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Tchat, délire et application

Tchat, délire et application



Au cour d’un tchat avec un contact. Une idée lancée et un délire…. Et récupérés au vol en se disant qu’il fallait mettre tout çà au point… Et surtout le mettre en application.

Voilà l’histoire que je vais raconter : la mise en application de cette idée et de ce délire du chat.

-o0o-

-Véro, tu as prévu quelque chose samedi soir pour nous trois?
-Non ! Pourquoi ?
-Je voudrais profiter de la soirée avec Chris… Restau, boite, etc.
-Et bien vas y. Profites.
-Bon, je vais retenir le restau. Merci.

Petit sourire en coin de ma compagne…. Et un petit bisou.

Chris a donc été prévenu qu’il ne fallait pas qu’il prévoit autre chose ce soir là. Et que je l’invitais au restau et en soirée. Une soirée que pour nous deux.
Le samedi après midi, il est allé voir des copains. Véro et moi en avons profité : le canapé est si confortable….
Quand il est rentré, il est passé sous la douche, s’est habillé et a attendu…. Que j’ai fini de me préparer….Douche. Maquillage. Habillage : chemisier, jupe mi cuisse, chaussures non fermées à talons hauts, soutien gorge et string.

Là, étonnement de Véro qui était avec moi dans la chambre.
-Tu mets un string ? Toi ? Sous une jupe ?
-Oui ! Et même plus….
Et je lui tendis mon œuf vibrant.
-Si tu veux bien me le poser s’il te plaît !!!
Ce qu’elle fit avec le doigté que je lui connais… Plein de douceur… Non sans avoir un air dubitatif et interrogateur… Je lui expliquais donc l’idée et le délire ; et que je prévoyais de mettre tout çà en application dans la soirée.
Sur le coup, elle éclata de rire.
-Tu te doutes bien que le minimum que tu as prévu va certainement déborder ?
-Des fois un plan ne se passe pas exactement comme prévu… Tu m’attaches les cheveux ?
Et elle me fit une tresse qu’elle orna d’un boucle en argent.
-Aller, hop, vas y… Vers l’infini et au-delà…Je le connais, il va s’impatienter.
Une tape sur les fesses me poussa en avant.

La salon. Du fond du canapé, Chris me regarda de bas en haut et vice versa. Et je lu un silencieux « Wouaouh ! ».
-On y va ?
Un petit bisou de chacun à Véro, qui de ses deux mains nous tapa sur le cul.
-A demain. Amusez vous bien !

Le trajet pour le restau dura une vingtaine de minutes. Sur le parking quelques voitures. Chris se gara en marche arrière, comme d’habitude.
La réception.
-Nous avons réservé. Madame et monsieur X.
-Oui par ici s’il vous plaît.
Et on nous conduisit vers une table au fond de la salle dans un coin. Exactement celle que j’avais demandée. Et, comme prévu, la nappe qui descendait jusqu’au sol, « excellent ». Je m’assis face à la salle, Chris en face de moi.
Un regard circulaire. Quelques couples tranquilles : deux jeunes et le reste quelques personnes « âgées »
Le maître d’hôtel avec la carte.
-Je vous laisse choisir. Un apéritif ?
-Pour moi un Perrier rondelle.
-Et pour moi un Octomore. Merci
Et il nous laissa. Puis on nous servi l’apéritif demandé.
Je levais mon verre. Les yeux rivés dans les siens.
-A nous. A notre famille. A cette soirée.
-Salud
Commande.
Nos doigts joints sur la table, tout en discutant, nous sirotions nos verres.
Entrées.

Je relevais un peu ma jupe et commençais a descendre mon string en me tortillant dans mon fauteuil.
-Mais qu’est ce que tu fais ? Qu’est ce qu’il t’arrive ?
-J’ai mis un string et il me gène.
-Et alors ?
-Ben je l’enlève !!!
-Ici ? Regard autour de lui.
-Oui ! De toutes manières c’est trop tard, je l’ai à mi cuisse…
Et je finis de le faire glisser le long de mes jambes. Je me penchais pour le récupérer sous la table et en même temps fouillais dans mon sac.
Puis, par dessus la table, je lui tendis le string pendu entre mon index et mon majeur en le faisant balancer. Et d’un air innocent et sous ses yeux ébahis :
-Tu le veux ?
-On pourrait nous voir ! Sois discrète !
Et il me l’enleva des doigts à la volée. A droite, plus loin, à la table du petit couple, la jeune femme regardait vers nous avec de grands yeux étonnés. Je lui souris, lui fis un clin d’œil et me retournais vers Chris.
-Ah, aussi ! Tu as oublié çà …
Et j’ouvris les deux derniers doigts de ma main tendue. Dans la paume était posée la télécommande de l’œuf que je portais.
Rires.
-Je vois ! Allumage ?! Me dit-il en prenant l’objet au creux de ma main…Allumage et vibrato.
Et sur ces mots, il appuya sur le bouton. Instantanément, dans mon ventre je sentis les vibrations se diffuser. Masser mes organes. « oh merde ! Je l’ai bien cherché ». Je m’affalais dans le fauteuil, les bras sur les accoudoirs mes mains les serrant à m’en faire sauter les ongles. J’exhalais un soupir, les muscles contractés.
Et tout aussi brusquement que cela a commencé, cela s’arrêta. Instantanément, mon corps relâcha la pression, mes mains desserrèrent leur étreinte. Et je repris conscience du monde qui m’entourait. Plus loin a droite, la jeune femme était penchée en avant vers son compagnon et, jetant des coups d’œils dans notre direction, semblait expliquer se qu’il se passait à son homme qui n’osait pas se retourner. Et en face de moi : Chris… Avec un sourire, qui m’observait.
-T’aurais pu attendre ! Je pensais pas que tu ferais aussitôt !
-Ah ! C’est pas pour çà que tu me l’as donnée ?
-Si, mais quand même….
Et je m’aperçus alors, qu’il tenait encore la télécommande dans sa main et qu’il allait appuyer sur le bouton. Précipitamment, je posais la mienne par dessus.
-Non, attends, s’il te plaît. Que j’ai le temps de manger l’entrée…
-OK ! Mangeons…

