Chapitre 46 – Duel à la piscine
Quand Géraldine reprit connaissance, elle était couchée dans l’étable, pieds et poings enchaînés sous le regard de Clara, qui avait veillé à lui faire un pansement avec un onguent cicatrisant sur son marquage pour éviter toute infection.
Elle tenait la laisse de la malle-boite, où Slutty avait été enfermé de nouveau, après le départ de Maîtresse Sandra.
« Enfin réveillée, petite pouliche ! »
Dit l’infirmière en chef, en plantant le talon de sa haute plate-forme blanche dans la fesse intacte de la pauvre pouliche sanglotante.
“ – “ – Mmmpphh… ‘Ou’ quoi ! Mmmpphh… ”
Pleurnicha la pony-girl, en se remémorant son marquage au fer, telle une jument, tandis que de grosses larmes coulaient le long de ses joues.
« Il n’y a pas de pourquoi pour les soumises…Tu devrais le savoir maintenant, petite pouliche ! Ta Maîtresse en avait décidé ainsi, et c’est tout ! Mais dis-toi, que c’est aussi une preuve d’amour indélébile de sa part que de te marquer ainsi, et prouver ton appartenance à son service ! Elle a tenu a ce que son autre soumise te tienne compagnie pour la nuit ! «
Dit Clara, en tapant à coups de poing sur la malle-boite, qui enfermait Slutty.
“ – Mmmpphh…‘Ui , Ma’ame ! Mmmpphh… ”
Couina Géraldine, en se mettant presque en boule, essuyant ses larmes de ses pattes boules, dont on l’avait affublée pour la nuit, tout en se rappelant que jamais sa Maîtresse ne lui avait lâché la main durant son marquage.
A cette pensée, elle se décontracta, en se disant que son marquage resterait ainsi une preuve bien plus formelle que son tatouage d’être la propriété de sa Maîtresse adorée.
Clara ouvrit la boite, découvrant le haut du corps de Slutty entravé à l’intérieur, dont les bras étaient attachés au-dessus de sa tête, et sa bouche écartelée par un large ring-gag, de lourds grelots pendaient à ses mamelons annelés, qu’elle s’amusa à secouer.
Géraldine remarqua que Slutty était beaucoup moins resplendissante, qu’elle ne lui avait paru auparavant pendant son marquage. Ses yeux étaient rougis et cernés, prouvant ainsi de nombreuses larmes et le manque de sommeil, ses cuisses et ses fesses portaient de nombreuses traces de fouet et cravache du à un sévère week-end .
Géraldine remarque aussi avec un certain plaisir, que Maîtresse Sandra ne l’avait pas encore fait tatoué par Maîtresse Elsa. Elle restait donc encore pour une semaine la seule et unique soumise officielle de sa Maîtresse adorée.
“ – NANNNN !!! AAARRRGHHH !!! NANNNN !!! «
Couina la pauvre Slutty, sous la pression sur ses mamelons, accentuée par le mouvement que Claire venait d’imposer aux pinces-grelots.
« C’est Géraldine qui a besoin de réconfort, petite Slutty ! Toi, tu as juste besoin de confort !»
Dit l’infirmière en chef, en refermant la malle-boite, avec un vile sourire.
“ – NANNNN !!! ‘PI’IE ,MAI’RESSE!!! S’I OU’ PLAI, NANNNN !!! »
Se mit à gémir la pauvre Slutty, quand la porte de la malle se referma pour la replonger dans l’angoissante obscurité de sa boite.
Mais Clara la poussa dans la paille de l’étable et pris une barre d’entrave en « T », avec laquelle elle écarta les pieds chaussées de ballet-boots de la soumise, et plaça ensuite un large et long gode vibrant sur la barre avec lequel elle combla l’anus de Slutty largement ouvert par le plug qu’elle portait, le mettant immédiatement en route .
“ – NANNNN !!! AAAHHHH !! IIIIIIHHHH !! NANNNN !!! »
Couina la Sissy Slut, au cœur de sa boite, quand le gode commença de vibrer au plus profond de son être.
Clara empoigna le harnais de tête de Géraldine, et lui échangea contre le même mais muni cette fois d’un large ring-gag.
“ – HANNNN !!! HANNNN !!! «
Geignit la pony-girl, quand le petit clito violacé de Slutty en forme de boudin fut introduit dans sa bouche écartelée.
