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Camping 9

Camping 9



Après la tempête.

Marie, entièrement nue, est penché sur la table de camping jambes bien écarter, tête posée sur ses bras croiser et, debout derrière elle, accrocher à ses hanches, je la besogne avec force sous une pleine lune digne d’un bon vieux film de loup-garou. Elle gémit doucement bouche entrouverte ou serre les dents quand je lui tape les fesses les faisant rebondir joliment. Celle ci rougisse peut à peut et Marie semble vraiment apprécier en lâchant des petits gémissements timides qui se perdent dans la nuit.
Sa peau est si pâle quelle me fascine, elle semble produire sa propre lumière sous le clair de lune, une vraie déesse avec ses cheveux cuivrer qui cache en partie son beau visage grimaçant.

Je regarde mon sexe luisant de déjection vaginale aller et venir dans sa fente si humide que l’intérieur de ses longues cuisses en est tout imprégner.
Le bruit de mon ventre heurtant ses fesses se fait de plus en plus fort tandis que je la fourre avec plus de vigueur. Mes couilles se balancent, mes fesses se resserrent et je ravale ma salive en grimaçant moi aussi laissant mes mains courir sur son dos, ses hanches et son cul. Je ne me lasse pas de caressé son corps magnifique.
Elle cri maintenant son plaisir sans retenue et sa résonne au loin dans la forêt sombre. Mais son anus m’obsède, j’y enfonce mon pouce profondément après l’avoir enduit de salive, elle ralle et grimace, je l’agite, le tourne, le fait aller et venir contre ma bitte qui suit le mouvement, gros soupir.
Fiévreux je m’imagine dans quelques semaines la revoir animer le bulletin de nouvelle en me disant… Wais, je l’ai bien baiser celle la et je l’ai même enculer la belle Marie Lemieux.
Je ressens comme une vague de chaleur m’envahir en laissant l’anus repousser mon pouce, elle semble déçut ou je l’imagine. Mais, mes pulsions me contrôlent, c’est comme une fièvre.
Je sors ma bite du vagin, j’ouvre son petit trou avec mes pouces, crache dedans plusieurs fois, et y pouce mon gland en tenant fermement ma hampe. Elle ne dit rien, me laisse faire et pince les lèvres simplement les yeux toujours fermer.

Je fixe mon gland en forme de cloche qui se compresse et s’enfonce peut à peut entre les fesses tandis que l’anus se dilate. Une fois qu’il est à l’intérieur je recrache sur ma hampe qui entre centimètre par centimètre en elle. Je ressens un puissant sentiment de puissance a enculer une des plus belles femmes du Québec.
Je m’enfonce dans le cul jusqu’au couilles tout doucement en la sentant frémir et soupirer. Marie ne dit toujours rien, bouche ouverte a présent, décroisant les bras et les allongeant pour se retenir au rebord de la table. Mes mains agrippent ses seins écraser sous elle et qui déborde, je lui caresse un moment avant de m’accrocher à ses épaules et je me mets à l’enculer lentement au début laissant a l’anus le temps de se dilater complètement, puis avec plus de force, fiévreux, les yeux fous avec un sourire de dément sous la lune.
C’est étroit, bien serrer, chaud et bandant a mort d’enculer miss nouvelle. Mes couilles frappent son con détremper avec force rajoutant à mon plaisir. Elle recommence à gémir en glissant un bras sous elle pour se masturber. Puis elle lâche tout bas des Ah, oui… Hum… Ouf… Avec une voix de petite fille très érotique et soudain j’entends des sons de scie-mécanique qui se rapproche. Mon ventre heurte ses fesses de plus en plus vite, la table remue en grinçant, Marie serre les dents et ralle, je sens que je vais jouir, lui remplier le cul de sperme avant que le gros débile de massacre a la tronçonneuse s’amène et la…
L’un de ses engins démarre soudainement juste derrière moi au moment ou j’éjacule dans le rectum, j’hurle à mort en tremblant comme un petit poulet…

