Le soleil est déjà levé quand j’émerge. Les événements de la soirée m’ont émoustillée à un point que j’ai envie de me faire baiser avant de repartir. Je suis restée nue pour boire mon café espérant que mes deux mâles ne résiste pas à mes courbes charnues. Je suis frustrée car ils ne s’occupent pas de moi et discute sur la façon de descendre un rapide plus loin. Frustrée, je me rhabille et leurs dis agacée :
« Bon on y va ou quoi ? »
Les deux hommes sont surpris du ton que j’emploie et nous reprenons les pagaies pour poursuivre notre périple. Le passage du rapide est rude. et nécessite des efforts qui m’épuisent.
A la pause déjeuner, Pat nous propose de venir manger chez lui d’y rester pour la nuit. Nous acceptons volontiers. Alors que je m’attendais à me faire sauter durant le repas, Il n’en est rien et nous terminons le parcours sous une chaleur accablante. Pour les allumer devant leur manque d’intérêt, Je décide de terminer notre navigation à poil. Mais rien y fait. Je commence à me demander à quel jeux ils veulent jouer avec moi. Je suis si excité qu’un simple effleurement pourrait me faire bondir.
En fin d’après-midi, fourbus nous arrivons en bas des gorges. J’ai pris la précaution de mettre un deux pièces pour ne pas jouer à l’exhibitionniste. Pat nous emmène chez lui
Il nous sert l’apéro et sans me demander mon avis, il tire sur les ficelles de mon maillot et fait tomber ma culotte. Il guette mes réactions. Comme mes deux hommes ne se sont pas occupé de moi durant toute la journée, je reste stoïque et ne bronche pas continuant à déguster mon verre. Les deux garçons se regardent d’un air complice. Pat s’exclame :
« Alain, t’as une putain de veine d’avoir une telle salope. C’est sympa de la partager. »
Mon ventre bouillonne. Je suis trop excité et j’ai envie qu’ils me touchent. Sans vraiment m’en rendre compte, j’écarte sensiblement le compas de mes jambes pour lui laisser le libre accès à ma grotte d’amour déjà trempée de tant de désir contenus. Il en profite pour écarter mes lèvres intime de ses gros doigts et aussitôt plonger sa langue dans ma chatte luisante. Je ne peut résister et émet un feulement de plaisir en écartant largement mes cuisses et en prenant sa tête pour mieux la plaquer sur mon coquillage en feu. Il la fouille et lèche goulûment ma fente de sa langue agile. Je coule sur son visage.
« T’aime ça ma salope ! Tu mouille bien. J’adore ton nectar de femme en chaleur ! »
Mes gémissements s’intensifient, pour la plus grande joie des deux hommes. Je m’abandonne totalement devant Alain qui vient s’agenouiller derrière moi pour enfouir sa tête entre mes fesses charnues. Il en écarte les globes et de sa langue il commence une feuille de rose délicieuse. J’en pousse un petit cri strident de bonheur. Tandis que Pat continue de me bouffer la chatte, mon mari pénètre mon vagin détrempée de deux doigt très mobile. Quand de son autre main il se met à dilater ma rosette, je crois que je vais avoir mon premier orgasme. Mes jambes se dérobent sous mon corps en extase. La langue de Pat s’agite de plus bel sur mon bouton et Alain s’active avec énergie en me branlant la chatte et le cul. Mon corps se tord sous les vagues de plaisir qui me parcourent. Pat s’attaque à mes seins dont il torture les mamelons pendant que mon homme me fiste la chatte et le cul en va et vient rapide. Une incroyable frénésie s’est emparée de lui. Il redouble d’efforts, défonçant de ses mains mes orifice si offert. Pat devient presque violent avec mes seins. Mais au lieux d’en ressentir de la douleur c’est un orgasme qui éclate brutalement dans un grand cri de jouissance qui résonne dans la pièce comme un coup de tonnerre. Il est violent et douloureux tant son intensité m’électrise. Alain retire ses mains et Pat en profite pour plonger sa tête entre mes cuisses pour se délecter du flot de cyprine qui s’écoule de ma chatte dévastée.
