Je me rends compte que quand j’étais jeune, j’étais naïve et timide. Je parlais avec personne et je croyais tout ce qu’on me disait comme le fait qu’il suffisait d’un baiser pour être enceinte.
Donc, ma timidité était un véritable martyre pour moi. Il suffisait que la boulangère habituelle ne soit pas là pour que je me mette à balbutier rien que pour demander une baguette.
Un jour, j’ai vu un couple qui s’embrassait dans un recoin dans la rue et je suis restée à les regardés jusqu’à ce qu’ils se décollent et que je découvre que c’était deux femmes. En repartant, elles sont passés près de moi et l’une d’elle m’a dit que je ne peux pas savoir combien ça peut être bon.
Tous les ans, nous passions la visite médicale au dispensaire. D’habitude c’était une femme mais cette fois, quand on m’a fait entrer dans la pièce où se trouvait la doctoresse, c’était un docteur. Il y avait aussi une infirmière qui m’a dit de me déshabiller derrière le paravent. J’ai fini par le faire parce qu’elle m’avait relancée plusieurs fois puis je m’étais présentée au docteur qui m’a examinée. Il m’a regardé devant et il m’a fait tourner pour m’examiner dans le dos puis il s’est rassis derrière son bureau et il a griffonné sur un cahier.
– Tu as des gros seins pour ton âge, m’a-t-il dit ! Ta mère, ta grand-mère, c’est pareil ? Tu as quel âge déjà ?
Il avait raison. Ma mère avait une forte poitrine. Quant à celle de ma grand-mère, elle lui tombait sur le ventre, plus bas que le nombril. J’ai répondu oui.
– Il n’y a pas de honte, m’a encore dit le docteur ! Il y a tellement de femmes qui se plaignent de ne pas en avoir assez ! Rhabille-toi ! Ah, oui, est-ce que tu te masturbes, m’a-t-il encore demandé ? Allons, tu dois bien savoir de quoi je parle, a-t-il ajouté !
– Oui !
– Oui, quoi, m’a demandé le docteur ?
– Oui, je me masturbe !
– Tu fais ça souvent ?
– Par moment tous les soirs, lui ai-je répondu !
C’était la stricte véritée. Quand ça me prenait, c’était difficile de m’en passer et ma mère m’avait surprise plusieurs fois. Je faisais ça sous le drap.
– Tu fais quoi, me demandait ma mère ?
Je ne pouvais pas m’arrêter en chemin et je continuais en sa présence et elle pouvait voir bouger le drap sur ma main.
– Je me masturbe, avais-je répondu à ma mère la première fois et elle m’avait répondu qu’elle le fait aussi avant de m’embrasser sur le front et de me souhaiter une bonne nuit.
Je voulais absolument savoir ce qu’il y avait dans ce trou mystérieux et j’avais essayé d’y enfoncer le bout de mon index mais je n’avais pas insisté et la fois suivante, je l’avais fait avec un crayon puis avec mon stylo. J’aimais ça. Plus tard, je m’étais enfoncée la bougie qu’il y avait sur la cheminée de ma chambre. C’était une bougie ordinaire puis un jour je m’étais pénétrée avec une bougie bien plus grosse que j’avais trouvée dans le tiroir de la cuisine. Après je l’avais lavée et remise en place mais j’avais fini par la garder dans ma chambre. Ça me faisait un bien énorme de me pénétrer. Elle ne faisait plus que douze centimètres de long et il arrivait souvent qu’elle disparaisse entièrement dans mon vagin et je passais du temps à essayer de la faire ressortir.
Pour moi, c’était comme un accouchement. Je poussais, poussais et je n’ai retrouvé cette sensation que quand j’ai accouché de ma fille. Ma grand-mère avait aussi un œuf en fonte qui lui servait à repriser les bas et je me l’étais enfoncée dans le vagin. J’étais même allée au lycée avec et j’avais pu apprécier les sensations que ça me donnait avant de l’accoucher lui aussi.
J’avais fini par l’enfoncer dans mon anus mais ça avait été plus facile de l’expulser. Beaucoup de filles de ma classe, parlaient de cul à la récréation et je les écoutais sans oser m’impliquer.
– Moi, mon copain, il m’encule et je préfère ça parce que je ne veux pas prendre la pilule, avait dit une des filles qui s’était attiré l’admiration des autres filles.
J’avais attendu qu’elle soit seule pour lui dire que j’aimerais bien faire ça mais que, malheureusement, je n’avais personne pour le faire. Elle m’avait demandé si je veux que son copain le fasse avec moi et j’avais accepté. C’était une belle blonde un peu plus grande que moi et le mercredi suivant, je l’ai suivie chez elle et son copain n’a pas tardé à arriver mais je n’étais pas au bout de mes peines parce qu’elle voulait, c’était d’abord qu’il la baise et il l’avait baisée sous mes yeux Elle savait y faire puis elle lui avait demandé de l’enculer avant de se mettre à quatre pattes sur le tapis et j’avais pu avoir avec quelle facilité la bite avait disparu dans son anus.
Ne me restait plus qu’à prendre la suite mais son copain avait joui dedans son anus et j’ai dû attendre qu’il veuille bien m’initier. Tous les deux m’avaient posé plein de question sur ce que j’aime dans le sexe puis il m’avait fait allonger sur le bureau et il m’avait écarté les jambes avant de s’enfoncer dans mon anus. Son amie nous aidait, ce qui ne l’a pas empêchée de me dire que j’aime ça. Quand son ami m’a fait mettre à quatre pattes, elle m’a masturbée. Elle me branlait le clitoris, enfonçait ses doigts dans mon vagin, me caressait la poitrine et elle tirait sur mes mamelons ce qui a fait que j’ai eu un orgasme. Son ami continuait à m’enculer.
– Elle aime ça, n’arrêtait-il pas de répéter !
Il a fini par dire que ça serait bien qu’on se gouine pendant qu’il opére et elle s’est glissée sous moi et je voyais bien qu’elle regardait la bite de son ami s’enfoncer dans mes fesses pendant qu’elle me léchait.
J’ai encore eu un orgasme et son ami a joui au fond de mon anus. Après ce jour-là, je suis entré dans leur bande. Il y avait des filles et des garçons et ils ne faisaient pas l’amour toujours avec les mêmes et parfois c’était en trio voir à quatre et même plus. J’ai fini par faire le gangbang avec eux et j’ai été prise tout l’après-midi par eux tous.
Le souvenir que j’en ai gardé, c’est que ça m’avait beaucoup plus. J’étais devenue une femme grâce à eux.
Après, je n’ai plus eu qu’à mettre en pratique ce qu’ils m’avaient appris.
Ajouter un commentaire