Histoires de sexe arabes Histoires de sexe soeur Histoires érotiques au travail

Un coup de main de belle-maman…

Un coup de main de belle-maman…



salut,

J’ai envie de vous faire partager ce qui m’est arrivé le mois dernier… j’espère que cela vous amusera.
Je m’appelle Eric et j’ai 35 ans.
La semaine dernière ma femme Corinne est partie en déplacement professionnel pour trois jours ; je devais donc me retrouver seul avec les enfants à gérer pour la semaine. Pas de souci, je suis habitué, mais cette fois-ci, j’avais décidé de prendre une semaine de congés pour être plus dispo, bricoler un peu, buller…
A la veille de son départ, ma femme m’annonce qu’elle a eu sa mère au téléphone et qu’elle se propose de venir me donner un coup de main… Bon, autant l’avouer tout de suite, je n’était pas emballé mais alors pas du tout (officiellement) !! Il faut dire que ma belle mère, Gisèle (68 ans), est plutôt stricte (autant dans ses vêtements que dans ses idées) et fait marcher toute sa famille à la baguette !!
Je sais bien qu’elle ne m’apprécie guère et comme, en plus, je suis le seul à lui tenir un peu tête, ça fait parfois des étincelles… mais bon, c’est la belle famille, alors on reste poli et tout et tout…
Mais depuis que je la connais, j’ai envie de la baiser. Son air sévère, son côté cheftaine bourgeoise me donne envie de… plein de choses bien hard !
Et je crois que parfois, elle doit en avoir aussi envie : à plusieurs reprises, je suis allé prendre des culottes sales qu’elle laissait sur le bac à linge, plusieurs fois j’ai eu l’impression qu’elle me faisait un peu d’exhib… mais je me disais que j’hallucinais, sans doute parce que je suis un peu en manque de sexe (depuis la naissance des enfants, ma femme est un peu plus en retrait sur ce point).
Mais cet été, alors que j’était dans la piscine, Gisèle s’est approchée du bord, elle venait de se changer et ne portait rien sous sa serviette ; j’ai donc pu avoir une vue imprenable sur sa chatte, et ça, elle ne pouvait pas ne pas s’en douter… elle a fait semblant de ne pas voir que je me caressais discrètement pendant la discussion.

Voilà donc Gisèle qui vient passer trois jours à la maison… vous vous doutez bien que j’en bandais déjà d’avance ! Et je n’ai pas été déçu : jupe plus courte qu’à son habitude, décolleté un peu plus plongeant…
Le premier soir, tout s’est bien passé. Diner sympa, enfants couchés de bonne heure… Et ma belle mère part se coucher assez tot. En passant par la salle de bain, j’ai trouvé sa culotte dans notre bac de linge sale… et j’ai commencé à me branler en reniflant sa mouille. Et c’est à ce moment que j’ai entendu des petits gémissements étouffés qui venaient de la chambre… je me suis donc approché et j’ai vu qu’elle avait laissé la porte entr’ouverte, ce ne pouvait pas être un hasard !!
Je l’ai regardé se masturber, tout en reniflant sa culotte et en me branlant… et j’ai joui directement sur la culotte sale.
Je suis alors retourné sur le canapé du salon, repensant à Gisèle que je venais de voir sous un autre angle !! Dix minutes après, elle est allé prendre un verre d’eau… et comme par hasard, elle ne portait qu’une nuisette, très correcte, rien de provocant, mais je savais que c’était un peu pour m’allumer.

Le lendemain, lorsqu’elle s’est levé, les enfants étaient déjà partis et elle portait son horrbible peignoir de mémère… j’avoue que j’en était presque déçu, mais pas pour longtemps !
Au bout de quelques minutes, la ceinture du peignoir s’est « accidentellement » relachée et j’ai commencé à voir ce qu’il y avait en dessous… et je me suis bien rincé l’oeil, comme d’habitude !
La voir se dandiner, elle d’habitude si sérieuse et faussement coincée, a provoqué une érection du tonnerre ! Et vous vous doutez bien que dès qu’elle est partie à la salle de bain, je l’ai suivi discrètement. A travers la porte, je l’ai entendu, elle venait de trouver sa culotte maculée de sperme ; elle est sortie compètement nue de la salle de bain, car elle avait oublié (volontairement ?) sa serviette. Et son regard en disait long… elle avait compris.
Ce petit jeu de voyeur/exhib a duré toute la matinée et je n’en pouvais plus… j’avais a bite dure comme une barre ! Et puis, cette fois-ci j’en étais sûr, ce n’était pas mon imagination !