…. et je me réveille en sursaut, m’assoyant dans le lit droit comme une équerre avec le coeur qui me débat comme celui d’un hamster coincer dans sa maudite roue.
Je suis toujours dans le lit de Marie mais elle n’est pas dans la roulotte et il y a une bonne odeur café qui flotte dans l’air. Je suis bander comme un vicaire qui regarde des petites nonnes laver un plancher. Le bruit est infernal, je grimace encore coincer entre rêve et réalité. J’écarte les stores et voie un bûcheron en chemise a carreau, lunette de protection sur le nez et casque orange qui débite des branches contre la roulotte et il me sourit tout auréolé de vapeur d’essence. D’autres s’occupent de l’arbre sur le 4×4, ça travail comme des petites fourmis. Voir des vrais hommes me fait débander et ça cogne à la porte. J’enfile mon pantalon rapidement et ouvre. Plus de mal de dos. Yes !
Un autre bûcheron dans la cinquantaine et casque orange et il me sourit.
Y devrait pas ! Il a un gros canyon entre les deux dents d’en avant, une de ses dents était plaquer or et les autres… Il aurait du les vendre à l’encan.
-Mme Lemieux m’a dit que vous nous emmèneriez du café. Dit-il en sifflant, ou presque. Se serait gentil.
Je penche la tête et vois Marie assise dans sa chaise de camping dos a la roulotte café a la main, tête tourner vers moi qui me souris comme si elle m’avait fait un mauvais coup. Y as des bûcherons partout armé jusqu’aux dents de haches, de scie a main et de scie mécaniques. Elle a remit son maillot et ils regardent tous a la dérober ses longues jambes croiser et elle bat du pied en pliant et dépliant ces beaux orteils. Le sang va pisser ses sur. Sa me rappela un bon documentaire sur l’attraction sexuelle des femmes de certaines tribus aborigènes d’Australie…
-M’sieux !
-Hein !
-Le café ?
-Ah ! Ok !
À peine réveiller et en baillant j’enfile mon t-shirt gêner par mes pectoraux inexistants et je prépare une dizaine de café dans des gobelets en carton puis j’amène ça dehors dans deux assiettes avec du sucre en sachet et un carton de crème trouver au frigo.
Deux gars sorte justement la table de pic-nic pliable des bois ou elle avait dû envoler.
-Merci m’sieux. Disent-ils en salivant à la vue des cafés. Ils sont couverts de sueur et de sciure de bois.
J’y dépose le tout et m’en prends un pendant qu’un jeune gars cogne avec le dos de sa hache contre un sapin en regardant en l’air. Étrange ! Je lève la tête et aperçois l’autre chaise de camping accrocher aux branches et qui dégringole soudainement. Il l’att**** habilement et me la donne en louchant vers Marie. Quant a la toile qui recouvrait le terrain elle a tout bonnement disparue.
Je m’assois à côté d’elle, resplendissante comme toujours, sous le ciel bleu dans son maillot bleu et elle a encore ses petites tresses.
J’ai le goût de crier à tout ces vrai mâles…
Je lai baisé, je l’ai baisé, je l’ai baiser… Mais, je ne suis pas le genre a me vanter de ces choses la.

Je me contente de faire le gros mâle protecteur en faisant des yeux méchant à ceux qui on des regards trop insistants. Sa les fait rire de peur, étrange !
Je prends une bonne gorgé de café au carton, sa m’éveille un peut.

