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17de 23: Mère et Fils: une histoire d’

17de 23: Mère et Fils: une histoire d’



Chapitre 17: Tante Lilly apprécie Martine.

Il est tard quand nous arrivons à la maison et à notre étonnement, nous entrons dans une maison qui semble vide.
Maman me prend la main et me dit.
– Bizarre, on dirait qu’il n’y a personne… Je me demande si Lilly n’a pas foutu tout le monde à la porte !
Elle m’entraîne vers la cuisine, met ses bras autour de mon cou et me donne un long baiser humide.
-T’as faim mon chéri, tu veux manger quelque chose ?
Je souri et je la serre contre moi en caressant ses fesses avant de glisser ma main entre ses cuisses pour retrouver sa chaleur omniprésente.
– Oui, maman, j’ai faim ! J’ai envie de quelque chose de doux, de tendre…
Dis-je en la regardant avec un air sûrement pervers. Maman se met à rire et prenant ma main elle me tire vers l’escalier.
– J’espérais que tu me dirais ça ! Profitons que nous sommes seuls.
Nous montons l’escalier, maman devant et moi derrière qui reluque ses cuisses, on s’arrête en haut pour s’embrasser encore une fois, maman me pousse contre le mur et fouille ma bouche de sa langue en se collant contre moi. Malgré un après-midi à lui faire l’amour, je me retrouve aussi dur que si je n’avais pas baisé depuis plusieurs jours. Décidément, dès que maman m’embrasse je bande immédiatement.
Tout en nous embrassant on réussit à atteindre la porte de sa chambre et quand j’ouvre la porte, c’est pour entendre ma tante Lilly pousser un fort gémissement.
Notre baiser s’arrête immédiatement et les yeux écarquillés, nous regardons une scène des plus érotiques.

La sculpturale sœur de maman est allongée sur le lit, nue, les seins frémissants et les tétons gonflés, presque à exploser, et ses mains s’agrippent sur une tête, aux cheveux noirs, entre ses cuisses. Tante Lilly le corps arqué, trempé de sueur, couine comme une truie et une odeur de chattes excitées envahi la chambre.
Martine est en train de lui bouffer sa chatte et Lilly à l’air d’apprécier le travail d’experte de mon ex copine. Sa langue frétille entre ses lèvres trempées et je vois qu’elle grignote le long clito de Lilly tout en ayant enfoncé un de ses doigts dans l’anneau plissé de son cul.
Elle a dû sentir notre présence car elle relève sa tête et son visage est complétement trempé avec la cyprine de la chatte de Lilly.
– Non, Martine, N’arrête pas ! Pas maintenant ! Hahaaaaa …continue ma fille, encore…bouffe moi ! Dévore-moi, Martine!
Tante Lilly gémit, sa langue sur ses lèvres. Elle jette sa tête en arrière quand Martine reprend son clito entre ses lèvres et le mord probablement, car des vagues de plaisir traversent son corps, de plus en plus fortes, jusqu’à ce que nous voyons saillir les muscles de ses jambes et ses orteils se crisper sous un orgasme démesuré.
Au milieu de son extase, Lilly ouvre ses yeux pour nous voir debout, surpris et émerveillés
Ma tante nous fait un des plus incroyable sourire, rempli d’amour et de luxure et de pur plaisir charnel et ouvre la bouche, mais tout ce qu’elle peut faire, c’est de pousser un cri de jouissance et de plaisir absolu.
Maman lui sourit aussi et lui envoie un baiser en portant deux doigts à ses lèvres puis souffle dessus en direction de sa sœur.

