HISTOIRE DU NET
Mon nom est Yan. Je vis avec mon père Franck et ma mère Amélie dans un appartement non loin de la plage. Comme chaque été, mon oncle Alfred, ma tante Donna, la soeur de ma mère et ma cousine Lily étaient venus passer trois semaines chez nous durant les vacances.
Cette année-là, ma soeur aînée Julie étant partie faire un séjour linguistique aux États-Unis, nous avions décidé de prêter sa chambre à ma cousine. Mes parents dormiraient dans le salon, sur un matelas tandis que mon oncle et ma tante prenaient leur chambre.
À leur arrivée en début d’après-midi, après les avoir aidés à s’installer et mangé quelques sandwichs, nous décidâmes d’aller à la plage en attendant le soir.
L’après-midi passa très vite entre les baignées dans l’eau et les matchs de foot sur le sable. Vers 18h, nous rangeâmes nos affaires et retournâmes à la maison. Après le dîner, épuisés par la journée, nous convînmes de passer une soirée tranquille avant d’aller nous coucher.
Vers 22h, je sombrai dans un sommeil profond et riche en rêves étranges. Soudain, j’entendis une voix lointaine dans mon rêve qui me disait « Réveille-toi, cousin ! ». La voix reprit tandis qu’une main secouait mon corps encore endormi. Je rouvris lentement les yeux et regardai mon réveil : 2h du matin. Je levai la tête et vis ma cousine mi-choquée mi-excitée qui continuait à me secouer.
— Qu’est-ce qu’il y a, Lily ?
— Lève-toi ! Il faut que tu voies quelque chose !
Je me levai ensuite en grognant d’avoir été réveillé à une heure aussi tardive. Ma cousine me guida jusqu’à la cuisine. Devant la porte de la pièce, Lily me fit signe de m’arrêter. Elle mit ensuite un doigt sur sa bouche pour me dire de ne pas faire de bruit.
Ma cousine entrouvrit la porte et me fit signe de regarder à travers le petit espace qu’elle avait aménagé. La lumière était allumée dans la cuisine, ce qui signifiait que quelqu’un s’y trouvait. Je regardai donc par l’entrebâillement de la porte. Surprise !… Stupéfaction !… Incrédulité !…
Malgré mon champ de vision restreint, je pus clairement distinguer le corps nu de mon père. Une femme était couchée à plat dos sur la table, les jambes posées sur ses épaules. Ne pouvant clairement voir le visage de la femme, je me risquai à entrouvrir la porte davantage et à glisser ma tête dans l’interstice.
Choc !… La femme couchée sur la table, les traits du visage déformés par le plaisir intense que les coups de reins de mon père lui donnait n’était autre que ma tante Donna ! Mon père était en train de faire l’amour à ma tante, la soeur de sa femme !
Je me reculai de peur d’être surpris mais mes yeux ne pouvaient se détourner de la scène qui se déroulait juste devant eux. La main de ma cousine prit la mienne. Je tournai la tête vers la main de Lily. En regardant la main de ma cousine, je vis son index pointé vers mon entrejambe.
Horreur !… Mon corps trahissait mon excitation ! Qui plus est par une scène qui aurait dû me choquer plus qu’autre chose !
Lily m’entraîna jusque dans ma chambre. Nous nous assîmes sur mon lit et discutâmes longuement.
— Alors, qu’est-ce qu’on fait, cousin ?
— Que veux-tu qu’on fasse ? Ton père et ma mère ne nous croiront jamais si on leur dit sans preuve qu’ils sont cocus. Ils ont trop confiance en mon père et ta mère pour ça.
— Il faut trouver le moyen de les prendre sur le fait.
— On pourrait les photographier s’ils recommencent. S’il y a une prochaine fois.
— Il y en aura sûrement une. Vu comme ils prenaient leur pied, ils ne vont pas tarder à recommencer.
— Tu as raison. Bon, il vaudrait mieux qu’on aille dormir.
— Parce que tu arriveras à dormir après avoir vu ça ? Et dans cet état ?
En disant cela, Lily pointa de son doigt la bosse qui déformait encore mon bas de pyjama.
— Bien sûr !
— C’est ça… Je vous connais, vous, les mecs. Vous ne pouvez pas dormir quand vous êtes durs. Laisse-moi t’arranger ça.
— Quoi ?! Mais tu es complètement fêlée ou quoi ?! C’est de l’i****te !
— Mais non ! Sucer ne veut pas dire baiser.
— D’accord, présenté comme ça, ce n’est pas dramatique. Mais pourquoi je devrais te montrer ma queue alors que toi tu restes habillée ?
— Quoi ? Tu as peur d’en avoir une trop petite ? Ton père est plutôt bien monté alors je ne vois pas pourquoi tu en aurais une petite.
— Et ta mère a une poitrine plutôt… Généreuse. Tu as peur de ne pas rivaliser avec ?
— D’accord ! Je te sucerai seins nus ! Ça te va, petit cochon ?
— Eh ! C’est toi qui m’as réveillé pour me montrer ça !
— Bon, tais-toi et baisse ton froc, qu’on aille dormir !
Je baissai mon bas jusqu’à la hauteur de mes genoux tandis que Lily retirait son haut. Je regardai la poitrine dénudée de ma cousine. Ferme et de bonne taille, elle n’avait rien à envier à celle de sa mère.
Ma cousine empoigna mon sexe dur et porta sa bouche à mon gland violacé par le désir. Après quelques lents va-et-vient, Lily recracha ma verge.
— Hum… Tu es bien monté, cousin ! Mais, de grâce, quand tu vas jouir, dis-le moi et je te laisserai éjaculer sur mes seins. Je n’aime pas avaler le sperme.
Je hochai la tête en signe de compréhension et ma cousine reprit son lent mouvement sur mon sexe. Au fur et à mesure que les lèvres de Lily allaient et venaient sur ma verge, je gémissais de plus en plus fort. Ma cousine accéléra son mouvement et je sentis que je n’allais pas tarder à jouir.
— Arrête, Lily ! Je vais jouir !
Lily recracha ma verge et l’empoigna pour la masturber en prenant bien soin de se pencher de façon à ce que mon sperme recouvre sa poitrine. Quelques secondes suffirent pour me faire éjaculer dans un râle de plaisir.
Lorsque je fus apaisé, ma cousine récupéra son haut et se dirigea vers la salle de bain pour se nettoyer. En repassant devant la porte, Lily me souhaita une bonne nuit et alla se coucher.
Ces trois semaines se promettaient… Mouvementées.
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