Je suis venu une semaine à New York en juillet, voir un copain qui bossait dans cette ville.
Dans la journée, j’ai fait un peu de tourisme, j’étais assez libre, dispo, et j’avais envie, bien sûr,
de draguer une fille locale, qui serait séduite par ma belle gueule de français de 26 ans.
Il faisait très chaud fin juillet à NYC, et je me suis arrêté dans un bar de Tribeca pour prendre une bière.
A côté de moi, en terrasse, je vois une jolie blonde, seule, en train de consulter son portable, et ses guides de NYC.
Jolies jambes sous un short en jean, débardeur clair, elle m’a semblé pouvoir faire l’affaire…
Je m’approche gentiment, lui dis que je connais bien New-York, demande si je peux l’aider, et, avec un grand sourire,
que je suis quand même plus classe que le Michelin qu’elle a en main, et plus intelligent que le smartruc…
Je prends la chaise à côté d’elle, elle me regarde amusée. Nous échangeons les banalités d’usage, elle est Slovaque, s’appelle Elsa,
a 21 ans, étudiante, elle est à NYC avec une copine, elles ont décidé de passer un après-midi chacune de leur côté.
Elle parle à peu près anglais, pas français.
Apres un moment, je deviens tactile : la main dans ses cheveux blonds qui viennent sur les épaules,
un petit geste sur la joue…et puis mon regard s’attarde sur sa poitrine, qui a exactement ce qu’il faut…
Un petit échange de caresses de nos mains sur la table, ma jambe qui se colle contre la sienne…
Je paye les consommations, nous nous levons pour aller voir les berges de l’Hudson River,
je lui prends la taille et ma main monte vers son dos ou descend vers ses fesses.Elle a l’air d’apprécier.
Devant la rive, son visage se rapproche du mien : elle a envie d’un baiser,
Je vais lui donner gentiment, tout en lui montrant que je ne suis pas la pour se bécoter en amoureux.
En l’embrassant, je lui prends la taille, caresse ses reins, puis ses fesses à travers son short,
et la retourne pour coller ses fesses contre mon ventre, caresser sa poitrine, lui faire sentir mon sexe bien dur déjà.
Elle se laisse faire et je sens ses seins bien se durcir.
Je lui dis dans l’oreille : « we go to your place », elle a l’air surprise, se retourne : « but my roomate ? ».
Elle m’a dit avant qu’elle avaient loué un petit apart’ avec deux chambres et une cuisine.
« no importance, just do what i tell you ».Je lui montre qui dirige la manœuvre !
Elle me prend la main, nous allons vers le métro, je fais signe à un taxi,
j’ai envie d’aller vite, et d’être en privé avec elle !
Dans le taxi, je lui caresse gentiment l’intérieur des cuisses d’une main, gardant l’autre pour lui tenir la main au dessus de la bosse de mon pantalon.Je remonte aussi vers son débardeur, sa poitrine gonflée, le chauffeur se rince l’oeil avec amusement dans son rétro.
Un soutif que je dégrafe, elle est bien en main.
Nous arrivons, dans le petit escalier qui mène à son appart, elle est devant moi, ce qui est agréable, et sur le palier du premier,
je l’att**** par derrière, lui caresse les seins, et commence à passer la main pour la caresser…
Elle gémit de plaisir, je lui dégrafe les boutons du short pour mieux aller la doigter…
J’aurais envie de continuer là, sur le palier, mais j’ai eu peur, et elle encore plus, d’un voisin qui sorte et la conduis ainsi, jusqu’à son appart au demi palier suivant, en m’amusant de la voir se dandinant en tenant son short pour qu’il ne tombe pas.
Nous entrons ainsi dans son appartement, dans la cuisine, je m’assieds au meuble-bar et lui dis de me donner une bière fraîche,
ce qu’elle fait rapidement avant de disparaître aux toilettes. Je profite de ma bière, elle revient, le short bien remis, à croire qu’elle n’a pas bien compris, je lui fais signe de s’approcher, elle est face à moi qui suis sur mon tabouret de bar, je défais le short pour qu’il tombe à ses pieds, elle l’enlève. Je suis bien placé pour une pipe et descends mon pantalon.
Je change d’avis, et la plaque contre le mur de la cuisine, mon ventre contre son dos,
mon sexe bien dur contre ses fesses, mes mains évoluant de sa poitrine à sa chatte.
