Cette histoire s’est déroulé il y a un peu plus de trois ans, bien évidemment certains éléments ne sont pas réels afin de garantir l’anonymat des personnes concernées.
Une des meilleures amies de ma sœur, Aurore, était venu passé la semaine chez nous afin de réviser son examen à l’école de médecine avec ma sœur.
Aurore est une belle jeune femme, blonde, de taille moyenne, assez mince, et avec une poitrine de taille moyenne. Elle avait surtout un regard sublime, le genre de regard qui vous perturbe quand on vous fixe. Je ne saurais vous dire pourquoi mais même si j’ai toujours trouvé cette fille très jolie, je n’ai jamais souhaité tenter ma chance avec elle alors que je savais en plus, par ma sœur, que j’étais son type d’homme.
Afin d’être au calme, tous les matins elle partait avec ma sœur réviser à la bibliothèque et elles revenaient en début de soirée. Mais un matin, j’eus la surprise de la voir dans la cuisine en culotte et avec une de mes chemises.
– Tient, vous n’êtes pas encore partie à la BU ?
Lui demandais-je tout en lui faisant la bise.
– En fait, j’ai laissé ta sœur y aller sans moi.
– Pourquoi ?
– J’avais envie de rien faire aujourd’hui, de rester au calme.
– Ce n’est pas sérieux tout ça ! Lui dis-je en rigolant.
– Tu peux parler ! Tu ne devrais pas être en cours en ce moment même ?
– Non madame, je n’ai cours que cet après-midi.
– Au fait, ça ne te dérange pas si j’ai pris une de tes chemises ?
– Non, ne t’en fais pas.
– De toute façon, tu dois être content de voir une fille en petite culotte et avec une de tes chemises.
Elle n’avait pas tort, bien contraire, il faut dire qu’elle était incroyablement sexy.
– Moi en tout cas, je suis toujours contente d’être seule dans une maison avec un beau mec.
Maintenant j’en étais sûr, elle me faisait un bel appel du pied, du coup je me rapprochais d’elle tandis qu’elle était dos à moi afin de ranger la patte à tartiner dans le placard.
– Tu sais, ce n’est pas bien de sécher des révisions et de voler une chemise.
– Tu as raison, je suis une vilaine fille !
– En plus, si tu ne trouves rien à faire, la matinée va te paraître affreusement longue.
– Tu as raison, du coup faut qu’on trouve un truc à faire tous les deux.
Me répondit-elle alors que mes mains commençaient à se balader sur son corps. Elle déboutonna ensuite les boutons de la chemise laissant apparaître sa poitrine. Tout en se retournant vers moi, elle mit ses mains autour de mon cou.
– Tu sais j’adore être embrassé.
Cela tombait à merveille tant j’avais envie de l’embrasser ! Du coup, j’approchais ma bouche de la sienne. Nous lèvres se joignaient pour un baiser timide au début. Puis au bout de quelques secondes nous les laissions s’entrouvrir pour laisser nos langues se découvrir, se caresser ! Elle embrassait merveilleusement bien, d’ailleurs, cela eut pour effet de faire monter mon excitation un peu plus. Sa main posait sur ma cuisse remontait vers mon caleçon alors que mon sexe était de plus en plus en érection. Du coup, elle interrompit le baiser.
– Dis-moi, est-ce le matin ou moi la cause de la bosse dans ton caleçon ?
– Toi.
Avec un large sourire, elle se mise ensuite à genoux devant moi avant de faire glisser mon caleçon jusqu’à mes chevilles révélant ainsi mon sexe bien droit. Elle commença par tendrement caresser mon sexe tout en donnant des coups de langue sur mes testicules avant de remonter délicatement vers le haut à la base de mon sexe.
Elle ouvrit alors sa bouche pour prendre mon gland et commencer les va-et-vient. Je sentais sa langue me caresser pour mon plus grand plaisir.
– Tu aimes ? Me demanda t-elle.
– Oh oui !
Un sourire illuminait son visage suite à ma réponse, elle replongea sa tête pour s’occuper de mes couilles en les léchant de plus en plus vite tout en caressant mon pénis de sa main. Elle était très douée, j’adorais ce qu’elle était entrain de me faire.
