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Marilyn, ma jolie nièce. Chapitre 4

Marilyn, ma jolie nièce. Chapitre 4



Chapitre 4 : Enfin, je lui fais l’amour !

Nous sommes vendredi et dans la soirée, sa mère me téléphone pour prendre de ses nouvelles et elle me dit après les banalités d’usage.

– J’espère qu’elle se tient bien et qu’elle ne te dérange pas trop.
– Non, ça va. Elle est même charmante. Ce n’est plus une gamine et on se comprend mieux.
– Mais surveille là quand même. Pas de sorties nocturnes.
– Ne t’inquiète pas. Je vais la surveiller de près comme tu me l’as demandé.
– Merci, Jacques. Je suis rassuré de la savoir prés de toi. J’avais peur qu’elle fasse des bêtises avec les garçons qu’elle fréquente et qui sont plus âgés qu’elle. Surveille là bien.
– Pas de soucis ! Je m’en occupe. Je vais la serrer de près.

Je raccroche et en souriant je pense…

 » Elle aussi s’occupe bien de son Tonton d’amour comme elle dit ! »

Je cherche ma nièce qui ne voulait pas parler à sa chère maman, mais elle a disparue. Je monte au premier étage et je me dirige vers la chambre de Marilyn. Elle y est, couchée sur son dos, nue comme une nymphe. Les mains derrière sa tête elle me regarde avec un air très coquin.

– Et bien il t’en a fallu du temps ! J’attends…moi ! Dit-elle malicieusement.
– Ta mère aurait bien voulu te parler, Marilyn. Dis donc tu n’as pas de pyjama ?
– Pourquoi faire mon Tonton d’amour…il fait chaud, je suis en chaleur et je veux te faire voir ma belle chatte que tu as si bien rasée.

Écartant très largement ses cuisses, elle caresse sa chatte toute lisse et écartant un peu ses grandes lèvres et elle me demande :

– Elle est belle comme ça…hein tonton ?
– Marilyn ! Ce n’est pas possible ! Tu es une véritable catin ! Tu n’as donc aucune pudeur !
– Avec toi…non…aucune. Surtout depuis que je t’ai fait une pipe. Dis…tu as déjà rasé ton amie Carole ? Ça doit prendre un certain temps, parce que j’ai vu qu’elle est très poilue. Ça me rappelle ma meilleure amie, Stéphanie. Une fois nous nous somme rasées l’une et l’autre partout et il m’a fallu du temps !
– Toi et ton amie Stéphanie vous vous êtes rasées ?
– Ouais, partout. Elle est tellement poilue qu’il m’a fallu m’y reprendre à deux fois pour tout raser son buisson sur sa chatte
– Tu veux dire que… l’une et …
– Oui…on se fait plaisir en rasant nos chattes…je rase la sienne et elle, elle fait la mienne.
– Elle t’a…léché comme moi…
– Bien sûr, et elle n’a pas fait que ça… Ça te dérange, que je fasse ça avec une fille ?
– Eh bien… je ne sais pas. Non, je ne crois pas…

J’imagine dans ma tête, Marilyn et une jeune fille qui se font des caresses, tout comme dans les films pornos que je regarde lorsque je suis seul. Je rajuste un peu ma bite, dans mon slip, qui manque de place après avoir écouté Marilyn.

– D’ailleurs, peut-être que Stéphanie pourrait venir nous rendre visite avant la fin de l’été et tu pourras nous voir nous amuser ensemble. Peut-être même participer à nos jeux érotiques car Stéphanie à une réelle attirance pour les grosses bites comme la tienne. Moi, je les aime toutes, grandes ou petites !

Décidément ma nièce est vraiment une petite salope ! Moi qui lui donnais le bon dieu sans confession… Qui n’osait pas la toucher de peur qu’elle le prenne mal ! Si j’avais su.
Tout en parlant elle se caresse sans complexe et je suis en admiration devant sa beauté. Je crois qu’il n’y a rien de plus beau qu’une vulve de jeune fille imberbe, nette, douce, admirable et si attirante.

