Je suis une femme blonde aux yeux bleus de taille moyenne, très sportive, slave d’origine. A l’école j’étais douée pour les langues et j’aimais beaucoup de théâtre. J’ai été repérée par l’armée et envoyée dans une école spéciale de formation d’agents de renseignement. C’est un entrainement très complet sur plusieurs années avec des sports de combat, de la culture internationale, des sciences appliquées, des technologies de communication, de la psychologie et un apprentissage des techniques de séduction. Ce dernier enseignement comportant un volet d’entrainement très concret faisait de nous des escortes aptes à toutes les performances. On sort de cette école en ayant déjà tué et avec le grade d’officier des services secrets. On est envoyé en mission partout dans le monde. Ce sont des missions dangereuses qui demandent des nerfs d’acier.
Ma première mission était en Afrique noire. Ma couverture était d’être technicienne de télécommunication à l’ambassade de mon pays. Mon objectif était de séduire le ministre des affaires étrangères du pays pour le compromettre en vue de le corrompre. C’était un géant obèse qui avait plusieurs femmes. Lors d’une réception à l’ambassade je fus chargée de le recevoir et de lui présenter mon travail. J’avais soigné mon look et fut séduisante. Il sembla très intéressé et me demanda de venir à son ministère en parler à son spécialiste qui était chargé de ce sujet. Le rendez-vous avec celui-ci dura deux heures et à la fin il me dit « le ministre vous attend pour conclure ».
Je fus introduite dans un grand bureau. Le ministre seul, assis dans un fauteuil téléphonait. J’attendis debout. J’avais une minijupe, un petit haut léger qui ne cachait rien de mes petits seins. Je me tenais jambes et cuisses un peu écartées et le bassin en avant. Il ne pouvait pas manquer la bosse de mon pubis placé à la hauteur de ses yeux.
Quand il raccrocha il me regarda de la tête au pied, en remontant son regard vers mon bassin, et me dit « on ne va pas perdre de temps car j’en ai peu ; ton look de petite pute futée m’excite ; tu vas baiser avec moi maintenant ». Pas vraiment surprise je fis l’étonnée, puis la séduite en lui montrant que je me sentais honorée. Il ajouta en me regardant bien dans les yeux « A poil et viens me sucer ». Je laissai mes vêtements, mon sac et mes talons hauts sous moi et je m’approchai nue à 4 pates en ondulant du cul. Il avait sorti de son pantalon un véritable anaconda. J’ai eu du mal à le prendre en bouche. Il raidit très vite et toujours en restant dans son fauteuil il me dit « vient sur moi salope et baise moi ». Je me mis à cheval sur ses énormes cuisses et je guidai son membre à l’entrée de mon sexe. Là aussi j’eu du mal à le prendre en moi. Je l’ai ensuite baisé en le faisant pénétrer au fond de mon vagin, mais tout ne rentrait pas. J’ai utilisé tous mes muscles pour bien le stimuler. Il était endurant et je mis une heure à le faire jouir. Pour s’amuser il m’avait martyrisé les tétons et pénétré le cul avec ses doigts. Il m’avait fait mal mais je couinais comme si j’avais un plaisir extrême. Il déchargea en moi une énorme quantité de fluide. Puis il se leva d’un coup me laissant tomber au sol et dit en rebouclant son pantalon « tires-toi j’ai un rendez-vous, t’es assez bonne je te referai signe ». Rapidement je remis mes vêtements, ramassais mon sac et sorti de la pièce avec du sperme qui me coulait sur les cuisses. Le soir je remis à mon chef le fichier numérique de cet entretien enregistré par mon sac à main qui était placé exactement où il fallait pour avoir son et image de bonne qualité. Je fûs mutée rapidement avant que l’exploitation du fichier ne commence. La mission n’avait pas été trop difficile.
Une autre mission fût assez rapide. J’avais été infiltrée comme femme de ménage dans une grande société dans le but de photographier les documents. Le service de sécurité n’habilitait que du personnel de nettoyage aux capacités très limitées mais je savais déjouer ce filtre en passant pour très conne. Je m’étais fait un look négligé adapté à ma fonction. J’utilisais un appareil photo miniature caché dans mon vagin pour déjouer la fouille par sondage pratiquée à fin du service. Tous les matins très tôt je vidais les poubelles, nettoyais les sols, les sanitaires. J’avais interdiction de toucher aux documents laissés souvent tard la veille par les dirigeants sur leurs bureaux mais je me contentais de les prendre en photo. Des vigiles passaient dans les bureaux de temps en temps et me surveillaient sans en avoir l’air. L’un d’entre eux m’observait souvent avec insistance gênant ainsi ma mission secrète. Je compris que c’était surtout mon cul qui l’intéressait. Pour m’en débarrasser je lui proposais, après avoir caché l’appareil photo, de baiser vite fait en lui disant « si ça te dit, j’ai envie ». C’était un homme costaud assez grand. Il me troussa le tablier et la jupe, descendit ma culotte et me pris sur le coin d’un bureau. Quand il eut joui je lui dis « c’est mieux si on fait ça en dehors ». Il m’a alors laissé travailler. Trois jours après j’avais réussi la mission en prenant des photos des documents de projets convoités.
J’ai aussi le souvenir d’une mission plus délicate. Il s’agissait de gagner la confiance d’un cardinal pour tenter d’identifier un de ses proches ayant accès au coffre où étaient conservées des informations capitales. Je me fis passer pour une journaliste voulant l’interviewer. J’avais révisé mon « catéchisme » et soigné un look strict. La prise de contact fut agréable. C’était un homme cultivé qui semblait apprécier le contact avec une jeune femme croyante et bien élevée. Nous parlâmes des différentes missions qu’il avait au saint siège dont certaines concernaient les finances de l’église. Il nous fallut plusieurs entretiens dont le dernier avait pour but de lui faire relire ma copie avant diffusion. J’avais glissé dans ma rédaction des informations très confidentielles qu’il ne m’avait pas données.
Il fut interpellé et me demanda où j’avais eu ces informations. Je lui expliquais que mes sources étaient multiples pour bien éclairer le sujet mais secrètes par déontologie professionnelle. Je le vis très embêté, plus que soucieux. Il appela son secrétaire, un tout jeune prêtre fort beau, pour lui remettre mon document en lui disant « merci de mettre ce document immédiatement en sécurité ». Puis il me demanda de ne rien diffuser car il devait en référer à son hiérarchie. Je n’eus aucun mal à identifier ce secrétaire et à me renseigner sur lui. Ce fût une de mes collègues qui se chargea de l’approcher pour se renseigner sur le coffre convoité. Elle mit du temps mais arriva à ses fins, le jeune homme ayant lui aussi un talon d’Achille, il aimait les hommes et on en mit plusieurs sur sa route.
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