— Et tu crois que cela va me déranger ? C’est ton cul que je vais prendre. Sylviane, prépare la moi…
— Maître, elle ne peut avoir ses règles, elle les a eu la semaine dernière.
— Et tu oses me mentir ! Ne bouge pas.
Je me rassois et Sylviane reprend sa place entre mes jambes, à genoux, la tête sur ma cuisse. Je lui caresse la tête. Elle sourit. Sa fille ne bronche pas. Elle n’a rien à voir avec sa mère, mais ce petit corps si frêle est aussi tentant que le corps voluptueux de sa génitrice.
— Sylviane, elle te plait ?
Elle me regarde avec interrogation. Je réitère ma question et c’est par un timide « oui, Maître » qu’elle me répond.
— Bien. Tu vas aller la raser, lui laver le cul, la foutre totalement à poil et tu la remettras en position mais dans sa chambre, qu’elle aura rangé. Allez, file, tu viendras me dire quand vous aurez finie.
— Bien, Maître.
Elle se lève et prend sa fille par la main. Pas un mot n’est échangé entre elles. Waouh, quel superbe petit cul. Sa tenue de soubrette lui va à merveille et que dire sur le fessier rebondit de Sylviane, pour qui je bande ?
Cela fait une heure qu’elles sont parties. J’ai entendu l’eau de la douche, les portes des placards claquées. Puis un silence. Un long silence. Puis des petits rires. Je me lève et vais me resservir une « H » et m’installe dans le canapé défraichit. J’allume la télé et je zappe. Je zappe, je zappe. Mais que font-elles ?
— Elle est prête, Maître.
Il est vrai qu’elle est prête. En position, mains appuyées sur sa fenêtre et en tenue. Ma trique virevolte en avançant au fond de la pièce et Sylviane en rigole. Je lui souris. (mais putain, pour qui je trique, pour la mère ou sa fille ?)
Je soulève sa jupette et admire le travail de sa mère. Aurélie n’ose pas me regarder. Je lui tire le menton en ma direction.
— Pour toi ce sera Monsieur. Je veux que ce soit toi qui s’occupe du ménage en rentrant de tes cours… Ta mère aura mieux à faire, elle devra s’occuper de son Maître, tu as dû comprendre de qui je parle ?
— Snif, snif, oui…
— OUI QUI ????
— Oui Monsieur.
Aussi facile qu’avec Sylviane et elle a l’air d’aimer cela, elle mouille. CA coule le long de ses cuisses. Je lui caresse les fesses. Elles sont d’une douceur, la peau d’un bébé. Je m’amuse à caresser son anus. Elle frisonne. Je lui enlève sa tenue de soubrette. Elle est nue, offerte dans cette position incongrue. Je me positionne derrière elle, ma verge au contact de son petit cul. Elle est à bonne hauteur et j’appuie sur son dos pour qu’elle se cambre plus. Mon sexe est comme téléguidé, il est au contact de ses lèvres intimes. Je pousse à peine et je pénètre ce petit conduit chaud et étroit. Elle se cambre encore en lâchant un gémissement de bonheur. Mon sexe est entré dans sa chatte gluante, non sans effort tant son conduit est étroit. Je viens buter sur ses douces fesses. Sylviane regarde la scène en se mordant la lèvre inférieure avec envie. Elle s’est mise dans une position d’attente, accroupie, jambes écartées et les mains sur ses cuisses.
— Cela te plait de voir ta fille se faire baiser ?
— Oui, Maître.
— Tu n’as jamais vu un tel spectacle ?
— Non, enfin si Maître…
— Comment ça ?
— C’est Maxime et Florence qui l’ont…
— Déniaisé ?
— Oui, oui, Maître. J’ai honte… Dit-elle en chialant.
— Honte de quoi, de qui ? Et vous avez continué ensuite, je suppose ?
— Oui, Maître…
— Et toi, tu as aimé faire la salope devant ta mère ?
C’est d’un « oui » timide qu’elle me répond. Je me retire. Elle se retourne avec un air de déception. Je lui souris, d’un sourire carnassier. Je demande à Sylviane de me suivre et à Aurélie de nous attendre dans cette position. Je retourne au salon et m’installe dans le fauteuil.
— Arrête de chialer. Tu n’as pas à avoir honte. Tu as eu des pulsions et tu les as assouvies. Ta fille ne t’en veut apparemment pas, au contraire mais il me semble qu’il y a une tension entre vous deux. Explique-moi.
— C’est que depuis qu’ils ont déménagé, je me suis refusée à continuer. J’ai cessé tous rapports i****tueux. Je ne veux plus revivre cela.
— Et si je le désire ?
— Maître, s’il vous plait, pas ça…
— Tu as aimé de voir mon sexe s’enfoncer dans celui de ta fille tout à l’heure, non?