On se retire lentement sans les quitter des yeux et une fois sur le palier maman soupire et les yeux brillant elle me dit.
– Oh mon Dieu, Dany, tu as vu comment elles sont belles quand elles font l’amour. Tu crois que l’on est aussi resplendissant de plaisir qu’elles lorsque l’on fait l’amour tous les deux ?
– Eh bien, je suppose que pour le savoir il faut faire comme eux, maman.
Et maman se frottant contre moi comme une chatte en chaleur, je rajoute.
– C’est sûrement l‘amour…
Maman gémit doucement et sa main caresse mon entrecuisse.
– Alors elles ont de la chance de s’être trouvées.
Et elle dit cela avec un ton de voix et un regard si envieux, le tout accompagné d’une pression sur ma queue et que ça donnerait une érection à un homme âgé de 90 ans, d’autant qu’elle ajoute.
– Et si mon fils ne met pas cette grosse bite dans ma chatte immédiatement, je vais hurler.
Maman, chaude comme la braise, appuie ses lèvres sur les mienne et passe sa langue entre.
2 minutes plus tard, remis tout juste de son baiser de feu, je me retrouve tout nu sur mon lit, à genoux entre les cuisses de maman, aussi nue que moi, qui, ma bite en main, la passe tout le long de sa fente continuellement humide, entre ses lèvres épaisses et frémissantes de désir, encore mouchetées de mon sperme.
– Mon dieu que je t’aime maman ! Et tu es si désirable…
Et avec un soupir de plaisir, je pousse ma queue au fin fond de la chatte de maman qui, sous le frottement de ma bite qui écartèle son vagin encore sensible par nos accouplements de l’après-midi, pousse un long feulement de plaisir.
Mes mains caressent sa peau impeccable et je savoure la chaleur et la douceur de son corps, des fesses de son cul voluptueux à ses épaules rondes que je pétris pendant que je vais et viens dans sa chatte brûlante qui branle elle-même ma bite de ses muscles internes.
– Je t’aime, Dany,
Gémit maman en poussant son bassin vers moi et en écartant le plus possible ses cuisses.
– J’aime ta belle bite qui me remplit merveilleusement et qui va si loin en moi. Ta bite si dure qui me fouille me rend folle d’amour et je la veux toujours en moi.
– Aaaaahhh, Dany….. Ouiiiiiiiiii, ouiiiiiiii, reste comme ça….
Je suis enterré à fond et je sens son utérus qui écrase mon gland. Maman frisonne de plaisir et je sens son écoulement de cyprine qui s’amplifie.
Puis je la baise encore et encore, doucement, pour durer longtemps et savourer cet i****te qui nous fait tant jouir. Corps et âmes, nous nous aimons, nous baisons et son odeur de chatte si particulière mélangée à son parfum de jasmin, rempli mes narines.
Nos bouche se retrouvent l’une sur l’autre et notre acte d’amour devient parfait et complet quand nos langues entament aussi leur danse d’amour.
Mon plaisir est si fort, que c’est presque douloureux au niveau de ma bite tendue à l’extrême, mais le frottement de ses chairs m’enivre tant que je ne peux m’arrêter. Lorsque maman comprime ma queue en arquant son corps contre le mien, gémissant sous le début de son orgasme, puis criant avec des spasmes violents dans son ventre, j’inonde encore son ventre maternel avec du sperme chaud, en jouissant furieusement et sans retenu.
Quand les jambes de maman relâchent mon corps et qu’elle retombe sur le lit, mon corps la suit et je m’enfonce encore plus loin dans sa chatte pour , ensemble, profiter de notre orgasme mutuel, et en bougeant parfois un peu pour entretenir cet jouissance si délicieuse et la prolonger le plus longtemps possible.
Puis, nos corps calmés, en sueur, mais mon sexe toujours à l’intérieur de maman, nous essayons de récupérer de cette autre baise merveilleuse entre une mère et son fils.
Apres de longues minutes dans le paradis des amants, maman pousse un petit soupir lorsque ma bite s’échappe de sa chatte mousseuse et nous nous endormons malgré les gémissements et cris qui proviennent du couloir… et qui vont probablement entretenir nos rêves érotiques toute la nuit.

Je me réveille en pensant que c’est sûrement la meilleure nuit que nous avons passée depuis plusieurs jours et maman est absolument rayonnante comme toute femme comblée sexuellement et aimée d’un amour sans limite.
Nous restons enlacés pendant un certain temps en nous embrassant tendrement avant d’entendre plusieurs voix en bas et il faut que l’on se décide de se lever.
Maman file dans sa propre chambre pendant que j’enfile quelque chose et maman revient en robe de chambre.
– Et bien je pense qu’il est temps de descendre.
Elle lèche mes lèvres et ajoute.
– Cette saveur va me manquer mais j’espère qu’on ne sent pas trop le sexe !
Je prends maman dans mes bras et après l’avoir embrassée je lui dis.
– Plus tard je te lécherais ta chatte pour la nettoyer et te la rendre toute propre. Et cela te feras patienter si tu es de nouveau en manque.
– Sale garçon ! File !
En bas, nous retrouvons les jumeaux et tante Lilly assis autour de la table, prenant leur petit déjeuner. Martine se tient près de la cuisinière et nous sourit avec un clin d’œil appuyé, au lieu de nous demander si nous avons passé une bonne nuit.
– Et bien, les paresseux, enfin levés… asseyez-vous je vous prépare des œufs sur le plat.
Maman demande.
– Il n’y a plus que nous ?
– Tante Lilly a foutu le reste de la famille dehors quand ils ont critiqué Martine sur le dîner.
L’autre jumeau ajoute.
– Oui, je ne sais pas ce qu’elle a dit à la tante Juliette, mais elle était pâle comme un fantôme et elle et sa famille ont disparus en moins de 15 minutes.
Mes deux frères regardaient avec admiration leur tante et pour la première fois depuis longtemps, je pense qu’il y a un peu d’espoir pour leur sexualité.
Tante Lilly apprécie leurs éloges et je remarque que Martine la regarde amoureusement. Elle se dirige vers elle et prenant la main de ma tante elle dit.
– Ta tante c’est vraiment quelque chose.
Maman se place derrière et étreint Lilly, ses mains sous ses seins ce qui augmente leur agressivité et leur bombé vers le haut avec une tension de son pull.
– Oui, elle a toujours été merveilleuse ma grande sœur!
Et elle lui fait un bisou dans son cou.
Peut-être que c’est de voir les seins de tante Lilly remonter ou peut-être la tension sexuelle presque flagrante entre les deux sœurs, mais mes frères rougissent légèrement et rapidement s’excusent en se levant de table pour nous dire qu’ils avaient un match de foot.
Lilly se tourne vers nous.
– Alors…comment ça va vous deux ?
Maman vient s’asseoir sur mes genoux et embrasse ma joue.
– Mieux que jamais ! Il va falloir vous rendre libre en octobre pour notre mariage.
Tante Lilly se met à rire et frappe dans ses mains et Martine, heureusement, me sourit.
Maman rougit comme une future jeune mariée heureuse et ajoute.
– Nous nous considérons déjà comme mari et femme et à l’automne nous devrions être installés dans la maison familiale. Je suis sûre que le père Benoît pourra effectuer cette cérémonie. Lilly, je vais avoir besoin une demoiselle d’honneur.

