Après un sympathique souper à la maison, Max attire sa charmante compagne dans leur chambre. Tout en l’embrassant délicatement, il déshabille sa belle, ne lui laissant que son string, assorti à son soutien-gorge. Il lui susurre alors à l’oreille qu’il va l’attacher au lit, lui bander les yeux et s’occuper de chaque centimètre de son corps.
Il sort tout d’abord un bandeau du tiroir de sa table de nuit et le lui passe autour de la tête pour cacher les jolis yeux de Léa. Il lui passe alors les menottes doublées de velours aux poignets et l’aide à se coucher sur le lit. Il lui fait passer les bras par-dessus la tête et accroche la petite chaîne qui relie les deux menottes à une autre chaîne qui est fixée sur les barreaux du lit.
Il se lève alors pour aller démarrer le radio-CD et passer une musique d’ambiance. Puis, sans un bruit, il revient près du lit pour poser ses lèvres sur celles de Léa qui, surprise, ne peut retenir un léger sursaut. Il pose ensuite un baiser sur une cuisse, le ventre, l’aisselle puis le nombril, ce qui a pour effet de faire frissonner la belle. Il l’embrasse alors à pleine bouche, parcourant d’une main ce corps chaud, offert à lui. Il dessine le contour du string avec un doigt et en fait de même avec le soutien-gorge.
Les tétons de la prisonnière se sont érigés sous ces caresses et ne demandent qu’à sortir de leur prison de tissu. Max pousse légèrement Léa pour qu’elle fasse un demi-tour sur elle-même et ainsi présenter son côté pile à ses mains baladeuses. Il se place alors sur elle et, après lui avoir dégrafé son soutien-gorge, commence à lui masser le dos, de la naissance des fesses jusqu’à la nuque. La belle profite de ce massage et laisse parfois échapper de petits gémissements d’aise, ce qui confirme au masseur qu’il s’y prend bien.
Pendant ce temps, la porte d’entrée s’ouvre et un homme entre. Cet homme, c’est moi. J’ai en effet été invité par Max pour l’aider à s’occuper de sa belle compagne. Je rentre donc sans faire de bruit et enlève mes vêtements. Je garde juste mon boxer et m’approche à pas de loup de la chambre. Je tends l’oreille et entends les doux gémissements de Léa. J’arrive alors à proximité du lit pour voir les mains de Max posées sur les fesses de la belle, imprimant des mouvements circulaires qui tantôt les écartent largement et tantôt les ferment. Me voyant, il m’accueille avec un large sourire et me fait signe de m’approcher pour mieux mater en écartant au maximum ces deux globes de chair.
Léa lui lance alors un :
— C’est bon ce que tu me fais, mon poussin.
Il se penche alors sur elle en frottant son pénis, qui est toujours dans son caleçon, et va lui mordiller le lobe de l’oreille. Il se redresse à côté du lit et doucement prend dans chacune de ses mains les ficelles du string pour libérer notre prisonnière de ce dernier rempart de tissu. Pour faciliter la tâche à son bourreau, la belle prend appui sur ces genoux pour relever un peu sa croupe. À la vision de ces fesses tendues, je dois me retenir de ne pas sauter sur Léa et de l’honorer avec mon sexe déjà complètement tendu ! Mais nous ne sommes pas des bêtes. Pour l’instant…
Max finit d’enlever le petit bout de tissu de sa compagne et la fait se retourner sur le dos. Il fait ensuite passer le soutien-gorge qui, s’il est dégrafé dans le dos, a toujours les deux bretelles autour des bras de la belle, par-dessus la tête de celle-ci.