Et nous attaquâmes notre assiette. Le plaisir çà creuse. Souriant, discutant, profitant du moment. Sous la table mon pied, débarrassé de sa chaussure, caressait doucement ses mollets. Habitué, il ne disait rien et continuait à parler…
Et puis, mon pied monta plus haut, doucement. En face de moi, les yeux devinrent interrogateurs. Le pied poursuivit son chemin ; passage du genou. Agrandissement des yeux, l’air de dire « non ! Arrêtes ! Mais si tu as envie continues ». Remontée des cuisses qui, sembla-t-il, venaient de s’ouvrir. Enfin, mon pied se posait pile sur l’objet de mes désirs. En face de moi, Chris était appuyé sur les coudes, le menton reposant sur ses mains, ses yeux souriant rivés aux miens, et les lèvres en cul-de-poule qui me soufflaient un délicat et presque inaudible « ssssshhhhhhhhhhh ».
Pendant que mon pied, sous la table, massait le sexe qui donnait des signes manifestes de redressement productif, au dessus de la table, nos yeux étaient fixés sur ceux de l’autre et nos visages présentaient des sourires béats de personnes heureuses d’être ensembles.
Le serveur arriva pour desservir nos assiettes vides.
-Cà va ? Cà se passe bien ?
Sous la table les cuisses se resserrèrent, bloquant mon pied. Mais pas totalement, mes orteils bougeant encore sur la bite bandée.
-Cà va. Oui c’est parfait. Merci.
A cet instant précis, je sentis dans mon bas ventre monter en puissance une vibration. Mes yeux se posèrent sur la main de Chris, et remontèrent vers son visage. Un petit sourire farceur l’illuminait. Il venait d’appuyer sur le bouton de la télécommande.
Mon corps vibrait, tendu. Des vagues de sensations partaient de mon ventre pour irradier la moindre de mes terminaisons. Mes cuisses tremblaient. Mon pied bloqué tremblait. Je sentais entre mes jambes mon sexe mouiller, suinter. Je m’affalais contre le dossier de mon fauteuil et enfouis mon visage dans mes mains. Je me mordais les lèvres pour ne pas hurler. « putain ! Mais je vais inonder le fauteuil si çà continue ! ».
Et puis, tout aussi brutalement les vibrations cessèrent. Je sentis mes sensations refluer, comme retournant vers l’endroit d’où elle était parties. Mes mains s’écartèrent de mon visage découvrant une face rougie et des yeux larmoyant. Et en face de moi, un Chris qui me souriait.
-Cà va madame ? Vous n’avez pas l’air d’être bien. Je peux quelque chose pour vous ?
« Ah ! Hein ! Quoi ! Ah ouais le serveur. »
-Cà va merci. Ne vous inquiétez pas, je suis sujette à des convulsions intempestives. Ce n’est rien. Un verre d’eau et çà repart. Merci de votre sollicitude.
Il débarrassa nos couverts et repartis vers l’office.
Le jeune femme plus loin, semblait prendre plaisir à raconter au jeune homme. Nouveau clin d’œil.

-L’œuf, pas devant lui quand même.
-Ah ? Tu n’aimes pas ?
-L’œuf, oui ! Mais avec le serveur au pied, c’est gênant.
-J’aime te voir jouir.
-Ouais mais quand même…

L’étreinte des cuisses sur mon pied se desserra et il retrouva son autonomie… Et donc le doux massage, sur une raideur qui n’avait rien de maladive. Mes orteils jouaient avec ce sexe dressé dans sa cachette. Et toujours ce petit sourire béat sur son visage.
On nous servit le plat suivant. Le serveur eut un air interrogatif à mon endroit. D’un sourire je calmais son inquiétude. Il nous laissa.

