Sophie et Jean venaient de raconter leur histoire à Chloé. Ils lui avaient fait part de leur première expérience avec Patrick et Nathalie, mais avaient tu la suite de leurs vacances.
Après qu’ils aient tous deux passé la nuit à faire l’amour, l’une dans les bras de Patrick, l’autre dans ceux de Nathalie, Sophie et Jean s’étaient retrouvés au petit matin… et avaient passé leur journée à se raconter leurs ébats respectifs et à assouvir leurs besoins exacerbés l’un pour l’autre.
Ils avaient retrouvé leurs voisins le soir, mais d’un commun accord tacite, ils avaient chacun passé la soirée de leurs côtés. Repus de tendresse charnelle et de plaisirs, et les chants d’amour de la chambre voisine s’étant tus, Jean et Sophie s’étaient endormis dans les bras l’un de l’autre pour une nuit réparatrice.
Au petit matin, alors que le soleil ne dardait encore que de faibles rayons, Jean s’était éveillé et regardait sa belle endormie, lovée contre lui. Le drap avait glissé sur les cuisses, laissant à la contemplation le dos et les fesses de Sophie. Après l’avoir amoureusement couvé du regard, Jean laissa courir ses doigts en une caresse légère et aérienne. Un ronronnement de bien-être vint bientôt l’assurer quant aux bienfaits qu’il prodiguait.
Sophie ne semblant pas vouloir émerger de son demi-sommeil, Jean se leva et se dirigea vers la salle de bain. Là l’attendait une grande et spacieuse douche italienne et son jet d’eau chaude revigorant.
Alors qu’il s’attardait sous l’eau, Jean se prit à rêver de sa belle endormie et son sexe se mit à gonfler petit à petit. Et c’est précisément le moment que choisi Sophie pour faire irruption dans la pièce. Elle se mit à contempler son homme, s’attardant plus que de raison sur sa queue à moitié bandée. Jean l’aperçut alors et lui sourit tandis que son sexe prenait maintenant des proportions plus que respectables.
– Ben mon cochon, fit Sophie en se dandinant, un doigt coquin sur les lèvres.
– J’y peux rien si tu me fais de l’effet… t’es si belle…
– Caresse-toi…
– Pardon ?
– Branle toi mon amour… branle toi pour moi…
Et pour l’encourager, Sophie s’appuya sur le lavabo qui lui faisait face, et porta son doigt à sa bouche, le suçant langoureusement, avant de le faire descendre accompagné d’un soupir vers son entrejambe. Elle aime le voir se caresser, voir son sexe durcir, admirer son gland qui se couvre et se découvre alternativement. Elle apprécie particulièrement lorsqu’il empoigne à pleine main sa queue durcie, effectuant de lents allers-retours.
Son doigt a maintenant atteint son clitoris, qu’elle fait rouler langoureusement. Elle sait que sa caresse affole son homme, qu’il adore la voir se masturber ainsi.
Ils se regardent maintenant mutuellement. Sa bite a atteint le maximum de sa taille ; sa chatte se fait de plus en plus humide…
Constatant que sa queue est en pleine forme, Sophie interrompt sa caresse et s’approche lentement de Jean, le regardant dans les yeux. Il se branle toujours lentement, sans quitter son regard. Prête à le toucher, elle se hisse sur la pointe des pieds et lui dépose un léger baiser sur les lèvres, le faisant soupirer. Puis, elle se baisse sur ses genoux, laissant ses mains glisser sur les pectoraux, le ventre, le haut des cuisses. Elle est maintenant face au gland bien découvert, gonflé et luisant.
– Je veux te sucer…
Jean stoppe sa masturbation, trop heureux de la proposition qui lui est faite. Sophie embrasse tendrement le bout du gland, donne quelques coups de langue coquin, et ouvre la bouche en grand pour avaler cette colonne de chair toute chaude. Elle aime le sucer, lui donner du plaisir. Sa langue tourne autour du gland, descend le long de la queue pour finir sur les couilles lisses. Elle aime cette sensation… c’est doux… ça l’excite…
Les mains accrochées aux fesses de son homme, elle se baise la bouche. Elle a une folle envie de cette queue… elle la lèche, la pourlèche, la pompe et la branle en gémissant. Jean accompagne ces caresses de légers mouvements du bassin. Il sent sa queue durcir de plus en plus, ce qui n’échappe pas à Sophie qui redouble d’ardeur. Il essaie de se reculer, mais elle le tient fermement par les fesses pour recevoir sa semence dans sa bouche. Sophie aime avaler… de temps en temps… et là, elle en a très envie… envie qu’il jouisse très fort et lui remplisse la bouche. Dans un râle de joie, Jean éjacule à longs traits. Un premier jet s’écrase contre son palais, puis un deuxième, et un troisième. Le sperme est abondant… et Sophie avale le tout avec plaisir, puis nettoie la queue, récupérant le reste de semence.
Sophie se redresse alors et vient embrasser Jean à pleine bouche. Ils se regardent amoureusement et s’embrassent à nouveau, tendrement.
Avec amour, Jean prend sa belle dans ses bras, la menant sur le grand lit, témoin de leurs ébats.
Allongée sur le dos, Sophie laisse Jean la caresser. Elle aime ses caresses qui la font chavirer… surtout quand ses doigts sont complétés par sa bouche. Et il l’embrasse justement, dans le cou, lui procurant des frissons de plaisirs. Elle a juste le temps de savourer que les lèvres s’éloignent déjà et viennent prendre possession des ses mamelons, les faisant durcir. Il les agace du bout de la langue, arrachant des soupirs à une Sophie pleine d’envie. Elle ondule du bassin, cherche une caresse plus précise, alors que la bouche de son bien aimé glisse maintenant de son ventre au creux de l’aine. Elle écarte les cuisses, dans un message qu’elle veut explicite.
Jean lui sourit et s’installe confortablement entre les jambes ouvertes. La vision du sexe épilé et l’odeur dégagée par la cyprine qui commence à couler l’enivre. Ses baisers se font de plus en plus précis… il s’approche lentement, la faisant languir… un petit peu… et lorsque sa bouche se colle soudain au clitoris de Sophie, elle ne peut retenir un gémissement de plaisir. Sa langue passe de ses lèvres jusqu’à son bouton d’amour qu’il aspire dans sa bouche avant de le délaisser pour retourner taquiner la douce corolle qui s’ouvre inexorablement.
Jean darde sa langue sur le clitoris de sa belle, le léchant, le faisant rouler, l’aspirant. Il parcourt aussi les grandes lèvres, puis les petites, gorgées de sang. Il recueille les sucs qui coulent de plus en plus abondamment, se régalant de ce goût enivrant. Ses lèvres s’écrasent sur la chatte en feu, et sa langue repart à l’assaut du petit bouton qui fait si bien frissonner Sophie. Elle gémit d’ailleurs, à chaque coup de langue…
Jean accompagne maintenant sa caresse buccal d’un doigt fureteur, qui vient lui aussi caresser l’intimité mouillée de Sophie. Un deuxième doigt se joint au premier, et un nouveau ballet s’engage. Jean fait rouler sa langue sur le clitoris gonflé… son majeur vient pénétrer la chatte brûlante… un autre vient taquiner l’anus palpitant… couvert de mouille. Sophie gémit de bonheur a cette intromission. Elle bouge lentement le bassin, cherchant également une pénétration anale… et lorsque le second doigt la sodomise soudain, elle ne peut retenir un cri.