Tout à coup, j’entends un bruit, je vois une porte s’ouvrir, et la tête d’une blonde aux cheveux courts jeter un coup d’oeil.
Nous voyant ainsi, entendant son amie Elsa gémir, Adriana me regarde dans les yeux une seconde, et referme la porte.
Elsa l’a entendue et se dégage un peu pour marcher et m’entrainer vers sa chambre.
A peine la porte fermée, je lui enléve ce qui lui reste: un débardeur, un soutif pendant, son slip, et la mets en levrette sur le lit.
Je balance mon slip et la prends ainsi, mon sexe bien dur la pénétrant vigoureusement.
Je suis trés excité, elle aussi, en quelques minutes, j’ai joui en elle, longuement, entre temps les gémissements ont eu le temps de se transformer en cris de plaisir, en ouiiii bien forts, un mot de français qu’elle connaît, et je pense que les voisins, et particulièrement la chambre voisine, en ont profité !
Elsa m’embrasse doucement pour me remercier, les lèvres, la face, le buste, un petit bisou sur la bite qui lui adonné bien du plaisir…Nous nous endormons embrassés, enlacés.
Aux premiers rayons du soleil je m’éveille vaguement (il n’y a pas de volets aux USA).
Cette belle chair, ces fesses qui se tendent vers moi me redonnent du désir…je la caresse, le dos, le ventre, les seins gentiment pour la réveiller doucement, elle me dit : « i m sleeping », ce qui ne me convient pas, j’insiste sur le ventre, les seins, mais elle garde les cuisses serrées. Je décide de m’y prendre autrement et lui caresse doucement la raie des fesses, puis l’anus… elle gémit un peu. Mais il n’est pas propre, et je lui dis : « go and wash it, quickly », en la poussant en dehors du lit. il me faut un peu insister, je l’entends aller aux toilettes, pisser, et ne pas revenir…
Je vais voir, elle est assise sur le siège, somnolente, les yeux un peu rouges. je comprends qu’elle n’a pas envie de se faire enculer. Je vais y mettre un peu du mien. Je la retourne, la mets a genoux appuyée sur la cuvette, et nettoie son anus avec le papier cul, en profitant pour masser et élargir un peu. Ce spectacle m’excite, elle ne bouge pas, et je pénètre son cul lentement, tranquillement, elle dit faiblement non, gémit avec un peu de douleur et pas mal de plaisir…
ma main dans son vagin, sur son clito l’excitent autant que mon sexe dans son cul, et elle s’ouvre à ma bite.
Je n’ai pu fermer la porte de la salle de bains et, des le début,
j’ai entendu la porte s’ouvrir et deviné qu’ Adriana nous écoutait et regardait en coin.
Cette fois, c’est dix bonne minutes que je passe sur elle, en nous jouissons ensemble, abondamment,
Je reste un peu en elle et la ramène à la chambre en lui disant :
« it was great, you liked it, you like to be fucked, you are quite a bitch » avant de nous rendormir ensemble.
Un peu plus tard, vers 9h, j’entends du bruit à la cuisine, c’est Adriana qui doit préparer son café.
Ma bite est molle, mais j’ai envie de la voir durcir, je la frotte contre la joue d’Elsa et lui dis: « tu n’as pas encore gouté à celle-ci dans ta belle bouche »… elle comprend et, à moitié endormie, me prend en bouche, elle suce bien, je lui montre que mes couilles aussi ont besoin de sa langue, qu’il faut même prolonger jusqu’à mon anus à titiller un peu…
Tout cela me fait bien rebander, je mets une chemise un peu longue et me dirige vers la cuisine en la laissant un peu étonnée, et frustrée sans doute. Adriana est là qui me fait un sourire et me propose un café au lait que j’accepte.
Elle a vu mon érection sous ma chemise et vient se placer à côté de moi pour boire son thé.
Elle est jolie, un poil plus grande et forte qu’Elsa, cheveux châtain…
Sa cuisse vient se coller à la mienne, ma main s’y glisse et la caresse gentiment. Très vite la sienne vient sur mon sexe en le masturbant doucement. Par dessus la table, on ne voit rien, et quand Elsa arrive quelques minutes plus tard elle semble au début ne rien remarquer, puis, très vite, se doute que nous sommes en train de nous caresser.
