Maintenant, je retournais au boulot avec joie et bonne humeur. Le travail m’avait appelé dans le bureau de Maxime. Nous étions en train de résoudre un épineux problème informatique de facture, ayant trait à des fournitures pour le service de la mécanique.
« Eh, dit donc Trixie, cela fait maintenant au moins six mois que tu n’as pas fait d’inventaire avec Gérald, non ?
– Oui, à peu près… Nous n’avons pas eu bien le temps…
– Tu vois, ou ça te mènes de ne plus faire l’inventaire avec lui… C’est plein d’erreurs… Et puis, il ne te manque pas trop ?
– Oui, un peu…
– Te rappelles-tu, lorsque que pour la première fois, je t’avais dit qu’il s’intéressait à toi et que je t’avais préparée pour qu’il tente quelque chose, car tu doutais qu’il veuille te baiser !
– Oui, et tu avais raison…
– Tu peux quitter ton string… oui… garde ta jupe levée… j’adore voir ta chatte… elle est splendide ! ?»
Je ne pouvais rien lui refuser, un nouveau petit jeu érotique allait sûrement avoir lieu. Le petit triangle de tissu glissa le long de mes cuisses, le bas de ma jupe resta levé, découvrint largement les attaches du porte-jarretelles, qui aujourd’hui était blanc…
«Oui, parfait ! Met ton pied sur le fauteuil… C’est ainsi que tu étais, il a commencé à poser sa main où ? Ici sur ton genou, et il l’a lentement remontée, comme ça en caressant ta cuisse, le long de la lanière, découvrant peu à peu ta peau ? Oui, je vois petite salope… Tu écartais les jambes au fur et à mesure, comme maintenant !
– Oui… Je fantasme encore au souvenir de cette main noire glissant sur ma peau blanche… Aaaaahhhhh…
Tu as fini comme çà, jambes complètement écartées, chatte ouverte ?
– Oui… et j’avais relevé ma jupe comme ça… alors il a inséré d’abord son majeur…ouuiiiii comme ça… Puis son index… Oui, oui… Regarde… Regarde tes doigts… Rien que d’y penser, je mouille… Il avait des doigts longs… mais longs… Il m’a presque fait jouir ce jour-là !! Ouuuiiii continue, caresse mon clitoris…
– S’il ne t’a pas fait jouir ce jour-là, il s’est bien rattrapé par la suite… Les inventaires au sous-sol… La soirée au gymnase… Avec ses deux copains, les ailiers noirs de l’équipe de basket…
– Haaaa, haaaaaa, huuuummm c’est bon… Oui, mais tu étais présent ce soir-là, tu as aimé, me regarder me faire baiser, pas vrai !
– Putain oui, je ne croyais pas que les deux jeunes allaient te faire une double pénétration vaginale… Tiens mon annulaire… Je sais, mes trois doigts ne valent pas l’énorme bite de Gérald… Elle ne te manque pas ?
– Si, si… Mais continue… oouuuiiii… J’adore son énorme phallus noir !
– Bon, je crois que je vais pouvoir apporter un palliatif à cette absence… »
Des bruits de pas derrière la porte nous firent cesser à toute allure notre petit jeu. Deux jours après, Maxime m’appela me demandant de passer le voir le lendemain à son bureau, il me précisa qu’il me voulait sans culotte et si possible avec une jupe ou une robe ample…
« Regarde ce que j’ai trouvé… »
Il déballa, la boîte. C’était un godemiché noir, avec un prépuce amovible. Il était légèrement arqué. C’était la réplique fidèle d’un sexe.
« Tiens prends le et dis moi ce que tu en penses… »
Ce gode offrait une souplesse et un contact remarquables. La finesse du prépuce, qui allait et venait au fur et à mesure de la pénétration, était telle qu’on avait l’impression qu’il s’agissait d’une peau véritable. Les veines, avec les creux et les bosses ajoutaient du piquant. Il faisait 29 cm de long et 6 cm de diamètre. La partie insérable devait faire vingt-six centimètres.
« Admirable, ton truc ! Cela ne remplacera jamais la queue de Gérald… Mais manié avec dextérité, je crois que je vais prendre du plaisir… !
