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Véronique

Véronique



Avec Véronique, je n’avais rien prémédité.

C’était la soirée anniversaire de son fils qui se trouvait être le petit ami de ma nièce…

Comme je n’avais rien de prévu le lendemain, j’étais resté jusqu’à la fin et j’ai aidé à ranger la salle, tout le monde s’étant éclipsé…

François le mari de Véronique était encore une fois ivre et dormait sur une chaise dans un coin de la salle.

Du coup tout le monde étant parti, Véronique me demanda :

– Tu peux m’aider à charger ce gros porc dans la voiture ?

Elle était visiblement très en colère…

– Tu te rends compte, même pour l’anniversaire de son fils, incapable de se tenir !

– Ça n’est pas la première fois ?

– C’est tous les soirs comme ça ! des mois qu’il est sur le même bord !

– Ça ne doit pas être facile…

– Je crois que du coup j’ai un peu bu moi aussi…tu peux nous ramener ?

– Oui, je n’ai quasiment rien bu.

Je chargeai le mari sur le siège arrière de sa voiture. Véronique vint s’asseoir à côté de moi et je démarrai. C’est une jolie blonde, coupe au carré, yeux bleus assez svelte.

– Ça ne te dérange pas, tu es sûr ?

– Faire la route en aussi charmante compagnie, c’est un pur plaisir…

– Tu me charrie, là ?

– …moi j’aurai une aussi belle femme à la maison, tu peux me croire que je rentrerai sobre tous les soirs…

– Ah oui ? et pourquoi ?

– Ben pour lui faire l’amour forcément !

– Tous les soirs ?

– Oui, et même plus souvent si je peux…

– Tu lui ferai quoi ?

– Je l’embrasserai dans le cou, pour m’imprégner de son parfum, je lècherai ses lobes d’oreilles délicatement, puis je glisserai mes lèvres sur les siennes…

– Arrêtes tu m’émoustilles là…

– Tu aimerai qu’un homme te fasse cela ?

– Oui, bien sûr…mais il y a…

– L’autre poivrot derrière ? si je comprends bien il ne te touche plus…

– Depuis des mois…je me …enfin tu vois ce que je veux dire…mais ce n’est pas pareil…

– Et tu aimerai retrouver cette sensation ?

– Oui, enfin je ne sais pas, je…j’aimerai que…

– Laisse-toi aller…

– Si ça se savait tu comprends…bien sûr les gens savent comment il est…

Elle me regarda soudain étrangement.

– Si je fais une pipe, je ne le trompe pas et en même temps, ça me rappelle comment c’est une bite…

– On peut voir ça comme ça…

– Arrête toi si tu veux et je te suce…à moins que tu ne veuilles pas…

J’ai mis mon clignotant et garé la voiture dans une entrée de champ…les ronflements sonores venant de l’arrière étaient rassurant. Véronique avait dégrafé sa ceinture de sécurité et entrepris de baisser mon jean et mon caleçon. Pour tout dire je bandais comme un âne…elle me caressait du bout des doigts, n’osant aller plus loin…

– Mets-toi à genoux sur le siège, ce sera plus confortable…

Les yeux rivés sur mon sexe elle obtempéra…elle me branlait doucement maintenant. J’ai glissé ma main sous sa robe et commencé à lui caresser la cuisse, remontant doucement vers ses fesses. Soudain elle plongea en avant et ses lèvres effleurèrent mon gland…

– Excuses ma maladresse, je n’ai pas fait ça depuis bien longtemps…

– Comme tu feras, ce sera bien, ne t’inquiètes pas…

Sa position plongeante me libéra l’accès à sa chatte…j’écartais délicatement le tissu de sa culotte et glissais mes doigts sur sa vulve. Elle était trempée …elle engouffra ma bite dans sa bouche…

– Ça te plait, hein ? ça faisait longtemps que tu n’avais pas sucé une bonne queue…tu mouilles comme une bonne salope…tournes bien ta langue sur ma queue, voilà comme ça…aspires, tu sens comme c’est bon….

