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Un dépannage passionnant

Un dépannage passionnant



Je me souviens d’une rencontre, une après-midi d’été, dans l’arrière-pays montpelliérain. J’étais à l’époque en deuxième année a l’ISIM de Montpellier pour préparer un diplôme d’ingénieur en informatique appliquée à l’électronique et, plus particulièrement, aux robots. J’avais fait paraître une annonce sur un quotidien local, cherchant à gagner un peu d’argent pour l’année universitaire à venir. J’y proposais mes services pour de la formation sur Internet, pour le dépannage des micro-ordinateurs, et l’assistance aux paramétrages.

Le jour même, j’avais reçu un coup de fil sur mon portable d’un homme désirant prendre rendez-vous avec moi, au sujet d’un ordinateur capricieux. Nous avions décidé de nous rencontrer le lendemain dans la soirée, après les travaux pratiques de l’après-midi.

Le lendemain, me voilà sur la route avec ma vieille R5 et mon ordinateur portable, en route vers le rendez-vous. Arrivé à la grille du parc, je sonnai à l’interphone. Une voix féminine me répondit, je m’annonçai.

La porte s’ouvrit, laissant apparaître un parc immense d’au moins deux hectares et demi. Me voilà roulant en direction de la maison, située en fond de parc, un peu sur la droite.

Je fus accueilli par la femme de mon client. Après m’avoir offert un verre de jus de fruits, celle-ci m’expliqua qu’en fait c’était elle qui utilisait le plus l’ordinateur. Nous nous installâmes devant l’ordinateur, et commençâmes de le vérifier.

Une fois parvenu sur l’accès réseau à distance, je découvris un grand nombre de connexions aux noms plutôt évocateurs : baisemoi.com, ou encore tout-le-sexe… enfin, des connexion pas très orthodoxes ! Je pus percevoir un rougissement prononcé de la figure de mon interlocutrice, lors de l’apparition de ces connexions. J’essayai d’en savoir plus, mais elle m’expliqua que depuis peu elle était souvent gênée par des connexions sauvages, qui se lançaient toutes seules, un peu tout le temps.

Elle m’avoua qu’elle avait beaucoup d’admiration pour les gens qui arrivaient à comprendre le fonctionnement de telles machines. Je lui expliquai bien timidement, et avec toute la franchise du monde, qu’avec un peu d’expérience et quelques connaissances d’Internet, elle pourrait faire aussi bien que moi, sinon mieux. Elle me dit qu’elle en serait bien incapable vu son âge. Je la pris au mot, et lui demandai si elle voulait bien conduire les investigations, avec moi à la baguette bien sûr. Elle ne dit pas non.

La voilà donc devant son clavier, en train d’effectuer les manipulations, et moi, derrière elle, en train de lui dicter, étape par étape, toutes les vérifications à effectuer.

Je fus soudain distrait par le décolleté qui apparaissait au niveau du cou, laissant apparaître son soutien-gorge. Et, tout en lui indiquant les manipulations, je jetais de sérieux coups d’oeil à ses seins qui, ma foi, ne semblaient pas si vilains.

Tout à coup, elle me regarda alors que mes yeux étaient encore fixés sur son anatomie. Le temps d’un éclair, elle comprit ce qui se passait, et se remit devant l’écran en me demandant la marche à suivre.

Je déposai alors ma main gauche sur son épaule gauche et, tout en me penchant vers l’écran, lui montrai l’icône de la connexion. Elle lança celle-ci, ma main resta sur son épaule. Sous le satin de son chemisier bleu clair, je pouvais sentir la bretelle de son soutien-gorge.

Elle était là, devant moi, attendant que la connexion avec le serveur s’établisse. Soudain, la connexion s’établit, mais au lieu d’obtenir la page d’accueil du provider, un homme en train de se masturber apparut, et ce sur au moins la moitié de la page. Elle resta stoïque devant son clavier, rouge de honte. Je lui expliquai que cela n’était pas bien grave. J’en profitai pour lui faire faire quelques paramétrages du navigateur, tout en restant sur ce site là.

Petit à petit, et à force de discussion, nous étions arrivés à une petite camaraderie. J’avais maintenant les deux mains sur ses épaules, et je commençai à doucement caresser le tissu du chemisier, juste au niveau de la bretelle du soutien-gorge. Elle se retourna vers moi et esquissa un petit sourire.

Je me dis que peut-être elle n’était pas aussi farouche qu’elle semblait le paraître. Je descendis très doucement mes mains le long de ses épaules. La fibre satinée de la chemise était très douce au toucher. Elle s’était arrêtée de parler, je descendais toujours.

