Nous habitions dans le Gard. En plein mois de juillet, la chaleur est intenable en ville, Franck et moi partions souvent rechercher de la fraîcheur au bord de ruisseaux dans les Cévennes. Nous recherchions surtout des endroits isolés des regards pour pouvoir nous mettre nu en toute discrétion. Nous avions trouvé un coin assez difficile d’accès qui nous assurait la tranquillité et le peu de chance de le voir occupé par d’autres personnes. L’endroit était ombragé et bordé un petit trou d’eau pour se rafraîchir.
Cette après midi là, nous arrivons vers 16h, après avoir marché et crapahuté une bonne vingtaine de minutes. J’avais déjà enlevé mon tee shirt humide de sueur, laissant ainsi mes seins à l’air, un peu avant d’arriver devant les derniers petits rochers à franchir juste avant notre coin préféré. Je franchissais, en faisant bien attention où je posais mes pieds, le petit escarpement persuadée que notre petit endroit était, comme habituellement, désert. Une fois en bas, je me retournais pour prendre le sac que Franck me tendait. C’est quand j’ai vu son visage étonné que je me suis retournée.
Le spectacle qui s’offrait à nous, à 4 ou 5 mètres, était pour le moins surprenant. Voilà donc ce que j’ai vu (Franck a vu la même chose mais peut-être pas de la même façon): un homme nu, allongé sur le dos. Je ne voyais pas son visage, une fille brune, nue également était accroupi dessus et ses reins faisaient de lents mouvements de va-et-vient. Elle se caressait les seins d’une main et l’autre main était glissé dans son entre-jambe. Je restais quelques secondes à regarder cette fille puis un grognement détourna mon regard vers une autre fille, nue et brune également, qui suçait le sexe de l’homme allongé. Elle était à 4 pattes entre ses jambes. Derrière elle, un deuxième homme nu était plaqué à ses fesses la tenant fermement par la taille et donnant de grands coups de rein.
Nous sommes resté médusé devant le spectacle une bonne dizaine de secondes, avant que Franck ne lance un «Oh pardon !!!». Nous allions rebroussé chemin quand la fille qui chevauchait le visage nous lança: «Mais non, vous pouvez rester». Elle se dégagea du visage qui visiblement lui mangeait sa chatte et se mit debout face à nous. Le deuxième homme laissa aussi les fesses de sa partenaire et nous regarda avec un large sourire. Son sexe était raide et luisant de mouille. L’autre fille continuait à sucer la bite tendue de l’homme allongé qui nous lança également un sourire. Ils étaient visiblement beaucoup moins gênés que Franck et moi.
Nous sommes un couple avec l’esprit assez ouvert et nos relations sexuelles sont épanouies. Nous n’avions aucun tabous entre nous. Franck me donnait beaucoup de plaisir. Nous avions quelques jeux pour entretenir nos libidos, allant même jusqu’à regarder ensemble des vidéos pornos, mais nous n’avions jamais envisagé de pratiquer le libertinage.
– Vous pouvez rester si vous voulez et profiter du spectacle, dit la fille debout.
– Et vous joindre à nous si cela vous tente, ajouta l’homme allongé en montrant la croupe de la suceuse.
– Surtout que vous avez, madame, de superbes seins, renchérit l’autre homme.
Je regardais Franck, qui ne quittait pas des yeux la fille qui suçait frénétiquement la queue de l’homme allongé.
Les scènes de partouze dans les vidéos pornos me faisaient toujours mouiller. Voir les filles passer d’une bite à l’autre, se faire prendre par plusieurs queues en même temps où une après l’autre m’excitait beaucoup, mais ça n’avait jamais été un fantasme pour moi. Le spectacle que je venais de voir avait fait son effet et je sentais mon intimité humide. De plus, les 2 mâles étaient plutôt pas mal physiquement et bien équipés !!!
Franck me lança un regard interrogateur. Je me surpris à acquiescer.
Franck s’avança vers eux : « Les beaux seins sont ceux de Eve et moi c’est Franck, dit-il.
– Chouette !!! lança la fille debout. Moi c’est Cathy et voici Régis mon époux.
La suceuse s’était assise sur ses talons, délaissant la queue raide tendue devant elle :
– Je confirme, magnifique poitrine !!! Moi c’est Fabienne et ma sucette ici devant c’est Michel, mon copain.
Je suivis Franck et j’ai tout naturellement fait la bise à tout le monde.
– Vous pouvez vous installer un peu plus loin ou juste à coté de nous, comme vous voulez, nous dit Fabienne qui n’arrêtait pas de fixer mes nichons.
Après avoir examiné les alentours je proposais à Franck d’installer notre petit tapis à environ 2 mètres du petit groupe. Ça laissait une distance raisonnable, n’étant pas vraiment, bien qu’excitée, prête à se genre de pratique.
…/… la suite prochainement
Ajouter un commentaire