– Elle est belle, hein, Tonton ? Me dit-elle

Je m’avance et je me penche pour passer ma langue de haut en bas dans ce creux humide qui m’a fait tant fantasmer.
C’est doux et lisse et un doux parfum s’en dégage. Marilyn frémit sous cette caresse et cette rouée de jeune fille demande :

– Tonton, est-ce que ta bite est bien dure maintenant ?
– Très dure…
– As-tu aimé quand j’ai sucé ton gland et ta belle bite ?
– Oooohhhh… Oui.
– J’aurais voulu faire mieux… mais ta queue est si grosse et si longue que je ne pouvais la garder longtemps au fond de ma bouche !
– C’était merveilleux, ma puce.
– Dit, Tonton, maintenant tu vas me faire l’amour ? Je n’ai plus mes règles.

Je hoche la tête en signe d’approbation.

– Je ne sais pas pourquoi je te demande ça… à voir ta grosse bite qui tend ton slip, je vois que tu es pas mal excité ! Et à la façon dont tu me regardes… vois comme mes mamelons sont durs…

Je caresse ses seins, titille ses tétons et je frotte ses mamelons dont la peau grumeleuse est bien tendue.

– Tu sais que je suis déjà humide pour toi, mon Tonton chéri, tu veux voir ?

Et tout en posant la question, Marilyn passe une jambe au-dessus de ma tête et me laisse face à sa cramouille effectivement très humide.
L’absence de poils facilite la vision de sa fente ouverte et luisante. Mon dieu que c’est beau une chatte de jeune fille. Toute rose avec des nymphes délicatement ourlées. Avec deux doigts je les écarte doucement et je plonge ma bouche sur cette friandise à ma portée. Ma langue explore l’entrée de son doux vagin avant de lécher son clito dégagé de son capuchon.
Marilyn ne tarde pas à gémir doucement :

– Ouiiiiiiiiii…Oooohhhh, ouiiiii, muuummmmm….

Je n’ai jamais goûté de chatte aussi douce et si érotiquement odorante de ma vie.

– Stop, arrête Tonton !

Déclare tout d’un coup Marilyn en s’asseyant sur le bord du lit.

Marilyn att**** mon slip et le tire vers le bas. Ma bite coincée jaillit comme un ressort trop comprimé et elle faillit frapper le menton de Marilyn à quelques millimètres près.
Malgré qu’elle m’ait déjà fait une belle pipe, Marilyn fixe longuement ce gros et long morceau de chair qui vibre devant ses grands yeux écarquillés. Faut dire aussi qu’elle m’excite tellement que ma queue n’a jamais eu une aussi belle érection.

– Whaou… elle est nettement plus grosse que celle de mon copain ! dit-elle en prenant de l’huile qu’elle a surement préparée en m’attendant.

Elle en met dans le creux de ses mains et me masse la bite et les couilles avec.

– Je suis vraiment excitée, mais j’ai vraiment peur. Mes copains…enfin ceux avec qui j’ai couché, me disent toujours que j’ai une chatte très serrée, et toi… t’en a une plus grosse et plus grande qu’eux.
– N’est pas peur mon bébé, lui dis-je en arrêtant son vigoureux huilage sur ma queue.
– Mais je la veux ta grosse bite. Putain qu’elle est belle ! Alors t’inquiète pas si je crie ou si je pleure car je suis sûre que je vais l’aimer une fois que ma petite chatte sera habituée à elle.

Et elle bascule sur son dos et moi je place un oreiller sous ses fesses en grimpant sur le lit.
En tournant la tête, je vois dans la glace de l’armoire une jeune fille minuscule qui sort de l’adolescence avec ses cuisses grande ouvertes pour moi, 90 kg et 1.80m. Je dois ressembler à un monstre lubrique, avec ma bite droite comme un pieu, prête à empaler une jeune vierge qu’on amène au supplice. Enfin…pour la vierge je repasserai.
Avec une fausse honte, j’avoue que le spectacle est fantastiquement érotique pour moi.

Je redirige mes yeux vers son sexe et je frotte ses lèvres humides avec le bout de mon gland rouge comme une betterave tout en caressant son clito de mon pouce.
J’écarte sans mal ses grandes lèvres déjà entrouvertes et glisse mon gland un peu plus loin.

– Ahou !

Geint Marilyn quand je m’enfonce encore un peu pour sentir ses petites lèvres vaginales étrangler mon gland, elle cri :

– Aaaaaahhhhhhh ! Ouuuuuuhhhhh…

Je tente de pénétrer plus avant dans sa chatte écartelée mais elle est tellement étroite que je sens une résistance… J’ai l’impression que sa chatte n’a pas du voir autant de sexes qu’elle veut me faire croire.

