui dit Nathan.
– Alors lèves toi, tu vas me prendre le cul contre le mur et je veux que tu lâches toute ta purée dans mon petit anus tout serré.
Les deux amants se levèrent et Claire se colla contre le mur, l’arrière train légèrement cambré et prêt à accueillir à nouveau la matraque de Nathan. Elle tourna la tête vers le miroir qui la reflétait. Ça l’excitait de le regarder s’approcher. Le voir s’abaisser pour lui lécher à nouveau l’anus quelques instants et lui doigter la chatte pour la faire mouiller encore plus. Enfin, il dirigea son engin droit dans le cul de la bombe nymphomane qui se mis à crier de plaisir pour chaque longueur de bite engloutie. Les pièces avaient beau être très bien insonorisées, on arrivait à percevoir du couloir des « Continue de prendre mon cul de salope ! » et des « Encule-moi plus fort ! » à chaque fois que Claire se prenait la bite au fond de son cul, ou du moins, à chaque fois que la bite de Nathan était complètement insérée dans l’anus de la salope. Cela faisait bien quelques minutes qu’elle recevait des coups de bite dans cette position pour enfin commencer à ressentir une chaleur envahir son tunnel accompagné d’un cri de jouissance de la part de Nathan qui ne cessait cependant pas de limer le trou de la cochonne.
« Je veux tout ton foutre dans mon petit cul de chienne ! Encore !» s’exclamait-elle.
Mais Nathan était à l’arrêt Il n’accablait plus cet anus de ses va et viens et se sortait même de cet anus,laissant au passage dégouliner du foutre sr le sol.
« Fiou ! Je suis vidé ! T’es un sacré morceau ! C’était super !
– Mais non, t’es pas vidé, je suis sûre que tu peux m’en donner encore. »
Sans même laisser une seconde, Claire se retourna et poussa Nathan sur le lit. Elle lui sauta dessus et empala à nouveau ses fesses sur la bite tant désirée. C’est alors qu’elle commença à monter et à descendre bien jusqu’au bout, le gourdin dans son petit trou. Lentement, puis de plus en plus vite, jusqu’à atteindre un rythme frénétique. La verge qui venait de cracher juste avant et qui commençait à se ramolir, redurcissait avec les mouvements de Claire qui avait le sourire au lèvres.
« T’as vu, t’es encore tout dur ! Ca te fait quoi de te faire sauter par une vraie salope !?
– C’est le pied ! Continues, chevauches-moi, je sens que je vais encore lâcher la purée.
– Tu vas encore m’inonder le cul ? Alors je vais aller plus vite, on va te vider. »
Claire accéléra encore le mouvement de plus belle, ce qui produit rapidement le résultat escompté : Nathan jouissait encore dans le cul de Claire. Mais elle ne s’arrêtait malgré tout pas et continuait à s’empaler. Puis lentement, tout en continuant ses mouvements, elle s’approchait de Nathan pour finir allongé sur lui, la bite toujours dans son cul, mais désormais immobile. Elle en profitait alors pour l’embrasser tendrement d’abord, puis de manière plus joueuse avec sa langue dans la bouche de son amant par la suite. Le film était déjà fini depuis quelques instants, mais ni l’un ni l’autre ne s’en souciait.
– Tu vois que tu en avais encore. T’as une super queue, tu m’as bien défoncée.
– C’était super, mais je regrette de n’avoir pas pu te baiser la chatte.
– T’inquiètes pas pour mon minou, tu vas pouvoir le déchirer bientôt.
Sans préciser sa pensée, Claire se retira, et se pencha sur la bite de Nathan pour la sucer en guise de récompense et finir par un bisou sur le gland. Elle commença à se rhabiller sans dire un mot.
C’est une fois à nouveau décente qu’elle jeta sa petite culotte au visage de Nathan.
« Tu me la rendras la semaine prochaine pour la Saint Sylvestre à l’adresse de cette carte de visite.»
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