Jean relève la tête, tout en laissant sa bouche collée à la chatte gluante. Les soupirs de Sophie l’avaient à nouveau bien émoustillé, mais la voir se caresser ainsi les seins fiévreusement lui donne une bonne grosse trique. Il bande dur à nouveau…
– oooh… mon salaud, tu me lèches bieeennn…
– mmm… tu m’excites…
– c’est toiii… ta langue… tes doigts… mmm…
– mmm… suce tes doigts mon amour… suce tes doigts…
Et tout en continuant ses légers mouvements de bassin, qui accentuent les pénétrations, la tête inclinée sur le côté, Sophie porte sa main droite à sa bouche. Elle sort une langue mutine et vient taquiner l’extrémité de son majeur, avant de le porter à sa bouche…
– mmm…
Jean, qui continue sa caresse avec sa langue sur le clitoris gonflé, agaçant le petit bouton de ses lèvres, l’aspirant et le tétant, lève une nouvelle fois les yeux pour jouir du spectacle. Ce qu’il voit le fait bien bander et l’excite au plus haut point. Sophie suçe consciencieusement son doigt en gémissant, le faisant aller et venir entre ses lèvres…
– tu m’excite mon amour… t’es bonne…
– mmm… c’est booonnn… tu me lèches bieeennn… ça m’excite trop là… putain… ouiii…
Sophie suçe maintenant son majeur avec frénésie et s’active de plus en plus sur les doigts de Jean, qui lui, se déchaîne sur son petit bouton. Un orgasme la traverse, la tétanisant quelques courtes secondes. Sophie jouit violemment, projetant son bassin en l’air, s’écrasant sur les doigts qui la fouille, tétant fortement celui qui emplit sa bouche.
La sachant très sensible après l’orgasme, Jean abandonne la chatte luisante et vient embrasser l’intérieur des cuisses, tandis qu’elle le supplie de la prendre rapidement. Il remonte lentement le long de son corps, parsemant son ventre, ses seins, son cou, de légers baisers. Avide et impatiente, Sophie prend la queue bien dure à pleine main, grogne de satisfaction, et après l’avoir branlée pour en apprécier la fermeté, la dirige vers sa chatte bien ouverte.
viens… viens mon amour… tu sens comme je mouille…
Sans attendre plus longtemps, surexcité, Jean la pénètre d’une longue poussée, arrachant un nouveau cri à sa belle. Il a tellement envie de la posséder, de jouir de son corps, qu’il se met à lui donner de grands coups de bassin pour qu’elle sente bien son excitation et l’état de sa queue gonflée. Lui ayant relevé les jambes bien haut jusqu’aux épaules, la pénétrant à fond, il ralentit sa cadence.
– mmm… t’es bien mouillée là…
– tu m’excites… tu m’excites…
– tu me serres bien là… c’est bon… t’es bien chaude…
– c’est toi mon amour… c’est toi… mmm… tu vas me faire jouir là…
– mmm… moi ou ma queue…
– toi… et ta queue… elle est bien dure… bien grosse… tu me baises bien… ooohhhh…
Sophie s’arque soudainement, et une longue plainte sort de sa bouche. Les muscles de son vagin se contractent violemment, enserrant et massant la queue qui continue ses va-et-vient.
– t’aimes ça hein, te faire baiser…
– oui… oui… j’aime quand tu me baises… avec ta bonne queue…
– mmm… t’es bonne… comme ta chatte… j’adore la lécher avant de te baiser…
– mmm… oui… c’était bon… tu m’as bien léché ma p’tite chatte… et tes doigts… mmm…
– oui… c’était super bon… et quand tu te caressais les seins et que t’as sucé ton doigt… mmm…
– ça t’as excité hein, mon salaud… ooohhh… elle est bonne ta bite…
– mmm… oui… ça m’a bien excité… comme si tu suçais une bite…
– oui… sucer une bite… j’aurais bien aimé…
– mmm… quoi mon amour… t’aurais aimé quoi…
– ooohhh… sucer une bite… pendant que tu me lèches…
Jean accentue ses coups de reins, sortant son gland avant de le réintroduire et de s’enfoncer totalement dans la chatte de Sophie.
