Me voilà seule à la maison pour attendre le taxi que j’ai commandé.
Ce midi mon homme m’a gâté avec un super-restau en amoureux pour notre anniversaire de mariage, mais c’est le dessert que j’ai le plus apprécié, sur la route du retour il n’a pas pu attendre d’être seul le soir pour me faire un cunni dont il a le secret pour me faire partir au 7e ciel.
D’autant plus que la vieille mon esthéticienne m’avait comme d’habitude épilée à la cire et mes sensations sont décuplées au niveau du pubis le jour suivant.
M’étant faite sexy pour ma moitié j’ai fait des efforts même si nous sommes encore en février, et il n’a eu aucun mal à atteindre mon jardin secret portant une jupe assez courte des collants et un string en dentelle.
Ce petit string il décide de repartir avec en souvenir en me demandant de ne pas en remettre avant son retour, il sait que je n’ai pas l’habitude surtout en hiver, mais bon j’ai le droit de garder mon collant malgré tout !!
Je finis juste de me refaire une beauté quand mon téléphone sonne, le taxi est déjà arrivé.
Je regarde par la fenêtre, une grosse Mercedes est parquée devant notre maison, le soleil est éclatant et la température douce, je ne prends qu’une petite veste pour partir.
Le taxi serviable sort et m’ouvre la portière passager, moi qui comptais être tranquille à l’arrière c’est raté.
La douceur de ce début d’après-midi me surprend, je jette ma veste sur la banquette et m’installe dans le confortable siège et boucle ma ceinture.
Mon chauffeur connaissant la destination gère son GPS et nous démarrons.
Il entame la conversation avec un charmant accent marseillais, qui est exotique dans notre région, outre les banalités habituelles il me complimente aussi sur ma tenue et ma beauté, ça le change de sa clientèle habituelle d’hommes d’affaires pressés ou de mères de famille hystériques.
Je pique un fard même si j’avoue que ça fait plaisir, il faut dire que je porte toujours les vêtements sexy prévus et un beau décolleté malgré ma petite poitrine pour plaire à mon homme, hors le string.
La tenue plaît aussi à mon chauffeur je le vois dans son regard.
Le dialogue continue mais une envie pressante d’uriner commence à se faire sentir, les effets secondaires du thé et du vin bus à table, pourtant j’avais pris mes précautions avant de partir.
Il reste plus d’une demi-heure de route et je ne pourrai jamais tenir jusqu’à destination.
Cette situation n’est pas handicapante pour un homme mais toujours un peu délicate pour une femme.
Donc je demande à mon chauffeur s’il peut s’arrêter pour mon envie pressante.
— D’accord ma belle dame, je veux bien faire votre pause pipi, mais vous me laisser regarder, sans quoi je continue
Sa réponse me stupéfait, je ne m’y attendais pas, moi qui cherche toujours à me cacher quand je suis dans la nature.
— Ça ne va pas non !!!, il est hors de question vieux pervers, vous n’avez pas le droit de me regarder à moitié nue.
— C’est comme vous voulez, ma course est payée, je vous trouve charmante et oui mon péché mignon et de regarder des femmes faire pipi, et en plus j’en ai une belle à mes côtés l’occasion est trop belle ».
Je ne sais quoi répondre, il me désarme avec son accent et son sourire.
Quelques minutes se passent en silence, je me tortille sur mon siège, mon conducteur fait comme si de rien n’était, je ne tiens plus ma vessie va exploser, je prends donc sur moi, une grande inspiration et cède.
— OK, je veux bien vous laisser regarder mais pas de geste déplacé
— Eh bien vous voilà revenu raisonnable, le petit bois à 500 mètres vous conviendrait-il ?
— Oui parfait, vite je ne tiens plus !!!
— Merci pour ce petit cadeau que vous me faites, vous ne le regretterez pas
Sa réponse me trouble, enfin je vais pouvoir me soulager.
Le taxi bifurque sur la droite et s’enfonce entre les arbres et s’arrête dans une petite clairière.
Je vais pour sortir de la voiture quand le chauffeur me retient par le bras.
— Ne vous précipitez pas ma petite dame que je profite, voir une belle femme comme vous de déshabiller fait aussi partie du plaisir.
Son ton et son regard m’empêchent de refuser sa requête, je descends donc lentement de la voiture le temps que mon voyeur contourne la voiture ; je trépigne et il me fait signe que je peux commencer.
Là je me souviens que je n’ai plus de string, je maudis mon homme de l’avoir gardé, je baisse donc mon collant sur mes chevilles, je remonte ma jupe et m’accroupis.
Mon voyeur n’en perd pas une goutte, ne dit rien sur mon absence de culotte mais n’en pense pas moins.
Je libère enfin un long jet doré entre mes cuisses, j’oublie que j’ai un homme en face de moi qui me mate sans vergogne.
Je me sens déjà mieux la vessie vide, mais dans ma précipitation j’en ai oublié de prendre des mouchoirs pour m’essuyer, je vais pour me relever, quand le taxi m’interrompt.
— Ne bougez pas, la vue est trop belle, vous voulez quelque chose ma petite dame ?
— Euh oui des mouchoirs en papier que j’ai oubliés dans mon sac, si ce n’est pas trop vous demander de m’en apporter
— Bien sûr mais ne bougez pas !!!
