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Une belle entreprise 2/2

Une belle entreprise 2/2



Les jours qui ont suivi ont été l’occasion d’un jeu de séduction au quotidien avec Laetitia. On n’a pas pu se revoir seuls dans son bureau, mais on a souvent eu l’occasion de se retrouver au calme, sans pour autant pouvoir recommencer des jeux plus poussés.
Son compagnon était rentré de son déplacement, aussi évitait-elle de finir trop tard. Du coup je guettais la moindre occasion pour essayer d’avancer un peu dans les jovialités, et ne pas en rester là. Il faut battre le fer tant qu’il est chaud !

L’occasion se présente un jour où notre DRH envoie un message groupé par Whatsapp. Très pratique cette application… j’ai récupéré le numéro perso de Laetitia. Dans la foulée je lui envoie un message, pas compromettant, n’étant pas sûr que son compagnon ne lise pas son téléphone. Elle me répond quasiment de suite après, et au fil de la conversation notre jeu de séduction poursuit son court. Nous n’en sommes pas encore aux sextos, mais les sujets tournent toujours autour du sexe.

Jusqu’au jour, un samedi, où elle m’envoie un message en me demandant mon avis sur une robe d’été. Le message disait simplement : « trop courte, ou pas ? » avec une photo d’elle en cabine d’essayage. Ma réponse a été instantanée : ce n’est jamais trop court ! » puis de rajouter quelques secondes après : « plus sérieusement, non ce n’est pas trop court, au pire on verra un bout de culotte si tu te penches ! ». Pas de réponses de sa part.

Le lundi suivant, temps magnifique, et je croise Laetitia avec sa nouvelle robe. C’est vrai qu’elle fait court (d’ailleurs elle ne sera jamais revenue au travail avec !), et ça fait son effet ! Les hommes ne la quittent pas des yeux, et beaucoup se sont rendus à son bureau ce jour-là. Pas idiote, elle s’est dit que c’était un peu trop… je n’ai pas résisté à lui envoyer un sms, lui disant que c’était osé, mais très agréable. Sa réponse a fusé : « J’ai même fait attention pour qu’on ne voit pas trop de culotte ». Je ne comprends pas tout à fait ce qu’elle veut dire : est-elle venue sans culotte ?! Je lui demande alors un peu plus d’explications, et elle ne me répond qu’avec un smiley, du genre « mystère… ».

Le soir même, je fais en sorte de finir tard. Je croise les doigts pour qu’elle aussi. Vers 19h, je ferme mon bureau, et commence à regarder s’il reste du monde dans l’entreprise, ou si je dois fermer à clés en partant. Arrivé à son bureau je vois la porte ouverte. Je rentre en frappant, et je la vois assise, avec sa robe qui a même un léger décolleté. Elle me fait un grand sourire en me disant :
– Tu n’as pas pu résister…
– Je suis très curieux, lui dis-je alors en passant de l’autre côté de son bureau.

Elle est assise jambes croisées ; elle fait rouler sa chaise pour reculer un peu de son bureau, et me regarde d’un air de défi.
– Qu’est-ce que tu imagines ? me demande-t-elle alors.
– Plein de choses, mais ça me semble du domaine du fantasme…

Je m’adosse sur un côté de son bureau, juste à côté d’elle, et faire parcourir ma main sur sa cuisse, la caressant doucement. Son sourire s’agrandit, et son air de défi aussi ! Elle ne bouge pas d’un pouce, et attend que j’en dise plus… Je la détaille plus intensément : je distingue l’armature de son soutien-gorge, et vois qu’elle porte des talons ouverts sur des pieds parfaitement vernis. Ma main se pose alors sur son genou, les doigts vers l’intérieur de la cuisse, et remonte le long de sa cuisse alors que je m’approche de son visage pour l’embrasser.

Au moment où je pose mes lèvres, on attend quelqu’un marcher dans le couloir ! Et une voix que je reconnais bien appeler :
– Y’a quelqu’un encore ici ?
C’est le DRH, qui fait lui aussi le tour des bureaux avant de partir. Il a dû voir la porte ouverte et on l’entend arriver.
– Laetitia, t’es encore là ?!