-Si tu continues, je vais venir dans mon boxer…
Il n’eut en retour que mon petit sourire coquin. « Si tu savais comme je te connais. Si tu savais comme je connais les prémices de ton plaisir. Si tu savais comme je vais te faire durer… » pensais-je.
Et le repas se poursuivit, mon pied faisant monter le plaisir de Chris pour l’interrompre au dernier moment. Et le repas se poursuivit, ponctuer par ce doigt divin dispensateur de plaisir via une télécommande et un œuf maintenu au chaud dans un doux écrin.
Si rien de fâcheux n’arriva au boxer de Chris, il n’en fut rien de mon entre jambe. Je n’étais que chaleur. Je n’étais que ruissellement lors des déclenchements. A chaque fois qu’il appuyait, mes sens étaient de plus en plus exacerbés.
Au moment du dessert, je me levais de table, les jambes flageolantes.
-Je vais aux toilettes me rafraîchir un peu. Je crois bien que j’en ai besoin…
-D’accord.

J’avais à peine fait quatre pas, que je sentis au fond de mon bas ventre les vibrations qui revenaient, envahissant par vagues mon corps entier. Il me sembla que mes jambes se dérobaient sous moi et je me retins à l’accoudoir du fauteuil voisin. Celui de la jeune femme qui leva les yeux vers moi.
-Cà va madame ? Dit-elle en se levant.
-Oui, ne vous inquiétez pas, çà passe déjà. Merci.
Elle me regardait avec un air qui semblait dire « Je sais ce qui vous arrive. Et je crois que grâce à vous, je vais passer une bonne soirée »
Je la regardais en souriant, lui fit un autre clin d’œil, et repris ma marche vers les toilettes. Il me semblait sentir dans mon dos le regard de Chris.
Aux toilettes, je me passais de l’eau sur le visage, et dans une cabine je nettoyais mon entre jambe avec une lingette. En me regardant dans le miroir, je me remaquillais… « çà ma fille, tu l’as bien cherché. Le plan commence à te passer par dessus les prévisions… Mais qu’est-ce que c’est bon !! »
Et je revins à table. Le dessert me fit sourire ; une omelette Norvégienne… Pourquoi donc cela me fit-il sourire en voyant le franc sourire de mon olibrius.
Mais mon pied rejoignit l’entrejambe donc l’objet avait à peine diminué de dimension. « toujours en forme ? Alors gardes là… ». Il n’y eu pas d’autre épisode d’œuf.
Après avoir payé, nous sortîmes du restau et nous dirigeâmes vers la voiture à une trentaine de mètres. Chris me pris par la taille et me serra contre lui. Mon humeur badine repris le dessus, ma main descendit vers son pantalon. Au travers du vêtement je sentis le sexe encore tendu.
-Et bien ?
-Arrêtes ! Tu m’as tellement allumé que je vais finir sur orbite…
-Ah ?!
Et je baissais le zip, passais la main dans l’ouverture et réussis à passer la main dans le boxer. « Bon dieu, mais comme il est en forme ! ».
-Tant pis. Tu l’as cherché….
Et la dessus, je sentis la prise sur ma taille s’affermir, et le pas se presser. Le chemin restant jusqu’à la voiture fut vite parcouru. Chris ne pris même pas la peine d’ouvrir les portières ; il nous entraîna à l’abri, derrière.
Il me fit poser les deux mains sur le coffre, releva la jupe sur mes reins. Il défit la ceinture de son pantalon qui tomba sur ses chevilles, et baissa son boxer. Il tira le lien de l’œuf pour le retirer de mon sexe. Il le tendit à mes lèvres et le posa sur ma langue. Il avait le goût de ma mouille.
Je sentis, remontant ma fente, mon clito et les lèvres le gland chaud bouillant du sexe de Chris. J’écartais les jambes, creusais les reins. Le gland trouva l’entrée, et c’est a ce moment que deux mains me prirent par les hanches. Je perçu un grognement et je sentis le long serpent s’introduire. D’un seul coup, jusqu’au fond. Son punis buta contre moi.
-Aaaaahhh !!!! que c’est bon !
-Oui, vas y, baise moi !

