Episode 1 : Sauvetage sexuel.
Jeune étudiante de 18 ans, je croque la vie à pleines dents. Blonde (les cheveux mi-longs), les yeux marron-vert, 1m65 pour 56kg, je sais que mes formes généreuses attirent plus d’un regard. Je ne laisse aucun garçon indifférent et je dois bien reconnaitre que j’en joue parfois.
Mon nom est Emilie.
J’ai un copain depuis quelques temps et le sexe n’est pas pour moi un sujet inconnu. J’ai perdu ma virginité à l’âge de 15 ans et me suis rapidement découvert un penchant pour le plaisir. Ma curiosité m’a amenée à avoir de très nombreuses aventures que vous avez pu découvrir dans mes précédents récits.
L’histoire qui suit, se déroule au mois de Juin. Je viens tout juste de finir une année scolaire difficile et je sens que j’ai vraiment besoin de vacances. C’est donc sur un coup de tête que mon copain me propose de passer quelques jours dans le Sud de la France. Evidemment je m’empresse d’accepter, trop heureuse de changer d’air et de pouvoir souffler.
La famille de mon petit ami possède un bungalow sur un camping de Bandol, un lieu parfait pour nous, limitant nos dépenses sur nos maigres revenus d’étudiants ! En une demi-journée, les bagages sont bouclés et la voiture chargée.
Après quatre bonnes heures de route nous arrivons enfin à destination. Le soleil et la plage enfin à portée de main. Quel plaisir de sentir ce soleil bruler légèrement ma peau.
Nous avons rapidement investi le bungalow et mis une tenue plus confortable pour enfin fouler, pour la première fois de l’année, la plage. Enfin ce sentiment de liberté m’envahissait et je comptais bien profiter pleinement de ces jours de repos pour ratt****r le temps perdu avec mon mec.
Sauf que voilà, dès le lendemain de notre arrivée, il tombe malade. Rien de grave, une intoxication alimentaire qui le cloue au lit. Décidément ce séjour démarre plutôt mal. Ne souhaitant pas non plus rester enfermée dans le bungalow à le regarder dormir, ou faire la navette entre les toilettes et la petite chambre, je pris à nouveau le chemin de la plage, seule cette fois.
Arrivée sur la plage presque déserte, je respire un bon coup l’air marin, étale ma serviette et commence à hotter mes vêtements. En enlevant mon T-shirt, je sens déjà les regards se poser sur moi. Je souris intérieurement, forcément flattée, tout en continuant de me déshabiller, retirant maintenant mon mini short et finir de m’installer tranquillement sur ma serviette.
Allongée sur le ventre, mon regard balaye la plage. Pas grand monde, des petits couples d’anciens profitant pleinement de la retraite et des familles avec enfants. Mais mon regard accroche alors celui d’un jeune homme. Et pas n’importe lequel. Le maître-nageur.
Il me dévore littéralement des yeux. Je crois que si quelqu’un avait dû se noyer à ce moment-là, il n’aurait pu compter que sur l’aide divine pour espérer être sauvé !
Et ce regard insistant me trouble profondément. Je détourne les yeux et sors un roman de mon sac.
Je finis tout de même, 10 minutes plus tard, par jeter un second coup œil discret au jeune homme.
Celui-ci semble s’être reconcentré sur sa mission première du haut de son perchoir.
Je ne le vois que de dos mais je devine une peau bronzée et une musculature développée. Je me prends à regretter de ne pas pouvoir le voir de face. C’est là qu’il se met à bouger, comme s’il avait entendu mes pensées.
Il descend de sa haute chaise pour longer la plage et offre ainsi, à mon regard, une vue plus qu’agréable ! Un beau mec brun à la barbe naissante, un corps mince et musclé avec juste ce qu’il faut d’abdos.
Pas un seul poil ne vient gâcher les courbes de ce corps parfait. Son petit short rouge lui va à la perfection, moulant un fessier magnifique. Oh oui, un véritable fantasme ambulant.
Je rougis alors comme une tomate, tout excitée par la vision de cet apollon. Je regarde alors la mer essayant de penser à autre chose et faire disparaitre ces idées cochonnes naissantes qui tournent subitement dans ma tête.
Je crois que le manque de sexe est en train de me monter au cerveau ! Il s’éloigne toujours un peu plus, les yeux rivés sur cette immense étendue d’eau. Je décide alors d’aller me rafraichir, histoire de refroidir mon corps en ébullition. Un peu de natation rien de tel pour dépenser mon trop plein d’énergie !
Après 20 minutes de plaisirs nautiques dans cette eau à la température idéale, je retourne sur la plage, mon beau secouriste ayant disparu de mon radar. Je sors mes lunettes de soleil de mon sac.
