Champagne doré
Nous faisons l’amour en douce dés que possible et je reste fasciné par le double visage de mon amante âgée. Classique, sûre d’elle-même, conventionnelle comme elle est toujours apparue à tous, elle devient de plus en plus vicieuse dans notre relation intime et amoureuse. J’adore la chevaucher longuement et doucement en missionnaire tout en l’embrassant tendrement. Je la désire comme jamais je n’ai désiré sa fille, ma femme. Lorsque Béatrice jouit ou quand elle est très excitée, elle a quelques petites fuites urinaires. Nous protégeons notre lit avec des serviettes éponges sous ses fesses. Au fil du temps, elle m’a laissé la prendre en levrette, mes mains tenant fermement sa taille, puis je me suis mis à lui lécher l’anus et à la sodomiser très doucement. Elle découvre le sexe anal et exige désormais que je pénètre son anus de ma langue, ce qui est totalement dingue car je ne l’ai jamais fait avec sa fille. Un jour où je la caresse au bord du lit, elle ne peut empêcher quelques giclées d’urine qui finissent sur le
parquet.
Lentement, je me mets à 4 pattes, et tout en la fixant du regard, je commence à laper son urine sur le sol. Je lui dis des mots d’amour et d’appartenance totale comme je n’en ai dit à aucune autre femme. Cette scène nous excite considérablement. Ma belle-mère se lève et revient avec le martinet à la main. Elle se met derrière moi et j’ai honte de lui montrer mon cul. Elle commence à porter ses coups sur mon cul et mon dos tout en disant de sa voix aigue et autoritaire :
– « Tu es un porc, un homme cochon. Tu es vraiment dégoûtant et je ne veux pas savoir si tu faisais cela avec ma fille. J’attends ton dévouement total à mes désirs. Je veux que tu m’aimes et me désires sans limite. Je vais continuer à prendre en main ta libido d’obsédé. C’est moi seule que tu dois désirer et je déciderai seule de t’accorder du plaisir. Cette fois c’est toi, un homme, qui va m’obéir. Tu as tout bu maintenant,va chercher la serpillière et finis de nettoyer cela ».
Ses coups redoublent, j’ai mal et je la remercie de chacun des claquements. Le vertige de cette situation incroyable, ma belle-mère dont je bois l’urine et qui me fouette le dos et le cul, emporte mon plaisir au-delà de ce que j’aurais pu imaginer. Que diraient nos familles respectives si elles savaient cela?
Que dirait ma femme dont je baise la mère avec passion et vigueur et que je chéris comme ma Maitresse vénérée et dominante?
Instruction sur ses dessous
Ma belle-mère est plutôt petite et menue. Comme je l’ai déjà raconté, elle me fournit ses dessous portés et nous avons mis en place des rituels. La taille de ses soutien-gorge (85 B) m’interdit de les porter. Mais je peux porter toutes ses culottes de taille 40. Béatrice m’indique dans un tableau de type calendrier ses culottes que je dois porter tous les jours. Il y en a de toutes sortes, des gainettes, des culottes taille haute et basse en coton ou en satin, et depuis qu’elle se dévergonde, des tangas et des strings.
Connaissant ma passion pour le travestissement et pour marquer son empreinte, elle m’a demandé de jeter mes propres dessous masculins. Elle me demande parfois de porter sous mon costume ses collants usés dont je troue les pieds pour pouvoir les positionner à ma taille. Je dois lui envoyer tous les jours une photo de sa culotte que je porte. Je fais cela dans les toilettes de mon bureau. C’est une preuve que j’applique son ordre et je signe chaque envoi de quelques mots d’amour et de « Votre soumis obsédé par Vous ». Elle m’a ordonné de laver ensuite ses culottes à la main, ce que je peux faire en l’absence de ma femme quand elle travaille. Je les fais sécher dans ma penderie (nous faisons chambre à part). Elle en fait l’inspection quand elle les récupère. De temps à autre, elle m’ordonne de ne rien porter ou de poser ma cage de chasteté. Le plus dur est de la garder quand je me couche car je sais que mes érections matinales me réveilleront et me feront mal, mais je lui obéis. Elle sait que je n’en tire pas grand plaisir, et elle exige parfois que je m’introduise dans l’anus l’un ou l’autre de mes plugs. Lorsque nous faisons l’amour, elle me demande souvent de renifler l’entrejambe de la culotte qu’elle vient de retirer et je le fais volontiers.
Ma belle-mère me contrôle totalement
Elle sait que je regarde beaucoup de vidéos pornos, et que j’ai un blog de travesti. Je lui ai tout avoué car je veux vivre pleinement ma passion d’être son soumis. Elle voit bien que je regarde d’autres femmes dans la rue et, bien sur, cela lui déplaît fortement. Quand nous nous promenons, il lui arrive désormais de me donner un coup de poing dans mon bas-ventre ou une gifle sèche si elle surprend un de mes regards. Je dois ensuite m’excuser et la rassurer. Un jour, elle me demanda d’installer chez moi une caméra dans ma chambre et de lui permettre de se connecter pour me visionner depuis son PC. C’était fou mais j’ai accepté et fait tout installé, à mes frais bien sur. Ainsi, elle peut observer à tout moment ce que je fais dans ma chambre. C’est un truc de fou car elle voit quand je m’habille en femme, si je regarde des vidéos, si je porte bien ma cage ou si je me masturbe. Elle me domine totalement.