– mmm… c’est ça qui te plairait mon amour… sucer une bonne queue pendant que je lèche ta p’tite chatte…
– mmm… ouiii… j’aimerais bien…
– t’aimerais quoi…
– sucer une bonne queue bien dure… pendant que tu me lèches…
– ça t’exciterait hein… tu mouilles encore plus là… ça t’excite bien…
– ouiii… j’aimerais bieeennn… ça m’excite de sucer une queue bien dure…
– mmm… et si je te baisais en même temps…
– ooohhh… ce serait bon… ta grosse queue dans ma chatte… et une bite toute dure dans ma bouche… mmm… tu me baiserais bien… et tu me regarderais sucer une bonne queue bien dure… un gros gland luisant…
– mmm… ça pourrait être excitant mon amour…
– oui… je la pomperais bien… je la ferais grossir…
– mmm… comme une salope…
– oh oui… comme une bonne salope… en manque de queue… je me caresserais avec une bite… je la sucerais… pendant que tu me prends…
– mmm… et je jouirais dans ta chatte… plein de sperme…
– ouiii… pleiiinnn… ma chatte pleine de sperme… et une queue bien grosse dans ma bouche…
Jean accélère encore ses coups de reins. Sa queue luisante sort complètement avant de replonger totalement dans la chatte gluante qui l’absorbe sans peine. Sophie amplifie les mouvements pour prendre toute la queue dans sa chatte.
– t’aimerais ça hein…
– oooh ouiii… j’aimerais ça…
– ça te plairait, hein…
– mmm ouiii… et il me mettrait sa grosse queue dans ma chatte… mmm… et tu me regarderais… me faire tringler… devant toi…
– comme une bonne salope…
– oui… ta salope… ta salope qui se ferait mettre devant toi… ta salope avec ton sperme dans la chatte et qui se ferait baiser par une autre queue… bien dure et bien bonne… mmm…
– et tu te ferais mettre… comme ça…
– ce serait bon… et ça te ferait bander… j’en suis sûre… mmm… me voir me faire mettre avec ma chatte pleine de sperme… m’entendre couiner comme une salope… mmm… me faire sauter et prendre ta queue dans ma bouche… aaahhh…
– tu vas me faire jouir là… ooohhh…
– en moi… en moi…
Ce nouveau fantasme, qui venait de s’imager dans leurs esprits, et la chatte et la queue qui se dispensaient un plaisir mutuel, les fit partir au 7e ciel. Ils explosèrent tous deux bruyamment. Les contractions du vagin massaient la queue qui expulsait un sperme épais, inondant la chatte trempée.
Après avoir crié leur bonheur, Sophie et Jean se regardèrent… et s’embrassèrent tendrement. Ils restèrent l’un sur l’autre, se susurrant des mots d’amour, se caressant. Le sexe de Jean reprit soudainement de la vigueur, et une nouvelle étreinte, rapide, silencieuse, les mena une nouvelle fois vers le plaisir.
Ils passèrent le reste de leur journée, en amoureux, sur une plage quasi déserte à l’abri des regards indiscrets.
Le soir venu, ils se sont retrouvés sur le grand canapé de la terrasse. Patrick venait de les rejoindre, et avait excusé Nathalie qui avait du garder la chambre, victime d’une insolation.
Après avoir parlé de tout et de rien en buvant quelques cocktails alcoolisés, la conversation, une fois n’est pas coutume, dériva tout naturellement vers le sexe. Légèrement désinhibés, ils évoquèrent les joies des plaisirs charnels. L’expérience qu’ils avaient vécu l’avant veille les y aidait, même s’ils n’abordèrent pas le sujet.
Au fil des verres et de la conversation, Jean enclencha un film et Patrick vint les rejoindre sur le canapé. Sophie, entourée des deux garçons, s’enfonça un peu dans le siège moelleux.