A l’aide d’une chaînette très courte, Clara attacha l’anneau nasal de Géraldine à ceux des testicules de sa copine de jeu, et fixa le haut du harnais à la poignet de la malle-boite, empêchant ainsi tout retrait de la bouche de Géraldine du clito inutile et bagué de la pauvre Slutty, qui gémissait de plus belle sous la fréquence intensive du gode vibrant, qui lui dilatait son anus déjà suintant de plaisir.
Clara relia les jambes de Géraldine l’une à l’autre, et attacha les pattes-boules aux ballets-boots.
“ – NANNNN !!! NANNNN !!! »
Gémissaient maintenant presque en cœur, les soumises dans la confortable position dont les avait installer la douce et attentive infirmière en chef.
« Une petite aide pour la nuit te fera du bien, petite pony ! »
Dit l’infirmière, en plantant une seringue contenant un décontractant très puissant, dans la fesse vierge de marquage de la pony-girl.
« “ – NANNNN !!! Naaaannnnn ! »
Soupira doucement la pony-girl, sentant son corps se détendre malgré sa position, la fatigue de la journée faisant le reste, elle s’endormit en tétant le sexe congestionnée de Slutty, emprisonné au cœur de sa bouche.
« Bonne nuit ,douce pony, ! Bonne nuit douce Sissy ! »
Dit Clara, en caressant de sa main la croupe offerte et endormie de Géraldine qui respirait paisiblement, tandis que son autre main s’entachait à accélérer la fréquence du large gode vibrant pour le mettre au maximum, avant de taper du poing sur la malle-boite.
“ – NANNNN !!! AAAHHHH !! S’I OU’ PLAI, MAI’RESSE!!! IIIIIIHHHH !!NANNNN !!! »
Supplia la Sissy Slut, sentant son désir s’exciter au plus profond de son être, c’est ainsi que Slutty commença une nouvelle nuit de soumission sous le regard amusé de l’infirmière qui déjà s’en allait, la laissant seule dans l’angoissante obscurité de sa boite, et dont le clito bagué et bouché par un plug d’urètre était devenue la tétine nocturne d’une pony-girl endormie.
Après s’être mutuellement entravées leurs chevilles de courtes chaînes, et cadenassées les coudes et les poignets dans le dos, Géraldine et Slutty arrivèrent devant la piscine, nues et simplement chaussées de leurs ballets boots, comme l’avait exigé leur Maîtresse, qui se prélassait au bord de la piscine avec Maîtresse Elsa, sous l’ombre d’un parasol « tenu » par Tammy .
Elle était entièrement recouverte d’une catsuit de latex noir, et portait une cagoule de latex équipée d’un épais masque et bâillon pourvu d’une large boule assortie.
Elle maintenait le parasol par des sangles de cuir, solidement attachés à ses jambes bras et tête, qui lui empêchait tout mouvement, à part de minuscules pas de ses pieds chaussées de ses ballet-boots.
« Plus prés, Tammy, j’ai du soleil là ! «
Ordonna Maîtresse Elsa à sa soumise, d’un air agacé, tout en claquant un coup de cravache sur les mollets de Tammy.
“ – MMMMMMMPPHHH!! ‘UUIIII, MAI’RESSE !!! PA’DON MAI’RESSE !!! MMMMMMMPPHHH !!! »
Gémit la soumise aveugle, en trottinant d’un pas mal assuré avec le lourd parasol, s’arrêtant quand elle sentit la chaise longue qui lui fit presque perdre l’équilibre, qui obligea sa Maîtresse de se protéger en voyant sa soumise vaciller.
« Tu as failli me tomber dessus, pauvre gourde ! On réglera cela tout a l’heure !»
Gronda Maîtresse Elsa, en gonflant encore plus le plug gonflable qui garnissait l’anus dilaté de sa soumise, tout en s’emparant de la télécommande qui pendait entre les jambes pour accélérer la vibration.
“ – MMMMMMMPPHHH!! PA’DON MAI’RESSE !!! IIIIIIHHHH !!! MMMMMMMPPHHH !!! »
Couina Tammy, en se tortillant un peu sous la vive et intense vibration qui se mettait à encombrer un peu plus son anus dilaté à l’extrême.
« Je ne veux plus t’entendre ! »
Ordonna Maîtresse Elsa, en bloquant la télécommande à son maximum, tout en se mettant à tapoter sa cigarette un petit cendrier de métal accroché aux pinces japonaises reliées aux testicules annelées de sa soumise .
“ – MMMMMMMPPHHH!!! Mmmpphh…»
Soupira la soumise, devenant silencieuse, malgré la douleur de la morsure des pinces sur ses testicules, et la vibration qui venait de s’accélérer au plus profond de son intimité.
