Mademoiselle Amandine – Première Partie
Voilà à peu près un an jour pour jour que j’ai posté le premier chapitre de cette histoire sur ce site pour la partager avec vous.
Un an, c’est quelques déceptions devant le nombre de vues qui ne décolle pas, les pouces rouge sans commentaires et le fait de ne pas pouvoir écrire aussi vite que je pense… Mais c’est aussi et surtout des pouces verts avec des commentaires encourageants, des belles discussions qui me font découvrir un peu plus le milieu du BDSM.
Alors pour cet anniversaire, j’aimerais que vous vous jetiez sur les pouces a la fin de votre lecture :
– Un pouce rouge si elle ne vous a pas plu (je ne vous en voudrais pas, promis), mais avec un commentaire ou un MP qui me dit pourquoi vous n’avez pas aimé s’il vous plait, comme ça je pourrais prendre votre avis en compte pour le prochain chapitre.
– pour un pouce vert si elle vous a plu, et pour encourager les curieux à la lire (parce qu’on préfère toujours lire une histoire bien notée). Un commentaire encourageant est bien évidemment plus qu’apprécié 🙂
Bonne lecture !
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Contrairement à ce que je leur avais fait miroiter pendant notre première leçon, je n’ai pas laissé Amandine s’occuper de Câline. Elles étaient toutes les deux très déçues, mais Amandine ne relâchait pas pour autant son attention sur les leçons suivantes, et Câline conservait l’espoir qu’un jour je lui offrirais une femme.
Amandine apprenait très vite les bases de la domination, et elle donnait fréquemment des ordres à Câline en ma présence, laquelle obéissait prestement, comme si c’était moi qui la commandait. L’une et l’autre mourraient d’envie de franchir le stade suivant : Amandine de passer à la pratique avec une esclave rien que pour elle, et Câline pour sa première fois avec une autre fille.
Vers cette période-là, mon patron m’a demandé de participer à un congrès de ma profession aux US, qui me bloquerait bien une semaine : j’y ai vu la parfaite occasion pour satisfaire mes deux chéries. Et je ne pouvais pas les laisser seules toutes les deux une semaine en leur interdisant de faire quoi que ce soit, la contrainte aurait été trop dure.
Je leur ai donc annoncé mon voyage d’une semaine le soir suivant pendant le repas. Elles m’ont toutes les deux regardé d’un air attristé, mais j’y devinais une petite étincelle de malice. J’ai dû les décevoir, car je ne leur ai rien annoncé ce soir-là concernant mes projets pour elles. Ni celui d’après… En fait, je les ai fait attendre jusqu’au matin de mon départ pour leur donner quartier libre, d’une manière on ne peut plus claire.
« – Je dois y aller mes amours… Une semaine c’est long, mais ne soyez pas sages en m’attendant… Je vous téléphonerai dans quelques jours »
Je les ai embrassées toutes les deux, les laissant plantées là, en se demandant si elles avaient bien entendu ce qu’elles pensaient avoir entendu.
« Surtout ne soyez pas sages…
Si je ne connaissais pas aussi bien Maitre, j’aurais pu croire à un lapsus, mais il avait l’air de nous avoir délibérément autorisées à franchir le dernier pas, mademoiselle Amandine et moi. Mais aucune de nous n’a soufflé de mot avant qu’il ne parte, de peur qu’il ne se rende compte de son erreur et maintienne son interdiction.
Une semaine seule avec elle, sans Maitre pour s’occuper de moi, ça aurait été trop dur…
Je n’avais jamais eu l’occasion de faire l’amour avec une autre femme, ni même, je l’avoue vraiment vu une autre femme nue. J’avais aperçu les formes de mademoiselle Amandine pendant ses ébats avec Maitre, regardé des films, mais jamais je n’avais pu soupeser de seins, sentir de sexe, caressé de longs cheveux. Et elle représentait tout mon idéal féminin…
Mes standards de beauté féminine avaient évolué au contact de Maitre. Comme toute jeune fille, j’avais été influencée par les mannequins superbes, à la taille svelte aux jambes interminables, aux stars du showbiz avec leur visage d’ange et leurs poitrines opulentes…tout ce que je n’avais pas en somme. Mais quand j’ai vu que Maitre m’aimait nature telle que j’étais, mon point de vue sur le corps féminin avait changé.