Juste avant qu’il ne rentre, pris de panique, Laetitia tire sur mon bras, m’injonctionnant silencieusement de me baisser, alors que j’étais déjà en train de me précipiter sous son bureau. Réaction stupide de gens pris sur le fait, il serait bien plus dur de justifier ma présence sous sur bureau, qu’à côté d’elle ! Mais trop tard pour réfléchir, Christian, le DRH, entre déjà dans son bureau !

Je suis donc assis en taille, alors que Laetitia se repositionne devant son bureau. Elle a décroisé ses jambes pour se remettre en place rapidement, et je suis entre ses genoux !
– Y’a plus âme qui vive dans cette boîte ! C’est lamentable ! s’exclame faussement Christian, en plaisantant.
– Oui oui, répond Laetitia, qui semblait avoir le souffle court.

J’imaginais son cœur battre la chamade, comme le mien à ce moment-là.
– Ça va ? lui demande Christian, un peu surpris.

Alors qu’elle reprend son souffle, j’ai retrouvé mon calme, et me rends compte de la situation. Mes mains se posent sur ses genoux alors qu’elle lui répond, sur le coup de la surprise à mon contact
– Oui ! très bien ! Elle marque un temps d’arrêt, puis ajoute : tu m’as juste surprise…

J’écarte alors ses jambes, et mes mains remontent le long de ses cuisses. Il fait sombre, mais alors que Christian continue de discuter, je comprends le sens de son SMS plus tôt : elle porte un mini string. Vraiment petit. Et fin. Mes mains sont encore à masser ses cuisses, quand je remarque qu’il est aussi transparent. Ou alors l’humidité l’a rendu transparent.

Laetitia réussi à continuer de discuter sans rien laissé paraître. Christian commence à lui parler d’un sujet dont je ne suis pas censé être au courant. Je n’écoute que d’une oreille, mes doigts se dirigent maintenant vers le petit bout de tissu, dernier rempart avant d’atteindre mon objectif. Je commence à lui masser le sexe avec mon pouce, à travers le tissu. Elle se dandine un peu sur sa chaise, me facilitant involontairement l’accès.

Le tissu humide et chaud ne cache pas son excitation. Elle continue de donner le change, et j’apprends encore quelques infos assez critiques par rapport à l’entreprise. Alors qu’elle commence à argumenter, mon majeur passe sous le tissu et s’insère sans trop de résistance, lui faisant légèrement vriller la voix. Je la branle un peu, alors qu’elle continue sur argumentation. Christian reprend la parole, au moment où je m’attaque au mini string. Il est vraiment fin : j’enroule la bande de tissu longeant sa hanche gauche autour de mon index, et quand je sens qu’il est assez tendu je tire d’un coup sec ! Un petit « schpok » retentit, mais passe inaperçu aux oreilles de Christian. Laetitia met sa main sous le bureau et me donne une tape sur la main, alors que je m’attaque à la bande, retenant le tissu côté droit. J’aurai aimé pouvoir voir sa tête à ce moment-là !

Même combat : j’enroule la bande, et tire d’un coup sec, la faisant sursauté au passage ! Le petit « schpok » ne semble pas être parvenu aux oreilles de Christian. Je tire alors sur le string, qui quitte le cul de sa propriétaire pour finir dans mes mains. Discrètement, je change de position pour me mettre sur les genoux. L’opération me prend du temps, Laetitia me sentant gigoter doit s’interroger. Je pousse malencontreusement un peu sa chaise, la faisant reculer du bureau. Elle réussit à garder son calme et toute sa contenance, me laissant penser que Christian ne se doute de rien. Mon cœur bat à nouveau la chamade, et je croise son regard une demie seconde quand j’approche ma tête de sa chaise, pour finir entre ses cuisses. Je fais attention à ne pas me cogner pour éviter de faire un bruit suspect, et réussit à donner quelques coups de langue sur son clito. La main de Laetitia finit par agripper mes cheveux, mais ne me repousse pas. Je continue tant bien que mal mon manège, jusqu’au moment où j’entends Christian demander :
– T’es sûre que ça va ? T’as l’air fébrile un peu.
– Oui oui, ne t’inquiète pas. Je vais finir ce sur quoi je suis et rentrer à la maison.
– Ok, répond-il, je te laisse tranquille alors, à demain !