De grands coups de reins ponctuèrent ma demande. Des râles de plaisir marquaient chacun de ses coups de boutoirs. La tête relevée je grognais, perdue dans le limbes du plaisir qui me submergeait. Entre mes jambes ma mouille coulait littéralement le long de mes cuisses. Je cambrais mes reins pour lui ouvrir au maximum la voie… Je criais à chacune de ses pénétrations. Mon plaisir montait et c’est à son paroxysme que je criais :
-Oui ! Maintenant ! Viens !
Dans un grognement, son sexe planté au plus profond de mon corps, il lâcha à longs jets sa semence, inondant ma caverne. Son corps, parcouru de soubresauts me dominait.
Abandonnée sur le capot du coffre de la voiture, je jouissais, criant mon plaisir le corps parcouru de spasmes sous les assauts de mon compagnon qui me perforait à grands coups de reins, lui aussi grognant son plaisir.
Au bout des nos orgasmes, il se coucha sur moi, m’embrassa derrière l’oreille et me susurra à l’oreille ;
-Bon dieu que c’est bon. J’en pouvais plus de tes câlineries…
-Et moi j’en pouvais plus de tes vibrations. Si tu m’avais pas sautée, je l’aurais fait… Dans la voiture.
Nous nous redressâmes. Il déposa un petit baiser sur le bout de mes lèvres.
-Attends, je vais te nettoyer un peu.
Je me penchais vers lui, pris son sexe un peu ramolli dans ma bouche et le suçais, aspirant les quelques gouttes de spermes restantes et savourant le jus de nos sexes mêlés. Puis je le nettoyais avec une lingette.
-Et si tu enlevais ton boxer avant de remonter le pantalon…
Rires.
-Si tu veux. Officies.
Ce que je fis, puis remontais son pantalon, rangeais sa chemise dans la ceinture et refermais le tout.
-Voilà, tu es présentable. C’est pas sérieux quand même. Tu as passé l’âge.
-Et c’est toi qui me dis çà !!! Je t’adore.
Et il m’embrassa longuement dans un beau baiser plein d’amour.
-On y va. Maintenant on va danser un peux. Je trouve que tu manques d’exercice.
-Du moment que je te plais encore… A mon âge… Aller, en voiture.
Mais avant de remonter en voiture, il reprit l’œuf et me le réintroduisit.

Le trajet se passa tranquillement. Comme il le fait de temps en temps, il conduisait la main posée sur ma cuisse. J’écartais un peu les jambes, la main ne bougea pas. Je me tournais un peu vers lui, la main resta sagement à sa place. Nous arrivâmes à la discothèque, sans qu’il ne semble avoir perçu le message subliminal « si tu veux me mettre un doigt, tu peux ». J’avais encore chaud au ventre et j’avais encore envie de lui. « qu’est ce que je vais bien pouvoir faire pour te rallumer mon bébé ? ».