Comme je sais qu’elle ne tient pas trop l’alcool, je l’ai volontairement poussé à forcer un peu sur l’apéro et au bout de quelques verres, la voilà partie dans des confidences de plus en plus osées. Elle a donc fini par m’avouer que son mari ne la satisfaisait plus depuis bien longtemps, et ses allusions sont devenues plus directes :
« Même à mon age, j’ai encore besoin de sexe…
– Je comprends, on en a besoin à tout age…
– Et toi, ça va sur ce point avec Corinne ?
– C’est un peu gênant d’en parler quand même…
– Si tu dis cela, c’est que ça ne va pas fort, je me trompe ?
– Non, depuis qu’on a les enfants, Corinne est un peu paresseuse sur le sujet. C’est pas simple,
– Je te comprends, mais alors comment fais-tu ? »
Le côté si direct de sa question m’a un peu désarçonné, mais je ne voulais pas lui laisser le temps de s’imposer… je la voulais plus docile. Et j’ai osé répondre :
« Ben comme vous hier soir, tout seul ! »
Même si je l’ai vu rougir un peu, elle ne s’est pas démontée :
« C’est bien de temps en temps, mais il faut pas rester comme ça… »
Au fur et à mesure que notre discussion avançait, elle faisait remonter un peu sa jupe et écaartait un peu les jambes… une exhib dans les règles quoi !
« Mon mari n’était déjà pas vaillant avant, mais là, il ne me touche plus. Mais j’ai passé l’age d’avoir un amant qund même !
– Vous savez Gisèle, il n’y a pas vraiment d’age. Et puis, ce n’est plus comme avant, vous n’êtes pas obligée d’avoir un amant régulier, juste un petit coup de temps en temps, comme ça… (je ne pouvais pas croire que je venais de dire cela à ma belle-mère)
– A mon age, il faut pouvoir trouver !! Pour toi c’est facile…
– Ben non, pas du tout
-Est-ce qu’une femme de mon age pourrait être interessante ? »
La proposition n’était même plus déguisée.
-Avec ce que j’ai apperçu hier, je crois bien oui… »
Assise en face de moi, elle ne tentait même plus de cacher quoi que ce soit et avait maintenant les jambes bien ouverte, ce qui me laissait voir sa belle chatte mûre, poilue et apparemment bien trempée.
– Ouf… je crois que je suis pompette et que je dis n’importe quoi… ce ne serait pas…
J’ai décidé que la bourgeoise n’allait pas s’en tirer à si bon compte ! Je l’ai alors agrippé par le bras assez fermement et l’ai un peu poussé vers le canapé
« Vous m’allumez depuis ce matin et vous croyez que vous allez vous en sortir comme ça ?
– Mais, mais… si… non… tu crois… on n’en parlera à personne…
– On n’en reparlera plus jamais, ce sera notre petit secret. Maintenat montre tout ! »
Elle qui n’est pas habitué à se faire bousculer semblait presque aimer cela… je me suis donc dit que j’allais la jouer dominateur. elle se mit alors à soulever sa jupe pour me montrer sa belle chatte.

« Enlève la jupe et carresse toi ! »
J’ai donc eu droit à une belle séance de masturbation en règle, juste sous mes yeux ! Je me suis approché de sa chatte et j’ai commencé à la lécher. Elle avait l’air très surprise et m’a avoué que son mari ne faisait pas ça… Je l’ai fait jouir avec ma langue ce qui l’a laissé presque KO. Mais je n’en avait pas fini :
« Et maintenant à toi ! Tu vas me sucer un peu…
Je lui parlais volontairement comme à une cochonne de bas étage, car je savais qu’elle appréciait, sous ses airs de bourgeoise mal baisée, c’était sans doute cela qu’il lui manquait… un bon coup de queue !
Toujours assise sur le canapé, elle semblait reprendre un peu ses esprits quand j’ai baissé mon pantalon et lui ai collé ma queue sous le nez… tendue, durcie, presque douloureuse, elle frolait son visage. Mais elle semblait hésiter.
« Quel bel engin ! Elle est bien raide, ça fait si longtemps que j’en avais pas eu… »
Je lui ai donné quelques coups de bite sur le visage en lui demandant si elle avait changé d’avis.
Elle a donc commencé à me sucer, mais apparemment, ce n’était pas trop dans ses habitudes !
J’y suis donc allé de quelques conseils salaces et rien que de m’entendre lui parler ainsi, cela m’exitait encore plus. Petit à petit, elle s’est mis à faire des petits bruits de sussion bien cochons qui me montrait qu’elle appréciait tout particulièrement !
Forcément, je lui ai laché la purée en plein visage dès qu’elle s’est mise à accélerer un peu !

Je lui ai alors demandé d’aller se mettre dans la chambre et de m’attendre, le temps de fumer une cigarette…

Quand je suis allé dans la chambre, elle s’était déshabillé et avait passé des dessous coquins : bas, jarretelles et soutient gorge pigeonnant…
« Je savais que c’était prémédité… avec des dessous comme ceux-là, tu ne pourras pas dire que tu ne l’as pas cherché !
Elle m’a avoué s’être branlé dans les WC du train en venant, elle devait y penser depuis des jours !
J’ai commencé un nouveau cunni, mais cette fois, plus hard : j’avais pris soin de nettoyer une petite carotte, que je faisait entrer et sortir très doucement de son vagin, pendant que je léchais son gros clitoris… et là encore, elle à eu l’air d’apprécier.
Lorsque j’ai commencé à lui titiller un peu le petit trou, elle a eu l’air presque choquée, inquiête…
Je me suis alors mis à la baiser dans toutes les positions et elle est devenue de plus en plus chaude. Ses râles, que je croyais réservés aux actrices pornos sont montés, montés… jusqu’à ce qu’elle jouisse !
Mais je ne voulais pas en rester là : ma queue, bien huilée par sa chatte est venue pointer son petit trou :
« Non, pas là ! Trop gros !
Sans même écouter, je l’ai enculé doucement, puis de plus en plus fermement…
quand j’ai jouit dans son cul, elle semblait ne plus être là.
Je l’ai laissé comme ça, nue sur le lit et je suis allé prendre une douche et en partant, je lui ai dit :
« Pas de douche pour toi… Je te retrouve ce soir… »

Et ce soir là, je n’ai pas dormi sur le canapé…

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire