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Chap 39 : Quand festival rime avec anal

Chap 39 : Quand festival rime avec anal



Le festival des vieilles charrues est l’un des plus gros festivals de France. Situé à Carhaix en Bretagne, cet événement musical tant attendu se déroule début juillet et accueille des milliers de festivaliers qui viennent s’éclater en écoutant des groupes éclectiques.

En 2009, j’y suis allé pour la deuxième année consécutive avec deux amis, Gérald et Enora. On avait hâte d’y être car la programmation, étalée sur 4 jours, nous plaisait beaucoup. Bruce Springsteen, Charlie Winston, Julien Doré, Lenny Kravitz, Moby, Francis Cabrel, The Killers, Bénabar, La rue Kétanou, Renan Luce. Bref, que du beau monde.
Nous arrivons sur le site le jeudi dans l’après-midi et nous retrouvons quelques amis qui sont déjà installés au camping.
Ce premier jour se passe bien, les concerts sont géniaux et la fiesta nocturne dans le camping l’est tout autant.

Le lendemain, c’est avec seulement 3 heures de sommeil et une belle gueule de bois que nous allons acclamer les vedettes sur scène. L’ambiance est extra, mais la chaleur est accablante. Avec mes amis, nous faisons plusieurs allers-retours à la buvette pour consommer quelques pintes de bières. Comme dit Gérald, il faut vaincre le mal par le mal.

Dans l’après-midi, c’est donc à une buvette que je rencontre accidentellement ma future partenaire sexuelle.
Soudain, alors que je bois une gorgée de bière fraîche, quelqu’un me bouscule par derrière et me fait renverser mon godet. Passablement énervé, je me retourne pour invectiver le fautif, mais celui-ci est une fautive. Elle semble saoule ou défoncée, peut-être même les deux et me dit morte de rire:
– Oups, pardon beau gosse, je suis vraiment désolée.
En me retournant je remarque immédiatement que la jeune femme ne porte pas de soutif car ses gros seins pointent sous son débardeur bleu. C’est incroyable comme une paire de nichons peut éveiller mon intérêt. Gardant mon sang-froid, je lui réponds sur le ton de la plaisanterie:
– Bah c’est malin, je vais faire comment pour m’hydrater maintenant?
– Ne t’en fais pas, je t’en paye un autre.
– Merci, c’est cool.
Également accompagnée d’un petit groupe, elle m’offre un verre et nous discutons tous les deux.
Après les présentations d’usage, prénom, âge, lieu d’habitation, Sabrina me demande immédiatement si je suis célibataire. Je comprends immédiatement ce qu’elle recherche car sans mentir, elle a les yeux qui sentent le cul.
– Oui je suis célibataire.
– Intéressant, moi aussi je suis libre comme l’air. Elle me fixe dans les yeux quelques secondes en silence, se colle contre moi et me roule une grosse pelle. Pris de court, je me laisse aller à cet intense baiser car nom de dieu, qu’est ce qu’elle embrasse bien et je sens un truc sur sa langue.
– Tu as un piercing?
– Oui, regarde, dit-elle en tirant la langue. Et j’en ai deux autres.
– Ha bon où ça?
Elle soulève son débardeur et me dévoile ses seins.
– Ici, sur mes tétons, sourit-elle en secouant ses nénés de gauche à droite.
Je reste sans voix, elle n’a peut-être pas une belle gueule, mais l’impudique a des globes magnifiques. Un 95C rond et lourd qui tombe légèrement.
– On va faire un tour dans ma tente, me demande-t-elle?
– Avec plaisir, je te suis.
Je préviens mes camarades que je m’absente un moment et que je les retrouve plus tard. C’est alors que Gérald tente de me dissuader.
– T’es sérieux mec, tu ne vas pas te taper ça?
– Bah si pourquoi?
– Elle n’est pas terrible…
– Oh arrête, elle n’est pas si mal, t’es trop difficile mon Gégé, c’est pour ça que tu ne baises pas souvent.

Certes, Sabrina n’est pas la femme la plus attirante du monde, mais je ne compte pas l’épouser. Elle est rousse aux cheveux longs, les yeux bleus, un peu enrobée. Elle n’est pas maquillée, porte un chapeau de paille, elle a un tatouage sur l’épaule droite, un autre sur l’avant bras gauche. Débardeur, short en jean et Dr Martens noires et ses ongles de mains, vernis en noir, lui donne un petit air goth ou métalleuse. Bref pour une histoire de fesses, elle me convient très bien, surtout qu’elle semble très coquine. Et franchement, moi elle m’excite.

En arrivant dans sa tente, je remarque qu’il y a deux sacs de couchage.
– Tu n’es pas seule dans cette tente?
– Non, je dors avec Juliette, la petite blonde qui était derrière moi à la buvette.
– Elle ne risque pas de venir nous déranger?
– Non, ne t’inquiètes pas, de toute façon, elle sait très bien ce qu’on est venu faire.
– Au pire, elle se joindra à nous, dis-je en souriant.
– Tu es un petit coquin toi, mais je ne pense pas que ce soit son délire, même si moi ça ne dérangerait pas.
– Tu es bi?
– Non, mais j’aimerais bien essayer un jour.
– Avec ta copine?
– Pas spécialement, mais vu que je l’ai déjà plusieurs fois toute nue et qu’elle est super bien foutue, je ne serais pas contre de tester avec elle, mais comme je te l’ai dit, je ne pense pas que ça l’intéresse.
– Ok. En attendant, on est là tous les deux et j’ai très envie de m’amuser.
– Moi aussi.

Je m’assois sur le matelas, pendant qu’elle descend la fermeture et ensuite elle se pose sur moi à califourchon. On s’enlace, on s’embrasse goulûment et on se caresse. Mes mains glissent sur son short pour caresser ses fesses.
Elle retire mon tee-shirt, puis le sien et elle se blottit à nouveau contre moi. Ses gros seins plaqués contre mon torse me font bander. Je la penche un peu en arrière pour observer ses jolies mamelles, avant d’y poser ma bouche dessus pour les embrasser et titiller ses tétons avec ma langue. Elle soupire doucement de cette  attention.
– Ca ne t’a pas fait trop mal de te faire percer les bouts?
– Si, un peu, mais j’aime avoir mal, me dit-elle le regard plein de malice.
– Hum, tu m’excites.
– Toi aussi.
Elle bascule sur le côté et s’empresse d’ôter les vêtements qui lui reste. Je l’imite en la regardant me dévoiler sa fente imberbe.
Lorsque nous sommes entièrement nus, elle revient vers moi, m’allonge sur le dos et se place entre mes cuisses. Sabrina saisit mon manche à la verticale et commence à le lécher lentement. Elle s’amuse à titiller mon frein et mon gland avec son piercing. Je vibre, je gémis, j’ai des frissons partout.
– Ca te plait ?
– Oui, c’est trop bon, continue.
Elle poursuit l’exercice en me prenant en bouche, elle me suce tendrement, et ne lâchant pas sa prise, elle vient se mettre à l’envers sur moi.
Pas mécontent de la situation, je me délecte immédiatement de sa minette humide. Ma langue vadrouille dans ses trésors, cajole son clitoris pendant que ma partenaire de 69 miaule de plus en plus fort. Dans notre plaisir commun, je me permets une approche linguistique entre ses fesses. Elle ne bronche pas, alors je ne me retiens pas, je lui écarte les fesses et déguste sa rondelle avec gourmandise. Je sais qu’elle aime ça, car elle me pompe de plus en plus vite et je sens que je vais bientôt exploser. Ca ne loupe pas, quelques coups de langue plus tard sur mon membre, je la préviens que ça vient. Elle retire sa bouche et m’astique énergiquement pour me faire gicler sur mon ventre.

Quelques minutes plus tard, après m’être nettoyer, Sabrina, pas vraiment satisfaite, revient à la charge. Elle monte sur moi et m’embrasse de nouveau en frottant son sexe contre le mien. Ma tige reprend vie rapidement et la festivalière me tend une capote. Je l’enfile sous les yeux avides de la rouquine. Puis elle prend ma queue à la base et se l’enfonce dans la chatte avant de se mettre à remuer sur moi. C’est elle qui dirige l’action. Elle se baise de plus en plus vite en gémissant.
– Han, han, ouh oui.
Je malaxe ses seins et caresse ses grosses fesses. Je la sens surexcitée. Je la bascule sur le côté, me cale derrière elle, soulève sa guibole et la pénètre. C’est maintenant moi qui contrôle la bataille. Je la besogne en profondeur lentement mais sèchement et elle mouille de plus belle. Je la secoue de plus en plus fort et elle hausse le ton.
– Vas-y plus fort, je vais jouir.
Je la défonce alors autant que je peux à grands coups de rein, en pressant fermement ses nibards. Elle se met à crier et serre entre ses doigts un bout du sac de couchage. Comprenant qu’elle atteint l’orgasme, je continue de la limer, fier de moi.
Après son agonie, je la laisse respirer un peu en ralentissant la cadence. Nous sommes tous les deux en sueur et toujours très excités. Je décide alors d’emprunter l’autre voie. Je crache sur mes doigts et je dépose ma salive sur son anus en le massant gentiment avec mon majeur. J’introduis ce dernier afin de le dilater un peu et j’y fais plusieurs va-et-vient. Cela la rend folle.
– Vas-y, mets-la moi, m’ordonne-t-elle.
Je saisis alors mon manche dur comme une brique, recouvert de latex et lubrifié de ses sécrétions vaginales, et le cale devant l’entrée de son tunnel. Je pousse un peu, elle se cambre et écarte une de ses fesses pour faciliter ma progression. Je m’engage lentement dans son cul jusqu’à ce que mes couilles touchent ses fesses et j’entame de petits allers-retours. Soutenant toujours sa jambe, je la sodomise en douceur.
– Hummmmm, va plus vite.
J’accélère le rythme comme elle le réclame et elle kiffe.
– Continue comme ça, baise mon cul.
– Hum, tu aimes ça grosse cochonne.
– Oui j’adore ça, ne t’arrête pas, baise mon cul de salope.
Ses paroles me surexcitent et c’est avec un réel plaisir que je lui démonte l’arrière-train. J’ai de plus en plus chaud, je grogne de plaisir à chaque va-et-vient, alors que Sabrina continue de crier des insanités en se masturbant.
– Putain, c’est trop bon, j’adore me faire baiser le cul.
Je cogne de plus en plus fort alors que ma cavalière entre dans une nouvelle transe en se branlant vigoureusement.
– Je jouiiiis, ouiii, je jouiiis, encore, oui défonce-moi le fion.
Je mets toute mon énergie pour l’enculer férocement et soudain ma délivrance arrive. Je m’agrippe à ses hanches et je hurle ma jouissance en la sodomisant aussi vite que possible en faisant claquer mon bas-ventre contre son popotin. Puis nous restons immobiles quelques instants l’un contre l’autre. Je sens ma verge se ramollir dans son rectum. Je me retire, enlève la capote, puis elle vient de nouveau sur moi pour un dernier câlin. Quelques instants plus tard, nous nous rhabillons, sortons de la tente, je la remercie:
– Merci pour ce moment, c’était cool.
– Carrément, c’était super bon, je t’offre une bière?
– Avec plaisir.

De retour sur le site où se déroule les concerts, nous retrouvons les amis de Sabrina. Je reste un moment avec eux, le temps de boire un verre, puis la jeune femme et moi nous nous séparons. On se dit faussement qu’on essaye de se voir plus tard, sachant que ce sera très compliqué de se retrouver dans toute cette foule. Et effectivement, je ne l’ai jamais revu de ma vie.

Mais dans la soirée du lendemain, j’ai l’agréable surprise de me faire alpaguer par Juliette, l’amie et coloc de tente de Sabrina, à la sortie des sanitaires.
– Tiens, mais qui voilà. Tu vas bien Chris?
– Ha salut Juliette. Oui ça va et toi?
– Oui tout se passe bien merci.
– Tu es toute seule, Sabrina n’est pas avec toi?
– Non, désolé, elle est partie il y a un quart d’heure avec un autre mec.
– Ah, ok, bon bah tant mieux pour elle
– T’espérais remettre le couvert?
– Bah ouais, pourquoi pas, c’était sympa hier.
– Désolé pour toi, mais quand on vient aux vieilles charrues, c’est pour s’éclater un max tout le week-end.
– Vous avez bien raison, je fais pareil, il faut savoir profiter des bonnes choses.
– C’est clair. Tu es cool comme mec, je t’aime bien.
– Merci, je te trouve sympa aussi.
– Super!!! Bah écoute, si tu as envie de tirer un coup, moi je suis dispo.
Je suis interloqué par sa proposition.
– Vraiment? Je t’intéresse?
– Bah oui, t’es mignon et vu ce que Sabrina m’a dit…
Elle me lance un grand sourire.
– Et qu’est ce qu’elle t’a dit? Je suis curieux de savoir.
– Elle m’a tout raconté en détail.
– Ha bon, et alors?
– Bah ça m’a bien donné envie de tester, surtout que je n’ai pas encore eu la chance de me faire sauter depuis qu’on est là…
– Et bien, tu as l’air aussi chaude que ta copine.
– Ouais, c’est pas pour rien qu’on s’entend bien, dit-elle en ricanant.