Je remarque que Léa est très excitée, car elle plie d’elle-même ses genoux et écarte largement le compas de ses jambes pour donner un accès VIP de sa grotte à son bourreau d’amour. Sauf que son bourreau n’est pas celui qu’elle pense…
En effet, Max s’écarte de sa belle et me fait signe de la tête de prendre les « choses » en main. Je ne me fais pas prier ! Je m’approche alors de ma proie et me mets accroupi sur le lit. Je l’embrasse alors sur un genou, puis l’autre puis sur l’intérieur de ses cuisses douces comme du velours. Je m’approche tranquillement de sa grotte humide de laquelle suinte un peu de cyprine. Je décide de la faire languir encore un moment, aussi, lorsque mes lèvres se retrouvent à quelques centimètres de sa vulve intégralement rasée qu’elle tend vers moi, je me lève et vais jouer avec ses seins. Je les prends d’abord à pleines mains et les masse délicatement. Ensuite, je suce et mordille ses tétons tendus à souhait. Elle s’arque pour les offrir au mieux à la bouche qui s’en occupe.
Je me redresse alors et lui fais comprendre de se mettre à quatre pattes. Elle s’exécute immédiatement et lève ses fesses bien hautes alors que son visage est planté sur le lit. Elle est délicieusement belle, offerte dans cette position. Lorsque je vais me placer derrière elle, je jette un coup d’œil vers Max et le vois nu en train de se masturber tranquillement avec un sourire en coin.
Je place mes mains sur ces deux belles fesses offertes et les écartent pour me faciliter l’accès à ce juteux abricot. Je sors ma langue et en pose le bout sur le clitoris de la belle qui ne peut retenir un petit gémissement de plaisir et de surprise. Délicatement, je remonte ma langue le long de cette vulve déjà entrouverte et ne m’arrête que lorsque j’arrive sur l’anus. Je recommence l’opération plusieurs fois en appuyant toujours un peu plus fort. Les lèvres de ma délictueuse victime sont maintenant complètement ouvertes et je peux ainsi me détecter de cette cyprine qui coule abondamment de cette grotte si accueillante.
Tellement accueillante que je ne peux résister à l’envie d’y insérer mon pouce alors que ma langue s’occupe intensément du clitoris. Mon doigt glisse sans effort au fond de cette chatte trempée par l’excitation. Léa ondule son fessier pour mieux ressentir mes caresses. Je m’applique pour activer de plus en plus vite ma langue sur son petit bouton. Léa tourne sa tête sur le côté pour me lancer un :
— Mmmh, c’est bon, continue comme ça, mmmh.
C’est à ce moment-là que Max décide de s’approcher d’elle, de prendre son visage dans ses mains et de l’embrasser à pleine bouche. Elle sursaute et pousse un léger cri de surprise lorsqu’elle comprend que deux personnes s’occupent d’elle. Max lui susurre quelque chose à l’oreille puis, ayant détaché les menottes de la chaîne, il s’assoit devant sa belle. Il guide alors sa bouche sur son sexe fièrement dressé. Immédiatement, elle ouvre sa bouche et commence à lécher le gland de son chéri avant de la gober entièrement.
Pendant ce temps, mes doigts n’ont pas cessé de s’activer dans la minette de notre jolie victime, fouillant délicatement tous les recoins de son intimité. Elle suce maintenant activement son compagnon et je décide alors de recommencer à m’occuper de son clitoris. J’approche donc ma bouche de son petit bouton tout tendu et l’aspire avec force alors que ma langue lui prodigue de rapides caresses. Pour accentuer le plaisir de notre consentante victime, je la pénètre avec trois doigts qui coulissent en elle sans peine. Je l’entends gémir de plus en plus fort, malgré que les sons qui sortent de sa bouche soient atténués par la queue qu’elle enfonce au fond de sa gorge.
Max joue avec ses seins, pinçant et tirant sur les tétons durcis par l’excitation. Je sens son vagin se contracter autour de mes doigts et cette belle croupe imprime des mouvements involontaires, décousus. Comprenant que la belle ne va pas tarder à jouir, j’augmente la cadence de mes doigts et celle de ma langue qui commence d’ailleurs à me faire mal. Je me concentre pour ignorer ce début de crampe et continue ce traitement encore quelques secondes et soudain, le corps de Léa se tend complètement, et j’entends un long gémissement sortir de sa bouche.
