A l’Italie ! J’adore aller y passer des vacances, ma Josie s’y sent bien, sa libido aussi. Elle qui refuse de s’exposer nue sur nos plages, n’hésites plus dès la frontière passée, allez y comprendre quelque chose …
A chacune de nos incursions transalpines, elle m’a donné l’occasion de me réjouir, et de réjouir nos voisins. La dernière fois, nous avions élu domicile dans un bel hôtel au bord du lac de Garde, notre chambre ainsi que deux autres adjacentes donnait sur une grande terrasse partagée, une grand baie vitrée s’ouvrant sur cet espace commun sur lequel des transats nous invitaient à prendre le soleil.
Une de nos voisines s’adonnait régulièrement à ce plaisir détente à l’heure de la sieste, ce moment si propice à faire l’amour, j’adore baiser après déjeuner et m’endormir de suite après, le corps luisant de sueur, le sperme tiède finissant de s’écouler sur les draps y laissant des auréoles, je me dit que les femmes de ménage peuvent ainsi juger de notre activité sexuelle, quand je les croise à la sortie de notre chambre, je cherche alors un regard complice au fond de leurs yeux : « tu as vu coquine, je lui ai mis la dose à ma cochonne ! »
Mais revenons à notre baise méridienne, je prétexte qu’il fait trop chaud et qu’un petit courant d’air en laissant la porte-fenêtre et les rideaux ouverts est plus agréable que de laisser tourner une clim bruyante, Josie en est d’accord, dupe ou pas ? En tout cas, nous commençons notre exercice quotidien, je lui lèche goulument la chatte, ses lèvres bien entrouvertes déjà humides, je remonte ma langue sur son clitoris, elle frissonne, mes mains agrippées à ses fesses sentent sa peau frémir et avoir la chair de poule …
Ses pointes de seins sont devenues dures, elle m’agrippe la tête et me tire vers elle, me fait remonter sur son corps frémissant de désir, sa langue se noue sur la mienne, elle m’embrasse et s’imprègne à son tour de l’odeur de sa cyprine !
Elle me retourne sur le dos et entreprend de me chevaucher, elle sait y faire, mon gland n’a nul besoin d’être accompagné pour trouver l’entrée de son sexe, je suis au plus profond d’elle en une fraction de seconde !!!
Je jette un regard au dehors et me demande si quelqu’un ne pourrait pas profiter du spectacle ? L’immeuble en face à l’air vide, c’est l’heure de la sieste et les persiennes sont toutes tirées, personne sur les balcons, notre terrasse n’est occupée que par les transats, l’un d’eux a le dossier relevé … une tête en émerge, celle de notre voisine, je reconnais la rousseur de ses cheveux ! La salope, elle nous mate en train de baiser, est-ce la première fois ? Peu importe, cela renforce ma vigueur, je m’agrippe aux hanches rebondies de ma belle, lui met un doigt dans l’anus en faisant des petits mouvements circulaires, Josie gémit, se redresse en bombant le torse, je me détache de son cul pour palper ses seins durcis par l’excitation … que c’est bon, je pense à notre espionne qui n’en perd pas une miette, elle doit se masturber, dois-je profiter de l’instant où Josie est dans un état second pour lui glisser à l’oreille que nous sommes observés ? je me ravise et continue de faire des aller et retour en elle, Josie s’est encore redressée d’avantage, ses mains ont empoigné mes genoux, je peux voir sa chatte ouverte et lui caresser le clitoris avec le pouce … nous jouissons ensemble, trempés de sueur, Josie s’écroule sur le côté, je regarde ma semence s’écouler entre ses lèvres, quel beau spectacle, j’espère que notre voisine en profite !!!
L’après-midi, nous allons à la piscine de l’hôtel, j’y croise notre rouquine, je ne saurais jamais si le spectacle lui a plu car elle est allemande, mais son regard et son petit sourire en coin me laisse penser qu’elle sera de nouveau allongé sur son transat demain à l’heure de la sieste…
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