Sans être pornographique, le film était cependant fortement érotique. Sophie ne se sentait pas très à l’aise, et se colla légèrement à Jean, pour se rassurer. Il avait posé sa main dans la sienne, et il la sentit se crisper quand la première fille commença à se déshabiller à l’écran. Ils regardaient parfois ce genre de film tous les deux, les images suffisant à donner un petit coup de fouet à leur libido, et Sophie n’y était donc pas opposée par principe, mais ce soir là, la présence de Patrick sur sa droite la réfrigérait un peu… malgré ce qu’elle avait déjà connu avec lui.
Jean venait de voir là l’opportunité d’assouvir leur fantasme évoqué le matin même. Si Sophie se refusait à l’envisager, l’idée faisait néanmoins son chemin, petit à petit.
Jean prit tout son temps, laissant les images et l’alcool agir sur Sophie, pour qu’elle se détende progressivement. Et quand sa main fut enfin totalement relâchée, il l’abandonna pour glisser la sienne sur la cuisse dénudée. Le regard qu’elle lui jeta était emprunt d’amour et d’anxiété mêlés. Jean resta immobile encore quelques minutes, pour que sa belle se détende à nouveau.
Le film qui passait était assez soft, mais suffisamment explicite et suggestif pour que l’imagination fonctionne à plein… et Sophie se détendit à nouveau
Sans se précipiter, Jean entame très doucement l’esquisse d’une caresse sur la cuisse de Sophie. Il avance doucement, attentif à ne pas aller trop loin en la brusquant, et, progressivement, sa main glisse vers l’intérieur de sa jambe. Les images et la caresse semblent faire de l’effet à Sophie, et il en profite, très lentement, pour passer sous sa petite jupe légère. Comme elle se laisse faire et qu’il a déjà atteint le haut de sa cuisse, il passe, encore plus doucement, sous le fin voile de son string qui masque à peine son sexe bien épilé.
D’un imperceptible mouvement, Sophie se mord la lèvre lorsque la main de Jean atteint son intimité trempée. Elle ne proteste même pas lorsqu’un doigt la pénètre et commence un très léger va et vient. Puis, enduisant la chatte de ses liqueurs intime, il vient frôler le petit bouton et s’y attarde, le massant langoureusement et discrètement devant un Patrick qui n’a rien perdu de la scène. Ce dernier se délecte de ce qu’il imagine sans voir.
Sophie ne semble pas s’apercevoir des coups d’œil de plus en plus fréquents que Patrick jette sur ses cuisses de plus en plus dénudées par la caresse. Elle ferme d’ailleurs les yeux pour profiter pleinement du désir que Jean fait monter dans ses reins. Sa respiration haletante trahit l’effet que lui procure le doigt sur son clitoris et dans sa chatte.
Jean se penche pour embrasser Sophie qui se tourne vers lui pour faciliter son baiser. Un fort désir se fait sentir, et la présence de Patrick n’est plus une barrière face aux envies de Sophie. Jean empaume doucement un sein, tout en l’embrassant, et elle frissonne dans ses bras… pour se raidir aussitôt. Patrick vient de poser doucement sa main sur la jambe que Jean avait délaissé. Dans les bras de son homme, Sophie ne dit rien, mais son corps trahit son inquiétude. Jean continue à doucement caresser son sein, tout en l’embrassant et en la maintenant contre lui. Et petit à petit, elle s’apaise et se laisse faire, les yeux fermés.
Patrick s’enhardit lui aussi, très lentement, pour ne pas perdre le bénéfice de ce qu’il a déjà obtenu. Et progressivement, sa main refait, millimètre après millimètre, le même chemin que celle de Jean le long de la cuisse de Sophie, pour finir sous sa jupe légère. A l’instant où Jean se demande s’il osera aller jusqu’au bout, Sophie laisse échapper une plainte entre leurs bouches, signe évident qu’un doigt vient de pénétrer son ventre.