Géraldine et Slutty avaient regardé la scène avec une certaine excitation, qui se lisait sur leurs petits clitos gonflés dans leurs minuscules cages à pointes, et munis d’un plug d’urètre, qui leurs empêchait toute fantaisie, mais elles appréciaient d’être nues par ce 35 degrés qu’affichait le thermomètre à l’ombre du mur de la maison.
Les deux soumises avaient remarqués qu’une longue poutre avait été placée dans la largeur au-dessus de la piscine.
Maîtresse Sandra s’approcha de ses deux soumises, avec des gag-ball muni de longs bâtons de bois avec au bout , un gant de boxe .
Elle en bâillonna ses deux soumises dociles, qui se tortillaient lascivement dans leurs entraves, sous les caresses de leur Maîtresse, qui s’attardait sur leurs corps dénudés.
« Vous allez vous mettre d’accord, toutes les deux, la première qui tombe dans l’eau fera le service, et l’autre m’enduira le corps de crème et me fera de l’air avec un éventail ! Compris ! »
Dit Maîtresse Sandra, tout en leur attachant avec douceur, des pinces japonaises munies de lourd grelots à leurs mamelons annelés .
“ – Mmmpphh…‘Ui , Mai’resse !’Me’ci, Mai’resse ! Mmmpphh… ”
Répondirent Géraldine et Slutty, en marquant un temps de réflexion, tandis que la morsure des pinces si douces avec la caresse de leur Maîtresse, les mettaient dans un émoi très contraignant .
« Et pas de quartier ! »
Rigola Maîtresse Sandra, en claquant une fessée à chacune de ses soumises, par une fessée, les envoyant se placer chacune d’un coté de la poutre.
Malgré une certaine difficulté, à cause de la courte chaîne qui entravait ses chevilles, Géraldine posa le pied sur la poutre, tandis que Slutty était plus hésitante, commençant à réfléchir à la profondeur de la piscine, et comment on allait la remonter au cas où ce serait elle qui tomberait.
Géraldine avait déjà les deux pieds sur la poutre et commençait à avancer, que Slutty était encore empêtrer dans ses hésitations, en mettant timidement sa première ballet-boot sur la poutre, mais avec bien moins de dextérité que son adversaire.
Le fouet de Maîtresse Sandra claqua l’air à proximité des fesses de la pauvre Slutty, qui sentait la panique monter en elle en mettant son deuxième pied sur la poutre, ne pouvant avancer comme tétaniser.
« Tu as peur que l’eau soit trop froide, petite trouillarde ! Le prochain sera pour tes fesses » Gronda Maîtresse Sandra, en claquant cette fois son fouet, encore plus prés de sa soumise.
“ – MMMMMMMPPHHH!!! ‘E ‘AIS ‘AS ‘AGER, MAI’RESSE!!! S’I OU’ PLAI, MMMMMMMPPHHH !!! «
Pleurnicha la pauvre Slutty , des larmes se mettant à couler sur ses joues, tandis que son corps se mettait à trembler sur la poutre, où Géraldine l’attendait déjà au milieu, prête à l’affronter .
« On verra plus tard pour les cours ! Soit tu vas vers ton destin, soit je vais m’occuper particulièrement de toi ! »
Répondit Maîtresse Sandra, d’un ton sans équivoque en s’approchant de sa soumise, striant cette fois sa fesse du claquement de son fouet.
“ – MMMMMMMPPHHH!! ‘UUIIII, MAI’RESSE !!! MMMMMMMPPHHH !!! »
Pleura Slutty, en commençant d’avancer sur la poutre en regardant ses pieds.
Slutty était tellement concentré sur le fait de ne pas tomber, quelle ne prêta aucune attention à Géraldine qui venait de faire un pas supplémentaire, et qui lui assena un coup de son bâillon-épée qui la déstabilisa, entraînant sa chute dans l’eau fraîche de la piscine.
“ – MMMMMMMPPHHH!! AAARRRGHHH !!! NANNNN !!! AU’ ECOURS, MAI’RESSE !!! MMMMMMMPPHHH !!! »
Hurla la pauvre Slutty, avant même que son corps ne touche l’eau, tandis que la panique et sa peur lui firent boire une tasse, sous le regard de Géraldine qui continuait d’avancer sur la poutre ,pour rejoindre l’autre coté de la piscine .
Maîtresse Sandra regarda sa soumise entravée se débattre sous l’eau, avant de plonger pour la récupérer, l’empoignant par les entraves de ses bras, et lui sortant la tête de l’eau pour la ramener, où elles avaient pieds.