– On va l’essayer, si tu veux… Viens ici, couche toi sur le bureau… penche-toi en arrire… Attends, je vais l’enduire de lubrifiant… Tu ne mouilles quand même pas encore… Tu veux bien écarter les jambes que je mette un peu de gel dans ta chatte… il est vraiment gros ce truc…»
Ses deux doigts dégoulinant d’un lubrifiant soyeux, badigeonnèrent mon orifice vaginal. Je frissonnais pensant à ce qui allait suivre. Cela me tira un gémissement. Il posa le gland humide, de l’énorme engin sur ma peau nue juste au-dessus de l’attache arrière de la lanière de mon porte-jarretelles. Il le remonta très lentement en direction de ma chatte, qui malgré moi commençait à palpiter et à s’humidifier. La jupe ample facilitait cette approche. Après ce qui me sembla une éternité, le gros bout noir écarta mes petites lèvres, il fit glisser en forçant un peu deux centimètres du gland dans ma vulve. J’eus un sursaut de plaisir, attendant la suite de la pénétration, mais il retira le phallus factice et se mit à me caresser la fente de bas en haut, titillant mon clitoris… Il faisait semblant de me pénétrer, et sentant que je ne désirai que cela, il ne l’enfonçait pas plus que de 3 ou 4 centimètres, et recommençait ses caresses. Ce petit jeu m’excitait et n’énervait de plus en plus… J’avais les deux mains appuyées sur le bureau, le bassin en arrière, j’avais mis un soutien-gorge seins nus, mes mamelons pointaient comme deux petits dards sous mon chemisier presque transparent qui moulait les globes fermes de mes seins.
« Enfonce… Enfonce-le-moi, s’il te plaît… oouuuuiiiii, s’il te plaît !! »
Je réussis à att****r sa main, et à diriger le gros gland noir vers le trou béant de ma chatte, mes parois vaginales s’écartèrent, dix centimètres entrèrent dans le conduit bien lubrifié. Maxime commença alors des allers et retours, gagnant deux centimètres à chaque pénétration. Effectivement, le prépuce allait et venait comme l’aurait fait celui d’une vraie bite.
« Ooooouuuuuiii, c’est bon, c’est bon… plus vite, enfonce… Enfonce… Aaaahhhhh… »
J’essayais de refréner mes ardeurs, de ne pas parler trop fort… Son bureau était assez isolé des autres… mais… des bruits de pas dans le couloir… Maxime lâcha le godemiché dont il avait inséré les vingt-six centimètres. Je me levais rapidement… le manche de silicone noir enfoncé en moi.
On toqua, la porte s’ouvrit, le nouveau chef de Marion entra…
« Bonjour… »
Ses yeux étaient fixés sur les petits pics que dessinaient mes mamelons, sous le mince tissu de mon chemisier qui collait à mes seins comme une deuxième peau. J’étais sure que l’on pouvait aussi deviner mes aréoles gonflées et parsemées de chair de poule… Je sentis mes joues s’empourprer… D’autant qu’il passait pour » un chaud lapin ». Il dut s’apercevoir de notre gène, se doutant que son intrusion avait dû interrompre quelque chose…
« J’ai un problème sur mon PC, dit-il. »
Ses yeux ne quittaient pas mes seins tandis qu’il expliquait ce qui clochait dans son PC. Il me semblait que son regard était doté de rayons X qui traversaient mon sweater, j’en ressentais la chaleur sur mes tétons. Cela n’était pas fait pour atténuer l’émoi sensuel qui était en train de m’envahir. En effet, l’incongruité de cette situation commençait à m’exciter. Je n’osais pas trop bouger… mais des ondes de chaleurs partaient de ma chatte et montaient dans mon ventre, de légers
frissons me parcouraient, en pensant au gros tuyau noir qui emplissait ma vulve. C’était très émoustillant de se retrouver ainsi, j’aurais désiré que Maxime repasse sa main sous ma robe et recommence ses pénétrations avec le gigantesque pénis noir en présence de l’intrus. Je sentais mon
foutre couler sur ma cuisse au-dessus de mon bas. J’avais envie de frotter mes cuisses l’une contre l’autre… Je regardais le chef de Marion avec un petit air de défi et je tendis ma poitrine vers l’avant pour mieux imprimer en relief le bout de mes tétons à travers le mince tissu transparent qui les enveloppait. Le plaisir m’envahissait… Comme dans un rêve, j’entendis Maxime lui promettre de passer voir le problème du PC, il s’éclipsa enfin. En tremblant, j’ôtais le godemiché, il ruisselait de mon foutre.