J’envoyais un doigt inquisiteur fouiller son intimité…elle changea de position pour faciliter cette pénétration…du coup, deux autres doigts rejoignirent le premier…

– Tu aimes ? tu en veux d’autres ?

Elle arrêta sa pipe et me dit :

– Si on baisait plutôt ?

– L’un n’empêche pas l’autre…

– T’es un vicieux toi…

– Tu n’as pas idée….

– On va chez moi ?

– On n’est plus très loin…mais tu peux continuer ce que tu avais commencé…

Elle continua sa douce pipe sur le trajet, je la caressais par intermittence, ne voulant pas finir au fossé…son mari ronflait toujours à l’arrière quand je garai la voiture…on décida de le laisser là.

Je la suivais jusqu’à une chambre…

– C’est celle de Jason, il n’y dort plus depuis longtemps mais il y a un grand lit..

Elle ne voulait pas tromper son mari dans leur chambre…

Me tournant soudain le dos elle se déshabilla, un reste de pudeur sans doute…j’en fis autant et la serrai dans mes bras…je l’embrassai délicatement dans le cou…puis je la pris dans mes bras et la posai sur le lit…je me reculai mes lèvres explorant ses épaules puis ses seins. Ma langue jouant sur les mamelons ceux-ci durcirent …mes mains prirent le relai des caresses tandis que mes lèvres descendaient le long de son ventre…ses mains caressèrent mes cheveux…enfoui dans sa toison, je découvrais son clitoris que j’excitai aussitôt de ma langue. Ses mains appuyèrent plus fortement sur ma tête… elle replia les jambes pour m’offrir mieux son intimité. Je jouai de mes lèvres sur les siennes, les mordillant tendrement, puis revenant titiller son clitoris. Soudain dans un grand râle elle serra les cuisses et jouit abondamment. Ne pouvant me libérer de son étreinte, je bus son nectar. Dans un dernier spasme elle se relâcha …je remontai mon visage jusqu’au sien et l’embrassait langoureusement. Son sexe m’accueillit .je la limais en douceur, mon sexe coulissant aisément en elle.

– Goutes ton nectar

– Je suis désolée, je ne sais pas ce qu’il m’est arrivé…

– Tu as joui, tout simplement…

– Merci c’est si bon…vas-y, maintenant, à toi de jouir…

– Ne t’inquiètes pas pour moi…mais, je ne veux pas jouir dans ta chatte…

– Comme tu voudras, ma bouche te sera grande ouverte, et même comme je sais que tu es assez coquin, j’avalerai ta semence…ce sera une première pour moi…

– Je t’en remercie et je retiens l’offre, mais ce n’est pas là…

– Tu veux me prendre par le cul ? c’est que…comment dire ? je n’ai jamais fait ça et on dit que…

– Et si tu te faisais ta propre opinion…je vais y aller doucement…je n’ai pas envie de tout gâcher…

– Alors attends deux secondes…

Elle plongea la main dans la table de nuit…elle en sortit un tube de lubrifiant

– C’est à Jason…lui et ta nièce doivent jouer aux mêmes jeux que toi…

– Ce serait héréditaire, tu crois ?

– Allez vas-y…profites bien de moi…tu t’arrêtes si je te le demande…

– Tu vas plutôt me demander de continuer je crois…

– Prétentieux !