Ce que je connaissais du corps de mademoiselle Amandine, je le trouvais parfait ! Elle nous avait confié faire pas mal de sport, notamment de la course à pied, ce qui lui avait forgé des jambes –et des fesses, superbes. Elle avait aussi un très beau visage : plus je l’observais, plus je comprenais pourquoi Maitre l’aimait, et plus je rêvais de notre première fois. Mais ce qui m’attirait le plus chez elle, c’était ses seins.
Comment dire…ni trop gros, ni trop petit ? Je n’étais pas vraiment capable de reconnaitre une taille de poitrine au premier coup d’œil et –malheureusement, je n’avais pas encore pu aller m’en rendre compte par moi-même. Tout ce que je savais, c’est qu’ils tenaient admirablement bien dans les mains de Maitre, un peu plus larges que les mienne.
Bref, j’attendais avec impatience que mademoiselle Amandine me demande de lui donner du plaisir.
Et j’ai attendu…
Un jour…
Deux jours…
Je voyais mademoiselle Amandine la journée à la fac, mais elle ne semblait pas me porter la moindre attention ! Je la saluais, et –polie, elle me répondait, mais sans plus. Plus le temps passait, et plus je désespérais : je me demandais si elle avait compris le sens caché des mots de Maitre.
Le troisième jour, j’ai aperçu une lueur d’espoir qui s’est muée en cruelle désillusion… J’étais chez Maitre pour entretenir son appartement –je ne l’avais pas fait depuis son départ, et mademoiselle Amandine était avec moi « pour me tenir compagnie, parce que toute seule je devais m’ennuyer ». J’ai eu beau lui faire les yeux doux, être aux petits soins pour elle, roulée en boule sur le canapé à ses côtés, rien… Et je n’ai pas su si elle le faisait exprès, mais non seulement elle est restée dormir chez Maitre, mais en plus elle a passé son pyjama devant moi.
L’espace d’un instant, quelques petites secondes –plus qu’il n’en faut pour enfiler un pyjama, en fait… j’ai vu son corps nu a moins d’un mètre de moi. Elle me faisait face, le visage caché en train d’enfiler son haut, puis les yeux baissés pour défaire sa ceinture et enlever sa culotte. De près, ses seins et son sexe semblaient encore plus parfaits. J’ai vite détourné les yeux quand elle m’a regardée, mais elle a remarqué mon petit jeu. Elle s’est contentée de sourire. Pas de remarque, pas de provocation…pas d’ouverture.
Je me suis donc résignée au fait que mademoiselle Amandine ne profiterait pas de l’absence de Maitre et de Son feu vert pour se rapprocher de moi et mettre en application ce qu’Il s’était efforcé de lui apprendre, pour être prête le moment où une occasion se montrerait…
A la fac ce jour-là, j’ai reçu un sms très étrange venant d’elle : « tes instructions sont dans la chambre de ton Maitre ». Je ne savais pas de quoi elle parlait, mais je n’ai pas osé lui renvoyer de message pour lui demander des explications. L’espoir d’une première fois est revenu, et j’ai pris mon mal en patience en attendant la fin des cours et le moment où je rentrerai chez Maitre.
Même en perspective d’une séance avec Lui, je ne suis jamais allée aussi vite de la fac à chez Maitre. En arrivant, j’en étais presque essoufflée. Je me suis déshabillée dans le couloir d’entrée, plié mes affaires dans un coin, puis je me suis dirigée vers la chambre et les instructions mystère…
Sur le lit de Maitre, quatre paires de menottes, et une simple lettre : « quand tu m’entends rentrer, attache toi et attends-moi ». Ca y est ! Cette fois c’était la bonne ! J’étais tellement pressée que je n’ai pas pu m’empêcher d’attacher un bout de chaque menotte au lit. Je me suis couchée dessus, ouvert bras et jambes comme si je m’attachais, et j’ai réalisé à quel point je serai exposée et sans défense dans cette position. Mademoiselle Amandine pourrait me faire n’importe quoi sans que je ne puisse rien faire.