— Oui, mais j’ai honte…
— Il va falloir te libérer car avec moi pas de tabou. Je vais vous baiser, vous allez baiser ensemble et d’autre vous baiserons. Compris ?
— Oui, Maître.
— Bien, va rechercher ta fille et veille qu’elle porte sa tenue.
Elle ne dit rien, obéissante, elle part chercher sa fille. Je fais le tour du salon, de la salle à manger et de la cuisine. Rien à dire, c’est nickel.
Il est bientôt vingt-heure. Aurélie s’évertue à nous faire un repas digne de ce nom. D’après les dires de sa mère, elle est bonne cuisinière. Sylviane a ouvert une bouteille de champagne et a sortie deux verres.
— Nous sommes trois, lui dis-je.
— Bien, Maître.
C’est à trois que se déroule cette fin de soirée qui se veut calme et détendue. On mange, on boit plus que de raison… Sans abus tout de même. Bref une soirée sympa, avec ma soumise, nue, ma soubrette en tenue et moi, bandant comme un cerf en rut.
— Bon, vous pouvez aller vous coucher. J’arrive, j’ai un coup de fil à passer.
C’est donc seul, que j’appelle Damien, le mec rencontré au club de Toulon.
— Damien, c’est Hervé, tu te rappelles ?
— Oui, oui. Quelle partie de baise. J’ai raconté ça à ma copine, elle n’en revient pas. Alors quoi de neuf.
— J’ai ma soumise et sa fille à baiser. Je t’appelle pour te proposer un rendez-vous.
— Quoi ? Sa fille, tu rigoles ?
— Non, attends, je t’explique.
Après une longue séance d’explications, rendez-vous est pris pour demain à 16 h 00, au « Sex-club Zone X » de Toulon, le même sex-shop où l’on s’est rencontré.
— Mon salop, j’en bande déjà… Vivement demain.
— Oui, ciao, à demain.
Après m’être resservit une binouze, je vais pour aller me coucher quand mes deux femelles apparaissent lavées (les cheveux mouillés ne trompent pas), coiffées et maquillées sobrement. Je me pose dans le fauteuil, sans voix.
— Maître, nous voulons vous câliner pour vous remercier de ce qui s’est passé aujourd’hui et pour ce qu’il se passera désormais.
Chacune d’un côté, debout, elles se penchent et commence une pipe à deux bouches, sans les mains. Quand l’une me prend en bouche, l’autre me gobe les couilles. Elles inversent les rôles, c’est divin. Je regarde ces deux femelles qui n’ont d’yeux que pour ma bite. Elles la cajolent, la flattent. Elles me lèchent de haut en bas et de bas en haut. Elles se regardent amoureusement quand leurs langues viennent à se toucher. Elles s’embrassent au-dessus de mon gland. Je relève Aurélie et lui demande de venir à califourchon, dos à moi. Sylviane vient entre mes jambes et continue à me lécher les couilles. Je saisis les deux petits tétons de la petite et lui pince fortement. Elle s’empale doucement en gémissant. Sylviane à la gueule engluée des sécrétions de sa fille. Aurélie ne bouge plus, savourant la caresse buccale que sa mère lui prodigue. Je bouge mon cul de bas en haut, lentement au début, puis de plus en plus vite. Les râles d’Aurélie se sont transformés en cris d’a****l.
— Oui, Monsieur, qu’elle est… Bonne votre queue… OUIIIII !!!
Je la pousse en avant. Elle se retrouve debout, bras tendus en appuie sur la table basse du salon. Je la pourfends comme une bête. Sylviane admire la scène en position d’attente.
— Touche-toi, branle-toi… Dis-je à Sylviane en burinant sa fille comme un beau diable.
Je mate, tour à tour, ma queue qui martèle le petit con d’Aurélie et sa mère qui s’enfonce trois doigts au rythme de mes coups de reins. Je sens ma sève monter. Je ralentis. Lentement, très lentement, je vais et je viens entre ses reins. Je jubile de ce spectacle si pervers. Une nana en train de se doigter devant sa fille qui se fait prendre. Les cris de jouissance remplissent le salon. Des « ARGH », des « OUI » et des « AH » résonnent dans tout l’appartement. J’espère que les voisins sont sourds car elles ne font pas dans la demi-mesure. Elles gueulent. Je reprends une cadence soutenue.
— Amène ta tronche. Je vais jouir dans ta gueule et tu n’avales pas. Il faut partager.
Délicatement, elle pose sa tête de côté sur les fesses de sa fille, bouche grande ouverte. Je me lâche. Le premier jet est pour la chatte d’Aurélie, les autres pour la bouche de sa mère. Consciencieuse, elle m’aspire jusqu’à la dernière goutte puis partage ma semence dans un long baiser brûlant.
Dieu que s’est beau. Dieu qu’elles sont belle.
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