Après s’être bien occupée de mes bourses, elle fit remonter sa langue vers la base de mon sexe pour le parcourir dans toute sa longueur tout en plaçant ses mains sur mes hanches pour les faire remonter sur mon torse au fur et à mesure qu’elle se dirigeait vers mon gland. Elle fit ensuite jouer sa langue sur mon gland pendant de longues secondes, ce qui avait pour effet de me donner des frissons de plaisirs, j’étais en plein rêve éveillé.
Tout à coup, la bouche grande ouverte, elle goba mon sexe d’un seul coup jusqu’à ce qu’il vienne buter au fond de sa gorge. Elle avait le nez littéralement enfoncé dans mes poils, je sentais sa langue bouger autour de mon gland alors qu’elle commençait à saliver de plus en plus. Un pur bonheur !
– Arrête, sinon je ne vais pas tenir !
– Tu peux te lâcher, pas de soucis mais fais-le sur ma poitrine.
Juste après m’avoir dit cela, elle reprit sa fellation en me suçant de plus en plus vite, et au moment où elle me refit une gorge profonde, je lâchais prise.
– Attention ça vient !
Elle retira alors sa bouche pour me finir à la main. Quelques secondes plus tard, je lâchais de gros jets sur sa poitrine. Elle se releva pour qu’on s’embrasse, ce qu’on fit pendant plusieurs minutes avant de prendre un peu de mon sperme sur sa poitrine pour le porter à sa bouche.
– Fin de l’acte 1, j’ai besoin d’une petite douche.
– Tu as besoin d’aide ? Lui demandais-je.
– Bien entendu !
Une fois dans la douche, elle me tendit le savon. Je commençais donc à la laver. Après mettre occupé de son dos et de ses chevilles, je passais à sa poitrine. Ses seins étaient durs, je sentais en elle un désir de tendresse, je m’occupais de sa poitrine délicatement bien que mon envie devienne de plus en plus pressante. Ensuite, je descendis plus bas vers son nid d’amour que je massais tendrement. Elle poussa quelques soupirs de contentement avant que je ne la plaque contre le mur pour l’embrasser dans le cou avant de passer à sa bouche.
Puis, c’était à mon tour, elle prit du savon dans sa main et me frotta le dos, puis le ventre et puis tout le corps. Quand elle arriva à mon sexe, elle le massa très légèrement avant de s’accroupir devant moi afin de me caresser une nouvelle fois mes testicules pendant de longue minute.
Une fois la douche terminée, Aurore prit une serviette pour me sécher tandis que j’en fis autant pour elle avec une autre serviette. Comme je m’occupais de son dos, elle s’appuya sur le lavabo de ma salle de bain. Quand j’arrivais à ses chevilles, elle écarta légèrement les jambes afin que je puisse passer la serviette confortablement. Soudain, j’eus une envie, celle de laisser tomber la serviette afin de m’occuper d’elle avec mes doigts.
– J’adore de t-elle surprise !
Je me contentais dans un premier temps de masser son sexe avec quelques mouvements tendres avant d’en faire de même avec mon autre main avec son anus. Comme celui-ci était encore mouillé, je n’ai pas eu beaucoup de mal à y enfoncer un de mes doigts. Aurore semblait apprécier. Quelques minutes plus tard, je retirais mes mains de son corps en feu.
– On devrait aller dans ma chambre, on y sera mieux.
– Je te suis !
Je l’allongeais sur le dos les jambes écartées sur mon lit. Je n’avais alors qu’une envie plonger ma langue dans cet antre de plaisir et goutter à son doux nectar. Mais avec l’orgasme que je venais d’avoir je ne pouvais pas me permettre d’un simple cunnilingus, je devais la faire jouir aussi fort que ce qu’elle m’avait fait jouir dans la cuisine ! Je commençais donc par l’embrasser dans le cou, de petits baisers, la mordillant avant de descendre doucement, la sentant frémir à l’approche de ma bouche à quelques centimètres de sa peau.