« Je crois que nous avons de longues baignades à prévoir, petite sirène ! »
Ironisa Maîtresse Sandra, en caressant les lèvres entravées de sa soumise avec son ongle long et manucuré d’un joli vernis bleu, comme pour y déposer un baiser.
“ – MMMMMMMPPHHH!! ‘UUIIII, MAI’RESSE !! ME’CI, MAI’RESSE !! MMMMMMMPPHHH !!! «
Soupira Slutty, en baissant son regard plein de reconnaissance, envers celle qui venait de la secourir .
Maîtresse Sandra sortit de l’eau avec grâce, en traînant la pauvre Slutty au maquillage dégoulinant par son bâillon-épée, pour rejoindre Géraldine au bord de la piscine, à laquelle elle libéra les bras de ses entraves, lui retirant également ses pinces grelots et son bâillon.
« Tu as carte blanche et une demi-heure pour la préparer pour le service, petite Géraldine ! Et Ensuite, tu me rejoindras pour ma crème, et me rafraîchir de cette chaleur !»
Dit Maîtresse Sandra, en mettant dans la main de sa soumise gagnante, l’épée de son adversaire miséreuse, ainsi que ses pinces grelots.
« Oui, Maîtresse ! »
Répondit Géraldine, en baissant les yeux, se retrouvant ainsi à la charge d’habiller son adversaire, qu’elle entraîna vers la maison avec déjà une petite idée pour satisfaire sa Maîtresse.
“ – Mmmpphh…S’i e’ plait, ‘E’aldine…Mmmpphh… ”
Supplia la pauvre Slutty, tandis Géraldine, qui prenait soin de l’essuyer et de la déchausser avant de l’introduire dans la maison .
Géraldine ne répondit pas à la supplique, attendant d’être seule avec Slutty dans la maison.
« Je ne vais pas risquer une punition pour tes beaux yeux, ma petite chérie ! et je vais devoir changer ses petits grelots de place !»
Répondit Géraldine, avec un petit sourire narquois, tout en la traînant dans leur chambre commune, et se mettant à secouer les lourds grelots qui pendaient aux mamelons de Slutty d’une main, montrant ceux qu’elle portait dans l’autre.
« – MMMMMMMPPHHH!! A’ETE, S’I E’ PLAI!! MMMMMMMPPHHH !!! «
Pleurnicha Slutty, sous la main de Géraldine qui s’amusait avec ses petites testicules annelés, comprenant où allait finir les pinces lestées des grelots.
Géraldine prit un armbinder de latex rouge qui prenait les épaules et le cou de la soumise, ainsi qu’une jupe longue horriblement étroite assortie, et qui était ouverte au niveau du clito et des fesses, pour faciliter l’accès à de viles perversions.
Sans retirer les entraves qui bloquaient les bras de Slutty, Géraldine lui enfila l’armbinder et le ferma par sa simple fermeture éclair, ce qui laissait un dégagement total au niveau des seins de Slutty.
« – MMMMMMMPPHHH!! NANNNN !!! A’ETE !!!MMMMMMMPPHHH !!! «
Ragea cette fois Slutty, en essayant de se débattre dans ses nouvelles entraves, en vain.
Sans un mot, Géraldine la poussa sur le lit , ne désirant pas perdre de temps avec la petite râleuse, et commençant de lui enfiler sa jupe longue au niveau des chevilles, tandis que Slutty se débâtait malgré la chaîne qui lui entravait les chevilles.
« Maîtresse a raison ! Avec toi, il faut employer les grands moyens ! »
Gronda Géraldine, en attachant une corde à l’extrémité de l’armbinder, et la passa dans une poulie au plafond. Puis , elle tira la corde, obligeant ainsi une Slutty enragée de se remettre debout, bloquant ensuite la corde pour la maintenir en position strappado .
« – MMMMMMMPPHHH!! ‘U’ ME LE PAIE’A !!!MMMMMMMPPHHH !!! «
Grogna Slutty, les yeux pleins de rage envers celle qu’elle croyait être son amie.
« Je n’ai rien contre toi, pauvre idiote ! Je protège la sensibilité de mes fesses c’est tout…Mais je vais joliment garnir les tiennes pour plaire à Maîtresse !»
Répondit Géraldine à l’agression verbale de son amie Slutty, en lui caressant un peu l’antre de ses fesses, et continuant de lui ajuster sa jupe longue, s’appliquant à lui passer son petit clito encagé et ses testicules annelées dans le trou prévu à cet effet.