« Eh…eh bien, j’ai cru que j’allais jouir… Nous l’avons échappé belle… nous aurions pu donner un tour de clef !!
– Ouf… c’est vrai… mais tu viens de me dire que tu as failli jouir !!
– Oui… pendant qu’il te parlait, cette situation m’excitait au plus haut point ! C’est vraiment merveilleux ton nouveau jouet. Ce soir, mon mari rentre vraiment tard. Si tu veux, on pourrait recommencer cela tranquillement chez moi après le boulot vers 18 heures !
– Mais tu es vraiment sûre de toi ? Et si jamais il est là ?
-Tu sais, il n’y a plus grand chose entre nous… Je t’ai raconté comment il a monnayé son avancement, en me faisant baiser par son patron et les clients de celui-ci, alors… !! »
Le soir, à l’heure convenue, Maxime arriva chez moi.
« Tout à l’heure, je n’ai pas eu le temps de vérifier, mais est-ce que cela te fait bander de me masturber avec cet énorme engin noir ?
– Ben oui, mais c’est le fait de voir comme tu prends ton pied qui m’excite !! »
En disant cela, m’avait attrapée par la taille, plaquée contre lui, sa langue partit à la conquête de ma bouche, ses mains à celle de mes seins. Je ne sais pas comment, je me retrouvais couchée, à côté de mon string qui faisait une petite tâche noire sur la moquette du salon. Mon pull moulant remonté au-dessus de ma poitrine, la jupe enroulée au-dessus de mon porte-jarretelles. Les lèvres de Maxime butinaient mes mamelons, ses dents mordillaient juste la pointe, à la sortie des canaux galactophores, il savait que je raffolais que l’on s’occupe de mes seins. Les glandes apocrines situées dans l’aréole des mamelons produisaient des hormones qui augmentaient de manière subliminale l’attraction de mon partenaire. La libération d’endorphines, d’ocytocine, de prolactine et de testostérone entraînait une vague d’excitation sexuelle qui faisait augmenter la taille de mes seins de plus de 25 % et accélérait mon flux sanguin vers mon clitoris et les zones de mon vagin. J’avais constaté que la stimulation de mes mamelons me détendait, mon stress et mon anxiété disparaissaient comme par enchantement.
« Merde, j’ai oublié le gel lubrifiant…
– Tu crois que je vais en avoir besoin ? Lèche un peu ma chatte… elle coule…»
Il continuait à pincer, et à prendre mes tétons entre le pouce et l’index en les pressait doucement et tenait la pression. Si je donnais des manifestations de plaisir en gémissant d’extase, il augmentait le pincement par palier, mais doucement pour que le plaisir ne se transforme pas en douleur. La pression poussait alors le sang hors du mamelon, il relâchait, le sang revenait, créant une sensation intense de plaisir. Il était le seul à me faire ce genre de »Truc »…
Sa langue s’activait dans mon vagin trempé, ses lèvres aspiraient mon clitoris, ses caresses me rendaient folle.
« Vas-y, mets moi le gode, défonce-moi avec cet engin… ouiiiiii… c’est ça… Ça ressemble énormément à la queue de Gérald aussi grosse et aussi longue. Aaaahhhhhh, encore plus loin… »
Maxime, maniant avec dextérité l’énorme phallus factice, me fit grimper une à une les marches du plaisir, j’avais perdu la notion du temps. Je me retrouvais au bord du précipice de la jouissance, j’allais plonger… dans l’abîme du plaisir.
« Non, non mets moi ta queue… je veux ta queue pour jouir…
– J’allais te l’enfiler, tiens voilà, c’est fait… »
Patatras… la sonnette retentit ! De la rue, la voix de mon mari m’appelait.
« Trixie… Peux-tu venir nous ouvrir, j’ai oublié mes clefs, je suis avec un collègue en route pour le resto, mais avant je veux lui offrir l’apéritif. »
Dans le salon, ce fut le branle-bas de combat, j’enfilais mon string en toute hâte, abaissais mon pull, Maxime fit disparaître le gode dans la poche intérieure de sa veste, il se réajusta à toute vitesse. Heureusement que mes cheveux tombaient sur mes épaules, je n’étais pas trop décoiffée. Le cœur battant chacun examina l’autre rapidement, le test était assez concluant… j’allais ouvrir.
