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Journal d’une tapette Ch.15

Journal d’une tapette Ch.15



Une demi heure plus tard et 10 aller retour à la salle de bain pour retremper la serviette, j’avais les fesses brûlantes et terminé ma confession que je tendis à Maîtresse Magalie.

 » Reste assis les mains sur la tête cette fois et tiens toi bien droit ! N’oublie pas de continuer à réchauffer la serviette toutes les trois minutes et médite sur la punition que tu vas recevoir ! Je vais lire tranquillement ta confession dans le salon. « 

Magalie, s’installa confortablement dans le fauteuil du salon et commença à lire la confession de Michel. Elle n’en croyait pas ses yeux. Elle se leva immédiatement, mis en route l’ordinateur et envoya un email à son amie Emma.

Très chère Emma.

Voici ce qui s’est passé cet après midi pendant ton absence. Comme je ressentais une pressante envie de jouissance, je demandais à ton minable de mari de me lécher. A peine baissait-il ma culotte, que ce pervers eu une tentative d’érection que les picots de la cage réfrénèrent bien vite. Je remarquais immédiatement ses grimaces de douleur et l’accusait de t’avoir trompée en pensée ! Rien que ça ! Et cet imbécile a acquiescé et n’y a rien trouvé à redire !

Une fois qu’il eut le visage bien trempé de ma cyprine, je lui annonçais que sa trahison nécessitait une vigoureuse punition de ta part, car évidemment je me devais de te prévenir de sa faute.

Je l’ai alors soumis à une pseudo rapide analyse, lui demandant pourquoi il n’arrivait pas à bander avec toi. Comme il était bien évidemment incapable de répondre, je lui ai suggéré qu’il avait peur de ton vagin, peur que celui-ci le morde s’il y introduisait son sexe ! Je ne sais pas si cette crainte de la castration se produit ou non vraiment dans on inconscient, peut importe ! L’important est qu’il ait cette angoisse maintenant. Par manipulation mentale, j’ai implanté dans son esprit un faux souvenir de peur de castration lié à la découverte de ton sexe pour la première fois. Les picots de la cage nous aiderons à renforcer ce faux souvenir en lui. Et pour justifier cette contradiction (qu’il doive continuer à porter la cage alors que nous prétendons le guérir de sa peur), je l’ai convaincu qu’il devait se concentrer sur cette peur, en prendre vraiment conscience avant de pouvoir être  » guéri  » et qu’en résumé, il fallait combattre la peur par la peur ! Il est tellement influençable qu’il avalé tout ce charabia d’un trait !

Pour ce qui est de la punition, j’ai commencé à appliquer le rituel de la fessée expliqué dans mon précédent email. Assis sur un paillasson recouvert d’une serviette humidifiée avec de l’eau très chaude (qu’il devait retremper dans l’eau chaude toutes les trois minutes !) je lui ai fait rédiger une confession sur sa faute. Je viens de la lire…

Grande nouvelle ! Nous sommes en train de le transformer en parfait masochiste ! Sans doute avait-il déjà un terrain favorable au développement de cette psychose car, crois moi, il avance très rapidement pour ce précipiter dans ce gouffre. Continuons à l’infantiliser, à développer en lui la peur des relatons hétéro sexuelles normales, à lui faire porter la cage pour qu’il associe le désir du plaisir génital avec la douleur, la récompense avec la frustration et la punition… La prochaine étape sera de lui faire découvrir le plaisir anal comme seul plaisir possible et rassurant pour lui. Ensuite… il sera prêt pour le passage à l’homosexualité… Une homosexualité de soumis, de lope, et on aura atteint notre but commun. Une fois parvenu à ce stade, tes parents accueilleront l’éventualité de ton divorce comme un soulagement pour eux…

Mais patience… Nous avons encore plein de merveilleuses et excitantes étapes à lui faire franchir.

Hum… J’imagine que ta petite culotte est déjà trempée rien qu’en me lisant chérie. Moi je coule tellement que je vais encore être obligée de changer de petite culotte.

A ce soir mon Emma.

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