Et j’en demanderai plus !
J’étais tellement excitée que j’ai dû me caresser pour faire tomber la pression. Si je ne m’étais pas soulagée, j’aurais pu jouir rien qu’en voyant mademoiselle Amandine. Mais malheureusement, je n’avais pas la permission de Maitre ni la sienne pour me donner du plaisir. Cruel dilemme : si je ne me caressais pas, je jouirai trop tôt et je décevrai mademoiselle Amandine qui arriverait, mais si je le faisais, je désobéissais à Maitre…
Pour me sentir moins coupable de mon petit plaisir solitaire défendu, je me suis mise à quatre pattes dos à la fenêtre pour le faire. Je me suis enfoncée deux doigts dans cette position, fesses en l’air et tête dans le tapis, en pensant au voisin d’en face qui pouvait tout voir. Dans mon rêve, il viendrait frapper à la porte de Maitre quand Il serait rentré et me dénoncer pour m’être caressée.
Comme récompense pour lui et punition pour moi, Il le laisserait me demander quoi que ce soit, et le voisin voyeur demanderait à ce que je le suce. Maitre et mademoiselle Amandine regarderaient ma punition, puis le voisin irait éjaculer sur la fenêtre. Il partirait, et je devrais attendre qu’il soit rentré chez lui pour lécher son sperme qui coulait sur la vitre. Lui, bien évidemment, me regarderait depuis la sienne.
J’ai joui en pensant à une telle humiliation…
Je me suis remise de mes émotions, puis l’heure d’arrivée de mademoiselle Amandine s’est faite proche… Je suis allée bien sagement dans la chambre de Maitre, et je n’ai pas eu à l’attendre bien longtemps. Dès que j’ai entendu ses clefs tourner dans la serrure, Je me suis allongée sur le lit et j’ai passé les menottes. D’abord celles des chevilles, puis un poignet, puis l’autre. La dernière ‘était pas facile, mais j’y suis arrivée avant que mademoiselle amandine ne rentre dans la chambre.
D’ailleurs j’aurais très bien pu mettre plus de temps, elle n’avait pas l’air pressée. Je l’ai aperçue par la porte de la chambre passer dans le salon, une tasse de thé à la main, puis j’ai entendu la télévision s’allumer. J’ai eu envie de l’appeler, de lui crier que j’étais prête… Mais j’avais attendu quatre jours, je pouvais bien attendre quelques minutes de plus.
Finalement, je l’ai revue dans l’embrasure de la porte, et cette fois elle est venue vers moi, marchant d’un pas déterminé, un petit sac en papier à la main. Comme pour mieux l’attirer à moi, j’ai essayé d’ouvrir mes jambes encore plus qu’elles ne l’étaient, et elle a souri.
Elle est entrée dans la chambre, a éteint la lumière, et a fermé la porte pour nous plonger dans le noir le plus complet. Je ne voyais plus rien, pas même mes pieds, et encore moins elle. Mais j’entendais… ma respiration, la sienne… Un objet qu’on lâche par terre, probablement le sac. Puis un bruit de tissu qui tombe. Etait-ce ses vêtements ? Mademoiselle Amandine était nue, dans la même pièce que moi, sans que je ne puisse la voir. Elle avait vraiment choisi de me faire languir…
J’ai entendu de nouveaux frôlements, puis un craquement. Dans le noir d’encre de la chambre, j’ai vu la flamme d’une allumette éclairer une bougie, puis une autre… Une lumière tamisée revenait dans la pièce, et j’ai enfin pu observer à loisir mademoiselle amandine. Contrairement à ce que je souhaitais, elle n’était pas nue. Mais elle n’était pas habillée non plus… Elle portait un de ces ensembles de lingerie qu’elle avait décrit à Maitre en disant qu’ils rendaient le corps d’une femme encore plus désirable que s’il était nu. Je réalisais à ce moment à quel point elle avait raison.