Mon mari accompagné d’un de ses jeunes collègues patientait devant le portillon. Il avait l’air d’avoir assez bu.
« Nous venons d’une réception de la boîte, nous sommes en route pour le restaurant, mais avant je voulais que David vienne boire un coup à la maison et fasse la connaissance de ma femme, qui parait-il est un super canon ! Tiens !! Mais que fait ici ton pote Maxime ?
– Il… il est venu… pour… Pour regarder le micro qui avait des problèmes… il a fini…nous… Il… il allait partir…
– Oui, ce n’était pas bien grave… c’est réparé maintenant… Allez, je me sauve…
– Bon, David, viens au salon ! Trixie, sers-nous l’apéro s’il te plaît !
– Bonjour madame me dit le jeune homme, ne vous inquiétez pas… c’est moi qui conduis… me dit-il en souriant »
Ce jeune homme d’environ vingt-cinq ans, que je ne connaissais pas était beau comme un Apollon, blond, les yeux bleus, un corps d’athlète qui emplissait un costume de grande marque. Mon mari me jetait des regards suspicieux… pas persuadé que Maxime était là seulement pour le PC…
Effectivement, mes mamelons, après les caresses qui leur avaient été prodiguées, semblaient vouloir transpercer le mince tissu de mon pull moulant. La fine étoffe collant à ma peau sculptait le moindre détail de mes aréoles… c’ était vraiment érotique, le jeune homme semblait s’en être aperçu… mon mari aussi !!
Ils avaient pris place, autour de la table basse au salon, David sur le divan, mon époux sur un fauteuil. Je passais devant lui pour servir les boissons, ses deux mains se faufilèrent sous ma jupe, d’un coup sec de sa main gauche, il tira sur mon string, qui céda. Sans ménagement et avant que je ne puisse esquisser un geste de défense, deux doigts de sa main droite s’insinuèrent dans ma chatte.
Éberlué le jeune homme regardait la scène d’un air vraiment gêné.
« Salope, salope… j’en étais sûr… tu mouilles comme une pucelle… qui vient d’avoir son premier doigter !! Ton copain était en train de te baiser !! David regarde mes doigts, ils coulent de son foutre et sa culotte et moite… Salope ! C’est la longueur de tes tétons qui m’a mis la puce à l’oreille !! Attends, petite traînée puisque tu aimes tellement te faire baiser… Tu vas y avoir droit !! »
Il tira fortement ma jupe vers le bas, avec un peu de résistance, elle glissa le long de mes jambes, rapidement ne me laissant pas le temps de réagir, il fut debout et saisissant mon sweat-shirt, il le fit passer par-dessus ma tête.
Je me retrouvais en porte-jarretelles et soutien-gorge seins nus face aux deux hommes. Le doigter sauvage de mon époux devant son collègue avait relancé les sensations qui ne m’avaient pas quittées depuis les caresses de Maxime. J’étais comme paralysée… Je culpabilisais de m’être fait surprendre avec Maxime … Il dégrafa mon mini soutien-gorge qui tomba à mes pieds. Mais ce déshabillage brutal devant ce jeune homme beau comme un Dieu, commençait à m’exciter. Ma vulve gardait encore le souvenir du gigantesque gode noir que Maxime m’avait inséré. Mon excitation n’était pas retombée, preuve en était la moiteur de ma chatte… Son collègue regardait ce qui se passait avec de grands yeux ronds, il s’était levé. Une bosse assez conséquente se profilait à hauteur de son sexe…
« Je…je crois que je ferai mieux de partir…
– NON… David… non dit mon mari en bredouillant… je ne sais pas si c’est l’alcool ou elle qui ne fait cet effet mais je n’arrive pas à bander ! Regarde »
Il déboucla son pantalon, son sexe pendouillait, mou comme une limace.
« Alors… alors tu… tu sais quoi… non ! Eh bien, tu vas la baiser cette salope…p… pour la punir…
– Non, mais… je ne peux pas faire ça…
– Si tu peux… c’est moi ton chef non ? Alors tu vas le faire… sinon… »
Il commençait à s’énerver, le jeune me regardait avec des yeux contrits, je lui souriais, pourquoi ne pas profiter de la situation avec ce jeune éphèbe ?
