Samedi dernier j’ai emmené ma copine Sabah, une magnifique beurette algérienne dans les quartier chauds de Paris pour bien nous exciter avant de revenir dans ma chambre sous les toits et nous y offrir une belle partie de galipettes.
Nous nous sommes fixés comme lieu de rendez-vous le carrefour à l’angle des rues de Saint-Denis et de la Grande Truanderie car en prévision de se son anniversaire (et aussi pour me faire plaisir), je veux lui offrir une tenue coquine et un beau jouet.
Agés de 24 ans l’un et l’autre, nous sommes quelque peu libertins et lorsque nous baisons, nous nous racontons tout un tas de fantasmes, tous plus chauds les uns que les autres, nous imaginant toutes sortes de scénarios plus ou moins osés. Sabah ne savait rien de mes intentions mais lorsqu’elle me rejoint avec près d’une demi-heure de retard (comme d’habitude), je m’aperçois qu’elle est déjà bien chaude : jupette en jean à ras la touffe, cuissardes, teeshirt largement échancré au travers duquel pointent les tétons de son opulente poitrine, maquillage des yeux et de la bouche très appuyé et ses longs cheveux noir noués en queue de cheval. Elle ressemble à une des filles qui racolent à proximité ! Bref une véritable allure de pute !
Elle ne s’excuse même pas de son retard tant c’est habituel chez elle. Nous entrons dans un des sex-shops qui sont nombreux dans cette rue. Je connais bien les lieux car je viens de temps à autre mater une des filles qui s’exhibent dans les cabines et je sais que nous trouverons ce que je cherche pour Sabah.
Une vendeuse assez court vêtue elle aussi nous présente une série de tenues que Sabah part essayer dans une des cabines situées à proximité du rayon des vêtements. Bien évidemment je l’accompagne pour l’aider à choisir. Son choix se porte sur un ensemble string et soutif fait uniquement de lanières étroites qui mettent en relief ses formes un peu généreuses. Mais ce n’est pas trop ce que je souhaitais. Avec la complicité de la vendeuse (que j’ai baisée une fois avant de rencontrer Sabah), je fais essayer à ma copine un serre-taille qui, s’évasant juste au dessus des hanches, monte jusqu’à la poitrine qu’elle présente plus qu’elle ne la soutient… dans des demis bonnets.
Le laçage dorsal permet de serrer plus ou moins la taille pour la rendre plus étroite alors que par effet inverse, les hanches et la poitrine paraissent plus volumineuses. C’est un peu un carcan de torture mais j’aime et Sabah aussi. Je lui dis que c’est son cadeau d’anniversaire qu’elle peut garder sur elle pour le moment. Elle peut y ajouter un beau gode vibrant pour se donner du plaisir quand elle ne peut pas me rejoindre.
Lorsqu’elle sort de la cabine après avoir remis sa jupette, l’effet est formidable et bon nombre de mecs se retournent pour l’admirer. Certains manifestent aussi par des sifflements. C’est vrai que dans cette tenue, elle est canon mais elle a un look de salope…
Je lui ordonne de déambuler dans le magasin pour bien se montrer à tous les mecs (et quelques filles) qui sont là. Quand elle s’arrête devant le rayon des DVD, elle se baisse pour en prendre un sur une étagère basse et regarder le synopsis. Quelle n’est pas ma stupeur quand je découvre que Sabah n’a pas remis son string ! Elle a le cul nu ! Décidément ce soir, elle a décidé de la jouer « SALOPE » et çà me plait au point que j’ai la bite dressée dans mon boxer à m’en faire mal tant j’ai envie de sauter ma chienne de beurette dans un coin du magasin.
Nous lisons ensemble le résumé du film, je suis collé dans son dos et je regarde par-dessus son épaule, me frottant contre elle pour lui faire sentir combien je bande… et cela augmente encore quand je découvre que je peux voir ses tétons sortis dans le soutif et que Sabah répond en tortillant des fesses contre mon érection. Je lui dis à l’oreille :
– Salope ! Tu me fais bander avec ton cul nu ! Viens à l’étage, je vais te sauter comme une chienne en chaleur que tu es !
