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Mon Oncle ma baisé

Mon Oncle ma baisé



J’étais étudiante et mes parents se saignaient pour me payer mes études. Pour alléger les frais, je vivais chez mon tonton. En compensation j’effectuais les tâches ménagères de la maison. Un soir, alors que j’étais absorbée par mes cours, je n’avois pas vu passer l’heure et quand mon oncle est rentré de son travail, le dîner n’était pas prêt. Il entrât dans une fureur que je ne connaissais pas. Il s’assit sur mon lit à mes côté et d’un ton solennelle il me dit :
« Je comprends que tu sois tout à tes études mais je croyais que dans ta situation tu respecterais notre accord ! »
« Je suis désolée tonton. J’étais absorbée par mes cours. Je te jure que ça ne se reproduira pas. »
Mais mon oncle restât sur sa position en me disant :
« Bon je pense que tu mérite une punition pour ce manquement aux règles. »
Il se mit à me regarder d’un air bizarre et, continuant son discours, il me dit :
« A ton âge, tu as déjà connu le loup ? »
Je fus surprise par sa question et hésitante, je lui répondis :
« Quelle question Tonton ? Heu oui en effet ? »
Il eut un sourire qui ne me plaisait guére et tout en posant sa main sur un de mes seins, il me dit :
« Puisque tu ne fait pas ton travail de boniche, j’ai le droit à une compensation en nature ma chérie ! »
J’étais tétanisée et ne pouvais pas m’échapper coincée contre le mur.

« Tu vas me montrer tes souvêtments. J’ai remarqué que t’avais des dessous sexy ma salope ! J’suis sûr que tu t’fais tringler au bahut ! »
J’étais choquée par ses propos et tout en me disant ça il se mis à me malaxer le sein et à me pincer le téton. Je tentais vainement de le repousser mais il était trop fort pour moi. Me voyant réticente, Il m’envoyât une giffle en me disant :
« Tu vas te laisser faire petite salope ! »

Après quelques minutes de lutte, je capitulais et mon Oncle en profitât pour remonter mon tee-shirt en entraînant mon soutif avec. Je me retrouvais les seins à l’air devant lui.

Une fois le t-shirt enlevé, il restât un instant à admirer ma poitrine dont, d’ailleurs, j’étais fiére. Il s’attaquât ensuite à mon jeans qu’il ne mit pas longtemp à enlever. Je me retrouvais en string devant le frère de ma mère. Je connaissais bien l’issue de cet affrontement. Macullote suivit le chemin de mon jeans. Il m’écartât les cuisses tout en me complimentant sur ma plastique. Je tentais encore de le repousser mais très molement. En fait, la situation commençait à me plaire car j’étais entrain de réaliser un de mes fantasme, un viol en i****te avec mon Oncle.

Tout en me maintenant fermement les cuisses écartés, il descendit son pantalon et dégageât son sexe déjà en érection. Il pris sa queue et d’un coup de rein, il me pénétrât jusqu’à la garde. Je ne pus réprimer un feulement de plaisir qui l’étonnât :
« Mais c’est que t’aime ça petite pute ! J’vais t’faire gueuler de plaisir ma salope ! J’vais t’la défoncer ta p’tite chatte et ensuite j’te bourrais le cul ! »
Il se mit alors à me bourrer violemment. Ses vas et vient étaient accompagné de mes couinement de plaisir. J’aimais qu’il me prenne aussi sauvagement.
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Puis il me retournât comme un fétu de paille et, en position de levrette, je sentis qu’il pressait son gland sur ma rosette. Une foi de plus, je refusais cette pénétration que je n’aime d’ailleur toujours pas trop. Mais une violente claque sur les fesses me fit comprendre que je n’avais pas le choix. Il crachât sur mon etit trou en guise de lubrifiant et commençât à forcer l’entrée. Au moment où son énorme gland passe mes sphincters, je me cambrais en poussant un hurlement de bête blessée. J’avais l’impression qu’il me déchirait. Mais, inexorablement sa queue faisait son chemin dans l’étroit conduit.

Mon anus commeçât à se dilater et je m’abituais progressivement à cette engin qui me perforait le cul. Mais la douleur était toujours présente. Autant je jouissais quand il me prenant la chatte, autant cette foi-ci c’était la punition. Une fois au fond de moi, Il marquât un temps d’arret en me disant :
« T’es vachement étroite du cul Michèle ! J’vais t’élargir ça ! »
En m’attrapant les seins, il commençât à me bourrer le cul durement. Je hurlais mais pas de plaisir. Il semblait que mes cris de douleurs décuplaient son plaisir ; iL continuât son baisage en régle de longues minutes.

Puis il sortit enfin de mon cul et me prenant par les cheveux, il me dit :
«Suce salope ! Et t’as intérêt à avaler quand j’vais juter ! »

Rapidement, il se mit à éjaculer dans ma bouche.

Comme il me l’avait ordonné, j’avalais sa semence. Là ça ne me posait pas de probléme. C’était pas la premiére foi que je suçais un mec et que j’avalais. Je connaissais bien le goût du sperme et je n’en étais pas écœurée. Satisfait, mon Oncle me dit :
« Bien maintenant tu auras cette têche supplémentaire. Tu devras me satisfaire quand je le souhaiterais et dans la maison tu resteras à poil ! À ma disposition ! Maintenant, va faire la bouffe ! »
Durant un an, je dus subir son bon vouloir et rester nue en sa présence. Ma tendance docile et soumise n’étais pas pour me déplaire et me faisait mouiller.

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