Ses jambes étaient recouvertes de bas noirs qui contrastaient avec sa peau plutôt claire… Ils étaient tenus à sa taille par des jarretelles qui les maintenaient en position. Au-dessus, sa poitrine était magnifiée par un bustier qui poussait ses seins vers le haut. En véritable femme fatale, elle portait aussi une paire de gants noirs qui lui montaient jusqu’au coude. Finalement, seule sa culotte restait une pièce de lingerie classique… Enfin classique, relativement : je n’avais jamais vu de dentelle aussi fine sur une culotte de toute ma vie.
Au final, elle a éparpillé une dizaine de bougies odorantes dans toute la chambre, ce qui ramenait une lumière a peu près normale. Son ombre dansait sur tous les murs, et j’ai rêvé qu’elles en descendaient toutes, pour que cinq mademoiselles Amandine s’occupent de moi… Mais une seule dépassait déjà mes rêves les plus fous !
Elle a grimpé sur le lit, toujours sans un mot, puis s’est installée à califourchon sur moi. J’ai senti ses fesses se poser sur mon ventre, s’asseyant confortablement sur moi. Elle s’est stabilisée en me tenant par-dessous les bras, puis pendant ce qui m’a semblé durer une éternité, elle m’a regardée la regarder.
-Enfin…
Ses caresses se sont faites plus intimes, plus douces… Ses mains se rapprochaient de mes seins sans jamais les toucher, et pourtant c’était comme si je sentais ses doigts frotter contre mes tétons durs comme des rocs. J’ai voulu parler, je ne pouvais pas… J’avais beau bouger les lèvres et souffler, aucun son ne sortait de ma bouche. Mademoiselle me regardait bégayer, l’air amusé, puis a mis fin à mes vaines tentatives en passant sensuellement un de ses doigts sur mes lèvres.
– Comme ça tu sais pourquoi tu ne peux pas parler !
– Je vous trouve si belle mademoiselle Amandine…je…
– Aaaaah, c’était donc ça…
J’ai voulu répondre, mais à nouveau je suis redevenue muette. Elle s’est penchée sur moi, pour mettre son visage a quelques centimètres du mien. J’inhalais son odeur à pleine narines pour m’en imprégner les poumons pendant qu’elle me regardait fixement. Mais j’avais du mal à respirer, j’avais l’impression de suffoquer.
-Puisque tu ne sais pas parler, voyons si tu sais faire quelque chose de ta bouche…
Sa bouche a rencontré la mienne, et elle a commencé à m’embrasser. J’étais tétanisée, mais je suis arrivée à répondre à son baiser. Elle m’a grignoté les lèvres du bout des dents pendant que j’essayais de glisser ma langue dans sa bouche. Quand j’y suis finalement arrivée, elle s’est contentée de la suçoter tranquillement en frottant son nez contre le mien. Les battements de mon cœur continuaient d’accélérer, et j’ai cru qu’ils n’allaient jamais ralentir. Le voulais-je ? Il aurait pu s’arrêter à ce même moment, la fin aurait été parfaite ! Mais je voulais continuer de jouer avec elle, ou plutôt qu’elle joue avec moi…
Quand elle s’est retirée, elle m’a simplement souri
– C’est mieux que ce que je ne pensais… C’est de très bon augure pour tout à l’heure, même !
– Merci mademoiselle Amandine !
– De rien ! Je pense que je vais beaucoup m’amuser avec toi !
– Ooooh
Elle s’est couchée sur moi, m’écrasant de son poids plume, et a glissé son visage dans mon cou pour me dévorer l’oreille de baisers.
– Tu es mon jouet…
– Oui mademoiselle Amandine
– Et je vais jouer avec toi…jouer avec chacune des parties de ton corps
– il est à vous en entier…
– me servir du moindre centimètre carré de ta peau pour prendre du plaisir
– rien que pour vous…
Sa respiration se faisait de plus en plus forte à elle aussi… Elle était dans un état d’excitation, je ne l’avais jamais vue comme ça, pas même avec Maitre pendant leurs ébats amoureux. Ses mains sont remontées le long de mes bras pour aller serrer les mienne énergiquement.
-Tu me regarderas jouir, et tu me supplieras de continuer à t’utiliser… Tu seras couverte de mon odeur de la tête aux pieds, tu ne sentiras plus que ça, et tu pleureras pour que je te laisse me gouter, mais je n’utiliserai pas ta jolie petite frimousse pour me donner du plaisir.