Elle glissa un large plug gonflable et vibrant muni d’une courte pompe dans l’intimité de Slutty.
Elle prit ensuite un large gag-ball, et remplaça celui que portait Slutty avec une dextérité impressionnante pour une soumise, ne lui laissant aucune possibilité de sortir une seule protestation autre que ses râles de mécontentements, qui s’accentuèrent quand Géraldine lui gonfla le plug au maximum.
« Ton maquillage est une catastrophe ! Je ne vois qu’une solution ! »
Dit Géraldine, sous le regard noir de Slutty en prenant une cagoule de latex rouge sans bouche, où seul les yeux étaient équipés de plusieurs petits trous .
« – MMMMMMMPPHHH!! NANNNN !!!MMMMMMMPPHHH !!! «
Couina Slutty, impuissante sous la vile fourberie, dont faisait preuve sa compagne de soumission.
« Presque parfaite ! »
Dit Géraldine, en détachant Slutty de sa position strappado, lui enlaçant sa taille dans un épais corset de latex noir, qu’elle sera au maximum, avant de lui ajuster également un collier de maintien assorti au corset. Elle détacha ensuite avec douceur les pinces des mamelons sensibles de Slutty, en se mettant à les aspirer avec tendresse.
« – MMMMMMMPPHHH!! IHHHHHH !!NANNNN !!!AHHHHH !!!MMMMMMMPPHHH !!! «
Geignit Slutty, en se laissant aller à la caresse des lèvres de Géraldine, oubliant son clito comprimé et violet dans sa cage trop petite.
« Petits grelots quand tu nous tiens ! »
Rigola doucement Géraldine, en glissant sa main sur les testicules de sa compagne de jeu, y refermant les quatre pinces grelottantes dans un petit sourire, les tirant un peu pour les serrer.
“ – MMMMMMMPPHHH!! AAARRRGHHH !!! MMMMMMMPPHHH !!! »
Couina la pauvre Slutty, dans l’impossibilité de se soustraire à la morsure des pinces que Géraldine agitait par simple goût musical.
Géraldine prit ensuite un large plateau de service, qu’elle cercla à l’aide de la ceinture, dont il était pourvu autour de la taille corsetée de Slutty et elle le stabilisa à l’horizontal à l’aide des chaînettes reliées à des pinces, qu’elle fixa aux mamelons encore frais de leur dernière morsure, s’appliquant de vérifier avec passion la tension des chaînes.
“ – MMMMMMMPPHHH!! AAARRRGHHH !!! MMMMMMMPPHHH !!! »
Gémit la serveuse, enfin prête pour accompagner Géraldine en cuisine, qui avait décidé de préparer de quoi désaltérer les Maîtresses au bord de la piscine, voyant qu’il lui restait encore 10 bonnes minutes.
Géraldine fit trottiner Slutty jusqu’à la cuisine, qui gémissait à chacun de ses petits pas, à cause de l’étroitesse de sa jupe longue servant à elle seule d’entrave, et de sa vision réduite par sa cagoule de latex .
Arrivée dans la cuisine, Géraldine s’attela de préparer ce qu’elle avait prévu.
Elle ouvrit le congélateur, découvrant un gode de glace, que Maîtresse Sandra leur mettait souvent en glaçon pour les rafraîchir, mais elle vida de simples glaçons dans un bol qu’elle posa sur le plateau, en en prenant un entre ses doigts manucurés, pour se mettre à le faire glisser sur les seins de Slutty, en prenant bien soin de caresser les mamelons meurtris et étirés par les pinces qui retenaient le lourd plateau.
“ – MMMMMMMPPHHH!! NANNNN !!! MMMMMMMPPHHH !!! »
Geignit Slutty, tout en se laissant aller malgré elle sous la rafraîchissante caresse de Géraldine.
Celle-ci venait de prendre des glaçons dans sa bouche, et d’engouffrer le petit clito emprisonné de sa compagne de jeu, tandis que ses mains commençaient à caresser ses fesses avec le gode glaçon, comme si elle voulait se l’introduire dans son intimité.
« Un petit rafraîchissement est toujours le bienvenu ! »
Dit la voix de Ambre, en agitant un balai à frange dégoulinant d’eau glacé, sortant Géraldine de son rêve, sa bouche grande ouverte par le ring-gag sur le clito comprime de la pauvre Slutty, qui n’avait pu fermer l’œil de la nuit sous les incessantes vibrations de son gode .
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