Patrick comprend tout de suite qu’une marche arrière est impossible, et il empaume l’autre sein de Sophie, tout en déboutonnant le chemisier qu’elle porte. Sophie, tout en embrassant Jean, se dégage du fond du canapé et Patrick en profite pour dégrafer son soutien-gorge, libérant ainsi les deux seins qu’il retenait.
A la surprise de Jean, Sophie quitte sa bouche et offre ses lèvres à Patrick pour un baiser passionné et sans retenue.
Patrick plaque Sophie dans le fond du canapé avec sa bouche, pendant que sa main caresse son sein. Jean embrasse le cou de sa belle, tandis que ses doigts parcourent ses flancs maintenant nus et agacent son téton. Le spectacle est incroyablement érotique… bien autre chose que ce qui passe à l’écran et que plus personne ne regarde.
Puis Patrick bascule la tête de Sophie sur les genoux de Jean, l’allongeant ainsi dans le canapé. Elle soulève légèrement les reins pour l’aider à faire glisser sa petite culotte le long de ses jambes. La voir offrir sa chatte aux regards de Patrick décupla l’excitation de Jean, bien à l’étroit dans son caleçon.
Après lui avoir entièrement retiré son string, Patrick se penche pour admirer puis goûter le trésor qu’il convoite depuis plusieurs minutes. Sophie écarte les jambes pour mieux laisser la langue pénétrer son intimité. Un feulement s’échappe de ses lèvres lorsque la langue entre en contact avec sa petite chatte trempée.
Sophie se redresse légèrement sur ses avants bras, et Jean en profite pour enlever pantalon et caleçon, mettant ainsi à nue sa queue gonflée et palpitante. Sophie ouvre les yeux et constate la rigidité du membre de son homme.
– (dans un souffle) j’ai envie de ta queue… donne ma ta queue…
Jean se décale sur le côté, et son sexe vient naturellement se présenter devant les lèvres de Sophie qui sort une langue mutine.
– ooohhh… elle est bonne ta queue… elle coule un peu… c’est bon…
– suce moi mon amour… suce moi bien…
– mmm… ta queueee… sa langue… mmm…
Tandis que la langue de Patrick fouille son intimité, naviguant du clitoris à l’anus palpitant, Sophie lèche consciencieusement le gland gonflé de Jean. Elle l’embrasse, le cajole, le suçote avant de l’enfourner au plus profond de sa bouche en grognant de plaisir.
Sophie se délecte de la queue de son homme. Il mouille énormément et ce liquide qu’elle avale avec gourmandise l’excite. La langue sur sa chatte lui procure un bien être fou, et le doigt que Patrick fait glisser sur sa rondelle lui donne des envies… elle regarde Patrick avec de la luxure dans les yeux. Elle a son regard de chienne en chaleur et elle se tourne vers lui, tout en gardant la queue de Jean au creux de sa main pour la branler lentement.
Patrick se déshabille rapidement et vient présenter une queue fièrement dressée devant le visage de Sophie.
– oooh… elle est bien grosse… grosse comme j’aime… elle a l’air dure…
Elle se tourne vers Jean, cherchant un acquiescement. Elle constate qu’il n’est pas jaloux et se penche vers la bite tendue qui tressaute devant elle.
– suce ma queue Sophie, suce la bien… montre tes talents de suceuse… t’es si bonne…
Le compliment fait sourire Sophie, et elle dépose un baiser appuyé sur le gland, avant de lever les yeux vers Patrick et de lui sourire à nouveau. Elle se met à quatre pattes, tend la main, caresse la tige dressée en un lent mouvement, et vient soupeser les couilles gonflées. Elle les emprisonne dans sa main et amène ainsi la grosse bite à ses lèvres.