Le visage de ma jolie Nièce est déformé par la douleur et je me serais arrêté de pousser si Marilyn n’avait pas arqué son dos pour avancer ses fesses et m’aider à la pénétrer.
Les quelques cm de plus dans son vagin super serré lui fait pousser un cri à glacer le sang, mais la tonalité passe de la douleur, au soulagement pour finir dans un cri de contentement et de plaisir

– AAAAHHHHhhhhh…Muuummmmm… Ouiiiiiiiiii…lààààààààà, stoooppp !

Elle m’att**** par le cou et elle pousse sa langue dans ma bouche pour un chaud baiser puis elle se cambre et mon gland pénètre plus profondément dans son vagin.
Ayant peur de lui faire mal et égoïstement pour profiter plus longtemps de ce moment, je me recule et sors un peu ma bite de son sexe brûlant. Mais Marilyn suit mon mouvement pour que je reste enfoncé en elle et me faire comprendre que loin d’avoir mal, elle aime bien mon intrusion. Le dos et les reins cambrés, tout son corps se tend vers mon sexe qui la pénètre.
Ma bite, enfoncée de plus de la moitié de sa longueur, est serrée comme dans une pince qui comprime ma peau. J’ai presque l’impression qu’elle est encore vierge. Si elle ne m’avait pas avoué avoir déjà couché avec ses copains, je pourrais croire que je viens de la dépuceler.

– Reste ! Reste comme ça, ne bouge plus, Tonton. Me supplie Marilyn

Nous restons ainsi un temps qui nous semble infini, tout à notre plaisir et mes lèvres se posent sur sa bouche pour l’embrasser amoureusement. Sa langue cherche immédiatement la mienne et c’est notre premier baiser humide que nous échangeons. On se roule un patin à en perdre notre souffle et je sens son vagin qui palpite sur ma queue. Lorsqu’elle lâche mes lèvres pour reprendre sa respiration, je commence de petits va et viens en essayant d’introduire mon pieu un peu plus à chaque fois.
Marilyn serre ses dents et att**** à l’aveuglette la bouteille d’huile et arrose généreusement nos deux sexes lorsque mon gland est presque sorti de sa chatte.
Ça fait sûrement de l’effet car je commence à trouver un peu plus facile la pénétration de la chatte incroyablement serrée de ma nièce, qui, bien lubrifiée, accepte progressivement cet intrus qui dilate durement son trou d’amour, mais qui l’excite aussi.

– Waouh ! Tonton ! J’ai l’impression d’éclater ! Putain ! Ça fait un peu mal au début ! Non de dieu ! Elle est grosse ta queue ! Mais maintenant j’aime la sentir qui remplit complètement mon ventre. Dis…t’as tout mis…elle est toute entière… dedans ?
– À peu près, ma chérie.

Mais quand je regarde vers le bas je vois qu’il reste au moins 5 cm.

– Tu es vraiment très étroite mon cœur et c’est extraordinaire comme je te sens bien !

Et je continu mes aller retours en gagnant quelques mm à chaque fois.

– Aime-moi, Tonton ! Baise-moi bien ! N’est pas peur, maintenant j’adore, vas-y…Viens encore un peu plus loin.

Et d’un léger coup de reins, je suis au fond de son ventre. Elle a une contraction brutale accompagnée d’un

– AAAaahhh… de plaisir.

En appui sur mes bras, je recommence à lui faire l’amour et sous mes coups de reins, elle se contracte chaque fois violemment et elle gémit en continu. Je voudrais faire durer longtemps ce moment mais le plaisir de Marilyn paraît tellement grand que je ne peux pas le lui refuser, alors je continue et soudain son corps se tend sauvagement sous moi.

– Waouh ! Je… jouiiiiiisssssssss ! OHHHH ! AAAAAHHHH !!! Ouuuiiiiiiiiiii !

Les cris de Marilyn me font perdre le contrôle de ma queue pendant une minute, je plonge involontairement en elle et mon pubis vient claquer le sien en même temps que mon gland s’écrase sur le col de son utérus.
Comme elle continue de jouir en hurlant de plaisir, je la baise de toutes mes forces et Marilyn participe elle aussi à cette baise sauvage et sans pitié pour son jeune corps
.
Je retrouve ma jeunesse en faisant l’amour à cette jeune beauté et sans relâche ma bite laboure son étroit tunnel et Marilyn à rapidement un nouvel orgasme

– Ouiiiii ! Encore ! Ooooohhhhh que c’est boooonnnn… AAAAHHHHhhhhh….