– votre jouissance sera ma jouissance
– Tu es bien dressée ma petite chienne
– Je ferai tout ce que vous me demanderez…
– Je sais
– …et même plus !
– je m’en doute…
Elle s’est remise à califourchon sur moi, et a attrapé mes tétons entre ses doigts. Elle les a serrés puis tourné, et je n’ai pas pu m’empêcher de pousser un petit cri de douleur. Sans s’arrêter de les pincer, elle a continué à me parler.
-Je te préfère muette en fait… tu montres beaucoup plus ce que tu ressens sur ton visage… Avec quoi vais-je pouvoir te bâillonner ? Oh je sais…
Son ton et son sourire me laissaient penser qu’elle le savait depuis le début. Elle s’est assise sur mon ventre et a posé un pied de chaque côté de ma tête. En regardant vers elle, je voyais ses jambes écartées, son sexe à peine caché par sa jolie culotte en dentelle. J’ai relevé la tête pour mieux voir, mais sa réaction a été immédiate…
– Tatatata, on garde la tête posée sur cet oreiller Câline…
– D’accord mademoiselle Amandine.
– Si je te vois soulever ta tête, je m’en vais… Je te le dis et je le pense : tu lèves ta tête pour me regarder, je pars et je te laisse plantée là à te demander pourquoi tu m’as désobéi, c’est compris ?
Je savais qu’elle en était capable. L’idée de tout ruiner alors que la nuit semblait aussi bien commencer m’a parue insupportable et je me suis juré de ne pas décoller ma tête malgré toute la peine que j’y aurais.
– C’est compris mademoiselle Amandine…
– Parfait !
Je l’ai sentie bouger sur mon ventre, et le tissu de sa culotte a frotté ma peau quand elle l’enlevait. Elle était fesses nues sur moi, et dans cette position je devais même pouvoir sentir ses lèvres sur ma peau. Je cherchais à discerner les sensations mais sans succès. Je ne pouvais qu’imaginer son sexe ruisselant, son jus qui dégoulinait de sa grotte, qui s’accumulait dans mon nombril pour former un petit lac de nectar, déborder, couler le long de mon ventre et me recouvrir…
Elle est revenue à ma hauteur, tenant sa culotte au-dessus de mon visage d’un simple doigt tendu. De l’autre main, elle a claqué des doigts, et instinctivement j’ai ouvert la bouche, tel que Maitre me l’avait enseigné en entendant ce signal. Mademoiselle Amandine ne semblait attendre que ça, et elle a fait tomber son sous vêtement dans ma bouche grande ouverte.
– Prends la tout entière… mange la, avale la !!!
– Mhoui hademoihelle Ahandihe
– chhhhhh
Sa culotte avait un gout divin… un régal… Mais de quoi s’agissait-il ? Sa lessive, sa peau ? Son jus peut être ?
– Oh, et n’aie pas peur de saliver dedans, il doit partir au sale de toutes façons… Tu comprends, j’ai mouillé toute la journée en attendant cet instant !
– mmmmmmmmmh
Elle s’est redressée, m’a regardée de la tête aux pieds, puis s’est frottée les mains de satisfaction…
-Bien, maintenant jouons
Elle s’est retournée et s’est penchée sur mon corps. J’ai senti sa langue parcourir ma peau de ma hanche à mes pieds, lentement, très lentement. A mesure que sa bouche s’éloignait de mon visage, ses fesses s’en rapprochaient, et bientôt j’ai eu le haut de sa croupe dans mon champ de vision. Je voyais le bas de son dos, devinais la naissance de sa raie, mais me refusant toujours le plaisir de la regarder, je ne pouvais qu’imaginer son sexe, si près de moi…
Ensuite, mademoiselle Amandine s’est occupée de mes doigts de pieds. Jamais je n’avais été fétichiste de cette partie du corps –encore moins de mon corps, mais je dois avouer que le traitement qu’elle a réservé à mes orteils m’a mis dans tous mes états. Elle suçait, mordait, léchai, soufflait… chaque partie de sa bouche était mise à profit pour me rendre folle. Mon sexe commençait à couler à grandes eaux, je sentais ma mouille glisser en dehors de mon vagin et dégouliner dans la raie de mes fesses…
Plus je soupirais de plaisir, et plus mademoiselle Amandine devenait folle. Elle tournait autour de mes pieds avec sa langue, essayait de les prendre en entier dans sa bouche, crachait dessus… A mon plus grand regret, ses fesses sont sorties de mon champ de vision, et elles sont allées suivre le même chemin que sa langue. Elle a frotté son intimité ruisselante tout le long de ma jambe, laissant une longue trace de mouille sur ma peau, puis s’est frotté le pubis avec mon pied, je sentais des poils avec mes orteils.