Elle vient se planter derrière nous et met sa main sur mon torse, je me retourne et luis dis que je n’ai pas besoin d’elle.
Elle a un hoquet, et les larmes montent à ses yeux, je lui dis d’aller dans la salle de bains essuyer ses larmes et se refaire une beauté. Elle y va, et Adriana et moi en profitons pour filer dans sa chambre. J’entends ensuite Elsa sortir de la salle de bains, comprendre ce qui se passe, et partir pleurer dans sa chambre. Par précaution, j’avais fermé la porte de la chambre d’Adriana à clé. Je la mets vite sur son lit, la déshabille, elle est épilée, j’apprécie pour une brune, et la prends en missionnaire, elle est très excitée, puis la mets sur moi, et je la laisse se faire plaisir, avant de la remettre sur le dos avec ses jambes sur mes épaules pour jouir en elle.
Ne sachant plus très bien comment me sortir de cette situation, je me tire vite après cette dernière baise en laissant un mot dans la cuisine : « hello, girls, c’était vraiment bien cette nuit, je reviendrai à 13 h choisir laquelle viendra se promener avec moi à New York cet après-midi. Préparez vous, soyez prêtes, jolies, sexy ! »
Et j’imagine que la matinée entre les copines va être animée !
J’en profite pour aller chez mon copain lui dire bonjour, mais il bosse et je me repose une paire d’heures avant de repartir à l’attaque !
Un dej leger, j’arrive chez elles, je n’ai pas d’opinion sur laquelle je prendrai. Elles sont toutes les deux dans la cuisine, en jupe courte, débardeur, soutif très échancré, bien coiffées, légèrement maquillées…
Je leur fais un baiser léger à chacune puis leur dis d’aller chacune dans leur chambre, je prends une bière
et vais chez Adriana, je l’embrasse en lui caressant les fesses sous sa jupe, écarte un peu son string… elle sent bon !
Je passe chez Elsa, même topo, mais cette fois je lui dis d’enlever son string, de relever sa jupe, je m’assieds et la regarde :
elle a un beau cul, un joli sexe, elle est sympa, docile, je n’ai pas oublié qu’elle a tout accepté hier soir,
je lui dis « viens », elle remet son string, je lui dis qu’elle devra l’enlever quand je lui dirai, et lui dis de me donner son soutif.
Elle est surprise, je lui dais signe de l’enlever, elle s’exécute, je vérifie qu’il n’a pas de bretelles et lui rends.
Nous partons, en passant j’entrouvre la porte d’Adriana et lui dis a tout à l’heure,
je l’entends jurer contre Elsa et moi. Elle ne perd rien pour attendre.
Nous passons une après-midi cul-ture: être des vrais touristes et profiter des visites pour quelques moments sensuels: à l’Empire State, je la caresse sous sa jupe dans la file d’attente, dans le musée, je lui dis d’enlever le sg et de me donner pour que je puisse la peloter des seins dans le musée, j’ai toujours rêvé cela, un peu d’exhib soft dans cet endroit « sophistiqué ». En sortant, nous cherchons le quartier des sex shops… presque disparu, il n’y a plus de DVD porno, quelques livres, des sextoys dans des boutiques élégantes, je n’y trouve plus le coté glauque, vulgaire. Je lui fais voir un petit plug anal, elle semble n’en avoir jamais mis, et lui montre les vibromasseurs, lui en offre un …
Nous allons diner dans un petit resto, je trouve amusant de lui demander, avant nos burgers, d’enlever sg et string, là sur place, sans bouger de la table qui est un peu dans un coin, de me les donner. Elle hésite, je la regarde avec force, elle enleve le sg en regardant autour d’elle, me le donne… ses yeux me demandent d’en rester là… mais je soutiens ce regard et elle comprend qu’elle doit obéir, s’exécuter, elle l’enlève avec difficulté, me la donne. De ma main, je vérifie qu’elle est bien nue sous le débardeur et sa jupe, et je lui souris, elle me répond d’un sourire forcé.
Je mets les deux sous vetements sur la table, le serveur les remarque et sourit.
Je suis satisfait de ma petite mise en scène.
A la fin du repas, je les mets dans ma poche et nous sortons ainsi, nous allons faire un tour à Central Park.
