Je venais de passer le quart de siècle et cet anniversaire coïncidait avec mon premier CDI suivi de mon premier bail de location.
La sensation d’indépendance était extraordinaire. Célibataire, un salaire mensuel confortable et un appartement (certes de taille réduite), l’avenir semblait prometteur.
Enclin à gouter aux plaisirs d’une vie sociale tumultueuse, mon appartement devint immédiatement le refuge de soirées animées et bruyantes.
Un dimanche matin, à 11 heures, encore en plein sommeil, la sonnerie de ma porte d’entrée retentit plusieurs fois, de manières nerveuse et régulière.
Le cerveau encore englué Je mis un certain temps à émerger de mon sommeil et à comprendre qu’il s’agissait de la sonnerie de ma porte et que la personne qui s’y trouvait derrière semblait décidée à être reçue.
J’étais seul, complétement nu. J’enfilai un slip et ouvrit.
Je fus d’abord surpris par la silhouette qui s’imposait à moi. Une grande femme, la cinquantaine, vêtue de noir de la tête aux pieds. Un pull moulant laissant deviner une généreuse poitrine, un pantalon en simili cuir dessinant de très jolies jambes et des escarpins avec des talons assez hauts pour lui permettre de me dépasser malgré mes 180 cm.
Deux traits d’eye liner épais et un rouge à lèvre contrastait avec son teint presque blafard. Je fus d’abord décontenancé par son style apprêté assez incongru pour un dimanche matin.
Elle ne me laissa pas le temps de parler :
– Bonjour, je suis votre voisine du dessous. Il serait souhaitable que vous baissiez le niveau sonore lorsque vous avez des invités. Hier encore, mon mari et moi avons été réveillés par le bruit
Pris complètement au dépourvu, je bredouillais quelques plates excuses. Et pendant que je lui promettais une plus grande attention de ma part, son visage se rasséréna rapidement.
Je vis son regard embrasser mon torse et descendre jusqu’à mes pieds.
Elle ne semblait pas insensible à mes muscles saillants, résultat de 15 ans de compétition de natation. Elle enchaina immédiatement
– Ecoutez, nous sommes voisins et il serait dommage que nos rapports soient conflictuels. Je vous invite ce soir à prendre l’apéro. Passez à 18h. Je m’appelle Justine.
J’acceptai et repartit me coucher.
A 17h30 je pris une douche et me rendit à 18h pile au rendez-vous.
Justine ouvrit la porte, elle semblait radieuse. Vêtue d’une très jolie robe offrant un décolleté audacieux. Elle avait certainement le double de mon âge mais je ne pouvais pas rester insensible à son charisme.
Son mari me fut présenté. Très courtois, grand et bel homme, il semblait cependant beaucoup moins à l’aise que sa femme mais surtout complétement neutre et effacé.
Justine me servit à boire, elle menait la conversation en lançant quelques injonctions à son mari afin que ce dernier assure mieux le service.
Elle fit ensuite une brève présentation de leur couple. Tout transpirait la normalité. Ils avaient deux enfants rentrés dans la vie active habitant sur Paris. Elle s’enquit de ma situation familiale et sembla satisfaite de découvrir que je n’avais pas de petite amie.
Elle rebondit sur le thème des relations de couple et avec une aisance toute naturelle et me fit une confidence surprenante :
– Mon mari et moi avons des relations particulières. D’un commun accord, mon mari m’a donné carte blanche pour gérer ma vie sexuelle à ma guise. C’est même lui qui est à l’initiative ce cet accord tacite. Ceci va peut-être vous sembler étrange mais nous y avons trouvé une véritable harmonie.
Je feignais d’apprendre cette confession avec le plus de décontraction et de recul possible mais la franchise de Justine et la teneur de la nouvelle me sidéra
– Ah d’accord … si vous y trouvez tous les deux votre compte alors tant mieux
– Ce matin quand je vous ai vu à demi nu en face de moi, j’ai ressenti une forte pulsion, vous êtes beau comme un apollon et même malgré mes 49 ans, je reste très sensible à l’attraction sexuelle des mâles, quel que soit leur âges. Mon mari se délecte de me voir faire l’amour avec d’autres hommes et c’est moi qui choisis les amants. C’est pourquoi je vous ai fait venir ce soir.
La proposition était on ne peut plus claire, je regardai son décolleté … ses jambes … elle était belle et désirable
– Ok … Mais votre mari … Comment … ?
– ne vous inquiètez pas, ne pensez pas à mon mari, oubliez le, cela sera mieux pour nous deux !
Elle ordonna à son mari de préparer la chambre. Ce dernier, obéit tranquillement en baissant le regard.
Elle posa son verre, s’approcha de moi et langoureusement posa sa main sur mon épaule droite. Avec une grande douceur sa main se balada sur tout mon torse.
Son visage dégageait une grande sérénité, du désir aussi. Je me sentis mal à l’aise mais l’excitation vint tout effacer. Elle me fit un doux baiser dans le cou puis me prit par la main pour m’emmener dans sa chambre. Elle me déposa debout, dos au lit conjugal et pas une légère poussette me fit tomber sur le lit. Je m’avouais vaincu.
