Avril 2014
Voilà deux mois que Véro et moi sommes amants.
Tout s’est fait naturellement, je dirai presque que c’était dans la logique des choses tant notre complicité était évidente.
Sur le plan sexuel aussi, tout semble aller de soi.
Nos corps se sont immédiatement mis au diapason, comme si nous nous connaissions depuis toujours…
J’ai enfin pu découvrir son corps .
Ses cheveux sont noirs, mi longs, naturellement souples et légèrement ondulés.
Sa peau mate, éternellement bronzée ,contraste de façon saisissante avec ses yeux d’un vert émeraude.
Ses traits sont fins, mis en valeur par un maquillage léger dont elle a le secret.
Les amateurs de belles poitrines seraient ravis par ses formes qui, sans être imposantes, retiennent quand même le regard.
Fermes, doux au toucher, réceptifs à mes caresses, j’adore les cajoler.
Son ventre plat, musclé et son fessier arrondi ne me sont pas non plus indifférents.
Sportive depuis l’enfance, ses jambes et ses cuisses galbées soutiennent une intimité imberbe, joliment dessinée et agréablement accueillante.
Elle est belle et plus que cela, elle dégage un charme et une prestance qui font se retourner les hommes et jalouser les femmes.
Nos confidences passées n’entraînent aucune gêne entre nous.
Je sais qui elle est, ce qu’elle aime.
Elle connait mon passé, mes penchants.
Dès le premier soir, à peine nos sens apaisés, nous nous sommes promis de tout nous dire.
Nous avons refusé , au fil des jours, de nous demander ou les chemins que nous empruntions nous conduiraient…
Aux yeux de tous, du monde , de nos proches , notre relation reste sans ambiguïté.
Aucun de nous a promis à l’autre l’exclusivité. Pourtant, ni elle , ni moi, n’avons envie d’ailleurs.
Nous faisons l’amour avec fièvre.
J’aime quand sa bouche effleure mon sexe affamé.
J’aime quand , après de longues « hésitations » ses lèvres me happent.
Elle adore mes massages sensuels de sa nuque, ses oreilles, ma langue passant le long de son dos, s’attardant au creux de ses reins, ouvrant ses collines pour atteindre son petit trou que je titille longuement.
Elle raffole de mes attentions sur sa fente dégoulinante.
Mes doigts, ma langue, mon sexe passent et repassent, jouent et rejouent , vont et viennent jusqu’à la faire crier de plaisir.
Je retrouve avec elle une fougue, un appétit , une ardeur depuis longtemps oubliés.
Elle s’offre à mes caresses avec passion et son laisser aller déclenche des orgasmes profonds que je partage avec bonheur.
Elle n’est pas non plus en peine pour me prodiguer des attentions que j’apprécie follement.
Elle sait comment me mener jusqu’à la jouissance avec ses mains, sa bouche, son antre délicieusement chaud et humide.
Elle sait jouer de ses doigts dans mon anus qu’elle fouille délicatement.
En dehors de ces moments , nous nous voyons de plus en plus.
Avec ou sans les enfants, nous nous organisons des soirées restaurant , cinéma ou théâtre.
Caro et Vincent en sont heureux et ont l’impression de retrouver une stabilité familiale.
Ils ne voient pas beaucoup leur mère.
D’après ce que j’ai compris, elle a voulu s’installer chez Alain qui a refusé tout net.
Cela ne l’empêche pas de continuer à l’entraîner dans des turpitudes sans noms.
Le bouche à oreille faisant son effet , ses parents ont appris une partie de ses « activités ».
Véro m’a dit qu’ils en avaient été littéralement malades.
Je continue à les voir et à entretenir de très bons rapports avec eux.
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