Elle n’est pas vraiment à l’aise ainsi, elle et moi avons l’impression que certains hommes la matent.
Nous nous asseyons sur un banc, je lui caresse ses seins à nu, elle gémit, je passe la main sous ses fesses, la doigte et lui penche la tête vers ma braguette. elle regarde autour d’elle, et a peur d’un black installé trois bancs plus loin.
Je lui dis de rester ainsi, penchée sur moi, et de prendre ma queue entre ses mains…elle le fait en ouvrant ma braguette, mais nous restons juste décents, pas de queue sortie, pas de fesses ou de chatte visible.
Mais des hommes s’assoient pas très loin, et ne voudrais pas être mal entouré dans ce parc, ou vu par des flics,
je décide de quitter les lieux, nous sortons du parc et reprenons le métro, elle toujours nue sous sa jupe et son haut
et je me demande quels hommes, plus plongés dans leurs téléphones ou somnolents, le remarquent !
Nous revenons à son appartement, je prends ma bière et lui dis d’aller se coucher.
Je remarque qu’ Adriana ne semble pas là : porte ouverte, pas de bruit…
Je finis ma bière et la rejoins, elle est nue et son beau corps m’attend sur le drap, sur le ventre,
jambes un peu écartées, elle me regarde sur le côté, souriante…
Je suis fatigué, et la laisse s’exprimer, je me mets sur le dos, elle se plante sur ma bite et bouge. Je me contente de la caresser: seins, clito, sexe, fesses, anus, elle jouit une fois, puis , avec quelques claques sur les fesses, une deuxième fois, je la fais me prendre en bouche, allongée sur moi, et lui tiens la tete pour qu’elle se concentre sur ma bite, ne puisse reprendre son souffle. Elle souffre un peu, et je finis par éjaculer vigoureusement dans sa bouche, je ne lache pas sa tete et lui dis d’avaler, ce qu’elle fait difficilement, et je la relache. Elle se lève et va cracher, se rincer la bouche à la salle de bains.Dodo, nous nous endormons.
Un peu plus tard, j’entends Adriana rentrer, j’écoute, elle semble seule.
J’ai un petit compte à régler, je prends mon courage, je me lève et vais la voir.
Elle est déjà au lit, et me fait un sourire en me voyant. Je lui dis :tout à l’heure, tu m’as souhaité du mal, tu as dit que j’étais un pauvre gars, et maintenant tu me souris, et tu veux baiser, mais avant, tu as mérité une punition: mets toi a genoux sur le lit, elle croit que je vais la prendre en levrette, mais je lui donne d’abord quelques bonnes claques sur les fesses pour les faire rougir et la punir, elle crie un peu, mais je continue une dizaine de claques: cette fessée était méritée. Il est bien temps maintenant pour une levrette puis , au bout de quelques minutes, je lui mets un doigt dans le cul et lui dis: tu as vu ce que je faisais avec ta copine dans la salle de bain hier soir : tu en as envie …elle fait non de la tête. Mais tu dois être punie, et cela fait partie de la punition, et je lui remplace mon doigt par ma bite dans son petit trou. Elle crie un peu, continue à faire non de la tête, mais je la tiens fermement et ma bite progresse, mon doigt la caressant. Mes couilles viennent enfin contre ses fesses, et je jouis en elle, elle crie de plaisir.
nous nous ecroulons, et nous endormons.
Le soleil se levait, j’ai fait pareil.
J’ai pris un café, écrit un mot que je laissai dans la cuisine :
» you are good girls, we had freat moments, have fun, bye ».
Je mets le vibro sur le mot…
Ma bite et moi étions fatigués, j’avais envie de me reposer quelques jours,
de passer une soirée tranquille avec mon copain, de dormir tranquille, avant de repartir en chasse !
Et j’imaginais le réveil des deux copines, le moment des disputes,
le temps qu’elles allaient mettre à pouvoir ressortir ensemble, draguer.
Ou aussi,se réconciliant autour du vibro, jouant à deux plus un.
J’avais en deux nuits, et un jour, fait avec elles deux tout ce que j’avais plus ou moins réalisé avec d’autres depuis des années, j’avais réalisé mes envies, pris beaucoup de plaisir, j’étais prêt pour d’autres aventures !
J’aimerais tourner cette aventure en film porno, ce serait plus érotique que beaucoup de ce que j’y vois !!
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