Je m’essuie consciencieusement le corps, étale ma serviette sur le sable chaud et att**** ma crème solaire. Lentement, j’applique cette substance protectrice sur ma peau, insistant sur le haut de mes seins et sur mes jambes jusqu’au haut de mes cuisses.
Soudain une voix vient briser la douce musique des vagues finissant leur course folle sur le sable :
– Salut
Je lève alors les yeux, toujours cachés derrière mes lunettes noires. Le beau maître-nageur est planté là devant moi, tous muscles dehors, un sourire malicieux accroché au visage. Je le salue à mon tour. Quelques secondes de silence s’écoulent, qui me semblent durer une éternité, lui, toujours ce sourire pendu aux coins des lèvres.
– Un problème ? dis-je alors bêtement pour meubler ce silence.
– Aucun, je vous ai vu arriver tout à l’heure. On peut dire que vous ne passez pas inaperçue. Vous êtes sublime ! Je peux peut-être vous aider pour le dos, désignant d’un mouvement de tête ma crème solaire toujours dans ma main.
Je reste bouche-bée devant un tel aplomb.
Sans se décourager il s’agenouille à ma hauteur attrapant délicatement le tube au creux de ma main.
– On peut peut-être se tutoyer ! Moi c’est Mickael, mais tu peux m’appeler Mick.
Il passe dans mon dos alors que je bredouille un oui furtif. Moi qui d’habitude ne me laisse pas impressionner, me voilà en train de perdre complétement le contrôle de la situation.
Je sens alors ses mains, enduites de protection solaire, me masser sensuellement les épaules.
– Tu t’appelles comment ?
– Euh Emilie.
Ma gêne est au maximum. Un véritable comble pour moi !
– T’es en vacances dans le coin ? Moi je suis là pour tout l’été, un contrat saisonnier, tu vois le truc ?
Ses mains douces et expertes continuent de parcourir mon corps avec habileté, me poussant à me détendre presque malgré moi.
Je perçois son souffle chaud dans mon cou, il se penche à mon oreille pour murmurer d’une voix suave :
– Tu as des seins magnifiques. Si je ne me retenais pas…
Hypnotisée par ses paroles et ses gestes, j’esquisse un sourire. Séduite et excitée par ce franc-parler. Je finis tout de même par lui répondre, bien décidée cette fois à prendre les devants et entrer dans son jeu de séduction, consciente que la suite ne sera pas de prendre un simple verre à la terrasse d’un café.
– Alors Mick, tu finis ton service à quelle heure ?
– Il est déjà fini ma belle. Aimerais-tu visiter le poste de secours, avant que je le ferme ?
– Visiter ? Vraiment ? dis-je en prenant ma voix la plus chaude possible.
Je sens nettement un frisson le parcourir. Un point pour moi. Excitation à égalité. Balle au centre.
Je sais maintenant ce que je veux, je sais ce qu’il veut, j’enfonce le clou pour prendre l’avantage :
– J’espère que l’endroit est désert, car j’ai des idées bien plus intéressantes qu’une simple visite.
Il se lève alors, presque bondissant comme un ressort, m’aidant à rassembler mes affaires, comme s’il avait peur que je change d’avis. C’est bien mal me connaitre. Et à la vue de cette légère bosse naissante dans son petit short rouge, je devine clairement son empressement.
Autant vous dire tout de suite, à ce moment précis, j’en oublie complétement mon copain, mes vacances. Seule bout en moi l’envie de ce mec. Je ne vois que lui. Tout du moins, je ne vois qu’un prétexte pour assouvir une envie folle. Et si ce prétexte n’est autre que le fantasme absolu masculin, alors je fonce, sans retenue, déjà tout émoustillée et brulante de désir.
Je ne vais pas plus loin dans ma réflexion, je finis de ramasser mes affaires, lui en homme galant, me porte mon sac. Je ne prends même pas le temps de me rhabiller. Mes fringues sous le bras, je suis Mick, traversant la plage, jusqu’au cabanon servant de poste de secours. Il me laisse franchir le seuil du poste, avant de refermer la porte dans mon dos. Il se tourne, me regarde, ses yeux me dévorent littéralement. Il sourit :
– Toi, je sens que tu es une petite coquine.
– Tu n’as pas idée, me suis-je alors mise à penser !
Et sans lui laisser le temps de réagir je me colle à lui, l’embrassant avec une fougue intense, nos corps brulants seulement séparés par le simple tissu de mon maillot. Ma main se pose enfin sur ce torse tant convoité. Du bout des doigts je pars à la découverte de ce corps, dessinant les contours de ses abdos, sentant sa peau chaude comme le sable, m’enivrant de son odeur aux épices solaires. Lentement mes doigts glissent jusqu’à l’élastique de son short, que j’écarte suffisamment pour laisser mon autre main s’engouffrer et se plaquer contre la bosse, déjà bien gonflée, de son boxer.