Elle a attrapé fermement mon pied pour le maintenir en position, puis s’est redressée lentement. J’ai senti mon gros orteil glisser le long de son pubis puis jusqu’à un endroit où je ne sentais plus de poils. Incontrôlable, un spasme de plaisir m’a fait bouger l’orteil et mademoiselle Amandine a couiné de plaisir en riant. J’avais du frotté son clitoris et lui envoyer une décharge de plaisir
-coquine…
Elle a continué son office, puis après s’être redressée encore un peu, elle s’est affaissée sur mon pied, et j’ai senti mon gros orteil s’introduire dans un endroit doux, humide et chaud. Ce n’est qu’en la voyant onduler du bassin sur mon pied que j’ai compris que c’était l’entrée de son vagin, et que mademoiselle Amandine était en train de se donner du plaisir, en se servant de mes pieds comme d’un sextoy.
Quand elle m’avait dit qu’elle utiliserait chaque centimètre carré de ma peau pour prendre du plaisir, je dois avouer que je ne l’avais pas prise au sérieux. Mais la tournure des évènements me montrait que j’avais eu tort, et je me suis demandée avec impatience de quelle façon elle déciderait d’utiliser mon visage, mon sexe ou mes seins pour son plaisir !!!
– Oh oui c’est boooon ma petite chienne… vas-y, prends moi avec ton pied !
– Oui oui hadehoiselle ahandine !!!
Elle a relâché délicatement mon pied et s’est mise en position, les bras derrière elle pour se soutenir, en relevant légèrement le bassin J’ai bougé mon pied aussi délicatement que j’ai pu, mais au final, ce sont des mouvements incontrôlés qui l’ont faite monter… Je tremblais d’excitation, je tremblais comme une feuille de tout mon corps et ce sont ces spasmes qui ont fait remuer mon pied en elle. Quand elle en a joui, j’ai ressenti une immense fierté d’avoir réussi à offrir un orgasme à ma première femme, surtout un orgasme comme celui-ci à une femme comme celle-ci.
Mademoiselle Amandine s’est effondrée sur moi, en jouissant. Quand elle jouissait, elle riait, et elle était un spectacle très amusant à voir. Elle s’est reposée entre mes jambes, se servant de mon ventre comme d’un oreiller. Elle respirait toujours aussi fort, et quand ses poumons se remplissaient d’air, je pouvais voir sa belle poitrine par-dessus son visage. Elle a pris un petit moment pour souffler, puis elle est venue m’embrasser la joue doucement
– Merci ma petite chienne préférée
– he rien hadehoiselle ahandine
– Bien, deuxième jambe maintenant !
J’ai écarquillé les yeux quand elle a recommencé. Cette fois, elle s’est un peu moins concentrée sur mon pied, mais s’est plutôt occupée à éponger son sexe humide de son plaisir sur ma cuisse. Elle me l’a attrapée fermement, une main à l’extérieur et l’autre, mon dieu l’autre !!! A quelques centimètres de mon intimité, elle a planté ses ongles dans la peau de l’intérieur de mes cuisses en m’arrachant un petit cri de douleur ou de plaisir, je ne sais plus.
