Je pensais passer un dimanche après-midi tranquille. Ma mère était venue me voir la veille et elle m’avait fait les critiques habituelles. Je me demandais pourquoi elle n’avait pas digéré mon départ de la maison. Maintenant, j’avais un petit logement et c’était tout ce que je pouvais me payer mais ça me suffisait.
Il y a quelques mois, j’avais largué mon dernier compagnon qui m’avait trompée avec ma meilleure amie et je commençais à mieux respirer preuve que je n’avais pas besoin d’être en couple pour exister.
Après avoir fait la vaisselle, je me suis vautrée dans le fauteuil et j’ai regardé la télé mais je n’ai pas tardé à bâiller et je suis allée m’allonger sur mon lit dans ma chambre. Je regardais le plafond tout en me caressant. J’avais retiré ma blouse, mon soutif, ma petite culotte. C’était vraiment la meilleure façon de vivre. L’été dernier, j’étais allée passer trois semaine dans un camp naturiste et je m’étais éclatée. Un soir, en faisant un tour sur la plage au clair de lune, j’avais découvert un trio qui s’amusaient dans les fourrés. Une jolie blonde s’y faisait prendre par deux hommes, comme un énorme sandwich sauf qu’elle avait les saucisses dans l’anus et dans le vagin et ça semblait lui plaire et je les avais regardés pendant un moment avant de rentrer à ma case.
Le lendemain, en allait m’acheter à manger à la boutique, j’étais tombée nez à nez avec la femme et elle m’a tout de suite dit qu’on s’est vues la nuit dernière. Comment avait-elle eu le temps de me remarquer et de se souvenir de moi ? Elle m’a fait un sourire avant de disparaître.
Allongée sur mon lit, les doigts sur ma coupe, j’ai regardé par la fenêtre et j’ai vu mon amie Mona avec Colette, une amie à elle et qui regardaient pour vois si j’étais là puis elles ont sonné. Je me suis levée de mon lit et je suis allée leur ouvrir et Mona s’est moquée de moi en me demandant pourquoi je suis nue. Je ne m’en était même pas rendue compte.
– Elle aime la chatte, a-t-elle dit à Colette, en posant sa main sur mon ventre ! Je parie que tu était en train de te masturber !
J’ai rougie devant les deux femmes.
– Regarde ce que j’ai apporté, a-t-elle ajouté en plongeant la main dans son sac et elle en a sorti un gode de cinquante centimètres de long et six de large, superbe imitation mais un peu exagérée. Je lui ai dit que jamais je ne pourrais prendre ça.
– Mais si, mais si, a-t-elle insisté en faisant passer le gode dans ses doigts ! On va l’essayer toutes les trois ! C’est la dernière acquisition de la boutique !
C’est vrai qu’elle tenait un sex-shop, dans une petite rue derrière la gare et j’y étais allée une seule fois, pour l’inauguration.
– On y va, a-t-elle ajouté en me mettant la main au cul ! Si tu veux, on va aussi se le mettre dans le cul !
Une fois dans la chambre, les deux femmes se sont déshabillées et j’ai découvert le corps de Colette, si sensuelle, si troublante.
– Tu veux me lécher, m’a-t-elle demandé ? Ça fait un bon moment que je n’ai pas fait ça !
Elle s’est allongée sur le lit, cuisses ouvertes et je me suis agenouillée entre ses jambes et j’ai commencé à lécher.
– Oh, putain, ce qu’elle est efficace, a hurlé Colette ! Continue !
J’ai continué un petit moment et je n’ai pas pu l’empêcher de jouir sur mon visage.
– Ça fait combien de temps que tu n’as pas baisé, m’a demandé Mona ?
– Euh, je sais pas ! Trois semaines !
– Oh, moi, je ne pourrais pas, m’a-t-elle répondu ! J’ai toujours besoin de me faire mettre ! Baise-moi !
Comme elle me tendait le gode et ses fesses, je l’ai enfoncé dans son anus parce que c’était ce qu’il y avait de plus près de l’embout et la moitié du gode a disparu dans ses fesses. Colette s’était assise auprès de nous et elle regardait.
– J’aurais jamais cru ça possible, nous a-t-elle lancé !
Je lui ai répondu que je suis prête à essayer et elle m’a arraché le gode de la main et une fois penchée en avant, elle me l’a enfoncé dans l’anus mais c’était trop horrible et j’ai poussé des cris jusqu’à ce que le gode me soit enfoncé dans la chatte où j’ai bien plus apprécié.
Au bout d’un quart d’heure, elle m’a arraché un orgasme. J’avais été vaincue. Je suis allée chercher une bouteille dans la cuisine et nous avons bu.
– C’est quand même bon, une queue, a alors dit Mona !
J’aurais pu lui répondre mais j’ai préféré me taire parce qu’une chatte, c’est bien plus agréable. Enfin, c’est mon avis. Si seulement les bites pouvaient vivre seules, sans le mâle qui les accompagne.
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