Nos langues se mélangent, se disputent fiévreusement. Il baisse doucement son short à mi-cuisse, comme une invitation à approfondir mes caresses sur cette proéminence grandissante, enfermée dans ce freegun aux couleurs vives.
Il gémit de plaisir, me regardant dans les yeux :
– J’ai envie de sentir tes lèvres sur ma queue.
Sans mot, je me mets à genoux, laissant mon corps glisser contre le sien. Je commence à embrasser sa bite à travers son boxer. Sa main puissante empoigne l’arrière de ma tête pour me coller les lèvres contre sa bosse. Je fais glisser le tissu le long de ses cuisses et découvre une queue de très bonne taille qui me saute au visage.
Un gland assez gros, à l’allure de champignon, qui surmonte un très beau jouet de 20 cm. Et moi, très joueuse, je m’empresse de la sucer. Que dis-je de la dévorer ! Ma petite chatte est en effervescence dans mon petit maillot de bain.
Ma langue s’active sur son gland, dégustant cette bite comme une glace. Et, tout en la branlant, je la fais glisser entre mes lèvres et commence à le pomper comme une folle. Bien déterminée à le rendre fou d’appétit pour moi. Il se penche alors pour dégrafer mon haut de maillot et faire glisser les bretelles pour dévoiler mes sublimes seins. Ma chatte de plus en plus humide, ses caresses appuyées sur mes courbes, titillant au passage mes petits tétons, me rendent complétement hystérique de sexe. J’enfonce cette bite, longue et dure, encore plus profond dans ma bouche.
– Ah oui putain tu suces bien !
Je sens ses mains dans mes cheveux me poussant sur sa queue :
– Tiens, bouffe-la, ma teub !
Mick donne des coups de reins, me baisant la bouche sans retenue.
J’avais libéré la bête qui sommeillait en lui.
– Suce, salope, oui vas-y suce bien ma queue !!
Plus aucune limite, cette petite cabane de plage allait devenir le témoin de nos ébats fiévreux et déchainés. Ces mots cochons me donnant des frissons dans tout le corps, je ne peux résister à l’envie de glisser ma main dans mon maillot pour atteindre mon clito.
– Je savais que t’étais une vraie cochonne toi !
J’accélère ma pipe, le branle fortement entre mes lèvres, son sexe s’enfonçant toujours plus loin.
Soudain il se lève, abandonnant mes lèvres, sa queue raide et droite. Il me pousse contre la petite table d’examen, relève le panneau dossier, pour que je sois plus à l’aise. Il fait remonter mes jambes sur cette table puis se place tout au bout. Excité comme un diable, ses gestes fougueux, il m’arrache mon bas de maillot, m’écarte les cuisses pour fondre littéralement sur ma chatte.
Oh oui, quel plaisir d’être prise en de si bonnes mains, de sentir cette langue dévorer mon intimité, de percevoir cet état de folie furieuse qui l’anime de tout son être. Quelle extase d’être soumise à sa sauvagerie et son envie de donner et recevoir du plaisir.
Je goute à sa langue sur ma chatte trempée. Ses doigts rejoignent le ballet de sa langue sur ma friandise, m’offrant une chorégraphie jouissive. Il se plait à me faire gémir, introduisant ses doigts toujours plus loin en moi, jouant avec mon clito gorgé de désir.
– Hummm, salope, t’es bien mouillée.
Il fouille mon intimité, je me caresse les seins me tortillant de plaisir sur cette table. Il me rend complètement folle. Folle de sexe.
Ses lèvres remontent sur mon corps brulant, jusqu’à mes seins qu’il dévore comme une bête sauvage, sa langue continue sa course dans mon cou jusqu’au lobe de mon oreille où il me murmure :
– Je vais te baiser comme une bonne cochonne que tu es ! T’en a envie ?
– Oooh oui, baise-moi !
Il me fait pivoter, mes jambes dans le vide, assise sur le bord de cette table au revêtement en vinyle. Il frotte sa queue à l’entrée de ma chatte, caressant du bout du gland mes lèvres et mon clito.
Le vice nous a totalement envahis. Nous sommes sur la même longueur d’onde, la pièce chargée en vibrations érotiques bestiales.
– Dis-le que tu en as envie !
– Oui je veux ta queue, défonce ma petite chatte ! dis-je, l’implorant de calmer cette faim de désir charnel qui monte en moi.