La discothèque. Ce que j’appelle « une boite de vieux ». Simplement parce que cet un endroit où l’on danse encore à deux. Vieux rocks, tango, slows, etc. Bref un lieu où il y a encore du contact humain et pas seulement fréquenté par des vieux ; pas mal de jeunes viennent aussi.
Nous trouvâmes un box libre. Une banquette avec une table basse. Je m’asseyais et Chris alla au comptoir chercher des boissons. Il revint avec mon inévitable Perrier rondelle et avec son cocktail Vesper. Il s’assit. Un moment on resta assis en sirotant nos boissons.
-Tu m’as dit que je manquais d’exercice, on va danser ?
-Yes. On y va….
Je me défis de mes chaussures (les talons hauts pour danser, c’est pas pratique) et il m’entraîna vers la piste. De temps en temps, nous nous accordions des pauses dans notre box.
Finalement, vint une série de slows. Chris me pris dans ses bras. Je me retrouvais tout contre lui, ma tête au creux de son épaule, le tenant par la taille.
L’ondulation de nos corps. Le frottement de l’un contre l’autre. La pénombre. Ses mains au creux de mes reins. Son odeur. Son souffle. Cet homme est ma respiration. Nous échangeâmes un long baiser. Nos langues se mêlaient ; chaudes, aimantes, amantes.
Je pris enfin conscience que contre mon ventre grossissait quelque chose. Qui se redressait. Une de mes mains se défit de sa taille pour discrètement passer entre nos deux corps et tâter l’endroit magique… Trouvant, dissimulés par le pantalon, une sacré baguette magique magnifiquement raide et dure.
La main toujours posée dessus, je regardais mon bonhomme.
-Mais, je n’ai rien fait !!!
-J’y peux rien, tu es là, contre moi, je t’aime, l’ambiance… Bref ! Tu me fais de l’effet.
-Je sens çà très bien…
Et tout çà en dansant un slow dans la lumière minimale propre à ce genre de danse « de proximité »… Je souris, et continuais de le regarder en face. Ma main en dessous continuait sa caresse sur le pantalon. Puis elle remontait le long de la tige. Je commençais à baisser le zip…
-Non ! Pas ici ! On va nous voir !
-Tu parles ! Regardes autour de nous ! Ils sont tous occupés à se bécoter ! Il ne font pas attention à nous… Et puis le bas est dans le noir.
Il voulu se séparer de moi. Ma main qui tenait encore sa taille raffermit sa prise et empêcha sa manœuvre. Dans le même temps, je baissais le zip et passais ma main dans l’ouverture.
-Trop tard mon bébé, je te tiens et si tu te détaches de moi elle sortira de ton pantalon.
-Arrêtes ! On peut pas. Pas ici…
Ma main s’était refermée sur le sexe et avec lenteur le branlait.
-Tu n’aimes pas ?
-Non ! Si ! Je sais plus. Mais c’est si bon….
Et ses lèvres se posèrent sur les miennes et reprirent ce doux baiser comme je les aime. Certainement pour donner une contenance à sa gène. Mais sa respiration laissait bien supposer qu’il prenait plaisir à la manœuvre. Ma main dans l’ouverture caressait lentement le sexe raide, plein d’envie… Je roulais les couilles au creux de ma main. Du bout des doigts je massais entre les jambes, cette zone parfaitement sensible. Et pendant un long moment je continuais ma caresse, poursuivant en même temps le mouvement chaloupé des slows.
Contre moi, sur ma bouche se précisait le moment où le plaisir de Chris montait. Le ventre se creusait, son souffle devint plus saccadé, ses bras autour de moi raffermissaient leurs prises.
Ma main toujours emprisonnant son sexe, je regardais mon amant dans les yeux. J’y lu un silencieux :
« Non ! Ne me fais pas venir. Pas ici. Pas dans le pantalon.
Je lui souris. Et lentement, je lâchais le vit près de l’explosion. Je sortais ma main de la braguette et refermais le zip.,
-Merci ! Je t’adore mais j’aurais pas apprécié à fond ton câlin.
-Je sais bien.
La série de slows se termina peu après. M’entraînant derrière lui par la main, nous rejoignîmes notre box. Il se laissa tomber sur la banquette, et je m’assis à ses cotés. Je sentis, sur mes fesses nues, que je m’asseyais sur quelque chose et en regardant je m’aperçus que c’était sa main. Je me soulevais pour qu’il puisse la dégager, mais il ne fit rien pour la sortir… Je le regardais. Il avait son petit sourire malicieux aux lèvres.
-Ah bon !!!
-Oui… Il n’y a pas que toi a avoir des idées…
-Ah bon ?!
Sous moi je sentis sa main bouger. Ses doigts me caresser entre les jambes. Hhhhmmmm !
-J’aime bien quand tu es d’humeur badine. Mais crois-tu que ce soit l’endroit pour….
-Tu parles ! Regardes autour de nous ! Ils sont tous occupés à se bécoter ! Il ne font pas attention à nous… Et puis le bas est dans le noir. C’est bien ce que tu m’as dit tout à l’heure !
Mon rire le surprit.
Mais entre mes jambes, ses doigts trouvèrent mon clitoris… Ces doigts sont magiques et plaisants. Il n’y avait que cela qui bougeait, branlant mon organe qui grossit sous la caresse. Pour ceux qui m’auraient regardés à cet instant, je devais présenter un visage pourvu d’un sourire béat. J’écartais un peu les jambes, mais pas trop… « L’exhibition a des limites » pensais-je… Mais çà serait sans compter avec le caractère joueur de Chris… Et son doigt sur le bouton de la télécommande. Instantanément je sentis le déclenchements des vibrations dans mon vagin. Vibrations qui se propagèrent aux organes alentours. Un frisson parcouru mon corps en entier. Mon dos retomba contre le dossier de la banquette. Ma tête bascula en arrière. Mes bras tombèrent sur l’assise, ma main serrant la cuisse de Chris. Mon sexe mouillait sous moi. Le doigt de mon amant continuait sa sarabande sur mon clito. Les muscles de mes cuisses étaient comme tétanisées. Inconsciemment j’écartais les jambes pour m’ouvrir plus au plaisir qui était en train de submerger toutes mes retenues.
Au moment où j’allais crier mon plaisir, Chris se pencha sur moi et me bâillonna d’un baiser couvrant les lèvres. J’ouvris les yeux. Son regard aussi près du mien surpris le message « arrêtes ! Sinon je vais hurler malgré ton baiser !!! ». Aussitôt les vibrations et le branlage de clito cessèrent. Et mon corps, défait de toute contrainte, retomba.
Un moment je restais là, le souffle court, le corps parcouru de contractions, restes du plaisir qui venait de me renverser. Je pris conscience de mes jambes écartées, et je les refermais.
-Ouch ! Ta main doit être bien mouillée !
-Oui, mais c’est pas grave..
-Tu me mets dans de ces états mon bébé.
Petit rire de mon voisin
-Ah bon ?! Et toi, tu crois que tu me mets dans quel état ?
Discrètement je tâtais l’endroit magique, pour y sentir un sexe bien en forme.
-Non !!!!
-Et oui !!!
Sur çà, je me levais en le prenant par la main.
-Viens !
Et nous sortîmes de la boite. A grands pas, tirant Chris, je me dirigeais vers le fond du parking où était garée notre voiture. Et moi non plus je ne pris même pas la peine d’ouvrir les portières.
J’adossais Chris contre le coffre, défit sa ceinture et baissais le pantalon. Apparu alors ma gourmandise. Sucre d’orge de chair, chaude, dure, goûteuse. Une main fermée sur la hampe, l’autre roulant ses couilles rondes, j’enfournais la tige dans ma bouche avide. Un coup d’œil vers le haut me fit remarquer que Chris, les yeux baissés sur moi, jouissait du spectacle et de la caresse. A grands mouvements de tête, je suçais ce manche, son gland butait au fond de ma gorge à chaque pénétration. Ma main branlait en même temps, et je roulais ses « corones ».
Alors que je suçais sa bite, Chris appuya sur le bouton de la télécommande. Je sentis mon sexe fondre de plaisir. Les vibrations décuplèrent mon ardeur.
Et tout à coup, je sentis dans ma bouche l’éjaculation. De bons jets en saccades, chauds, crémeux… J’adore cet instant où, en le regardant, je vois que Chris perd pied avec la réalité. Et j’aime encore plus l’instant où il reprend contact avec le monde. C’est divin.
Je n’avalais pas immédiatement. Je gardais le nectar de sa bite dans ma bouche. Lorsqu’il eu repris conscience, m’étant relevée, je lui montrais son sperme sur le coussin de ma bouche, puis j’avalais et lui remontrais vide. Un sourire éclairait nos visages.
Je nettoyais son sexe avec une lingette. Et pendant que j’essuyais mon entre jambes, il remonta son pantalon…
-Je crois qu’en rentrant à la maison, je vais sauter sous la douche. Je dois sentir la petite fille mal entretenue.
-Moi aussi pour la douche. On en a besoin tous les deux.
-C’est bon ! Tu es présentable ?
-Oui… Je n’ai pas la jupe prise dans la raie du cul, ta chemise est dans ton pantalon bien fermé… Cà doit aller… On y retourne ?
-Oui. Mais reste sage s’il te plaît.