Mes mains étaient maintenant sur le dessus de des seins. Elle était rouge sang, moi aussi. Je sentais le sang frapper dans mes tempes. Elle ne disait rien, semblait deviner mes intentions. Je déboutonnai ensuite un bouton supplémentaire du haut et glissai doucement ma main sous son chemisier, alors qu’elle fixait toujours l’écran de l’ordinateur, où des couples s’adonnaient à des plaisirs très acrobatiques.

J’avais dans la paume de ma main droite le bonnet satiné de son sein gauche. Je pouvais sentir dans le creux de ma main son téton pousser sous le bonnet. Ne la voyant plus bouger, le regard fixe et droit vers l’écran, je tentai de ressortir la main de son chemisier. Elle remonta la sienne et, à travers la chemise, bloqua ma main sur son sein. Je sentais son coeur battre la chamade, et savais maintenant que mes caresses ne la laissaient pas insensible.

Elle se leva doucement, tout en me tournant le dos, alors que je continuai à lui déboutonner les dernier boutons encore en place. Son chemisier était tout à fait ouvert, et je pouvais caresser les deux seins, passant mes mains sous ses bras.

Je dégrafai ensuite son soutien-gorge et le posai sur la petite commode, sur la droite. Elle avait la tête légèrement en arrière, mes mains s’amusaient à dessiner des ronds sur les corolles gonflées et sur ses tétons rouges sang.

Elle se retourna vers moi et, tout en m’embrassant, desserra la ceinture de mon pantalon et dégrafa son bouton. Elle se mit à genoux et descendit mon slip jusque sur les chevilles. L’excitation faisait que j’étais en érection depuis un petit moment. Elle prit mon sexe de la main droite et plaça le gland dans sa bouche. C’était terriblement bon. Sa langue suçait le dessous de mon gland. De temps en temps, elle enfonçait ma verge jusque au fond de sa gorge. Cela dura bien cinq bonnes minutes.

Ensuite, elle se retourna, à nouveau face à l’ordinateur, et remonta sa robe de tissu fin le long de ses jambes, jusqu’à la limite de ses hanches. Je découvris sa culotte de tissu, sous cette robe bleue et jaune, parsemée de fleurs imprimées. Je lui caressai alors la croupe, tout en essayant de glisser mon index entre la culotte et sa peau, sur le dessous de celle-ci.

Voilà, j’y était arrivé ! Elle se tenait debout, raide devant le bureau, alors que moi, avec ma main droite, je caressais délicatement ses lèvres pubiennes de mon index. Elle avait maintenant la respiration très lente et profonde. Je descendis sa culotte le long de ses jambes fines, jusqu’à ce qu’elle touche par terre. Tout en se maintenant au bureau, elle se recula afin d’augmenter la cambrure de ses reins. Je me plaçai derrière elle et, tout en plaquant mon sexe sur sa vulve, je poussai un peu avec mon corps, jusqu’à sentir l’entrée du vagin.

Ma poussée fut lente et répétée. J’étais maintenant dans son intimité, je pouvais la sentir mouiller abondamment. Effectuer des va-et-vient fut un véritable plaisir, d’autant que mes mains avaient repris leurs caresses sur ses seins. Je la sentais respirer de plus en plus fort, poussant même de léger soupirs à mesure de mes étreintes. Jamais je n’avais vu une femme mouiller autant. Plus elle mouillait, et plus j’avais envie de la pénétrer profondément.

Nous étions tous deux collés l’un contre l’autre. Elle, face au bureau, les jambes écartées, moi, derrière elle, lui donnant de sérieux coups de reins, afin de toujours la pénétrer, de bas en haut. Ses mains cherchaient mes hanches et s’accrochaient à mes jambes. Je sentais qu’elle n’allait pas tarder à jouir, moi non plus d’ailleurs.

Elle jouit d’une seule traite. Je la suivis à quelques secondes près.

Nous n’avions même pas pensé à nous protéger, ce qui fait que je venais d’expulser toute ma semence dans son vagin. Nous continuâmes à être pris de petites convulsions, alors que nous étions encore plaqués l’un contre l’autre.

Petit à petit nous retrouvâmes nos esprits, et tout en récupérant nos affaires, nous nous adressâmes de petits sourires, ou même de petites bises.

Je repartis ce soir-là sans avoir gagné un franc, mais en ayant eu la double satisfaction de satisfaire cette femme sur le plan personnel et professionnel.

Nous avons gardé quelques rapports, qui se sont peu à peu espacés dans le temps. Aujourd’hui, nous nous parlons surtout au téléphone et, parfois, par l’entremise d’amis communs, qui ne savent bien sûr pas que cette femme, de quarante-huit ans à l’époque, avait mis fin, un soir de juin, à mon pucelage tardif (j’avais alors vingt-quatre ans).

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