Doucement elle se mit à genoux, déboutonna ma braguette et avec une grande sensualité sortit ma queue. Elle l’observa un instant, sembla agréablement surprise devant ma superbe érection.
Elle approcha son visage et commença par effleurer mon gland avec sa langue pour faire d’abord connaissance avec l’a****l. Apres une salve de baiser elle entrouvrit ses superbes lèvres pulpeuse et m’engloutit le membre dans son entièreté, ce qu’aucune des mes précédentes conquêtes n’avait réussie.
La sensation de chaleur et d’abandon à cette bouche gourmande était sensationnelle. Pendant qu’elle s’activait sur ma queue, mon regard se posa sur le cadre accroché sur le mur d’en face. La photo, en noir et blanc, était celle d’une femme de profil, debout, habillée juste de cuissardes et d’un corset. Avec sa main droite, elle pointait un index tendu vers le sol comme pour exprimer une injonction à une silhouette, celle d’un homme accroupi devant elle.
Bien que perturbé par le plaisir, et après quelques secondes de doutes, je reconnu le visage, de la femme qui était en train de me sucer. L’homme accroupi semblait être son mari.
– Vous aimez ?
Cette question me détourna du tableau et me fit revenir à l’instant présent
J’inclinai la tête et fermai les yeux en guise de réponse. Ses lèvres charnues vinrent par la suite caresser mes testicules. Doucement elle prit dans sa bouche gourmande d’abord un puis les deux testicules.
Elle semblait connaitre à la perfection l’anatomie du plaisir masculin. Puis sa main droite devint baladeuse, elle se dirigea de mes boules vers mes fesses. Délicatement son index caressa mon anus en dessinant de petits cercles ; puis avec beaucoup de d’assurance son doigt s’enfonça dans mon anus. Jamais une fille avec porté de l’intérêt à cette partie n’intime de mon corps.
D’abord troublé, cette intrusion me contracta. Elle le sentit. Elle me sourit alors pour me signifier de se détendre et de profiter de cet instant unique.
Elle reprit ma queue entièrement dans sa bouche tout en continuant à explorer avec son index ma cavité anale.
J’étais bien. Trop bien car je sentis soudain que ma sève allait déborder. Elle arrêta tout. Elle avait deviné que je ne pouvais plus résister. Elle était une véritable experte du plaisir humain. Son timing avait été suffisamment précis pour m’empêcher d’éjaculer.
Elle me prit par la main et m’emmena dans le salon en laissant la pièce dans la pénombre. Elle s’arrêta devant une table, posa ses deux mains dessus tout en se penchant légèrement en avant
– vas-y baisez moi sans retenue, j’ai besoin d’une vraie queue.
Son invitation libéra mes pulsions les plus intenses. Je l’empoignai par les hanches et la pénétrai violemment. J’étais déchainé, un a****l prêt à la faire jouir sans sommation. Ses gémissement se transformèrent en petits cris étouffés. Elle semblait aimer.
– Continuez … Continuez ne vous arrêtez pas … il faut me baiser plus fort
Face à son injonction, je l’attrapai instinctivement par les cheveux tout en continuant à exercer d’intenses va et vient avec mon bassin. L’osmose entre nos deux corps et surtout nos deux esprits était totale.
Totalement désinhibé je commençai à lui parler en employant les mots les plus crus. Je me surpris aussi à l’insulter.
Soudainement ma jouissance fut extraordinaire. Je retirai ma queue et lui projeta des jets puissants de spermes tout le long de sa raie des fesses. Elle avait le cul et la chatte souillée.
Anéanti par l’effort et l’intensité de la jouissance, je me laissai tomber sur le canapé.
Tandis que je reprenais doucement mes esprits, elle alluma une lumière tamisée et se positionna debout devant moi.
– C’était très appréciable … maintenant mon mari va finir le travail.
Elle secoua une petite clochette posée sur la table basse, ce qui provoqua l’arrivée immédiate de son mari dans la pièce.
Celui était complétement nu. Je remarquai d’abord la saillance de ses muscles. C’était un homme très bien conservé.
Je remarquai cependant que son sexe était enfermé dans une espèce de petite cage métallique. C’était la première fois que je voyais un tel objet. Cela semblait contenir toute éventuelle érection.
Il se plaça devant sa femme. Cette dernière lui caressa le torse, puis lui attrapa doucement les testicules.
– Mon amant m’a comblé ce soir, c’est une bonne pioche, beaucoup mieux que les derniers. Allez, tu vas nettoyer ta femme vénérée comme il se doit.
Le mari se mit à genoux et commença à lécher et avaler tout le sperme qui maculait le corps de sa femme. Il le faisait avec une grande attention et avec beaucoup de douceur aussi.
Je ressenti d’abord une sensation de dégout mêlée à de la honte. Puis, sans vraiment comprendre pourquoi, je pris un certain plaisir à observer cette scène.
La dévotion du mari pour sa femme et le plaisir que le couple semblait en tirer me fascina.
Quand il jugea que son travail était terminé, le mari se retira de la pièce.
Sa femme m’offrit une verre de vin rouge puis je rejoignis mon appartement. La soirée avait été extraordinaire. Ma nuit fut agitée.
Depuis je croise régulièrement mes voisins, nos rapports sont cordiaux mais jamais n’est évoquée cette soirée.
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