Bien accrochée à ma jambe, elle a commencé à glisser sur ma cuisse en se servant de sa mouille comme d’un lubrifiant naturel, de plus en plus énergiquement, de plus en plus vite. Au bout de quelques minutes, ma peau brulait, et je n’osais même pas imaginer l’état de son sexe !!! Elle devait être en feu !!! Son deuxième orgasme ne m’a donc pas paru aussi étrange que le premier…
Plus de rire cette fois, mais un râle rauque de bête, le corps secoué de spasmes, s’effondrant à nouveau sur moi, la tête dans mon cou, ses mains s’activant énergiquement sur son sexe pour prolonger ou relancer son plaisir. Elle grognait dans mon cou, soufflant des mots incompréhensibles, puis s’affaissant sur moi après un dernier spasme aussi soudainement et brutalement qu’elle avait joui.
Cette fois ci, elle a mis beaucoup plus de temps à s’en remettre tellement son orgasme avait été fort. Elle est restée contre moi sans bouger, la joue posée sur mon épaule, les yeux fermés : je me suis demandé si elle s’était endormie !
-hadehoiselle ahandine ?
– Oui Câline ?
– hous hormez ?
-Bien sûr que non, je n’ai pas fini de t’utiliser… Je profite juste que tu sois très confortable pour reprendre des forces.
Malgré ce qu’elle me disait, j’ai deviné que mademoiselle Amandine était un peu sonnée, si ce n’était fatiguée par son plaisir. Après m’avoir longuement embrassé la bouche par-dessus mon bâillon, elle a cherché à prendre plus de temps pour se reposer.
– Deux pour moi, un pour toi ?
– hon, hout hour hous !!!
– Tu y tiens vraiment, je vois…
– mhoui !
Les bougies qui brulaient dans la pièce depuis le début de nos ébats avaient créé une atmosphère très lourde, comme celle qu’il y avait dans le magasin où nous étions allés, Maitre, elle et moi. Elles venaient probablement de là d’ailleurs, j’avais cru reconnaitre l’odeur. Quand nous y étions, l’odeur m’avait mise dans tous mes états, et là de nouveau les odeurs sucrées, douces et épicées nous étaient montées à la tête. J’avais chaud, je transpirais un peu, et mademoiselle Amandine était là pour que je ne me refroidisse pas…et elle semblait prendre sa mission à cœur.
Malgré son état d’excitation incroyable, elle ne s’était toujours pas décidée à me donner facilement du plaisir et voulait me faire languir le plus longtemps possible. Aussi, quand elle s’est redressée au-dessus de moi, je m’attendais à ce qu’elle se lève carrément et qu’elle aille se caresser avec mes mains, comme elle l’avait fait pour mes pieds… Mais non.
Mon cœur s’est arrêté quand elle a passé une jambe, puis l’autre sous mes bras, les serrant fermement entre ses mollets et ses cuisses. Son bassin s’est rapproché de mon visage, je devinais ce qu’elle voulait faire ! Elle m’a caressé la joue une dernière fois avant de ses servie de ses deux mains pour se stabiliser, puis à positionné son sexe là, juste au-dessus de mon visage.
– Regarde mon sexe Câline… Je ne veux pas que tu en détournes les yeux
Même si j’avais voulu, je n’aurais pas pu… Les yeux écarquillés, j’avais le regard fixé sur la perfection de son intimité. Obnubilé par cette vision et traversé par des milliers de pensées à la seconde, mon esprit s’est déconnecté de tout le reste. Il n’existait plus qu’une chose dans mon monde, le sexe de mademoiselle amandine, a cinq petits centimètres de mon visage.
Je tremblais déjà d’excitation avant même qu’elle ne s’exhibe encore plus, ouvrant ses lèvres sans la moindre pudeur, pour me laisser admirer le rose de ses chairs les plus intimes. Je voulais les toucher, mais je ne pouvais pas, la gouter mais j’étais clouée au lit par une menace qui ne s’était jamais montrée aussi terrible. J’étais tellement « ailleurs » que je n’ai pensé à reprendre ma respiration que quand je me suis sentie suffoquer.
– tu aimes mon sexe Câline ?
Mon grognement étouffé ressemblait plus à un cri de détresse qu’a une réponse affirmative.
Elle a délicatement retiré le capuchon de son clitoris et a passé un doigt dessus et a tremblé de plaisir, avant de me dire en rigolant, la voix la plus innocente du monde
– il est très sensible… C’est là qu’il faut se concentrer pour me rendre folle de plaisir, tu sais ?