– Oh oui ! Ta pute a la chatte qui coule !
Je prends Sabah par le coude et je la guide vers les escaliers qui conduisent aux « love room », ces quelques petites chambres où des couples en chaleur comme nous peuvent venir s’ébattre pour une dizaine d’euro de péage. Je sais que certaines sont pourvues de miroirs sans tain pour que des voyeurs se régalent à loisir.
En moins d’une minute, nous sommes à genoux sur le lit. Sabah, à ma demande ne s’est pas déshabillée alors que je suis complètement nu ! Elle plonge sur ma bite bandée comme un arc et l’engloutit jusqu’au fond de sa gorge pour l’enduire de salive et me sucer comme elle sait si bien le faire. Mais je freine ses ardeurs car je ne veux pas inonder sa bouche ! C’est son cul que je veux !
Comme je fais face à la porte, je la vois s’entrouvrir et un black apparait dans l’entrebâillement. D’un geste il me fait comprendre qu’il apprécie notre baise et je lui fais signe de s’approcher en silence. Il ouvre son pantalon et sort un vit déjà bandé comme je n’en ai vu que chez les hardeurs de films X. Un diamètre qui approche celui d’une canette de boisson et au moins 25cm de longueur.
Doucement et silencieusement, il s’approche et relève la jupette de Sabah qui, passée la surprise accepte de se laisser caresser les fesses et la fente. Elle redouble d’ardeur dans sa fellation au point que je m’arrache de sa bouche pour ne pas gicler… Le black prend ma place et Sabah (qui ne passe pas pour avoir une petite bouche) a bien du mal à le faire entrer. Elle se contente de sucer le gland et de lécher la hampe qui est de plus en plus dure quand soudain ma copine s’écrie en lui tendant un préservatif :
– Défonce-moi fils de pute, tu ne vas pas te contenter de jouer les voyeurs !
Je n’ai rien contre, ce ne serait pas la première fois que cette garce se ferait sauter devant moi ! Le black revient derrière elle qui est toujours à genoux. Il la fait mettre en levrette pendant qu’il se couvre, repasse une main dans la fente et d’un seul mouvement il embroche Sabah sur son pieu, faisant claquer son pubis contre les fesses de ma beurette.
Cette dernière semble brusquement manquer d’air et en ouvrant grand la bouche elle dit :
– Waouh quelle putain de zeb ! Vas-y défonce moi, je suis ta pute algérienne, ta qahba !
Et là, le black avec qui nous n’avons pas échangé plus de dix mots, entreprend de baiser Sabah à longs traits rapides, sortant de la chatte à chaque fois pour mieux y rentrer ensuite en puissance. Les seins de ma copine sont sortis du soutif sous les coups de boutoir que son baiseur lui met à chaque fois qu’il arrive contre ses fesses. Ce claquement est excitant !
Sabah part une première fois, beuglant sa jouissance haut et fort et le black, sans sortir de la chatte accueillante, retourne Sabah sur le dos, lui remonte les jambes en appui sur ses épaules et reprendre la copulation sans laisser à ma copine le temps de dire « OUF ! »
D’un geste elle me fait comprendre qu’elle veut encore me sucer. Je ne me fais pas prier et je m’engage une fois encore dans cette bouche vorace qui a vu passer plus d’une bite.
Quand Sabah jouit pour la seconde fois, le black se lâche au fond du préservatif dans un râle de plaisir alors que moi, je me vide dans la bouche de Sabah qui avale tout ce que je lui ai servi :
– Oulla ! Qu’est-ce qu’il ma mis !
C’est vrai que quand il sort et retire le préservatif, nous ne pouvons que constater l’ampleur de son éjaculation : au moins la valeur d’un apéritif servi dans un bistrot !
– Merci les potes ! C’était génial ! Quelle baiseuse ta meuf !
Nous nous essuyons avec les serviettes en papier à notre disposition puis nous nous séparons. Je passe à la caisse pour régler nos achats et, au lieu du ciné prévu, nous rentrons dans mon 6ème étage sous les toits où nous baisons encore une fois : A mon tour de gicler dans la chatte de Sabah et là, pas de capote, direct au fond !
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