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Le supermarché

Le supermarché



C’était il y a déjà quelques années, j’aimais déjà les beaux sous-vêtements, mais comme je n’avais pas beaucoup d’argent, mes parents ne me donnaient pas beaucoup d’argent de poche, j’avais trouvé une solution pas très légal, je les volais. Ma technique était au point, je prenais plusieurs modèles, le plus possible, je les enfilais les uns par dessus les autres, et ramenais quelques modèles dans les rayons histoire de ne pas éveiller les soupçons. Ce petit jeu était assez excitant, ne pas se faire prendre m’amusais beaucoup. Un jour, je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai essayé un peu plus, j’avais repéré un superbe bague dans un présentoir du super marché, je demande à une caissière d’ouvrir le présentoir, et par un habile tour de passe -passe, réussit à en subtiliser une. Ayant peur que les vendeuses s’aperçoivent de quelque chose, je décide de la dissimuler, et comme d’habitude j’en profite pour enfiler un petit ensemble sous-tif et slip brésilien dans la cabine d’essayage. Je déchire l’emballage, mais je n’ai pas le temps de m’attarder, un vendeuse arrive, je la dissimule dans ma culotte, bien au chaud. Je me dirige vers la caisse, paye mes quelque articles, et m’avance. Et là, une alarme se met en route, catastrophe. Me voilà repérée, dans ma précipitation, j’ai du oublier d’enlever la totalité de l’antivol.

Qu’est-ce que je vais devenir ?

La caissière me demande de repasser devant le portique. Rebelote, l’alarme retentit. Elle me demande de vider mes poches, et bien sur rien n’en sort. Elle fait alors signe à un vigile, qui se dirige vers moi. « Bonjour mademoiselle, je vais vous demander de bien vouloir me suivre ! »me dit-il.

Je le suis sans hésiter, c’est un colosse, les cheveux très courts, très musclés, et puis e n’ai pas envie de faire de scène, je suis sans doute connue, il ne faut pas que cette affaire s’ébruite, que dirait mes parents. Je le suis donc, sans broncher. Je me retrouve dans un petite pièce, un autre vigile s’y trouve déjà, un black, encore plus grand que le premier. Tu n’as rien vu lui demande-t-il ?

« Non, rien, mais elle était du coté des sous-vêtements, je l’avais repéré, un jolie demoiselle comme elle ». Dit-il en souriant.

« Votre sac, s’il vous plait ! »

Je le lui tend sans rien dire.

« Mais c’est une mineure, elle n’a que 17 ans ! »

Et oui, j’étais encore mineure.

Il me dit alors : « Comme vous êtes mineure, je vais être obligé d’appeler vos parents et la police, pour qu’il m’envoie une femme-policière pour pouvoir vous fouiller, à moins que. ! »

« A moins que quoi !» lui demandais-je.

« A moins que vous n’acceptiez que nous vous fouillons, tenez, signez-moi cette décharge, pour éviter les poursuites ». Je m’exécute toute de suite, il ne faut surtout pas que mes parents soit au courant, il me priverait des vacances programmées avec mon copain, moi qui attend ça de puis près de trois ans, seuls pendant quinze jours quel pied ça va être. Je signe donc.

« Allez-y, déshabillez-vous ! » me dit-il, avec un sourire en coin. Il se tourne vers son collègue et lui murmure « Tu filmes ? ». L’autre acquiesce de la tête. Je fais mine de n’avoir rien entendu et commence à enlever mon pull, puis mon T-shirt.

« Tiens tiens, vous portez souvent deux paires de soutien-gorge me demanda-t-il ironiquement.

« Ben, regarde la bonne paire qu’elle a ! » dit l’autre. Il me fit signe d’enlever mon soutien -gorge, ce que fis en lui tendant la paire subtilisée. Il regarde l’étiquette .

« Ho, du 90B, c’est du costaud, pas étonnant qu’elle se serve, il faut bien maintenir tout ça, il y a du monde au balcon, mais passons au chose sérieuse, votre jeans, s’il vous plait ! » La encore, contrainte et forcée par la situation, morte de honte, rouge comme une pivoine, j’enlève mon jeans, mais pendant cette opération, par malheur, la bague tombe accidentellement de ma culotte. Il la ramasse.

« Les sous-vêtements, on en voit presque tous les jours, mais la bague, ça peut vous coûter cher, ma petite demoiselle »

J’enrage, je suis au bord des larmes, que faire, je suis prise comme un rat.

« Mais avant tout, vérifions qu’elle ne cache rien d’autre, à poil, maintenant ! » m’ordonna le grand black, profitant de la situation. Mes dernières protections s’envolèrent donc, j’étais totalement nue.

« Tournez-vous et touchez la pointe de vos pieds ! » me demanda l’autre vigile, ce que je fis, il se pencha lui aussi, scrutant mon intimité.

« Quelle belle chatte, bien tondue, ça fait plaisir à voir, c ‘est tout beau, frais, ça n’a pas du servir encore bien souvent ! » Il avait raison, je n’avais que quelques expériences.

« Qu’est-ce que l’on va faire de vous, on va appeler le patron, il verra bien ».