Bras dessus bras dessous nous repartîmes vers la boite. En passant près d’une voiture, à la lueur de la lune, nous remarquâmes une tête qui montait et descendait en rythme sur le bas ventre d’un homme portant le regard béat de la félicité. Chris et moi nous nous regardâmes et nous éclatâmes de rire.
Le reste de la soirée se passa calmement. Danse, danse, danse…

Et nous reprîmes la route. La main sur la cuisse. Écartement de cuisses… Rotation vers lui… « »Mais tu ne lis plus les messages sensoriels mon bébé ? »…..
Je pris donc la main sur ma cuisse et la fourrais donc directement entre mes jambes sur mon intimité. Surpris il me regarda, et tomba sur mon petit sourire coquinou…
-Hein tu dis ?
-Rien, j’ai rien dit. Tu n’as pas envie de chaleur au bout de tes doigts ?
-Hhhhhmmm !!!
Et un des doigts prit vie… Légèrement… Doucement… Jambes écartées, jupe relevée sur le ventre, je m’adossais au siège, posais la tête contre l’appui-tête et fermais les yeux, savourant cet instant… « c’est bon. Cà délasse ce petit massage de clito… ». Je posais ma main sur l’entre jambe de Chris. Un être vivant subsistait dans le pantalon.
Perdue dans mes pensées érotiques, le voyage de retour me paru fort court. A la maison tout était éteint. A cette heure, Véro devait bien dormir profondément.

