La seconde fois, ce fut différent.
Je vous ai raconté notre première fois et, après relecture, je m’aperçois que je n’ai utilisé que l’expression « ma femme » pour parler d’elle. Elle se prénomme Carole.
Ceci étant dit, après cette première expérience, Carole m’avoua avoir vraiment apprécié cette deuxième queue. Elle reconnut bien volontiers avoir appréhendé et avoir été probablement un peu crispée. De fait, tout le temps où François l’avait baisée, elle était accrochée à mon cou et me tenait fort. Elle n’arrivait pas vraiment à mettre des mots sur son ressenti même si elle avait pris du plaisir. C’était tout de même la première fois qu’une bite autre que la mienne la pénétrait depuis 16 ou 17 ans que nous étions mariés. Nous n’étions pas gênés avec le sexe et nous en parlions sans complexe mais là, c’était un vrai cap que nous passions. Notre couple allait-il s’en trouver consolidé ou alors battre peu à peu de l’aile ? J’avoue que ni elle ni moi à ce moment là ne pouvait être sur de quoi que ce soit. Néanmoins nous avons aujourd’hui 43 ans de mariage et on est toujours ensemble.
Après ses confidences, elle me demandait ce que « moi » j’en pensais. Honnêtement, j’ai eu moi aussi du mal à trouver mes mots. J’ai parlé bien sur de ma petite pointe de jalousie et elle m’assura ne jamais recommencer ce genre de baiser avec un autre. Je lui disais également mon plaisir à l’avoir vu prendre son pied et surtout lorsqu’elle me disait en direct ce qu’il lui faisait. Je lui disais regretter un peu de l’avoir baisée en premier même si je comprenais bien pourquoi elle me l’avait demandé. Mais j’avouais que j’aurais peut-être préféré la voir avec François d’abord puis, bien excité par le spectacle la baiser à mon tour et même l’enculer. Je pensais que nos sensations à tous les deux auraient été décuplées. Je lui disais que peut-être aussi j’aurai sans doute mieux apprécié en étant un peu en retrait. Mais je comprenais que pour une première elle avait envie de me sentir près d’elle afin de se rassurer.
Nous avons fini par décider que nous allions remettre ça. La première fois étant passée et plutôt bien passée, elle se sentait plus en confiance et pensait pouvoir se lâcher d’avantage. Mais à une condition, on reprenait François.
Cette fois-ci, après mon appel, François me dit que c’était lui qui nous invitait au restaurant. Carole donna son accord mais voulait rentrer à notre maison après et non chez lui. Il accepta volontiers et RDV fut pris.
Là, comme je le dis dans le titre, ce fut différent. Nous avons bien dîné certes. François était très courtois, très agréable. Carole était enjouée, très sexy. En montant les escaliers menant à notre chambre, l’alcool aidant sans doute un peu et probablement aussi le fait qu’on se connaissait déjà, François se laissait aller à passer ses mains sous la jupe de Carole et je dois dire qu’elle se laissait faire. Peut-être même allait-elle au devant. Mais bon, tant mieux, c’est bien ce qu’on voulait tous.
Dans la chambre nous sommes restés debout. Carole jetait son sac et son châle sur le canapé alors qu’on se rapprochait d’elle. Chacun d’un côté, nous la caressions à quatre mains tout en la déshabillant entièrement. Une fois nue elle se jeta sur le lit en se pelotonnant dans le couvre-lit. François fut plus prompt que moi à retirer ses vêtements et il fut donc le premier à rejoindre Carole.
Finalement ça m’arrangeait bien. Je les laissais commencer sans moi. Carole était dos à moi et François commençait à la peloter un peu partout. Puis ce fut elle qui pris l’initiative en le basculant sur le dos et en embouchant sa bite déjà tendue vers le plafond. Elle était à quatre pattes, le cul vers moi et faisait des va-et-vient sur le pieu raide de François. Je m’approchais du lit, m’asseyais sur le bord et à mon tour, je prenais possession de son corps avec mes doigts.
Je lui malaxais ses gros nichons dont les pointes s’allongeaient sous mes doigts. J’embrassais son dos, ses épaules, je lui lançais des « Suce ma salope ! » « Suce-le bien, t’aimes ça hein sucer des bites ? » Je descendais mes mains plus bas et mes doigts rencontraient d’autres visiteurs déjà plantés dans la chatte de Carole. Elle ruisselait. Les doigts de François étaient trempés. Je mouillais les miens et lui en enfilais deux dans le trou du cul sans peine. Elle gémissait de plus en plus fort jusqu’à échapper à nos mains inquisitrices et venir se planter sur la queue de François en une seule poussée.
A califourchon, elle ondulait, fichée sur le dard turgescent. Les yeux fermés. La tête basculée en arrière. Elle râlait telle une tigresse en chaleur. Elle se pétrissait les nibards. Plus rien n’existait autour d’elle, que son plaisir, sa jouissance. Une bombe pouvait tomber, elle serait restée plantée sur cette queue à se faire du bien.
J’étais scotché. Elle était belle. Je ne voyais qu’elle. Même François n’existait plus. Son corps se paraît de perles de sueur. Elle brillait dans la pénombre. Son ventre allait et venait en ondulant. Elle cria son premier orgasme en se pinçant fortement les tétons. Je voyais mon François tout rouge, le cou tendu, crispé. Je me doutais qu’il ne tiendrait plus très longtemps. Surtout qu’après un très bref moment de répit, Carole chevauchait de plus belle son fougueux étalon.