Sa tente étant occupée par sa copine, nous nous dirigeons vers la mienne, ce qui m’arrange car elle est nettement plus grande.
Sur le chemin, je souris intérieurement, me disant que je suis chanceux que cette ravissante petite blonde, coupée au carré, soit disposée à se laisser aller avec moi. J’ai hâte de la voir nue, j’en frémis d’avance car je me souviens que la veille, Sabrina m’a affirmé que Juliette était bien foutue.

Elle entre la première sous ma tente, puis je la rejoins. Les rayons du soleil qui tamisent notre baisodrome, permettent de nous voir correctement. Dès que je baisse la fermeture, Juliette se met en sous-vêtements. Je découvre un ensemble classique string et soutien-gorge blanc qui lui va à ravir. Je fais de même, ne gardant que mon boxer, en observant ce corps qui vient de s’allonger sur le duvet. J’en ai l’eau à la bouche car la jeune femme est vraiment bien faite. Jolies jambes, fesses bien rebondies et une poitrine plutôt bien fournie. A priori un bon 90C.
Je m’allonge près d’elle et nous entamons les festivités. Bouche contre bouche, nos langues font connaissance pendant que nos mains parcourent notre anatomie. Je bouillonne de plus en plus, mon coeur palpite lorsque je dégraffe son soutif d’une seule main. Elle a de très beaux seins. Je les masse tendrement avant de les embrasser. Elle frissonne et pousse ses premiers soupirs. Elle me désire, je le sens car ses doigts tirent sur l’élastique de mon boxer. Je l’aide à le retirer.
– Hum, Sabrina avait raison, tu as une belle queue, dit-elle en l’effleurant doucement de haut en bas avec la pulpe de ses doigts.
Je l’embrasse à nouveau alors que sa main descend plus bas pour me malaxer les couilles. La tension monte, je vibre, excité. Je me positionne entre ses cuisses et déroule son string le long de ses jambes. Mes yeux pétillent en découvrant sa belle petite chatte toute lisse et trempée. Je décide alors de lui faire plaisir. Je m’allonge entre ses jambes qu’elle écarte largement et je commence à déguster son abricot juteux. Elle ne tarde pas à gémir doucement.
– Hummmm, oooooohhh.
Ma langue passe entre ses plis, puis s’amuse avec son clitoris. Je le suçote en enfonçant mon doigt dans son vagin dans lequel je fais de petits va-et-vient rapides. Juliette mouille encore plus et cela m’excite de l’entendre. Je continue ma partition en me caressant la bite. Je sors mon doigt dégoulinant et titille son anus. Juliette ne proteste pas, alors je l’enfonce entièrement dans son rectum.
– Oh oui, dit-elle avec joie.
Je lui masturbe alors le cul tout en continuant mon cunnilingus. Elle ronronne de plaisir en se trémoussant et son excitation la fait chavirer dans une douce folie.
Elle me fait mettre à genoux et la coquine commence à me pomper, à quatre pattes, comme une folle. Je grogne instantanément sous l’emprise de cette bouche chaude qui n’en finit pas de ses allers-retours.
– Hum, c’est bon, j’adore comment tu me bouffes la bite.
– Tu m’as tellement excitée, dit-elle en me branlant vigoureusement.
Puis elle reprend du service, cette fois-ci en malaxant mes boules. Je suis comme un dingue, elle me suce, me branle et me lèche les bourses avec une ferveur incroyable. Si elle continue je vais lui gicler dans la bouche. Mais elle insiste car visiblement elle raffole de mon service 3 pièces. Je lui caresse les cheveux à deux mains pendant qu’elle me gobe les boules l’une après l’autre. Puis elle me reprend en bouche en lâchant sa main. Je le perçois comme un acte de soumission, alors je lui baise la bouche rapidement et elle aime ça, ça se voit. Mais au bout de quelques minutes, je la stoppe car j’ai envie de la prendre. Je prends un préservatif dans mon sac et à ma grande surprise, elle me demande si elle peut me l’enfiler.
Allonger sur le dos, je la laisse dérouler le plastique sur ma tige, puis elle s’emboîte sur moi à califourchon. Elle démarre aussitôt par des mouvements énergiques. Nos gémissements s’accordent, alors qu’elle me chevauche de plus en plus vite. Je caresse ses fesses en regardant ses gros seins qui tressautent.
– Ca va, m’interroge-t-elle.
– Hum oui, c’est génial, tu es trop bonne.
– Merci, moi aussi j’adore, hum quelle bonne baise.
Cette nana m’excite de plus en plus et je veux vraiment la faire jouir. Je plaque mes mains sur ses fesses en les étirant, je plie les jambes et je la besogne à vive allure. Ma cavalière devient plus bavarde.
– Vas-y, oui comme ça, hum je la sens bien.
Mon orgueil est flatté, je continue de la limer sauvagement et son plaisir n’est pas simulé.
– Ah, ah, ah.
Malheureusement, je commence à fatiguer, je transpire et j’ai mal aux cuisses. Voyant que le rythme diminue, Juliette également en sueur, décide de se retirer pour changer de position. Elle se retourne et s’accroupie pour s’empaler de nouveau dos à moi. Elle monte et descend sur un rythme diabolique. Sa main se faufile entre ses cuisses, tantôt pour caresser mes bourses, tantôt pour s’astiquer le clito. Elle jouit comme une damnée, puis elle s’arrête quelques instants pour faire une pause. C’est à ce moment-là que je lui signifie que j’ai envie de son cul.
– Hum, gros cochon, répond-t-elle.