La chambre. Mes chaussures volèrent, mon chemisier et la jupe suivirent alors que je marchais déjà vers la salle de bain. J’enlevais l’œuf de mon intimité et le posais sur le plateau des vasques. Je relevais ma natte en chignon « si je mouille mes cheveux çà va être impossible à sécher… ». Chris me rejoignit sous la douche… Il me frotta le dos, le ventre…. Passa sa main entre mes jambes avec un air coquin… Mais bizarrement sans insister… Je fis de même pour lui. Je lui frottais le dos, le ventre… Passais ma main entre ses jambes avec un air coquin…. Mais bizarrement sans insister. Mais quand même avec de petits rires discrets…
Alors que nous sortions de la cabine, Chris me prit dans ses bras. Et sans plus de discours m’embrassa… Ces lèvres. Cette langue. Cette bouche. Tant de fois embrassés. Je lui rendis fougueusement son affection. Contre moi je sentis son sexe reprendre de la vigueur.
-Tu as l’air en forme ce soir dis donc !!!
-Ben tu as l’air bien chaude et pas mal réceptive.
-Ah oui !!! dis je sur un air de constat, Et ?….
Ses deux mains me prirent sous les fesses et il me souleva. Mes jambes enserrèrent sa taille et je croisais les pieds dans ses reins. Mes bras s’enroulèrent autour de son cou. Collée à lui, je lui souris.
-Et maintenant ?
-Maintenant ? Tu aurais envie de quoi ?
D’un coup de menton je lui indiquais le lit.
-Oui, çà se peut…
Et il me transporta… Contre mon sexe je sentais sa bite… « Hhhhhmmm!!!! J’aime ce que çà laisse supposer… «. Il me posa au bord du lit, et tout en m’embrasant, il me bascula à plat dos. Il se trouvait au dessus de moi, dans le berceau de mes cuisses, m’embrassant à pleine bouche. Une de ses mains pelotait mes seins, en roulait les tétons, les massait… Puis elle descendit caressant mon coté, mes cuisses. Puis passèrent à l’intérieur et remontant, s’immisça entre lui et moi, trouvant ma fente. Un doigt trouva mon clito. Chaude comme j’étais, cela fit mouche presque immédiatement et je ressentis une bouffée de chaleur monter dans tout mon corps.
-C’est bon ! Encore !
Sa bouche quitta la mienne, embrassa mes yeux, mon menton, mon cou et je sentis glisser vers le bas ce corps masculin, caressant mes seins et mon ventre. Sa langue sur mes seins, ses lèvres tétant mes tétons et la descente du bonheur se poursuivit… Mon ventre, la langue jouant avec mon nombril… Les lèvres déposant de petits baisers tout du long, sur mes aines, mon mont de Vénus, ma fente… La langue caressant le capuchon du clitoris. Et pendant tout cela cette main délicieusement amante d’un doigt pénétrant mon sexe mouillé.
Les yeux fermés, les bras en croix, je jouissais des sensations de paradis que me prodiguait mon homme. Sa bouche, ses lèvres, sa langue m’ont toujours procurées beaucoup de plaisir. Plaisir tellement intense que brusquement mon ventre se creusa, mes tétons s’érigèrent, mon corps entier sombra dans un orgasme profond et fulgurant m’arrachant un cri sourd et bloqua ma respiration.« Encore ! Continues ! N’arrêtes pas ! Vides moi de ma substance ! ». Et çà continua pendant un temps que je pus évaluer. Encore et encore.
Au bout d’un moment, je refis surface. Mon corps entier se relâcha et, tel un check-up, mon cerveau analysa… « la soirée. La chambre. Le lit… Ah oui ! Chris. Plaisir. Orgasme. Langue… Mouiller. Fontaine… Merde ! J’ai trempé le dessus de lit « . Un regard vers le bas me fit apercevoir la tête de Chris émergeant d’entre mes jambes. Un beau sourire éclairait son visage.
-Viens mon bébé ! Fais moi l’Amour.. »
Il se redressa, passa un bras sous une de mes cuisses. Je me retrouvais ainsi avec une jambe passant sur son avant bras et le corps tourné sur le coté. Il s’agenouilla entre mes jambes, à cheval sur mon autre cuisse. Contre moi, son gland pointa mon sexe. D’une seule et lente poussée il me pénétra. Cette longue et soyeuse caresse. J’en fermais les yeux l’esprit ailleurs, sur un nuage.
Et vinrent les lents mouvements de va et vient, amenant à chaque fois mon esprit au bord de la rupture.
-Mets toi à quatre pattes..
-Hein ? Quoi ?…
-Mets toi à quatre pattes.
-Ah ! Oui…

Je me tournais, et me relevais sur les genoux, le buste plaqué sur le lit… Chris se mit à genou derrière moi, me pris par le hanche et me pénétra. J’agrippais le dessus de lit sous le plaisir que cela me procura. Les yeux fermés, je gémissais à chacune de ses intromissions. « Mon dieu, que c’est bon. Que je t’aime mon bébé. N’arrêtes pas… »
Et cette caresse que je devinais sur mes fesses. Les doigts en éventail massant ma chute de rein et les fossettes. Et les pouces vers le bas massant le haut de ma raie, au bas du coccyx… Et les pouces descendant dans la gorge de mon postérieur, se mouillant à la source de mon sexe mouillé du nectar de mon plaisir… Et cette caresse précise autour de ma rondelle….
-Tu as envie mon bébé ?…
-Oui…
-Viens…

Les pouces se firent plus entreprenant et, doucement, ouvrirent le passage de mon anus, assouplissant l’entrée. Je sentis le pieu sortir de mon sexe, puis remonter. Les pouces écartèrent mes globes et le gland se présenta. Une poussée, mes muscles relâchés s’écartèrent. Derrière moi, un râle de plaisir accompagna la pénétration. « Que tu es doux. Que j’aime te sentir en moi… ».
Quelques allées venues me firent gémir de plaisir. « j’aime ton sexe… ».
Il se pencha vers moi, me prit par la taille
-Viens sur moi…
Et il m’entraîna en me tirant à lui. Il s’assit sur ses talons et je me trouvais assise sur lui, son sexe profondément enfoncé dans mon cul. « Oh oui !«. Ses bras m’enlacèrent. Ses mains prirent les miennes. L’une d’elles conduisit la mienne vers mon sexe et me guida dans une caresse de mon clito. Ensemble nous me masturbions. Son autre main avec la mienne se porta à mes seins et ensemble nous me caressions. « Oh oui ! C’est excellent. J’aime beaucoup… ».
Tout en me caressant, il me fit relever à genou. Etroitement imbriqués l’un dans l’autre, son sexe toujours planté en moi et nos mains me caressant. Et il reprit ses mouvements.
La tête en arrière, les yeux fermés, je jouissais de cet instant.
De la caresse que nous me prodiguions de concert, je sentis mon plaisir contracter mon ventre, mes muscles, mes seins. Mon corps entier vibrait. Derrière moi, je sentis le corps de Chris réagir, le bassin se propulser en avant comme accentuant la pénétration. Et je sentis un jet chaud en moi.
Et je perdis toute notion de mon corps. Mon cerveau déconnecta sous l’impact de l’orgasme.
Lorsque je repris contact avec la réalité, j’étais couchée à plat ventre sur le lit. Chris était sur moi, son sexe encore en moi. Nos corps étaient parcourus de frissons. Derrière moi il reprit ses esprits. Déposa un léger baiser derrière mon oreille.
-Je t’aime. C’était….
-Moi aussi je t’aime… Et c’était très bon… J’ai adoré.