François lui prit les hanches et c’est là que je le vis s’arc-bouter, soulevant sa cavalière. Dans un grognement a****l je devinais qu’il se vidait en elle par longs jets que soulignait chaque spasme de son ventre.
Encore quelques va-et-vient sur la bite mollissante et se fut Carole qui explosait à son tour. Là aussi elle était belle. Elle se recroquevillait, ses cheveux touchaient la poitrine de François puis, dans la même seconde se redressait la tête rejetée en arrière. Elle se pinçait les seins, tirait les bouts. Son ventre était encore secoué de spasmes. L’orgasme avait dû être fort. Comme je l’aimais à ce moment là. Elle avait pris un tel plaisir que j’étais presque ému.
Ce qui fut également différent, c’est qu’étant resté voyeur presque tout le temps, malgré le spectacle qu’ils m’avaient offert, je ne bandais pas. Mais vraiment pas. Ma bite était molle et je crois bien qu’elle l’était restée pendant toute leur baise. C’était invraisemblable. Dans ma tête j’étais excité comme jamais devant cette débauche de plaisir, ou alors, tellement concentré sur le plaisir de ma femme, j’en oubliais le mien. Pour autant je n’étais pas déçu. J’étais tellement heureux pour Carole que cela me suffisait. Je pense qu’à ce moment précis j’aurai pu en rester là.
Seulement voilà, ma femme, elle, ne le voyait pas ainsi et elle se jeta sur ma queue et se chargea de lui redonner la vigueur nécessaire. Alors qu’elle me suçait goulûment, d’une main elle branlait notre François en espérant qu’il reprenne de la vigueur également. La coquine avait-elle une idée derrière la tête ? Moi en tous cas j’y pensais.
La suite me prouva que je n’étais effectivement pas le seul. Carole passait alternativement d’une bite à l’autre. Elle suçait, pompait, malaxait. Tellement déchainée sur nos pieux qu’ils se redressèrent bien vite dans leur rectitude.
François était toujours sur le dos, le dard à la verticale. Carole l’enjamba à nouveau et s’empala d’un seul coup. La hampe rigide disparue au fond de la chatte trempée de mouille. Aussitôt François ondulait du bassin afin d’imprimer un va-et-vient dans l’antre soyeux et mouillé.
Carole, tout en se penchant sur le torse de notre partenaire me cria de venir l’enculer. Vous comprendrez que je ne puisse m’opposer à une telle demande et je me plaçais derrière le couple forniquant. La cyprine sortait de sa chatte à chaque sortie de la queue. J’en enduisais mes doigts et caressais l’œillet accueillant et frémissant qui s’ouvrait déjà un peu devant moi. Je n’ai pas eu besoin d’insister beaucoup pour que disparaissent deux de mes doigts dans le fondement de ma chérie excitée.
Je remplaçais bien vite ces doigts par mon gland qui, lui aussi, disparu rapidement, aspiré par un trou du cul gourmand. Le reste s’enfonça doucement sans discontinuer jusqu’au moment où mon pubis tapait les fesses que je tenais écartées.
Après un bref arrêt, je commençais mes va-et-vient en alternance avec ceux de François afin de coordonner notre enfilage. Lorsque l’un entrait, l’autre sortait. Je sentais la queue de François lorsque nous nous croisions et se frottement supplémentaire avait le don de m’exciter encore plus. D’ailleurs ça me donna une idée que je mis à exécution aussitôt. Je me retirais du conduit anal de Carole et forçais l’entrée de sa chatte pourtant déjà occupée.
Finalement c’est vraiment élastique cette chose là. Ma bite rejoignait celle de François sans trop de difficulté. Carole ne s’y attendait pas bien sur, mais elle se laissa faire. A en juger par le feulement qui suivit, je crois même qu’elle appréciait. On se remit, François et moi, tant bien que mal, à lui défoncer sa chatte. Il faut bien dire que ce n’est pas le plus facile quand on est deux au même endroit. D’ailleurs je n’ai pas insisté très longtemps et suis retourné perforer la rondelle toujours lubrifiée qui m’attendait.
Ma pénétration provoqua l’orgasme de Carole. Elle devînt toute molle, secouée de spasmes puis se cabra d’un seul coup toujours embrochée sur le dard de François qui commençait à se crisper lui aussi. Je jouis le premier dans le cul de Carole suivi de près par François qui se vida au fond de sa chatte. Je me retirai et m’allongeais à côté d’eux. Carole descendait de sa monture, retirait le préservatif de la queue de François et repris l’engin en bouche pour le laver des restes de foutre. Elle me fit de même puis vînt me rouler une pelle aux goûts mélangés. Je ne peux pas dire que j’ai beaucoup aimé.
Nous avons bu un verre tous les trois. Nous avons échangé nos impressions. François était ravi de nous avoir rencontré. Tu parles……. Carole était elle aussi enchantée. Elle m’a dit avoir pris énormément de plaisir avec la séance de baise que nous venions de faire mais aussi à voir combien j’étais heureux de la voir le prendre, ce plaisir. Elle aussi avait remarqué que je ne bandais pas pendant qu’elle était avec François. Mais elle pensait bien que ça se passait dans ma tête à ce moment là.
François resta dormir avec nous ce soir là. Le lendemain matin, Carole, entre nous deux à genou nous suçait à tour de rôle. Y-a pire comme réveil matin…………
A suivre…
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