Elle jouit longuement, parcourue par de nombreux spasmes, avant de s’écrouler sur le côté. Max et moi la regardons récupérer, sa poitrine se gonflant à chacune de ses inspirations. Avec un sourire radieux, elle lance un :
— Merci, c’était incroyable !
Max lui dit que ce n’est pas fini et, joignant le geste à la parole, il la tire par les cuisses pour lui amener les fesses au bord du lit. Puis, il pose les mollets de sa chérie sur ses épaules et présente son gland à l’entrée de son vagin. Il la pénètre alors d’une longue et unique poussée, ne s’arrêtant que lorsque son pubis se plaque contre les cuisses de Léa.
Il ressort alors complètement et recommence l’opération plusieurs fois. Pendant ce temps, je m’occupe de ses seins qui me sont gracieusement offerts. Je les caresse du bout des doigts, en mordille les pointes érigées ou les suce successivement. Après quelques instants, je délaisse ces deux globes de chair et m’occupe d’enlever les menottes de la prisonnière, je suis sûr maintenant qu’elle n’essayera plus de s’échapper… Une fois les mains délivrées de leur bracelet, je finis d’enlever le soutien-gorge qui était toujours accroché aux bras de Léa.
Après avoir enlevé mon boxer, j’approche mon sexe tendu près de son visage et prends une de ses mains pour la poser dessus. Elle commence à le masturber lentement puis rapidement l’amène à sa bouche. Elle commence alors à me sucer divinement bien. Max la fourre maintenant plus vigoureusement et je me régale de voir ses magnifiques seins ballotter de haut en bas au rythme des coups de reins de son assaillant. Il accélère de plus en plus, Léa, ayant sorti mon engin de sa bouche, crie maintenant son plaisir. Max lâche alors sa semence au fond de sa femme dans un grognement viril. Il continue encore quelques va-et-vient avant de s’écrouler sur Léa qui lâche alors mon sexe pour serrer son homme dans ses bras et l’embrasser avec amour. Leur laissant un peu d’intimité, je vais me munir d’un préservatif dans la poche de mon pantalon, resté à l’entrée de l’appartement, et le mets sur mon pénis.
Quand je reviens dans la chambre, je les retrouve l’un en face de l’autre en train de s’embrasser et de se caresser. Léa me tourne le dos, je vais donc m’installer derrière elle et lui prends sa cuisse pour lui faire lever la jambe. Elle se saisit alors de mon sexe et le présente à l’entrée de sa grotte de laquelle coule un mélange encore chaud d’un amour juste passé. Je rentre en elle doucement profitant du bonheur que cette première pénétration me procure.
Puis, j’accélère rapidement la cadence, la grotte ayant déjà été visitée quelques minutes auparavant, nul besoin de la ménager… Mon pubis claque fort contre les fesses de la belle. Max la touche, l’embrasse, lui dit combien elle est belle quand elle prend son pied, combien il l’aime…
Léa ne tient plus et se laisse envahir par un orgasme foudroyant, se manifestant par un cri de bonheur. Je sens son périnée se contracter, serrant mon pénis, ce qui amplifie les sensations. Je me concentre pour ne pas jouir tout de suite, pour profiter encore de ce merveilleux moment dont ce fort sympathique couple me permet de partager avec eux. Mais le plaisir l’emporte finalement et je jouis bruyamment, joignant le son de ma voix à celui de Léa. Après un ultime aller-retour dans cette chatte qui m’a donné tant de plaisir, je ressors, laissant ce magnifique corps encore secoué de spasmes. Je me rhabille et quitte l’appartement laissant ainsi le couple profiter du moment de pure tendresse qui vient naturellement après une partie de sexe si torride…
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