Nous restâmes ainsi un long moment. J’ondulais un peu de la croupe, sentant entre mes fesses le sexe de Chris dégonfler, puis s’extraire du fourreau qui le gainait.
-Je reviens ma belle. Je vais me laver.
Un rapide baiser derrière mon oreille et il partit vers la salle de bain.
Je ne le vis, ni le sentis se coucher. Éreintée, je m’endormis sitôt qu’il fut parti.

Lorsque je me réveillais au matin, Chris était couché à mes cotés sur le dos. Comme d’habitude. J’étais blottie contre lui, ma tête au creux de son épaule une main sur son ventre, il avait passé son bras autour de moi et me tenait contre lui. Nous étions couchés sur le dessus de lit.
Il dormait profondément (il dort toujours très bien), la respiration calme et profonde. Je me relevais sur un coude et le regardais dormir. « Comme je t’aime. Comme tu es beau. Comme tu es tout ce que j’ai désiré… ». Je le regardais, son visage si reposé avec sur les lèvres comme un sourire. « la béatitude doit ressembler à çà ». Son ventre encore un peu plat « tu as quand même quelques poignées d’amour mon bébé »… Ses cuisses… « Tiens !? Popaul est encore en forme ?! L’érection du matin ?! Pas chagrin, mais espoir ! » De la main, je le caressais. Pas de réaction « »Tu parles, ta soirée t’a quelque peu fatigué et tu dors à fond… ».
Doucement je me relevais. Pas de réaction.
Doucement je me mis à cheval sur lui. Pas de réaction.
Doucement je pris son sexe dans la main. Pas de réaction.
Doucement je me soulevais et dirigeais le gland. Pas de réaction.
Avec lenteur, je m’abaissais, introduisant doucement cette hampe en moi. Légère réaction comme un dérangement.
Arrivée au fond, je m’immobilisais. Grognement dans le sommeil.
Je ne fis aucun autre mouvement. Je fis juste bouger mes muscles intérieurs, massant, branlant la tige en moi. Grognement, réaction, ouverture des yeux et mise au point cérébrale.
-Tu es insatiable.
-Tu n’aimes pas ma manière de te réveiller ?
-Il y a pire…
Ses doigts se dirigèrent vers mon entre jambes pour me caresser…. Je lui reposais les mains sur le couvre lit.
-Non. Uniquement pour TON plaisir. Parce que je t’aime et que je le veux comme çà. Profites.

Et je restais assise et empalée. Jouant juste de mes muscles intérieurs. Son plaisir ne tarda pas. Au moment où il jouissait, me remplissant de sa semence, il poussa le bassin en avant, grognant accompagnant ainsi sa jouissance.
Je me sortis de sur lui. Je me penchais vers lui et le pris dans la bouche. « On ne se refait pas. J’aime te sucer mon bébé…Et j’aime le goût de toi… ». Puis je l’embrassais du bout des lèvres.
-Tu peux te rendormir. Tu as besoin de repos. Je t’aime…

Je n’étais pas sortie de la chambre qu’en me retournant je constatais que Chris avait replongé dans le sommeil. Cela me fit sourire.

Je retrouvais Véro. Assise à la table elle buvait son café du matin, face à la baie vitrée. Je me penchais vers elle, l’enlaçais et déposais un baiser dans ses cheveux.
-Bonjour toi !
-Bonjour toi ! Bien dormi ? Dit-elle en levant les yeux vers moi. Tu as des cernes !
-Tu m’étonnes !!! En fait on a relativement peu dormi. Je viens de lui donner ses derniers grammes de plaisir…Mais tu avais raison pour une chose…
-Ah ? Et en quoi ?
-Mon plan ne s’est pas passé exactement comme prévu. Mais j’aime bien me tromper dans des cas pareils… Parce que bonjour le feu d’artifice.
-Il faudra que tu me racontes.
-J’y compte bien…
-Je te fais un café ?
-Oui, Du colombien, j’ai besoin d’un coup de fouet.

Et nous éclatâmes de rire ensemble…

Un tchat avec un contact. Une idée et un délire. Et une mise en application…
Mais bon dieu que ce fut bon…

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