Un matin, je reçois un SMS d’une de mes ex, Morgane, qui me demande si je peux lui rendre un petit service. Je lui réponds que si c’est dans mes cordes, cela sera avec grand plaisir.
Je reçois alors le message suivant : « J’ai envie que tu me baises. Peux-tu te libérer entre midi et 2 ? »
Son message m’a fortement étonné, sachant qu’elle s’était mariée un an plus tôt. Je lui fis par de mon étonnement ainsi que du fait qu’elle me demande cela à moi.
Elle me répondit « Mon mari ne me touche plus depuis 3 mois. Et je me souviens de nos parties de baises et j’aimerais réessayer. »
C’est vrai qu’au lit, elle assurait pas mal la petite. Elle avait surtout une manière assez sonore de jouir qui faisait le délice de ses voisins et rendait ses voisines jalouses.
Pourquoi pas j’étais libre à l’époque. Un petit coup de queue cela ne fait pas de mal. Je confirmais donc mon accord à la condition qu’elle m’attende nue chez elle, qui se trouvait à deux pas de mon boulot.
11h45, je quitte mon poste pour ma pause déjeuner. Je préviens mes collègues que j’ai deux/trois bricoles à aller chercher et que je risque de revenir avec un peu de retard.
En chemin, je me remémore nos bons moments. Ses seins plantureux. Son cul rebondi que l’on a envie de saisir à pleines mains pour mieux le pénétrer. Et sa chatte qui a un goût sucré.
Plongé dans mes souvenirs, j’arrive devant sa porte. Je sonne. J’entends alors « Entres ! C’est ouvert ! ». J’entre. Je l’entends à nouveau me crier « Fermes bien le verrou derrière toi ! », ce que je fais immédiatement.
Je me dirige vers le fond du couloir d’où provenait la voix de Morgane. Et là, j’arrive devant la porte de sa chambre qui est entrouverte. Je la pousse, et je l’aperçois allongée sous sa couette, ses longs cheveux blonds qui s’étalent sur son oreiller comme autant de millions de rayons de Soleil.
Comme je restais admiratif devant cette vision, d’un large geste elle fit tomber la couette, dévoilant ainsi son corps nu.
« Tu vois je t’ai obéi. Je t’ai attendu nue » me dit-elle avec un léger sourire coquin au coin des lèvres.
A la vision de ce corps, qui je connaissais pourtant déjà, je restais figer sur place comme un chien de chasse devant son gibier.
Son « Viens vite ! On n’a pas beaucoup de temps mon mari rentre à 14h ! » me sortit de ma torpeur. Je me déshabillais prestement et me glissa à ses côtés dans le lit. D’un large geste, elle nous recouvrit de la couette.
Je me blottis toute contre elle, mon torse contre sa poitrine. Je sentis la chaleur de son corps m’irradier. Mon sexe se tendit à son contact.
Tout doucement je caressais ses seins, toujours aussi beaux et lourds. Puis ma main descendit vers sa chatte recouverte par un léger duvet blond soyeux. Alors que j’allais glisser mes doigts dans sa fente, elle écarta légèrement les jambes pour me faciliter le passage. J’y introduisis deux de mes doigts qui ressortir tout trempés.
« Putain ! Qu’est-ce que tu mouilles ?! Tu es vraiment très excitée ! » m’exclamai-je.
Comme seule réponse, elle me murmura « Baise-moi !! J’ai envie de ta queue !! De te sentir en moi !! Allez viens !! ». Et joignant le geste à ses paroles, elle s’allongea sur le dos et écarta largement les jambes.
A cette vue, mon sexe se tendit et je m’allongea sur elle.
J’avais à peine pénétrer son antre, qu’elle m’emprisonna entre ses jambes et ses bras, afin de me sentir au plus profond d’elle. C’est elle qui rythmait mes coups de rein. Elle se servait de moi comme d’un gode géant, se frottant à moi, appuyant sur mes fesses pour que mieux me sentir. Je pouvais admirer la lente ascension du plaisir sur son visage.
Ses cris étaient de plus en plus importants et rapprochés. Ceux-ci étaient entrecoupés d’injonctions du type : « Vas-y baises moi bien ! », « Accélères !! », « Encore », « Plus fort !! ».
Jusqu’au moment où elle je senti son corps tremblé. Et après un long cri sauvage, elle s’effondra sous moi, repue et heureuse.
Moi qui n’avait pas jouit, je me mis à la besogner à mon rythme ce qui la sortit de l’état second dans laquelle elle était. Très rapidement son corps réagit à mes coups de boutoir. Sa jouissance monta plus rapidement que la première fois à tel point qu’elle jouit au moment même où j’emplissais son vagin de mon foutre.
Nous restâmes collés l’un à l’autre un petit moment. Mais l’heure passant et son époux ne devant plus trop tarder, je me rhabillai rapidement tout en regrettant de ne pas pouvoir continuer notre petit jeu à deux.
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