– A toi de juger…

Je me retirai délicatement de sa chatte. Ma bite était tellement trempée de sa mouille que je crois que j’aurai pu me passer de lubrifiant, néanmoins je lui enduisis largement l’anus faisant pénétrer aussi le produit à l’intérieur. Elle s’était mise sur le ventre et soupirai d’aise sous mes caresses. Je la fis mettre en levrette.je positionnai ma bite devant son œillet et poussai. La résistance ne dura pas. Elle poussa un petit cri quand mon sexe envahit ses entrailles, puis ses mains vinrent écarteler ses fesses et je pus sans forcer m’introduire à fond en elle…

– Ah salaud, tu me bourres à fond, là…

– Oui, maintenant je vais te limer comme tu mérites

– Doucement quand…ahah, oui vas-y…

Je ne me privai pas et la ramonai vigoureusement, ma bite manquant souvent de sortir de son cul avant que je ne m’y renfonce …son souffle s’était accéléré, dans un spasme de plaisir ses muscles se resserrèrent et je ne pus empêcher mon foutre d’envahir son intimité…je me retirai doucement de son cul, observant ma semence s’écouler doucement …

– Putain c’était vraiment bon…j’aimerai te sucer un peu maintenant…

– ne te prives surtout pas…

Je lui plaçais ma bite devant le visage et elle la goba goulument. Elle salivait abondamment et j’en profitai pour lui titiller le clito …mon érection qui avait flanché un peu après mon éjaculation était de nouveau au top…

– Baise-moi encore !

– Tu n’as pas peur que ton mari…

– T’inquiètes il est parti jusqu’à 8 heures au moins…

– Je ne vais peut-être pas me contenter de te baiser…

– Fais ce que tu veux…encules moi, c’est si bon…

Je lui pinçais alors le têton…

– Et ça ?

– Ne laisse pas de marque, c’est tout, sinon, fais toi plaisir…ça fait si longtemps que personne ne m’a rien fait, que tant pis si ça fait mal…mais je t’en prie, baise-moi !

Je ne me suis pas fait prier. J’ai usé et abusé de son corps…elle était insatiable…mes couilles étaient vides depuis longtemps, mais je la pilonnais allègrement, lui torturant délicatement les seins et lui claquant les fesses…elle acceptait tout sans rien dire, sachant pourtant que demain, il y aurait des marques…quand je sortais de sa chatte elle me suppliait de l’enculer…

Je ne sais pas à quelle heure nous nous sommes effondrés, exténués sur le lit, surpris par le sommeil.

Je me réveillai aux premières lueurs du jours…je me précipitais à la fenêtre et vis que François était toujours dans la voiture…je réveillai doucement Véronique et m’habillai prestement. Elle en fit autant. Nous sommes retournés à la voiture. Je tirai son mari hors de la voiture et le chargeai sur mes épaules…par chance il n’était pas trop lourd. Je le posai dans le lit. Il dormait encore.je me penchai à son oreille :

– Véronique me raccompagne chercher ma voiture à la salle

Il marmonna un truc incompréhensible…Véronique s’était installée sur le siège passager

– Comme ça je peux profiter de toi sur la route

– De moi ou de ma queue ?

– Ben, devines…

Nous n’avions pas fait 30 mètres dans l’allée qu’elle plongeait sur ma bite…

– Véronique…

– Oui ?

– Si tu veux que nous continuions, il va falloir faire certaines choses

– Oui, quoi ?

– Je veux que tu t’épiles intégralement…

– Mais je…

– Je veux que tu t’épiles intégralement…un point c’est tout…tu veux qu’on se revoie ?

– Oui, bien sûr que je le veux…Comme tu voudra

– C’est mieux comme ça…je veux aussi que tu ne portes plus de sous-vêtements et que tu laisses tes cheveux pousser…

Elle avait interrompu sa pipe, se contentant de serrer ma verge dans sa main et me regardait de ses beaux yeux…

– C’est toi qui décide, ce que tu veux je le ferai…

– alors fini ce que tu as commencé…

Nous nous sommes revus chaque jour qui suivit. Comme je travaille chez moi et que son emploi du temps est criblé de « trous » au lieu de rentrer chez elle, elle venait chez moi. Elle faisait un lavement chez son dernier patient, en demandant à pouvoir se servir de la salle de bain.

