Céline, 42 ans, était ce que l’on appelle communément une petite bourgeoise modèle, mariée à un chef d’entreprise de 15 ans son ainé, deux enfants partis faire des études en région parisienne, femme au foyer modèle qui passait ses journées à faire diverses activités comme la gymnastique, du jardinage ou encore des promenades au parc. Elle était dévouée à son mari, et lui consacrait systématiquement l’ensemble des soirées sans broncher et aux envies de celui-ci.
J’ai rencontré Céline lorsque je promenais mon labrador au parc public, un jour du mois de juin. Comme souvent, nous jouions tous les deux avec un morceau de bois, et Mika me le ramenait. Il faisait relativement chaud ce jour-là, et je me suis assis sur un banc à l’ombre en continuant de jouer avec mon chien. C’est à ce moment-là que Céline nous regarda jouer et se mis à côté de moi sur le banc, et nous avons entamé la discussion. Mika nous rejoignit rapidement, et se lia rapidement d’amitié avec Céline.
Les jours se suivirent et se ressemblaient, presque quotidiennement Céline nous rejoignit et nous discutions de longs moments. Mika, déjà très tactile avec Céline, n’hésita plus à poser son museau sur les cuisses de notre nouvelle amie, et lui glissa même sa truffe entre les jambes. D’abord surprise, Céline ne le repoussa pas immédiatement, mais se laissa faire 4-5 secondes…
Après le 14 juillet je suis parti en vacances, Céline au mois d’Aout, et nous nous sommes revus au mois de Septembre. Elle commença à se confier, et me dis que ses enfants lui manquaient, qu’ils étaient repartis en région parisienne, et que son mari partais très souvent à l’étranger pour des raisons professionnelles, et qu’elle s’ennuyait, malgré les nombreuses activités qu’elle faisait et les amies qu’elle avait et avec lesquelles elles se voyaient très souvent. Nous échangions nos numéro de téléphone, et elle me dit que si nous avions envie de venir boire un café un jour dans sa maison, dont elle me donnait également l’adresse, nous serions les bienvenus et que Mika pouvait profiter du grand jardin pour se dégourdir les pattes.
Le 16 septembre, Céline m’envoyait un sms qui me surprit un peu, car elle me tutoyait.
Je suis dispo cet après-midi, si tu peux, passe. Je lui répondis que j’allais essayer, mais que je ne garantissais rien… Elle me renvoyait un message : « tu en es sur ? » suivi de 3 photographies d’elle. Sur la première, elle était nue, et se pris en photo devant un grand miroir. Sur la seconde, elle fut cuisses écartées à califourchon sur le pied du lit, et sur la troisième, elle envoya un gros plan de son sexe avec 3 doigts dans son anus. Je restais bouche bée, ne sachant que dire, quand un nouveau message apparu…. Fais de moi ta chienne, humilie moi, souille moi comme la dernière fois…. C’est que je lus ces 3 derniers mots, que j’ai compris qu’elle c’était trompée de destinataire… essayant de reprendre un peu mes esprits, je décidais de lui répondre. Tu veux vraiment être humiliée ? – Oui, fais de moi ce que bon te semble, je suis ta pute soumise – Très bien, mets-toi nue, à quatre pattes, fesses en l’air, yeux bandés, derrière la porte d’entrée à 14 h pile. – Ta pute sera prête.
Ces échanges ont réveillé en moi un vieux phantasme, celui de voir mon chien pouvoir se soulager avec une femme. Bien évidement de nombreuses questions se posaient à moi, par rapport à l’éthique, à la façon dont Céline allait réagir, à la manière dont Mika allait réagir mais qui semblait si attiré par cet entre jambes…. Et d’en conclure qu’elle n’avait qu’à faire attention à qui elle envoyait ses sms, qu’elle voulait être une pute humiliée, et qu’elle le sera.