Où pourrais-je aller comme ça les fesses à l’air en pleine nature…
Il prend son temps pour trouver ce que je lui ai demandé, la position accroupie commence à devenir inconfortable je m’impatiente un peu.
Le revoilà tout guilleret avec un paquet de mouchoirs qu’il me tend, il est très proche de moi et j’ai le visage à la hauteur de sa ceinture, et ne manque pas de voir qu’en dessous une bosse est apparue, ce qui ne m’étonne qu’à moitié.
Je le remercie et prends un premier mouchoir pour enfin m’essuyer, quand il me lance.
— A moi de vous faire un cadeau après ce joli spectacle, il n’y a pas de raison que je ne te montre pas ma bite à mon tour, nous serons quittes.
Le tutoiement soudain et le vocabulaire me laissent coite.
Joignant le geste à la parole il dégrafe sa ceinture, ouvre sa braguette et laisse tomber pantalon et caleçon sur ses chevilles.
Son sexe présente déjà une belle érection et il est à peine à 30 centimètres de mon visage.
Reprenant mes esprits, je me relève, rajuste ma jupe et lui rétorque :
— Je vous avais demandé pas de geste déplacé, là vous allez trop loin Monsieur le voyeur.
— Allons calme-toi ma chérie, ne joue pas les prudes, tu te promènes sans culotte et tu es bandante, tu le vois bien, je te rends juste hommage et si tu es gentille tu auras le droit de la toucher ma bite.
Et il commence à se masturber devant moi, je reste immobile devant le spectacle qu’il m’offre.
— Remonte ta jupe que je revoie ta belle chatte lisse, je n’en vois pas tous les jours des aussi belles.
— Si t’as pas remis ton collant c’est que tu en avais envie non ?
Ne sachant quoi répondre je remonte doucement ma jupe pour dévoiler mon sexe glabre, après tout je le laisse se faire du bien et ce sera fini.
— Voilà vous êtes content, vous la voyez à nouveau, elle vous inspire tant que ça ma chatte comme vous dites ? »
Tout en se masturbant, il se rapproche un peu de moi.
— Allons je sais que ça ne te déplaît pas cette situation, je connais assez les femmes pour savoir que si tu n’en avais pas eu envie il y a longtemps que tu m’aurais envoyé une baffe en pleine figure ma belle.
La une fois de plus je ne peux pas lui répondre, en temps normal oui je l’aurai giflé ou utiliser mon portable pour appeler la police, mais non je suis devant lui à moitié nue et je ne dis rien, l’alcool de ce midi et le cunni de mon homme m’ont échauffé les sens…
Sentant ma garde baissée, il se rapproche encore ; je ne bouge plus tétanisée, sa main libre se pose sur ma main gauche.
— Alors prête pour toucher ton cadeau ? Si tu veux pas je me finirai seul mais tes mains doivent savoir manipuler une bite comme la mienne.
Je le laisse guider ma main sur son sexe fièrement dressé elle rejoint la sienne qui a arrêté ses mouvements de va-et-vient mes doigts se pose dessus l’entoure, c’est la première verge que je touche autre que celle de mon homme depuis que je suis mariée.
Comme par réflexe je commence les mouvements sur cette verge qui réagit à mes caresses ainsi que son propriétaire.
— Humm tu fais ça trop bien, on voit que tu as l’habitude.
Tout en me parlant je sens sa main se poser sur ma cuisse gauche et remonter ma jupe, je laisse faire sa main est douce et pas si désagréable sur ma peau.
— Ton p’tit cul est délicieux, tout comme ta chatte, tu es une femme sublime, je parie que tu es aussi experte avec ta bouche.
Je pensais bien qu’il allait en arriver là, il n’aura pas ce plaisir
— Peut-être mais ce n’est pas aujourd’hui que vous le saurez, je vais vous masturber jusqu’à votre jouissance et on arrête ce petit jeu.
— Dommage ma belle, je sens bien que la situation t’excite tes cuisses sont trempées et là tu ne peux pas me mentir.
— Jusqu’à présent j’ai fait tout ce que vous m’avez demandé, je n’irai pas plus loin avec vous compris ?
Je sens ton son regard un certain désarroi mais la situation a assez dérapé à mon goût, je continue de le masturber avec ma technique qui semble apprécier car il ne me parle plus mais gémit mais sa main est toujours sur mes fesses.
Je sens qu’il est à bout et son sperme jaillit de son sexe, un long jet suivi de plusieurs petits, il avait les bourses pleines !!!
Je continue jusqu’à la dernière goutte pour vider mon voyeur de taxi.
Son sexe reste encore fièrement dressé, et j’ai un peu de son sperme sur la main, je vais rechercher le paquet de mouchoirs que j’ai laissé au sol et j’en oublie que mon collant est toujours sur mes pieds.
Je tente de le remonter et je m’aperçois qu’il est filé de bas en haut et qu’en plus maintenant il a aussi des taches de sperme…
— Merci ma belle » me lance mon taxi voyeur.
— Ca fait bien longtemps que je n’ai pas eu une telle trique, tu vois je ne débande pas, faut que tu fasses quelque chose pour moi, je pourrais jamais conduire comme ça…
Au même moment j’entends mon téléphone sonner, merde ça fait combien de temps que l’on est là.
Je file vers la voiture laissant mon chauffeur son sexe en main espérant que je le soulage à nouveau.
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