Mes jambes ne me tenant plus, je m’affale dans un fauteuil pour récupérer du violent orgasme qui vient de me dévasté. J’observe mes deux mâles qui ont une trique d’enfer.
Alain m’aide à me relever et m’allonge sur la table. Il écarte mes jambes et contemple mes deux orifices encore dilaté et luisant de mouille.
« Quelle belle chatte ! Bonne à être fourrée ! Pas vrai Pat ? »
Tout en lui parlant, il m’enfile d’un coup sans aucune difficulté. Il propose à Pat :
« Viens t’occuper de sa bouche ! Elle adore sucer une belle queue quand je la baise ! »
Il n’en faut pas plus pour qu’il me présente son dard et que je le suce avec une gourmandise non feinte pendant qu’Alain me bourre comme un sauvage.
Pat me triture les seins pendant que je le suce. Il se retire doucement de ma bouche avide pour mieux y replonger dans des grognement bestiaux.
« Putain Michèle, qu’est-ce que ta bouche est bonne ! »
Je ne peux pas lui répondre. Le mandrin de mon mari me laboure la chatte avec une vigueur peu commune. Il me pilonne avec une régularité de métronome qui me fait chavirer. Ma respiration se fait difficile avec ce plaisir qui monte et la verge de Pat qui m’étouffe. Je m’agrippe au plateau de la table tant les deux hommes se déchaîne sur moi.
Au moment de jouir dans ma bouche, Pat enfonce ses ongles sans ménagements dans la chair souple et soyeuse de mes seins les pressant comme des citrons. J’avale sa divine semence et me cabre sous la douleur de mes seins maltraités. Il n’en faut pas plus à mon mari pour se lâcher à son tour et m’asperger le ventre et les seins de sa crème..
« Ta garce est une fichue baiseuse Alain ! Elle m’a vidé ! »
Puis ‘adressant à moi :
« Putain, j’ai jamais vu une pompeuse de bite comme toi ! Et tes nibards sont un vrai bonheur à malaxer ! »
Alain ravi que je lui plaise rajoute :
« S’il te plaisent tant, profites-en, ils sont à toi ! »
J’en ai mon compte cette foi et je leurs demande :
« Vous ne croyez pas que vous m’avez suffisamment utilisé ? Mes seins sont trop sensible maintenant alors laissez les tranquille ! »
Qui pourrait s’imaginer qu’en bonne bourgeoise exemplaire, sage et réservée, je me laisse aller ainsi à des pulsions a****les. J’embrasse mes deux hommes à pleine bouche comme pour les remercier de leurs vigueurs. Je regarde leurs deux sexes trempés de mouille et de sperme mélangés et ne résiste pas à les suce tour à tour pour les nettoyer. Je ne ménage pas ma peine, tandis qu’il me caressent délicatement à présent mes seins douloureux de tant de maltraitance sensuelles. Je leur souri en disant :
« J’aime vos verges vous savez ! J’ai adoré les avoir pour moi ! »
Agenouillée entre eux, comme sur un nuage, je suis transportée par ce vent d’orgie et par une soif de sexe que mes deux compères m’ont communiqué.
Je suis si épuisée que je ne mange pas et m’écroule dans un des fauteuil.
Durant le repas, Pat me contemple avec envie, avachie nue au creux du fauteuil rouge qui met en valeur mon corps comme dans un écrin. Le repas fini, mes deux mâles ont repris de la vigueur et pendant une bonne partie de la nuit, je me fait baiser par ces deux mâles en ruts qui affichent une endurance peu commune.
Ils me prennent dans de multiples positions. Je suis totalement soumise et assoiffée de sexe, acceptant toutes leurs demandes et ne ménageant pas ma peine pour les maintenir en érection.
Dommage que le stage de rafting s’achève. Il y a une fin à tout et nous rentrons au chalet le lendemain avec pleins de belles images dans la tête.
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