Je reste enfoncé dans son vagin maintenant bien lubrifié par sa cyprine qui coule le long de ma bite, immobile, sauf ma queue qui palpite répondant aux spasmes incontrôlés de ses muscles vaginaux.
Je sens que je ne vais pas pouvoir durer aussi longtemps que je le veux, la pression de sa chatte sur ma bite m’excite beaucoup trop. Me soulevant sur mes bras, je vois sa grosse poitrine gonflée et surtout ses tétons roses tendus qui me font encore plus bander.
Je ressors lentement ma queue pour éviter le pire, mais 2 mains saisissent mes fesses :

– Noooonnnnn ! Oooohhhh, nooonn…ne part pas ! Reste encore en moi et donne-moi ton sperme, je prends la pilule.

Levant la tête, je vois Marilyn la bouche luisante et entrouverte, les yeux humides qui me supplie :

– Allez, Tonton, jouis en moi. Je veux sentir ton foutre !

Mon sexe toujours raide contre son ventre me gêne un peu dans ce moment d’émotion, mais elle ne s’en offusque pas.
Une de ses mains guide ma queue et l’autre m’attire vers elle.
Ce cours moment de calme m’évite de jouir tout de suite et je reprends ma nièce avec de lentes et longues pénétrations pour son plaisir et le mien. Elle ondule sous moi en gémissant de plus en plus fort avant de pousser une longue plainte sous un nouvel orgasme.
Ses yeux sont révulsés et sa tête retombe inerte à la fin de sa jouissance.

C’est trop pour moi et j’espère qu’elle ne ment pas ! Je regarde ma grosse queue s’enfoncer dans sa petite chatte toute écartelée et dégoulinante de cyprine et j’explose en touchant de mon gland l’extrémité de son tunnel d’amour.
Marilyn rouvre ses yeux et crie de nouveau qu’en mon sperme frappe son utérus ;

– Aaaahhhhh, ouiiiii… je te sens ! Ouiiiiiiiiii vas-y, encoooore ! Inonde ma chatte qui me brule !

Ses gémissements ne s’arrêtent qu’à la fin de ma jouissance.

Au-dessus d’elle, reprenant mon souffle j’admire son beau visage transfiguré par sa jouissance. Mon dieu qu’elle est belle !
Nos yeux se rencontrent et nous sourions tous deux.

– Merci ma chérie, merci pour cette jouissance que tu m’as donnée et pour ton corps que tu m’as offert. C’est incroyable… magique
!
Des larmes coulent des yeux de Marilyn quand elle me répond :

– Oh, merci aussi ! Je n’ai jamais joui aussi fort ! J’ai eu mal au début mais d’un seul coup la douleur a été remplacée par des vagues de plaisir et je voudrais que ça recommence mille fois ! Je n’imaginais pas pouvoir jouir aussi fort. Quand tu frappais le fond de mon ventre, à chaque fois ça déclenchait une véritable décharge de plaisir ! C’est formidable de baiser… avec toi… Tu es vraiment mon Tonton d’amour !

Je suis rassuré car malgré ses larmes, il est clair qu’elle a aimé ça, même si elle a un peu souffert au début.
Je retire ma bite dégonflée de son vagin et après un dernier gémissement de Marilyn quand elle quitte sa chatte, je m’écroule à côté d’elle, haletante, qui regarde le plafond.
Sa main se pose sur mon ventre trempé et elle me caresse avant d’att****r mon sexe à moitié bandé.

– Tonton… je t’aime…
– Moi aussi mon ange, mais veux-tu bien lâcher mon sexe.
– Pourquoi ? Je l’aime aussi ta belle bite maintenant. Tu mets longtemps à récupérer ?
– Marilyn ! Tu veux remettre ça !
– Bien sur mon tonton d’amour…je vais chercher à boire et après tu me donne encore du plaisir

Je n’en reviens pas encore mais j’ai encore baisé ma nièce 2 fois avant de crier grâce car ma bite devenait douloureuse à ma dernière éjaculation et aurait été incapable de la satisfaire à nouveau.

Sa chatte était ouverte, béante et rouge et elle a fini par m’avouer qu’elle avait un peu mal lorsque sa jouissance s’est envolée. Je l’ai prise dans mes bras pour l’embrasser longuement et nous avons fini par nous endormir collés l’un contre l’autre, ses fesses sur ma queue épuisée et un de ses gros seins dans une de mes mains.
Phantome

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