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Albert, amant et vieux vicieux

Albert, amant et vieux vicieux



Plus on vieillit plus on devient vicieux. On entend souvent cette affirmation qui, j’avoue au moins pour moi est véridique, c’est d’ailleurs pour cela que je préfère être prise par un homme de plus de soixante ans que par un jeune, qui souvent manque d’imagination ou bien pique son imagination dans les pornos qu’il regarde. Le seul problème parfois est de se trouver face à un homme qui ne bande plus beaucoup, voire plus du tout, mais c’est souvent ceux-là qui possèdent le plus d’imagination, car pour contrebalancer leur impuissance ils mettent en œuvre des ressources imaginatives qui peuvent faire les délices d’une salope vicieuse à souhait. Parfois cette imagination met en œuvre des pratiques que la morale réprouve mais qui dans l’intimité de leur solitude ne prête pas à conséquence. Il faut pourtant faire attention à la personnalité de son partenaire et avec certains je refuse tous les jeux de cordes et d’attachement car je ne me sens pas en sécurité. On peut tomber sur un tordu qui dans le feu de l’action peut vous faire subir des traitements non désirés, je me méfie particulièrement des hommes trop autoritaires auxquels je m’oppose afin de ne pas être soumise à leurs fantasmes en leur montrant une autre forme d’autorité, la mienne. Heureusement je peux devenir dominante si besoin est.
La plupart du temps ces hommes célibataires ou veufs d’un certain âge, recherchent une relation « idéale » qu’ils n’ont pas pu avoir avec leur femme durant leur vie, relation qui est en fait la plupart du temps un jeu érotique et sexuel. Je me suis retrouvé parfois dans la situation de la ménagère dont le mari à des exigences sexuelles, qu’il n’a probablement pas pu assouvir dans sa vraie vie, et qu’il met en scène avec moi. Les plus étranges pour moi sont ces hommes qui portent les sous-vêtements de leur femme et qui se masturbent en vous regardant mettre la table ou faire la vaisselle ou autre chose. Qu’un homme se travestisse ça ne me gêne pas bien sûr, mais au moins avec de la lingerie érotique, ce qui n’est hélas pas toujours le cas.
Les pratiques les plus régulières font partie de l’éventail fantasmatique de beaucoup d’hommes : se faire sucer quand ils mangent, vous caresser et vous prendre quand vous faites la vaisselle ou le ménage, vous laisser monter l’escalier devant eux pour qu’ils puissent soulever votre jupe et vous peloter les fesses et le classique en voiture de se faire sucer quand il conduit……Tout cela est amusant mais banal. Les vieux aiment bien mater. Un homme avec qui je sortais aimait sentir mes jarretelles et mes bas quand il conduisait. Prudent il ne quittait pas la route des yeux mais sa main quittait rarement le dessous de ma jupe. Au feu rouge, il soulevait ma jupe et regardait avidement les jarretelles tendues par mes bas, ça lui suffisait. Comme quoi des bonheurs simples peuvent suffire à certains.
Mais le plus vicieux que j’ai rencontré s’appelait Albert, soixante-quinze ans, très mince, capable d’érections soutenues, un beau membre de dix-huit centimètres, baisant aussi bien hommes que femmes sans critère d’âge, ni critères physiques. Du moment qu’il pouvait éjaculer, qu’importe où, c’était bien pour lui : un cul, une chatte, une bouche, tout lui allait. La première fois que je le rencontrai, il me demanda d’emblée quels étaient mes tabous. « Pas de crade et pas de v******e ! ». Il me fit préciser ce que cela voulait dire pour moi et fut satisfait quand je lui dis que les fessées et les coups de martinet n’étaient pas pour moi considérés comme v******e. « A part ça pas de tabou, donc ? ». « Non pas de tabous ». Notre première relation sexuelle donna le ton à celles que nous vivrions les mois suivants. Albert aimait le cuir, il portait toujours de ces pantalons qu’ont les gays hardcore, laissant attributs sexuels et cul à l’air avec une chemisette transparente noire et bien sûr des bottes de type Santiag. C’était son uniforme qu’il ne quittait jamais même pour me baiser. Il possédait une impressionnante garde-robe féminine pleine de lingerie de différentes tailles et me disait ce que je devais porter quand j’allais chez lui, rares étaient les fois où je n’ai pas porté de jupe en cuir. Toutes nos parties de jambe en l’air se terminaient toujours de la même façon, par une punition pour m’être comportée avec lui comme une salope. C’était lui qui me donnait le rôle que je devais tenir à chacune de nos rencontres, et c’était lui qui m’infligeait la correction au martinet. Il aimait me rougir le cul et il m’a appris à aimer ça.
Il adorait aussi me torturer les tétons y mettant des pinces japonaises auxquelles il suspendait des poids ou qu’il accrochait au collier de son berger belge qu’il faisait avancer ou courir et qui me distendait les seins quand je ne pouvais pas le suivre, il utilisait aussi de petits serres joints, le classique porte manteau avec des pinces, même des pinces crocodiles avec leurs petits picots, des ficelles qu’il accrochait en hauteur m’obligeant à me mettre sur la pointe des pieds, tout était prétexte pour lui de jouer avec mes mamelons. Il aurait bien voulu que je les fasse percer mais ça aussi je le déclinais.
J’avais aussi très souvent la verge et les couilles ligotées et quand il n’y mettait pas des poids et me demandait de marcher, il s’amusait avec une cravache de cheval à me les flageller doucement, fouettements qui à la longue avaient tendance à faire très mal. Il me les accrochait parfois de chaque côté du sommier pour me prendre en levrette, s’amusant à donner des coups de reins violents pour que mes testicules soient étirés par intermittence. Et les pinces sur la verge étaient aussi un de ses plaisirs.
Le ball gag était bien sûr de rigueur dans ces cas-là, par contre j’ai toujours refusé qu’il me mettre une cagoule aveugle et qu’il me ligote. J’avoue que parfois je n’étais pas trop rassurée avec lui car visiblement il aimait quand il me faisait mal, mais comme je pouvais le regarder et lui dire d’arrêter, il n’insistait pas quand il voyait que je ne tolérais plus la souffrance.
J’ai passé une nuit avec lui et il avait apprécié que je dorme avec mon porte-jarretelles et mes bas, et seulement une nuisette par-dessus (chose habituelle pour moi depuis très longtemps). Je suis devenue une adepte du rosebud qu’il me fit découvrir alternant les rosebud avec des pierres de couleurs différentes, au rosebud avec une queue d’a****l qu’il aimait me voir porter avec ma seule lingerie pour habillement, je vous laisse deviner le jeu qu’il me demandait alors de jouer. Le rosebud fit partie de ma nuit avec lui, rosebud qui me réveilla en plein sommeil, car porter cet ustensile plusieurs heures d’affilée demande de l’entrainement, ce que je n’avais pas à l’époque. Bizarrement, Albert ne possédait pas de godes et quand je lui demandai pourquoi il me dit que sa queue était le meilleur gode. Je n’insistai pas.
Plus nous nous connaissions, plus ses vices se dévoilaient et il fallut un moment que je prenne la décision de ne plus le voir car je ne voulais pas accéder à ses « fantaisies » qui ne me convenaient pas et qui m’auraient conduite à des pratiques que je réprouve. Quand je dis que je n’ai pas de tabou, en fait j’en ai et heureusement. Albert essaya bien de me faire admettre que ce qu’il me demandait n’était pas si monstrueux que ça, mais il n’y arriva pas. Oui je suis salope mais têtue aussi.

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