Il quitte le bureau ; j’en profite pour avancer ma tête un peu plus afin de continuer de jouer avec son clito. Laetitia ne réagit pas de suite, jusqu’à entendre la porte d’accès à l’entreprise se refermer. Elle se recule alors du bureau en faisant rouler sa chaise et me dit d’un air furieux :
– Mais t’es malade !

Je souris malgré moi, reposant son string sur le bureau.
– Je t’en rachèterai un pour me faire pardonner.

J’avance à nouveau, me remet entre ses cuisses, la prend par les hanches pour faire avancer son bassin sur le bord de la chaise.
– C’est pas de ça que je parle ! Enfin pas que de ça !

Alors qu’elle continue à m’engueuler, je commence à lui faire un vrai cunni, ayant plus facilement accès à son sexe.
– T’es vraiment malade ! me dit-elle à nouveau, sa main revenant agripper mes cheveux.

Je continue mon opération, suçant son clito, et la doigtant lentement. Elle pose alors ses jambes sur son bureau, me donnant un accès plus complet à son anatomie. Mon majeur titille alors son petit trou pendant que mon pouce prend sa place dans sa chatte. Ma langue tournoie autour de son clito au moment où mon majeur s’insère dans son petit trou. Elle m’agrippe avec encore plus de force les cheveux, et entre deux gémissements elle me dit :
– Tu me le paieras cher…
– En attendant, répondis-je en me relevant, profitons-en…

Elle se lève alors, et fouille dans un casier de son armoire. Bien cachée, elle sort une boîte de capotes et m’en tends une. Je l’enfile rapidement alors qu’elle se retourne et se penche, en s’appuyant au mur, juste à côté de la fenêtre. Une boîte de capotes… dans un coin de ma tête je me pose plusieurs questions, mais j’ai d’autres priorités pour le moment !

Je présente ma queue à l’entrée de sa chatte, en posant une main sur son épaule. Elle se cambre un peu plus, signalant son impatience. Je m’enfonce alors lentement en elle, lui arrachant un gémissement. Je ressors alors complètement, et recommence l’opération, encore plus lentement. Centimètre par centimètre, j’enfonce ma queue. Un mouvement attire mon attention par la fenêtre : Christian est en train de sortir. S’il lève les yeux (et se retourne) il nous verra forcément. Peu probable que ça se produise, mais on ne sait jamais… et ce petit risque m’excite un peu plus. Laetitia l’a vu aussi, mais ne cherche pas à changer de place.

Je commence les va-et-vient alors que Christian sort de notre champ de vision. Laetitia n’essaye plus d’être discrète ; j’accélère la cadence, le bruit que nous faisons ne laisse aucun doute sur ce qu’il se passe dans son bureau. Je continue et j’accélère encore, lui claquant les fesses à les faire rougir. Elle gueule, me disant de continuant, et m’encourageant à y aller fort.

Au moment où je sens sa chatte se contracter, et sa mouille m’inonder, je sors ma queue qui est au bord d’exploser. Elle se retourne alors et se jette dessus : elle m’enlève la capote, et se met à me pomper comme une folle, en se masturbant. Son jus coule encore, elle me branle et me suce. Je jouis alors dans un long râle, alors que ma queue est enfoncée dans sa bouche. Elle continue de me sucer et je la vois avaler jusqu’à la dernière goutte de sperme.

Par la suite j’ai su pourquoi elle avait cette boîte de capotes planquée. Je lui ai racheté un mini-string, et offert deux autres, lui disant que j’aimerai bien les arracher ceux-là aussi…

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