Lilly se lève, les yeux humides, et embrasse sa sœur, puis moi, sur la bouche, me laissant déguster sa douce langue comme elle le fait toujours quand elle m’embrasse.
– Je ne suis plus tout à fait une demoiselle, mais je serai fière d’être ta salope d’honneur, dit-elle, essayant de ne pas rire ou de pleurer.
– Et moi j’aimerais que Martine sois mon témoin.
Martine a la larme à l’œil et se levant en essuyant ses larmes elle me dit.
– Doux jésus ! J’aime vraiment cette famille ! Je n’ai jamais vu autant d’amour qu’ici.
Elle m’enlace et comme ma tante elle me donne sa langue pour que je la caresse avec la mienne. Elle fait de même avec maman et ajoute.
– Je serai fière d’être avec vous, mes chéris !
Et tout le monde s’embrasse à qui mieux-mieux, dans une série de baisers chauds et passionnés.
Puis Lilly se penche et prend le visage de Martine entre ses mains, appuie ses lèvres contre celles de Martine qui soupire et serre tante Lilly contre elle pour un long, très long baiser passionné, tandis que maman et moi les regardons en souriant.
– Je comprends pourquoi tu as foutu les beaux-parents dehors ! Dit maman en plaisantant.
Martine et Lilly terminent leur baiser et tournant leurs têtes vers nous, joues contre joues, Lilly dit.
– Je te jure sœurette, je n’ai jamais rencontré quelqu’un, homme ou femme, qui me fait réagir comme Martine le fait, même vous deux !
Maman s’exclame.
– On a vu ça hier soir ! C’était chaud !
Martine halète et c’est une des rares fois que je la vois rougir.
– Mon dieu ! Sabine…tu nous a vues !
– Tu étais belle, ma chérie, dit maman. Et je n’ai jamais vu ma sœur aussi heureuse et satisfaite sexuellement.
– Et si excitée, dis-je en faisant un clin d’œil à Martine.
Et chaque couple c’est retrouvé dans sa chambre pour s’aimer et faire l’amour avec son amant. Martine et moi avons échangé un dernier regard avant de fermer nos portes de chambre respectives et nos sourires étaient une promesse que bientôt nous pourrions tous nous unir et avoir de féroces plaisirs, mais pour l’instant, nous explorerons nos corps séparément, maman et moi et tante Lilly et Martine.

Ce jour-là, et les suivants, ont été consacrés à se gaver de sexe en s’arrêtant seulement quand les jumeaux étaient à la maison, ou lorsque épuisés, un couple entendais les cris et les gémissements de passion et d’amour de l’autre couple pour les stimuler et leur donner envie de remettre le couvert.
Parfois, même si les jumeaux étaient là, par un accord tacite, un couple s’occupait des garçons tandis que l’autre se faufilait à l’étage pour un peu de temps bien employé. Ces derniers jours, il y a eu beaucoup de sourires partageant des secrets d’alcôves.
Il est évident pour maman et moi, que Martine et Lilly n’ont pas une simple aventure sexuelle. Je le vois sur le visage de Martine quand elle regarde tante Lilly. Elle à la même expression que maman lorsqu’elle me regarde amoureusement.
Il est évident que tante Lilly et Martine se complètent, tant que physiquement que moralement. Pour nous c’est une bonne chose.
Hélas, tout a une fin et Martine doit reprendre le boulot et moi je dois rentrer pour mon futur travail. Mais ma mère ne reste pas seule, sa sœur Lilly a prévu de rester avec elle un certain temps

Apres un long et doux baiser avec maman et avec le goût de son sexe sur mes lèvres, je monte dans la voiture de Martine en regardant maman et tante Lilly enlacées, agitant leurs mains dans les rétroviseurs latéraux. Martine a les yeux rouges et renifle mais un peu plus tard elle a un sourire heureux sur son visage pour me dire.
– Dany… je dois être folle…je pense que j’aime ta tante.
– Je le sais chère Martine, je l’ai su dès que maman et moi on vous a vu faire l’amour.
Je ne sais pas pourquoi, mais je lui fais faire un petit détour par le cimetière et devant la tombe de mon père je dis à haute voix.
– Ne t’inquiète pas Papa. Maman sera la plus heureuse des femmes. Beaucoup plus qu’elle ne l’a été avec toi ! Au revoir et pour ce que ça vaut, je t’aime.
Depuis ce jour je ne suis plus retourné sur sa tombe.

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