J’arrivai vers 14 h. La porte était ouverte, Céline fut, comme je le lui avais demandé, à quatre pattes, prête à se faire prendre, les yeux bandés. Elle avait un cul superbe, ferme et un petit trou très joli. Elle n’avait aucun poil, comme si elle venait de se faire fraichement épiler. En guise de bienvenue, je lui claquai fortement sa fesse d’une main ferme qui laissa une jolie trace rouge. Je lui introduisis 3 doigts en commençais à la masturber énergiquement. Mika, que j’avais laissé dans le jardin, se laissa entendre par quelques aboiements. Je pris Céline par les cheveux, et l’emmena dans la pièce en face du couloir, son salon. Je ne dis rien, elle non plus. Je la posai sur un fauteuil, lui fit mettre les jambes sur les accoudoirs, que j’attachais avec des cordelettes que j’avais ramené, et avança ses fesses au bord du fauteuil, de façon à pouvoir jouer facilement avec ces deux petits trous. Au bout de quelques va et viens, sa mouille ruisselait abondement et glissa vers son anus. Je quittai la pièce et elle me demanda, ou vas-tu ? Seule réponse de ma part : Chuttt…
J’ouvrai la porte d’entrée et n’avais pas besoin d’appeler Mika. Il était déjà au bas de la porte, et attendait ce moment, comme s’il l’avait senti. Je le pris au collier, et le fit s’assoir au milieu du salon. Céline me demanda qui était avec moi, et lorsque je lui dis que ce n’est surement pas moi qu’elle attendait, sa bouche s’ouvrit sans qu’aucun son n’en sorte. Je m’approchai du fauteuil et lui enleva son bandeau. Céline ne sut que dire. Elle était là, nue devant Mika et moi. Elle ne s’attendait pas à nous, et une larme coula de sa joue. Alors, on veut jouer la pute soumise et être humiliée ? Qu’il en soit ainsi…. Pardon, je me suis trompée de destinataire, je suis confuse, je ne voulais pas que vous me voyez ainsi, pardonnez-moi, libérez moi et partez s’il vous plait… Sûrement pas, tu voulais être une pute soumise humiliée, tu en seras une. Et d’ailleurs, Mika viendra m’aider un peu, il t’apprécie énormément… Non, pas ça, je ne suis pas zoophile… Faites de moi ce que vous voulez, mais pas de chien s’il vous plait… Mika est mon chien et il va s’amuser en ta compagnie. Une nouvelle larme coula de ses yeux.
Je m’approchai d’elle et recommença mon va et viens… rapidement, la cyprine coula de son vagin et Céline pris rapidement du plaisir. Mes trois doigts se transformèrent en 4, puis rapidement mon pouce y rentra également. Céline poussa des cris de plaisirs et de satisfaction, lorsque je demandai à Mika de venir. Il ne se laissa pas prier. Sa truffe renifla rapidement le sexe de Céline et sa langue commença à lécher la cyprine. Sa langue flatta son sexe tout excité. Il commença à lui lécher son anus, et à mon grand étonnement, aucune protestation de la part de Céline, mais que des râles de plaisir. Elle jouissait abondement, comme une femme fontaine, aspergea abondement Mika qui continua à lui lécher ses deux trous.
Lorsqu’elle reçut son premier orgasme, ses yeux partirent sous ses lobes et son corps trembla de toutes parts… Je lui décrochais ses liens et lui demanda de se coucher sur le dos. Je montrais à Mika qu’il fallait lécher le visage de Céline, et essaya, à ce moment-là de lui introduire 2-3 doigts dans son anus. Chose délicate, car Mika revint plusieurs fois vers moi et essaya de lui lécher l’entre cuisses. Je demandai à Céline de caresser le sexe de Mika ce qu’elle fit sans broncher à mon grand étonnement. Elle appréciait visiblement la situation. Je lui demandai si la pute voulais encore être humiliée et là aussi, elle répondit par la positive…
Je demande à Céline de se mettre à 4 pattes, elle comprend tout de suite… Elle sait ce qui va se passer et surtout essaye de trouver la meilleure façon pour que Mika la satisfasse. Il commence à lui lécher son anus, qui s’agrandit sous ses coups de langues. Je l’aide un petit peu pour grimper sur le dos de Céline, qui elle lui donne un coup de main pour guider son sexe, et Mika commence à saillir sa nouvelle chienne…. Rapidement des jets sortent du sexe de mon chien, et il aspergeait abondement Céline, à chaque approche, le liquide se répandait sur ses fesses, son anis, son sexe et inondait ses cuisses. Une fois bien à l’intérieur du sexe, au bout de quelques instants, Céline lâcha un râle de plaisir….
Mika ayant fini son affaire, je le libère de ses obligations et lui ouvre la porte afin qu’il puisse profiter du jardin de son hôte. Excité comme un fou au vu du spectacle offert, je libère mon sexe en demandant à Céline de me vider à mon tour, ses coups de langue et l’excitation de cet après-midi, font que je me libère assez rapidement en elle.
Céline était à présente assise sur son fauteuil, les yeux dans le vide. Je lui demandais si la pute soumise qu’elle voulait être avait été assez humiliée à son goût… Elle baissa la tête et me dit simplement oui. Je lui ai dit que je serai encore régulièrement au parc, et que si elle avait envie de nous retrouver, elle serait toujours la bienvenue. Le lendemain, elle revint, vêtue d’une longue robe très large, mais nue en dessous. Mika, y glissa son corps, Céline écarta les jambes…
Notre relation à trois, dure depuis presque un an….
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