Mes mains étaient fermement posées sur ses hanches et ma bouche s’approchait désormais de son sein droit. J’embrassais alors son téton pointé avant d’être remplacée par mon autre main venue elle aussi profiter de la douceur de cette merveilleuse poitrine. Pendant que mes deux mains s’affairaient à prodiguer du plaisir à cette sublime poitrine, je me retrouvais au niveau de son nombril, couvrant son ventre de baiser. Les gémissements d’Aurore se firent plus présents, elle semblait fortement apprécier mes caresses.
J’étais maintenant à quelques centimètres de son sexe mais je pris bien garde ne de pas y toucher, laissant monter la pression un peu plus. Je sortis ma langue et titillais tout le tour de sa zone sensible. Je plaçais enfin mon visage face à l’entrée de sa petite grotte qui brillait déjà de cyprine et n’attendait que moi. J’écartais ses lèvres et je commençais à lécher sa vulve, elle avait bon goût. Un spasme traversait son corps, elle fermait les yeux et se détendit complètement. Je la pénétrais lentement avec un doigt pendant que ma langue jouait avec son clitoris.
Mais mon pénis ayant retrouver toute sa forme, il était grand temps de passer à l’étape supérieure, après avoir enfilé un préservatif, je glissais mon sexe tendu vers son entrejambe, entrant en contact avec ses lèvres intimes, se frottant à son pubis avant de m’enfoncer doucement laissant ses chairs s’ouvrir, la pénétrant ainsi millimètres par millimètres, le plus lentement possible. Un océan de douceur m’accueillait. Ma tête était sur le point d’exploser. Toutes mes sensations n’étaient plus centralisées qu’autour de mon sexe. C’était incroyablement bon ! Elle me serrait plus fort dans ses bras tandis que mon sexe progressait dans son fourreau. A ce moment là, nous ne faisions plus qu’un.
Mes mouvements prenaient peu à peu de l’amplitude. Je la besognais bientôt franchement, alternant des coups rapides et puissants à d’autres plus amples, plus lents mais beaucoup plus profonds. Elle se contentait d’ouvrir toutes grandes ses cuisses sans bouger manifestant son désir d’être à moi, d’être prise, de se donner. Puis, elle écarta ses bras en croix, s’abandonnant totalement à ma possession tandis que mon pénis s’engouffrait en elle avant d’en ressortir, déclenchant à chaque fois, des cris de bonheur d’Aurore.
– Tu aimes ? Lui demandais-je.
– Non, j’adore !
Etant ravi de sa réponse, je la secouais, la caressais, explorais son corps, ses seins, ses hanches, son ventre et ce visage presque parfait. Ma bouche allait de ses lèvres pour des longs baisers mouillés à ses seins dont les mamelons aux pointes érectiles m’affolais.
– Oh oui ! Continus ! Me cria t-elle.
Aurore semblait être devenu complètement dingue et ses encouragements me poussais à nous donner plus de plaisir à tous les deux. Je m’enfonçais de ce fait de plus en plus en elle, mes bourses butaient contre son fessier et se plaquaient contre ces deux globes de chair. Je la serrais contre moi tandis qu’elle subissait sans relâche mes assauts. Je ne pouvais m’empêcher d’embrasser Aurore dans le cou, sur les épaules avant de lécher le lobe de son oreille, ce qu’elle semblait au son de ses gémissements à chaque fois que je recommençais. Il n’y a pas une seule parcelle de son corps à portée de mes lèvres qui n’avait pas subi leur passage.
Au bout de plusieurs minutes, je ne résistais pas à l’envie d’accélérer encore un peu plus mes mouvements. Cette initiative semblait plaire à Aurore qui me le fit savoir par de nouveaux gémissements et encouragements. Elle semblait fondre peu à peu sous mes assauts répétés. Notre excitation à tous les deux était à son paroxysme. Je me rendis bien compte que je ne pouvais pas tenir un rythme aussi effréné encore bien longtemps.
Après avoir tout »lâcher », je partis retirer et jeter le préservatif avant de revenir m’allonger auprès d’Aurore.
– Je pense qu’il va falloir qu’on reprenne une douche !
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