Mes paroles ont eu l’impact espéré. Ma partenaire soulève son bassin, dresse ma bite à la verticale et s’assoit dessus lentement. Lorsqu’elle sent que je suis dans la place, elle se met en appui sur ses bras et elle s’encule en augmentant la cadence petit à petit. Moi je me sens bien, serré au fond de son cul, je vibre en écoutant ses ‘Oh’ et ses ‘Ah’ qui accompagnent le bruit de claquement de cette sodomie.
Juliette ne tenant plus, je la pousse à se mettre à quatre, jambes serrées et tête dans le duvet. Maintenant que sa croupe est bien en l’air, mon côté dominant-voyeur refait surface. J’écarte ses deux hémisphères pour contempler son trou du cul béant. Cela m’excite horriblement. Je crache dedans avant d’y remettre ma queue afin de poursuivre la saillie anale.
Placé au dessus d’elle, je la maintiens par les hanches tout en la martelant à grands coups de glaive. La belle blonde trépigne de plaisir.
– Oh oui, oh c’est bon.
Alors que je reste muet, concentré sur ma tâche, la voilà qui pose ses mains sur ses fesses pour les écartées au maximum. Je me fais une joie de l’enculer encore plus fort comprenant qu’elle adore ça. Et soudain elle part dans un orgasme tonitruant.
– Oui, ouiii, ouiiiiiii, je jouiiiiis!!!!
Je ralentis le rythme.
– Non ne t’arrête pas, continue.
Je m’amuse alors avec elle, je sors ma verge entièrement et la remets au fond. Je réitère cette action plusieurs fois et je regarde encore son trou ouvert et luisant.
– Putain, j’adore ton cul, dis-je d’une voix bestiale avant de le fourrer à nouveau.
Et là, je ne rigole plus, je la sodomise sans ménagement pour la faire jouir encore et mettre un point d’honneur à ma prestation car je sens que la fin est proche.
Lorsque mon éjaculation arrive, Juliette n’a pas le temps de comprendre ce qu’il se passe. J’évacue son sphincter, je vire la capote et je me branle rapidement pour gicler sur sa rondelle et ses belles petites fesses.

Après cette merveilleuse entrevue, Juliette est allée prévenir ses amis qu’elle passait le reste de la soirée avec moi. Nous sommes allés voir des concerts, nous avons bu quelques bières avec mes potes et nous avons dormi ensemble dans ma tente, pour une nuit torride. On s’est quitté le dimanche matin sur un fourire, je ne l’ai jamais revu non plus, mais elle au moins, m’a laissé son string en souvenir.

Fin.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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