« Il a vraiment bu hein ? Il ne va pas falloir le contrarier ! Je ne vous plais pas ?
– Si, si madame, vous êtes vraiment très belle…mais…
– Mais quoi ? Je vois que je te fais de l’effet, dis-je en lui montrant l’énorme bosse de son pantalon. Alors puisqu’il t’a donné un ordre… Obéis-lui !
– Vous… vous croyez…
– Ou… oui… écoute la, cette salope… Baise-la de … devant moi… »
Souriante, je m’approchais et lui caressais le sexe à travers l’étoffe de son pantalon. Il gémit.
« Pas mal, lui dis-je, elle a l’air vraiment ferme, grosse et longue, fais voir.
– C’est de vous voir nue seulement avec vos bas et votre porte-jarretelles… ça m’excite…je bande comme un âne… Je… je peux vous caresser les seins ?
– Mais bien sûr, tu ne veux pas sucer mes tétons, regardes comme ils sont durs et longs… ils n’attendent que ta bouche… Allez déshabille toi, j’ai hâte de te voir tout nu ! Touche ma chatte, rien que d’y penser, je mouille…
– Vous croyez… vous êtes tellement belle… je ne comprends pas son attitude envers vous… »
Il s’était déshabillé à toute allure, sa main partit à la rencontre de mon sexe, il jeta un regard à mon mari qui était maintenant avachi sur le fauteuil et nous regardait béatement. Encouragé par l’apathie de celui-ci et mes encouragements, il s’enhardit. Tandis que deux de ses doigts se faufilaient dans mon vagin, il m’attrapa derrière la nuque, et me prodigua un baiser plus que passionné.
Sa bouche descendit ensuite le long de mon cou, léchant à tour de rôle mes seins, mordillant mes tétons, aspirant mes aréoles… au bout d’un moment, la lente descente repris, il suivit le pourtour du porte-jarretelles, lécha ma peau nue le long des lanières, remonta le long de ma fente pour s’insinuer dans mon conduit vaginal, les caresses prodiguées et le va-et-vient de son muscle buccal, me donnait des frissons et me tirait des gémissements. Mes épaules eurent des spasmes lorsque ses mains attrapèrent mes seins et les malaxèrent doucement et qu’au même instant sa bouche aspira mon clitoris et se mit à le sucer… Un cri de plaisir sorti de ma gorge, cela eut l’air de tirer mon époux de sa somnolence.
« Oui, c… c’est bien… Continues… tu vas la faire jouir cette salope…
– Non David ne t’occupes pas de ce qu’il baragouine… Baise-moi… Enfile-moi ta queue… maintenant… »
Il me fit basculer sur le canapé, écarta mes jambes mettant un genou à terre entra sa verge qu’il ne cessait de masturber comme pour la faire encore grossir. Elle était de bonne taille, mais loin d’être aussi grosse et longue que le godemiché de Maxime ou la queue de Gérald. Mais j’étais tellement excitée par tout cela, et pour l’instant, je n’avais à aucun moment pu aller au bout de ma jouissance, j’accueillais sa verge comme une délivrance. Elle glissa facilement dans mon fourreau bien lubrifié. Il posa un de mes mollets sur son épaule et me martela sans relâche enfonçant son sexe jusqu’à la garde. Je l’encourageais, lui disant que sa bite me rendait folle, en poussant des cris de plaisir. C’était vrai, le plaisir montait… Cette fois, je n’allais pas rater le grand plongeon dans l’abîme de la volupté.
« Oooooohhhhhh, ooouuuuuiiiiii….putain que c’est bon… ouiiiii, ouuiiiiiii…. »
Je tombais… La chute à travers les flashes, sembla durer une éternité… Mon orgasme refoulé depuis assez longtemps fut assez impressionnant. Je perçus vaguement que David me demandait s’il pouvait éjaculer en moi…
« Ou…. Ouiiiii…. éja… éjacule dans sa chaattteeee… à cette sa…salope… »
Balbutia mon mari avant de plonger dans le sommeil.
Je refermais mes jambes autour des reins de David, il se cambra d’un seul coup et je sentis les soubresauts de son pénis, bien enfoncé dans mon vagin, déversant son sperme chaud. Je hurlais à nouveau…ma jouissance.
A suivre…
Ajouter un commentaire