C’est alors une véritable décharge électrique que je prends lorsqu’il m’enfonce sa bite d’un coup sec. Je hurle éperdument de bonheur. Ses va-et-vient dans ma chatte sont puissants. Mes cris résonnent dans ce petit espace.
– Tiens, prends-ça petite cochonne !
Il m’agrippe les hanches, accélérant le rythme, ne me laissant aucun répit. Il prend visiblement beaucoup de plaisir à me soumettre à sa bite.
-Tu la kiffes ma bonne bite, hein Emilie ? Dis-le, petite allumeuse !
– Oh oui j’adore ta grosse bite Mick ! Baise-moi plus fort !
Je suis en transe, des gouttes de sueur perlent sur nos corps possédés par le démon du vice.
Il se retire subitement, m’invite à descendre de la table, puis sans ménagement me retourne pour me plaquer contre l’autel. Mon ventre plaqué sur le revêtement en vinyle, je me retrouve, les fesses à l’air, offerte en sacrifice à mon beau maître-nageur. Il me met quelques petites fessées et replonge sa queue dans mon antre étroit.
Il me prend ainsi, ses mains agrippant mes hanches fermement, me possédant au plus profond. Ma mouille coule le long de sa queue, je pousse des cris de plaisir. Ses coups de reins toujours plus brutaux me secouent dans tous les sens, me collant encore plus contre cette table. Il me prend comme ça en levrette, l’une de ses mains cherche alors ma poitrine, pour me caresser fougueusement, me pilonnent sans ménagement.
– Tu es une superbe petite cochonne, c’est le pied ma belle !
Et moi je ne fais que haleter, hurler tellement mon plaisir est grand. Je prends un pied d’enfer à me faire démonter de cette façon par un si bel inconnu. Je caresse ma chatte en même temps que celle-ci est envahie par son superbe jouet et j’effleure ses boules à chaque passage.
Mon orgasme explose. Tout mon corps tremble d’excitation. Je suis parcourue de spasmes incontrôlables alors qu’il continue inlassablement de me prendre. Il finit par me laisser reprendre ma respiration, en ralentissant les coups de bite. Je l’entends respirer très fort, essoufflé par cette séance sportive. Il continue de jouer avec mes seins.
-Mais qu’est-ce-que t’es bonne toi, putain ! Quelle paire de seins !
Mick me retourne alors et glisse son énorme tige entre mes seins.
– Ah putain j’en rêvais, je vais t’en mettre de partout cochonne.
Il se branle furieusement entre mes seins, comme s’il voulait aussi me les baisser. Il me regarde droit dans les yeux. Je soutiens son regard, passant ma langue sur mes lèvres.
– T’es super bandante toi, une bonne chienne.
Il ferme les yeux, se met à gémir plus fort, tous les muscles de son corps se contractent et soudain je reçois deux giclées de sperme sur le visage et les seins.
Il continue de se branler, tapotant son sexe sur ma poitrine.
Il s’écroule sur la table à côté de moi, tentant à son tour de reprendre ses esprits. Nous sommes tous les deux allongés, presque l’un sur l’autre, couverts de sueur.
Mick me contemple. Son regard a changé, beaucoup plus tendre.
– Je suis désolé pour ton maillot de bain.
Je regarde le sol, mon bas de maillot est, effectivement, foutu, les lanières n’ayant pas survécu aux doigts de Mickaël. Je souris :
– Heureusement que j’ai mon mini short. J’aurais eu l’air maline pour revenir jusqu’au camping !
Il explose de rire, puis m’embrasse langoureusement.
Gentiment il m’aide à me relever. Il me propose une boisson fraiche. Me propose d’utiliser sa douche que j’accepte bien volontiers. Bref, nous parlons pendant une bonne heure. Comme si nous nous étions connus depuis toujours. Comme deux vieux amis. Je lui avoue que je suis en couple. Il ne me juge pas malgré le plaisir coupable que je ressens. Il me promet qu’il gardera cette rencontre pour lui. Mick me propose de me raccompagner, je refuse poliment.
Je quitte mon bel inconnu. Ce brin ténébreux avec qui je viens de partager ce moment si intime et sauvage.
Je prends alors le chemin du camping, sors mon paquet de cigarettes et allume une clope. Un dernier regard en arrière. Au loin Mick semble m’accompagner du regard.
Rencontre étrange, surprenante, inimaginable. La fumée s’échappe de ma bouche pour disparaitre dans l’air. Au loin Mickaël, lui aussi, s’est évaporé. Comme un mirage. Ou peut-être un rêve…
(Je tiens à remercier Charlie pour la correction des fautes qu’il a apporté à ce texte. Bisous à toi et merci pour TOUT).
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