« Au non, je vous en supplie, pas le directeur, il connaît mon père ! »

« A bon, on va s’arranger à l’amiable, ma petite, qu’est-ce que tu sais faire, est-ce que tu suces ? »

« Non, je ne l’ai jamais fait ! » C’était vrai, mon copain me le demandait, mais j’avais toujours jusque là refuser, je trouvais ça trop dégradant.

« Et bien, il y a un début a tout ! » dit le grand black, joignant le geste à la parole, il déboutonne son pantalon et sors sa bitte. Elle est énorme, elle fait bien 20 cm de long, pleine de veines, je n’en crois pas mes yeux.

Je me mets à genoux, et commence à sortir ma langue, et lui lèche le gland, du mieux que je peux.

« Rentre la en entier, c’est mieux ! » J’essaie, mais elle est trop énorme, et sans faire exprès , lui met un coup de dent sur le gland. Il crie de douleur, et me jette un regard furieux.

« Tu vas voir, ma salope, me lance-t-il, assis-toi sur le bureau, et passe tes jambes, sur mes épaules ».

Il se retourne, fouille dans un sac, enfile un préservatif. Je l’écoute et prend position, il me pénètre sans ménagement, elle est vraiment énorme, il n’enfonce pas tout au départ, il me faut 2 bonnes minutes pour m’habituer à un tel engin, et là il en remet un couche, et sa bitte disparaît presque entièrement . Petit à petit, je m’y fait, et commence même à lui faciliter la tâche, je mouille. J’apprécie qu’il aille carrément au fond du vagin, ça me provoque des décharges, et je me contracte sur sa bitte, lui augmentant son plaisir.

« Regarde, elle mouille, la petite pute, elle aime ça ma parole » L’autre s’approche, constate les faits et commence à s’occuper de mes seins ,il les soupèse, il les malaxe, les tord, et en lèche le bout, il a vraiment l’air d’apprécier.

« Si seulement ma femme en avait des comme ça, mais non, c’est une vraie planche à repasser, pas la peine de lui offrir de sous-tifs, elle n’en porte jamais, mais elle , regarde cette gamine, à son âge, je crois rêver !»

C’est vrai que je fais des envieuses dans les vestiaires de l’école et de la piscine, il faut dire que ça facilite les choses avec les garçons, un qui me plait, je laisse malencontreusement tomber un objet, prend mon temps pour le ramasser, et observe sa réaction, s’il me souris, c’est dans la poche, il apprécie ma paire, garantie sans silicone. Mais dans le cas présent, je préférais qu’ils apprécient moins mes formes. Le black continue, la vitesse augmente, ses couilles me touchent à chaque va-et-vient. Il souffle violemment, il sue à grosses gouttes.

« Tiens, on va essayer quelque chose me dit l’autre ! » Le black à ce moment se retire, arrache sa capote et éjacule sur mon visage, il asperge mes seins, il est tout heureux. L’autre s’approche et me lèche la chatte, il introduit alors son doigt dans mon anus, puis un stylo. Il crache sur ses doigts, puis m’en enfile 2, puis 3. Ca a l’air de l’amuser, il continue, 2 doigts dans l’anus, et un doigt dans la vulve. Puis il se décide :

« A quatre pattes, fait le chien, je vais te prendre en levrette ma cochonne ! » Il se met à genoux, enfile un capote, s’approche de mon anus, m’écarte les fesses avec ses mains, il tapote mes fesses avec son gland, puis, d’un coup, s’introduit en moi. Alors, la je hurle. Il me met sa main sur ma bouche, puis att**** ma culotte, et me la bourre dans la bouche. Le va-et-vient sont lents, douloureux au départ. Mais comme pour l’autre, je m’habitue, me dilate, bien que la douleur demeure, c’est supportable. Le black ne tarde pas à bander comme un taureau, il s’approche, curieux.

« Tu veux essayer, c’est encore meilleur, c’est plus serré, c’est le pied ! »

Il s’arrête et le black prend le relais. La douleur redevient vive, la sienne c’est du XXL.

« On va innover, arrête un peu, met toi debout ! » Il me fait mettre une jambe sur le bureau et l’autre à terre, il se place derrière moi et m’encule.

« Prend là par devant, on va tester la double-pénétration ! »

En effet le black réintroduit sa bitte dans ma chatte, et l’autre m’encule Quelle sensation, quand les deux accordent leurs mouvements je suis compressé entre leurs deux corps. Ces 2 grosses bittes travaillent de concert. L’effet est terrible, mais je ne peux gémir, j’ai ma culotte dans la bouche, ça m’arrange bien, pas besoin de me retenir. Le deux glands se touchent presque, il n’y a qu’une fine paroi qui les sépare. C’est l’extase, comme je ne l’ai jamais ressenti avant. Finalement ils éjaculent, l’un dans ma chatte, l’autre dans mes entrailles.

Je me rhabille , ils me font cadeau de la bague et des sous-vêtements, et me disent :

« Quand tu repasseras, sers-toi, mais laisse un peu le rideau entr’ouvert, qu’on en profite, on te laissera tranquille ! »

Je pars, les fesses endolories, toute honteuse, mais quand même, quelles sensation, la double pénétration, c’est le top du sexe pour une fille, c’est indescriptible.

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