Sucer Patrick, devant Jean, l’excite tellement qu’elle sent sa chatte s’humidifier encore plus. Sa langue tourne autour du gland puis redescend jusqu’à la base de la bite, pour y gober les boules l’une après l’autre. Elle remonte lentement vers le haut et avale la queue, le plus loin possible dans sa bouche. Elle accélère le mouvement en le pompant littéralement.
– oooh putain… elle est trop bonne sa bite… met moi ta queue mon chérie… enfile moi ta queueee…
– c’est ça qu’tu veux mon amour, hein…
– ouiii… mets la moi bien au fond… je veux sentir ta queue dans mon ventre… pendant que je suce sa grosse bite…
Jean prend sa queue à pleine main et, dardant son gland vers la chatte dégoulinante, il s’enfonce d’une seule poussée. Le cri que pousse Sophie est étouffé par la bite qui lui emplit la bouche. Jean commence de profond va-et-vient et pénètre sa femme de toute la longueur de sa queue. Sophie gémit et pompe la bite qui lui déforme la bouche, creusant ses joues. Patrick l’a saisie par les cheveux et lui imprime maintenant son rythme… elle est baisée des deux côtés. Les mouvements de bassin des deux hommes sont à l’inverse… lorsque qu’une queue se retire de sa chatte, l’autre lui investit la bouche… et vice versa…
Sophie halète… elle s’accroche à la bite qui lui emplit la bouche. Patrick a compris et stoppe tout mouvement, laissant à Sophie le soin de s’occuper de sa queue. Jean ralentit sa cadence et écarte les fesses de sa belle. Ses yeux regardent sa queue durcie qui pénètre lentement la chatte étroite et qui semble comme retenue par les petites lèvres lorsqu’il se retire… il fixe l’anus ouvert qui appelle à la pénétration… il regarde sa femme avec la bite d’un autre dans sa bouche… Sophie profite de cet apaisement et tandis qu’elle malaxe doucement la paire de couilles d’une main, elle branle lentement la tige gonflée de l’autre. Elle suçote le gland écarlate, le léchant, l’embrassant, se régalant de la liqueur qui coule maintenant abondamment. Les gémissements fusent…
Jean prend beaucoup de plaisir à prendre Sophie et à la voir se régaler de la queue qui luit entre ses lèvres… Sophie savoure d’être ainsi baisée… elle profite pleinement des deux queues qui la propulse inexorablement vers la jouissance… une bite dans la bouche… une autre dans la chatte… elle se sent salope… et jouit immédiatement, sans n’avoir rien senti venir. Elle hurle sa jouissance. Jean en profite et, la saisissant aux hanches, la bourre sans ménagement. Patrick saisit la tête de Sophie d’une main, et de l’autre, se saisit de sa queue gonflée. Le gland bien décalotté et luisant, il donne des bifles à Sophie qui, surprise, se met à couiner de contentement. Elle se fait défoncer la chatte, se prend des coups de bite sur le visage… et elle adore ça…
Jean est également très excité par cette vision et, se propulsant au plus profond de la chatte accueillante, il éjacule à longs traits. Ses râles de bonheur se mêlent à ceux de Sophie qui sous l’effet de l’éjaculation, jouit une nouvelle fois intensément.
Sophie reprend la queue de Patrick en main et la branle avec énergie. Jean se retire, et un filet de sperme s’échappe de la chatte béante et coule le long des cuisses. Il s’assied, à moitié allongé… mais voir sa femme sucer un autre, comme une salope affamée et onduler du cul, comme une petite chienne en manque, le fait rebander aussitôt. Sophie s’en aperçoit et, abandonnant la queue qu’elle savoure, elle vient chevaucher son homme, se saisissant de sa bite en pleine forme pour se l’introduire. Elle aime s’empaler sur sa queue…
Sophie savoure l’intromission et commence une danse du bassin des plus sensuelles. Elle regarde Patrick en gémissant et en se passant la langue sur les lèvres… tandis qu’il se branle à quelques centimètres d’elle. Puis elle se tourne vers Jean et s’affaisse sur lui pour l’embrasser à pleine bouche. Il a posé ses mains sur ses hanches, et accompagne ses mouvements de bassin. Elle redresse un peu la tête, lui sourit, et se tourne à nouveau vers Patrick.
