L’idée me trottait dans la tête depuis plusieurs semaines, celle d’aller trainer dans le wc public au sous-sol du marché couvert.
J’avais entendu les copains parler de ce lieu mystérieux où des hommes s’intéressaient aux autres, avec des mains baladeuses et plus si affinité.
J’hésitais ! Ce lieu magique était gardé par une mégère aussi commère que criarde.
Lors d’une première approche, je l’avais entendu interpeller sans ménagement un homme qui, m’a-t-il semblé, s’était montré peu discret dans son épanchement urinaire … J’avais le sentiment que tout le quartier avait profité de l’algarade !
Bref, après de longue hésitation, je m’étais décidé à descendre l’escalier. J’avais préparé ma pièce de 20 centime exigée par la mégère pour frais de bonne tenue du lieu. Tintement de la piève dans la coupelle, « bonjour madame » … Regard inquisiteur, scrutateur, de la tête aux pieds avec arrêt prolongé sur la braguette … breuuu ! à faire débander illico un cerf en rut ! Enfin, la sanction tombe : « allez -s’y jeune homme, et n’en mettez pas partout » !
Je m’avance dans le lieu qui sent le propre, ce qui dans les années 70 n’était pas gagné d’avance ! Au fond, derrière un retour de mur, je trouve une rangée d’urinoirs blanc immaculé. Après quelques instants d’hésitation, je me place au milieu en pensant cela stratégique. Problème, je suis seul !
Après quelques instants qui m’ont semblé des minutes, j’entends quelqu’un arriver. J’entends surtout la mégère lui dire « allez z’y, il y a un jeune homme qui a besoin d’aide pour ses besoins ». Le tout accompagné d’un rire gras qui résonne encore dans les oreilles !
Quelques secondes après, se place à l’urinoir voisin, un homme d’âge mur. Posément, il sort son engin, l’étire et commence à envoyer un jet puissant d’urine. Comme éclaboussé, il se recule d’un pas. La tête fixée droit devant moi, je me tort les yeux pour le mater. Visiblement, il a une belle queue, je semble bien palot avec mes 14 – 15 cm pas très épais !
Il a fini d’uriné, il ne quitte pas le lieu. Du coin de l’oeil, je vois sa bite grossir à vue d’oeil. Puis très rapidement, un chuchotement « elle te plait, tu veux la toucher ? ». Je suis tétanisé ! je ne réponds pas, j’en suis incapable. Ma bite fait des soubresauts tellement je suis excité.
Quelques instants après, je sens une main se glisser dans mon entrejambe. Un doigt semble vouloir me pénétrer l’anus à travers le pantalon. J’esquive. Mais reste sur place.
Sa main saisie la mienne et la pose sur sa teub. Impressionnant : c’est chaud, c’est dur, c’est doux !
Puis il me saisit doucement par l’épaule et me guide dans le wc qu’il referme doucement derrière lui. Il laisse tomber immédiatement son pantalon, m’appuie fermement sur les épaules et me place la tête à hauteur de sa queue. Je promène mes lèvres dessus. Son odeur est à la fois douce et pénétrante. Je tente une langue sur le prépuce. Il m’encourage par de petits à-coups. Bientôt j’ai la bouche remplie et je peine à concilier fellation et respiration ! Il me saisit à nouveau la main et la place sur ses burnes qu’il a épaisse, grosses, visiblement bien remplie.
Après quelques minutes de cette initiation. Il me redresse et s’accroupit. Avec dextérité, il me met le cul à nu. Sa bouche avale immédiatement ma petite queue. Totalement. Je me sens d’un coup comme aspiré, avalé, ma bite et mes deux couilles me semblent installées dans un écrin doux, chaud et particulièrement excitant.
Il n’a sans doute pas fallu plus de 30 secondes pour que j’éjacule avec une v******e qui marque encore mon esprit. Piteux et ne sachant quoi dire, je me retire. Lui, sans aucune gêne, avale mon jus sans hésiter.
Encore sonné par cette jouissance aussi brutale qu’inattendue, il me remet en situation pour lui repomper la queue. Durant de longue minute, en suivant ses conseils, je le suce de plus en plus profondément jusqu’à ce qu’un goût particulier m’envahisse la bouche. Alors que je tente de me retirer, il me maintient fermement en situation de le pomper. Je pressens qu’il va jouir et j’appréhende cet instant. Les histoires des copains y sont pour beaucoup ! Finalement, je sens sa bite se raidir encore plus et plusieurs jets saccadés m’envahir la bouche. J’avale, je m’étouffe, je recrache. Prestement, il m’oriente vers la cuvette pour ne pas salir les wc impeccablement entretenu par la mégère. Le gout de son sperme est fort. Longtemps après j’aurai encore le sentiment de sentir le foutre en exhalant !
Avec dextérité, il me remonte le pantalon à la taille, prend visiblement plaisir à me reboutonner. Il se réajuste ensuite et m’invite à sortir en premier.
Repassant devant la mégère, celle-ci me gratifie d’un commentaire très délicat « alors le jeune homme a satisfait à ses besoins ? ». Rouge de confusion, je quitte les lieux à grands pas !
Par la suite, je reverrai plusieurs fois le monsieur avec lequel je venais de découvrir de nouveaux horizons.
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