Elle s’était épilée intégralement et ne portait plus de sous-vêtements. Bien sûr elle portait des vêtements qui cachaient cela. Elle n’avait pas sitôt franchi le seuil qu’elle se déshabillai et se jetait sur moi pour une pipe gourmande …elle s’était découvert une passion pour la sodomie et aimait par-dessus tout quand j’éjaculais dans ses entrailles. Une semaine après le début de notre aventure un évènement changea le cours de notre relation…

Comme d’habitude elle déboula sans prévenir et se déshabilla à la vitesse de l’éclair…j’étais dans un fauteuil du salon…

– Vite, que je te suce …

Elle avait dégrafé et baissé mon jean et était agenouillé devant moi.

– Véro, je te présente mon ami Marc

Je lui plaquai la tête sur ma bite afin qu’elle ne puisse pas se dégager.

– Continue ce que tu as commencé…Marc tu la trouves comment ma fiancée ?

– Superbe ! et elle a l’air gourmande…

– Tu jugeras par toi-même tout à l’heure…n’est-ce pas ma chérie, tu ne vas pas laisser notre ami sur sa faim ?

– Mmm

– Ça veut dire oui…maintenant, tu vas te mettre en levrette et je vais te prendre comme la petite pute que tu es…

– Oui chéri

Je la mettais en position. Elle regarda Marc, mais ne dit rien…Marc se déshabilla doucement et j’en fit autant. Je me mettais face à elle.

– Tu veux que je te baise ou que je t’encule ?

– Baise-moi…tu veux que je suce ton ami ?

– Oui…ça te plait de faire ça ?

– Je…je ne sais pas, mais si ça te plait que je fasse la pute…

Je glissais mes doigts le long de ses lèvres…elle était trempée de cyprine.

– Je vois que ça te plait à toi aussi…

– Oui, je crois…

Déjà elle avait la bite de Marc en bouche et jouait avec …elle s’appliquait comme elle l’aurai fait avec moi. Ma bite trouva facilement son chemin dans son intimité gorgée de sa mouille. Je lui tenais fermement les hanches en la pistonnant sur toute la longueur de mon membre. Dans un grand tremblement de tout son corps elle eut son premier orgasme. Profitant de cela, je me glissais dans son anus. Comme d’habitude elle gémit un peu à l’introduction, puis aida la progression en poussant sur ses cuisses. Je l’attrapais par les cheveux et lui tirai la tête en arrière…

– Marc va te baiser maintenant…

– Vous, vous… Vous allez me prendre en même temps ?

– Oui…tu vas aimer. N’est-ce pas ?

– Oui, surement…

Déjà je sentais la bite de Marc s’insinuer derrière la frêle paroi qui nous séparait. Instinctivement nous avons commencé un mouvement de balancier, l’un avançant quand l’autre reculait. Il ne fallut pas longtemps à ce jeu-là à Véronique pour hurler son plaisir…elle s’effondra en sueur sur Marc, le gratifiant au passage de baisers torrides.

– A genoux petite pute et fais-nous jouir à notre tour.

Nous avons dû l’aider à se mettre à genoux…puis devant la mollesse de ses mouvements de tête sur mon sexe je l’attrapai par les oreilles et m’enfonçait loin en elle. J’ai cru qu’elle allait s’étouffer, je reculais pour qu’elle puisse reprendre sa respiration puis me lançai de nouveau à l’assaut de sa gorge…sa salive maculait le sol, quand enfin je me libérai au fond de sa bouche…elle hoqueta plusieurs fois mais finit par tout avaler. Marc lui administra le même traitement et elle avala également sa semence…

Je m’étais affalé dans le canapé et elle vint se blottir contre moi en me couvrant de baisers. On aurait dit une petite fille …

– Merci mon chéri, ça a été …je ne connais pas de mot pour ça…mais si bon, si intense…vos deux bites en même temps, waouh, top…par contre je dois y aller, j’ai des petits vieux qui m’attendent…

Elle déposa un baiser sur la joue de Marc

– Merci !