Pitié, qu’elle arrête…
– C’est amusant, mes lèvres sont aussi rouges que tes joues… Tu as chaud, ou bien mon sexe est en train de se gorger de sang ?
Surement les deux… Je remarquais qu’en plus de prendre la belle couleur rouge dont elle parlait, les lèvres de mademoiselle Amandine gonflaient aussi. Bientôt, elle n’eut plus besoin de se servir de ses doigts pour s’exhiber, son sexe s’était ouvert de lui-même, comme une fleur au soleil, et me montrait sa fente brillante de jus. Ses lèvres complètement glabres ne cachaient rien de son sexe, et je devinais l’entrée de son vagin qui s’ouvrait et se fermait au rythme des contractions de son bas ventre.
Etrangement, avec ma toison abondante pour cacher mon sexe a moi, je me sentais presque plus « habillée » qu’elle. Je n’avais jamais pensé à me raser les lèvres, et Maitre ne me l’avait jamais demandé : il adorait jouer avec mes poils pendant nos séances, essuyant sa main dedans après m’avoir doigtée, ou bien répandant son sperme sur mon pubis touffu, et jouissant une deuxième fois en me regardant essayant de récolter les trainées perdues dans mes poils.
Une goutte de liquide qui m’est tombée en plein sur le front m’a tirée de ma rêverie en sursaut. Soit le plafond de Maitre avait des fuites, soit…soit c’était une goutte de mouille de mademoiselle Amandine que je découvrais en train de se caresser allègrement au-dessus de mon visage.
– Oups…
Ca ne l’a pas arrêtée pour autant, loin de là. Elle a continué ses caresses, m’envoyant délibérément des gouttelettes de son jus un peu partout sur le visage, de mon front à mon nez. L’odeur lourde des bougies a vite été remplacée par celle non moins agréable du nectar de mademoiselle Amandine. Elle n’était pas une femme fontaine, mais néanmoins elle mouillait très abondamment en se donnant du plaisir comme ça. Je la devinais dans un état d’excitation monstre !
De mon côté, ma promesse de ne pas décoller ma tête de l’oreiller commençait à me peser. Je lui aurais donné n’importe quoi pour pouvoir m’en délester et avoir le droit d’enfouir mon visage dans son intimité pour enfin pour voir lui donner du plaisir. Mais joueuse jusqu’au bout, mademoiselle Amandine ne l’entendait pas de cette oreille, loin de là.
Elle s’est penchée sur moi et a tiré sa culotte hors de ma bouche. J’avais les mâchoires engourdies d’être restées ouvertes trop longtemps et j’ai fermé la bouche pour me remettre un peu. Mais un claquement de doigt de mademoiselle Amandine m’a fait les rouvrir, pour un usage que je connaissais d’avance.
Les projections de mouille de ma tortionnaire continuaient, mais cette fois certaines atterrissaient au fond de ma gorge. Je m’interdisais d’avaler ma salive pour ne pas perdre ce nectar qui m’enivrait de plus en plus. Mademoiselle Amandine y allait maintenant avec les doigts, et le bruit que j’entendais me laissait à peine imaginer à quel point elle devait être trempée.
Elle a sorti les deux doigts de son écrin et les a glissé dans ma bouche, étalant sa mouille sur ma langue, récoltant ma salive par la même occasion. Elle les a plantés au fond de ma gorge, me faisant saliver encore plus, s’amusant de voir mes efforts pour soutenir cette gorge profonde assez inhabituelle. Elle a sorti ses doigts dégoulinants de bave avant que je ne m’étrangle, et ils ont suivi le chemin inverse, jusque vers son intimité. Sa mouille contre ma bave, c’était un échange que je faisais volontiers.
La tentation commençait à devenir insupportable, et je savais que j’allais céder tôt ou tard. Elle aussi…
– Oooh que c’est bon Câline… Je n’arrive même pas à imaginer à quel point ce serait bon si j’utilisais ta langue a la place de mes doigts !
J’ai fondu en larmes en me jetant la bouche ouverte sur son sexe, mes sanglots redoublants quand je me répétais sa menace de me laisser en plan si je tentais quoi que ce soit. J’allais y passer.
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La suite très bientôt !!!
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