Lorsque l’un ou l’autre s’absente quelques jours, je dois la contacter par skype à des heures convenues, et elle m’autorise ou m’ordonne de me caresser et de lui montrer ma jouissance en direct. Récemment, elle m’a demandé de me masturber juste en regardant son visage sur écran, de lui dire des mots d’amour, d’éjaculer dans un verre et de boire ce jus sous ses yeux. Ma belle-mère devient perverse à 70 ans…. Il est exclu que je jouisse sans son accord. Je suis totalement soumis à son contrôle désormais. C’est hyper pesant mais elle accepte de me donner des plages de divertissement (mater des vidéos en me caressant sans jouir) qui équilibre un peu son régime totalitaire. Je dois lui envoyer tous les jours un message d’amour comportant une partie affectueuse et une partie licencieuse.
Récemment, je découvre Béatrice en jeans bleu foncé et portant des boots en cuir marron neuves avec des talons d’environ 5 cm. Je suis étonné et la trouve très sexy. Elle capte bien mon regard et mon désir. Arrivés chez elle, son mari étant parti bridger, elle me demande de me dénuder complètement et de me mettre à 4 pattes.
-« Lèches mes bottines, gros cochon, j’ai vu qu’elles te plaisaient. »
Tandis que je m’applique à lécher le dessus de ses bottines et ses talons, elle se penche au-dessus de mon dos et frappe mes fesses de sa ceinture qui claque. C’est une nouvelle scène de domination que nous adorons tous les deux.
Comme ivre, je suis entré en addiction d’elle et je n’imagine plus ma vie sans elle, Elle est présente à tout instant de ma vie affective et sexuelle. Plus elle me saisit dans ses filets, plus j’entre dans un état d’abandon à sa seule volonté.
Ma belle-mère m’humilie
Un samedi matin, j’emmène ma belle-mère chérie dans ma voiture (en fait celle qu’elle m’avait imposée) faire des courses. Elle a sa liste, et je la suis à travers les rayons avec le chariot, comme un toutou passif. J’ai d’ailleurs posé autour de mon cou le collier de chien que nous avions acheté ensemble dans une a****lerie. J’aime ces moments où nous sommes ensemble comme un couple ordinaire. Je mets dans le chariot quelques achats personnels qu’elle critique en partie car elle est très difficile. Je me plie à sa volonté et remets en rayon tout ce qu’elle me déconseille. Arrivés à la caisse, elle me demande de sa voix aigue et ferme que tous les clients autour de nous entendent:
– « J’ai oublié mes protège-slips. Peux-tu aller me chercher un paquet de protège-slips Always ? Prends les large en coton. Prends moi aussi des collants taille 2, en voile beige. Allez, dépèche-toi ».
Elle rajoute à voix forte alors que je m’éloigne « Prends le gros format, le paquet de 20 protège-slips. Des Always ».
Je me doute que ces oublis sont faits pour m’humilier devant d’autres clients et je m’efforce de garder un visage impassible alors que les émotions me brassent intérieurement et que mes jambes vacillent. Je surprends quelques regards de personnes surprises de nous voir et qui chuchotent en coin….je suis humilié par cette femme menue, âgée, au style classique bcbg qui me donne des ordres en public et je crois que j’aime cela.
Ma belle-mère est très jalouse et mes testicules s’en souviennent
Je l’emmène ensuite déjeuner au restaurant. Béatrice commande mes plats et la boisson. En attendant l’entrée, elle me demande de la suivre dans les toilettes. Une fois entrés, elle m’entreprend sèchement:
– » Je t’ai vu mater des clientes ce matin, et je ne supporte pas. Tu te fous de moi ? Espèce de salaud. Tu t’es bien rincé l’oeil avec cette petite pute en pantalon moulant devant nous dans la queue. Tu fixais son cul de salope; ça t’amuse ? Tu es mon esclave à mon service exclusif. Mets toi à 4 pattes, là maintenant ».
Je pose les mains sur le sol sale et lui obéis, à 4 pattes. Béatrice se place derrière moi et applique sur mon entrejambe un coup de pied léger. Elle porte des ballerines noires. Je suis surpris par ce geste sur mes parties sensibles et mon jean les protège un peu. Deux coups de pieds plus appuyés me font mal et je me redresse sur mes genoux.
– « Pardon Maitresse Béatrice, pardonnez-moi, je suis un homme cochon et je vous promets de ne plus regarder d’autres femmes. Je vous ai manqué de respect, alors que je vous aime. J’ai remarqué que vous m’avez appelé esclave, et je vous remercie de daigner m’accepter comme tel. Pardon ».
Encore à genoux devant elle, voilà qu’elle se penche sur moi. Elle me dévisage à travers ses lunettes, et et me crache au visage.
– « Salaud, tu vas m’obéir maintenant, je vais casser ta volonté de mâle. Tu fais ce que je dis et tu m’aimes. Compris ? ».
Je n’en reviens pas, ma belle-mère devient une furie dominatrice et perverse. Je remets ma sexualité et mon désir entre les mains d’une femme âgée qui m’entraîne sur un territoire inconnu et lubrique.
Une gifle puis elle me permet de me redresser. Je me lave les mains très troublé par la notion d’esclave à son service, puis la rejoins.
J’avais prévu un cadeau que je lui remets au moment du dessert: une bracelet or en maille acheté 550 €. Je la vois sincèrement émue et cela me comble.
– « Béatrice, je suis heureux de devenir votre esclave. Je suis à votre service. Je vous adore ».
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