Ce n’est pas une confidence de femme que vous allez lire, mais un souvenir d’adolescente:
Le récit de ma première émotion fortement érotique. Aujourd’hui, je suis une étudiante de 22 ans
qui change souvent de petit ami. Je profite de ma jeunesse et de ma liberté pour m’adonner aux
plaisirs de l’amour avec un belle santé. C’est pourquoi, à mon tour, j’ai envie de confier aux
votre lectrices et lecteurs une aventure intime dont je garde un souvenir délicieux.
Ce jour-là, je crois que ma sexualité s’est véritablement éveillée, épanouie.
J’avais à l’époque quinze ans et je redoublais ma classe de troisième
J’étais encore une adolescente complètement naive et inexpérimentée, même si la puberté me troublait.
Mon jeune corps laissait déjà percevoir des formes de femme. Les mecs du collège, du moins les plus
empressés auprès des filles, jetaient de plus en plus souvent des regards interéressés sur mon corps.
Ils admiraient les petit points, étroitement moulés dans mes tee-shirts, ou encore le bel arrondi de
mes fesses, hautes et cambrées sous le tissu tendu de mes jupes. Parfois, il m’arrivait d’avoir même
quelques flirts éphémères, émaillés de caresses maladroites et de baisers timides.
Rien de bien sérieux en fait.
Et puis arriva ce fameux jour de mai. Nous étions en classe et, dans un silence quasi religieux,
nous rédigions une composition. Il faisait particulièrement chaud et sans me rendre compte,
j’écrivais fébrilement mon texte, les genoux écartés et les cuisses ouvertes.
J’étais assise presque en face du bureau du professeur, dans le troisième rangée, au bord
du couloir qui séparait les tables. Un étrange impression d’être observée me fit lever les yeux
vers le prof chargé de nous surveiller. C’était un jeune enseignant très beau et très sympa.
Toutes les filles de ma classe étaient amoureuses de lui. Je m’apercus qu’il me regardait
avec curiosité, mais bien bas que ma table. Il semblait très intéressée par mes jambes.
Pour m’en assurer, j’ai levé ma feuille de brouillon vers mes yeux, faisant mine de relire
mon texte afin de mieux observer son visage. Aucun doute, il était bien en train de mater
l’intérieur de mes cuisses. Il avait beau faire semblant de lire un livre et surveiller la
classe, invariablement son regard revenait se poser sur mes longues cuisses bronzées.
Faisant mine de ne pas m’en rendre compte, je les ai écartées davantage pour suivre ses réactions
Cette fois, il pouvait tout voir et reluquer sans problème ma jolie petite culotte blanche en
tissu léger et souple, bien tendue sur la bosse du mont de Vénus et dont l’entrejambe glissait
un peu dans ma fente. De temps en temps, je donnais un coup d’oeil furtif en direction du prof.
Ma petite exhibition faisait son effet. Le pauvre semblait de plus en plus nerveux: rouge aux joues.
De mon coté, je savourais intensément le plaisir de pouvoir exercer une telle influence sur un homme.
Moi la gamine, l’adolescente, j’avais le pouvoir de tenter un mâle, d’exciter son curiosité et
de provoquer chez lui des désirs érotiques! Assez troublée moi aussi, je sentais une douce chaleur envahir progressivement mon bas-ventre. Ma vulve gonflait et palpitait. Mon vagin se contractait.
Je me sentais toute chose car je n’avais encore jamais vécu de telles sensations.
Soudain, j’ai soulevé une jambe et j’ai croisé si fortement mes cuisses que ma chatte s’est trouvée
comprimée, pressée comme un fruit. Bientôt, j’ai senti le jus de ma volupté se mettre à suinter
entre mes lèvres intimes. J’avais l’impression que mon clitoris avait doublé de volume et une folle
envie de glisser ma main entre mes cuisses pour caresser ma petite foufonne et l’apaiser.
Malheureusement, c’était tout à fait impossible en pleine classe. Le professeur devait lui aussi
certainement bander très fort dans son pantalon car il ne faisait pas un geste pour se lever et
faire sa petite ronde dans la classe. Cela devait faire un moment qu’il n’était plus « présentable »,
et tout cela à cause de moi!
Enfin, la sonnerie retentit, l’annonce de la fin du cours
La plupart des élèves se sont levés précipitamment pour remettre leur copie alors que d’autres se
dépêchaient de terminer. Sentant bien que mon « admirateur » attendait que je me dirige vers lui,
je prenais un malin plaisir à être la dernière à rendre mon travail. Il m’a souri, apris mes
feuilles en me remerciant, puis il a ajouté: « Et voila, c’est fini. Quel dommage! »
Je peux vous avouer que ce soir-là, dans le secret de ma chambre et la chaleur de mon lit douillet,
je me suis endormie en pensent à notre professeur, nommé Pierre comme vous, une main glissée entre mes cuisses, l’autre tentante mes seins aux tétons dressés.
Lettre de Jessica, vingt-deux ans, La Réunion
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