Et s’adressant à moi :

– Je repasse tout à l’heure…si vous êtes là tous les deux, ben tant mieux…

Inutile de vous dire que Marc est resté jusqu’au retour de Véro…nous avons alors essayés toutes les variantes d’un trio HHF et comme Marc et moi sommes bi, il arriva que ma bite se fraye un chemin entre les fesses de Marc et parfois entre ses lèvres… Cela troubla quelque peu Véronique mais elle subit néanmoins avec plaisir une double vaginale puis une double anale. Véronique se pliant à tous mes caprices …quand elle repartit chez elle, il était déjà fort tard et je craignais que cela n’éveille les soupçons de son mari. Elle m’envoya un SMS pour me dire qu’il n’était pas encore rentré, et qu’il devait trainer dans les caves de quelques copains…

Le troisième fait marquant se déroula quelques semaines plus tard…elle m’avait confié que depuis le début de notre aventure, elle fréquentait des sites pornos et plus spécialement orientés soumission…elle avait découvert sa vraie nature et voulait explorer à fond ce domaine…ses connaissances en informatique étant limitées, et comme l’ordinateur était commun au couple, elle craignait que son mari ne découvre ses activités. Je lui proposais donc de nettoyer son PC. Elle me l’apporta donc un matin et je commençais le nettoyage. Elle s’était installée sous le bureau et me suçais doucement en prenant soin de ne pas me faire jouir trop vite…soudain dans son historique je trouvais des visites de sites gays. Je lui demandais si elle n’avait pas par erreur cliqué sur un lien, mais elle m’affirma le contraire. Quand je lui donnais la date et l’heure, elle me répondit que c’était impossible car à ce moment-là, je la baisais sur le tapis de mon salon…quelques clics plus loin, je découvrais de nombreuses connexions à des sites gays orientés BDSM…il fallait se rendre à l’évidence : son mari fréquentait ces sites…Elle me demanda de ne supprimer que les traces de ses propres visites puis récupéra son ordinateur.

Le lendemain était un samedi…vers 10h00 j’entendis une voiture rouler dans l’allée puis contourner la maison…Véronique se garait toujours ainsi pour éviter qu’on ne voie sa voiture depuis la route…elle entra donc dans le salon par la baie vitrée donnant sur le jardin. A ma grande surprise elle tenait en laisse son mari qui marchait à 4 pattes…

– Regarde ce que je te ramène…

– Euh c’est ton…

– MA lope de mari…qui rêve de servir un Maître et de se faire enculer…je lui ai tout dit pour nous deux et il accepte de te servir de vide-couilles comme moi je le fais…n’est-ce pas Cocu ?

– Oui Maitresse, j’accepte de ne plus vous toucher et de vous servir Vous et mon Maître…

J’étais bluffé, d’une situation compromettante pour nous elle avait su tirer avantage…

– Bien dis-je il est docile ce toutou ? il veut lécher un gros os ?

– Maitre c’est trop d’honneur pour moi…

– A genoux ! Véronique, il y a une cravache dans l’arrière cuisine…montre à ce toutou qu’ici il n’a pas le droit de parler que pour répondre à une de nos questions…je veux que ça claque ! 10 coups…sur chaque fesse…

Je m’approchais de lui…ses yeux étaient terrifiés…d’instinct il avait mis les mains derrière sa tête.

– Alors petite lope, tu rêves de te faire enculer

– Oui Maître

– De sucer une bite ?

– Oui Maitre…

– Tu ne l’a jamais fait ?

– Non Maître, ce sera une première si vous voulez bien…

– Tu comprends qu’après ça en sera fini de ta vie de beuverie, tu devra rentrer directement ici pour nous servir moi et MA femme Véronique…tu n’aura plus aucun droit sur elle, et nous aurons tous les droits sur toi…

– Oui Maître je l’accepte…

– Alors prends moi en bouche et je ne veux pas de cris quand Véronique va te cravacher…

– Oui Maître…

– Ce n’était pas une question ! écartes les genoux que Ma femme puisse te cravacher les couilles…Véronique 3 coups sur les couilles de cette lope…

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