– viens… viens… j’ai envie de toi aussi.. en moi…
Ce disant, elle stoppe tout mouvement et des deux mains, elle écarte ses fesses.
– j’ai envie de te sentir là… mets la moi Patrick… sodomise moi…
Patrick ne se le fit pas dire deux fois, et il s’installe dans le dos de Sophie. Son gland bien décalotté luit de salive. Prenant sa bite à pleine main, pour la faire durcir et grossir encore plus, il se présente face à l’anus palpitant. La queue de Jean est enfouie bien profondément dans la chatte de Sophie mais ne bouche pas. Patrick taquine l’anus avec son gland, arrachant de petits cris à Sophie. Son petit trou s’ouvre de plus en plus sous la caresse et Patrick, à son tour, s’enfonce avec délice, son gland passant sans problème la barrière de l’anus dilaté. Sophie relève la tête, la bouche grande ouverte, un cri silencieux s’échappant de ses lèvres. Elle est bien prise et ils restent ainsi, tous les trois, un instant sans bouger. Jean sent la chatte de Sophie qui se contracte sur sa queue. Il perçoit aussi la bite de Patrick qui a investit le cul de sa femme. Sophie veut profiter au maximum des bites qui sont en elle et elle se masturbe en resserrant alternativement ses muscles du vagin et de son derrière. Puis, la tension se faisant trop forte, Jean commence à bouger sa queue dans la chatte dégoulinante. Patrick prend ces mouvements comme une invitation et commence vraiment à sodomiser qui Sophie. Les deux queues l’investissent totalement et elle se met à hurler… Sophie profite de ces intromissions et elle bouge frénétiquement ses hanches. Elle est pistonnée sauvagement, Jean et Patrick alternant les progressions et les retraits de leurs queues dans sa chatte et son cul. Les mouvements sont plus secs, plus profond, plus brutaux. Sophie sent que les deux queues vont bientôt jouir et elle crie :
– sur moi !!! sur moi !!!
Patrick se retire aussitôt et Sophie se met sur le côté et s’allonge entre les deux hommes. En gémissant, elle se saisie des deux bites et les branles frénétiquement. Elle halète, sentant que le sperme arrive bientôt. Elle se sent puissante d’avoir ces deux queues entre les mains… une jouissance cérébrale monte dans sa tête. Jean reprend sa bite en main et se masturbe, imité par Patrick. Sophie se presse les seins, la bouche ouverte, et regarde alternativement les deux queues prêtes à jaillir. Et soudain, un premier jet fuse, aussitôt suivi d’un second. Les deux queues éjaculent un sperme abondant qui vient s’écraser sur la poitrine de Sophie. Tous les trois exprime leur joie et leur délivrance.
Une fois les couilles bien vidées, Sophie, avec un sourire ravi de cochonne, nettoie les deux queues, effaçant toute trace suspecte sur les glands sensibles. Puis, elle s’affaisse dans le canapé, et Jean vient s’asseoir à côté d’elle.
Sophie met la tête sur l’épaule de son homme, ferme les yeux et se caresse les seins. Elle étale le sperme qui la recouvre sur ses tétons encore durcis, puis porte les doigts à sa bouche pour les sucer consciencieusement. Elle se prête à penser qu’elle vient de se faire baiser par deux hommes… qu’elle vient de recevoir deux queues en elle… deux bonnes queues qui ont bandé pour elle… qui ont giclé pour elle… elle se dit qu’elle vient de vivre un moment fantastique et se plaît à imaginer qu’en bonne salope qu’elle est, elle se verrait bien maintenant se retrouver seule avec son homme… et une autre femme aussi salope qu’elle…
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