On doit crier pour ce parler.
-On la échapper belle Paul !
-Hein !
Elle pointe du pouce la roulotte, je tourne la tête et vois une grosse épinette tomber juste derrière la recouvrant de moitié avec ces longues branches comme pour la couvée. Deux pieds plus a gauche et on mourait sans doute tous les deux. Je déglutis péniblement.
C’est le bordel, branches cassées, arbres tomber, sa bûche et sa scie partout. Une jolie fumée bleue vole autour de nous et sa empeste l’essence et le sapin. La même chose que le petit sen bon qui se trouve dans ma salle de bain. Étrange.
Deux gars vienne se faire photographier avec la vedette, elle se lève et pose fièrement avec eux a tour de rôle. Y son ravit et moi jaloux. Elle se rassoit et me regarde tout sourire.
-C’est Pierrette qui les as envoyer à notre secours. Crie Marie.
-Yas pas d’ambulance ? Hurlai-je.
Elle me regarde drôlement.
-Non pourquoi, y as pas de blessé.
-Sa seras pas long ! Y regarde tous tes jambes. Y en as un qui vas sûrement s’en couper une ou un bras !
Gros sourire en me regardant malicieusement les yeux pétillant levant une jambe bien droite orteils pointer.
Quelque chose tomba lourdement sur la droite. Un gars avec sa scie a chaîne était affaler sur le toit 4×4. Les autres se précipitèrent pour l’aider. Pas de bobo.
Marie grimaça comme une gamine surprise a voler des bonbons en rabaissant sa jambe.
-Oups ! Fait-elle drôlement. Je l’entends pas mais je peux le lire sur ses belles lèvres un peut gercer ce matin.
Ah les filles.
Sous le soleil éblouissant j’ai de la misère a croire que cette femme la m’avait sucer et quelle avait tout avaler.
Wow !
Gros soupir.
Elle approche la tête, je tends l’oreille pour écouter mais elle me prend le menton et me force à la regarder puis m’embrasse longuement faisant sûrement saliver tous les gros mâles autour de nous et me dit à l’oreille.
-Paul, je le souhaite pas mais… Si toi et ta blonde, enfin, si sa vas mal, j’aimerais te revoir.
Mon petit cœur de hamster s’emballe.
-Sérieuse ?
Elle acquiesce de la tête en me faisant des petits yeux rieurs.
-Wow !
-Hiii… ! S’écrit-elle soudainement en se levant d’un coup. Je m’en échapper du café brûlant sur les cuisses toujours zébrer d’éraflures. Outch… Elle se penche et m’embrasse encore sous le regard envieux des bûcherons river à son derrière. Faut que je me prépare mon taxi s’en vient. On se revoit ce soir by !
-By !
Comme les autres je regarde son cul se balancer et ses jambes fabuleuses jusqu’a ce quelle disparaisse dans la roulotte et quand je me retourne et fait mes yeux méchants y se retournent tous et la monsieur garde-chasse arrive avec son gros 4×4 et son gros gabarie. Y se prend un café et vient s’asseoir à côté de moi dans la pauvre chaise qui se plaint fortement.
-Sa vas, fit-il en regardant le 4×4 de Marie, pas de blessé ? Vous avez été chanceux ! La bas, au camping José y as…
Je le laisse jaser tout seul, après tout y m’as pas écouter lui non plus hier sur la route. De plus le bruit m’agace et lui aussi donc je m’esquive en vitesse pour aller voir ma roulotte. Sur le chemin remplie de débris déjà débiter et écarter sur les côtés je croise deux gars tronçonneuse a l’épaule. C’est sans doute comme ça que les bûcherons prennent leur marche matinale me dis-je. Je réalise soudainement que ces gars la risque leur vie pour nous fournir du papier cul. C’est quelque chose quand même.
-Bonjour monsieur.
-Bonjour…
Je veux les féliciter pour le papier de toilette et leur parler de l’excellente série télé sur les bûcherons en Amérique, un des dix métiers les plus dangereux du monde mais…
-Cé a vous la petite roulotte la bas ?
-Oui, pas de dégas ? Demandai-je inquiet.
-Ben, on la remise sur ses roues…
-Pardon !
-Pis on la sortit de la rivière.
-Chit !
-On a ouvert la porte et les fenêtres, a vas sécher pis on a nettoyer le terrain. Heureusement y avait personne dedans nous a dit Mme Lemieux elle la de sacré belles jambes hein ?
-Wais, fait attention aux votre ! Dis-je en continuant les laissant perplexe. Et merci pour le papier cul !
-Ah ! Eh ! Monsieur !
-Oui ! Je me retourne trop heureux de pouvoir sans doute les renseigner sur quoi que se soit étant donné mon énorme bagage de connaissance.
-On a pas réussit à faire sortir la chauve-souris.
-Hein !
Ils étaient déjà repartit en riant.

Ma belle roulotte était cabosser et détremper, j’y entré inquiet, sur le qui vive et sans armes.
Quelque chose comme un vieux chiffon mouillé qui couinait me sauta au visage. Je fermer les yeux en me débattant follement, sa me griffa et disparue par la porte ouverte. J’avais du sang sur les doigts et le front me brûlait mon cœur cognait contre mon sternum. Je me le tamponner, pas le cœur mais le front avec un essuie-tout et mis de l’antiseptique me trouvant chanceux d’avoir eu un traitement pour le tétanos au printemps. J’avais essayer de déloger un écureuil de ma corde a linge mais cela avait mal tourné.
Je trouver ma caméra par terre dans un coin sous du sable, heureusement elle pouvait résister à l’eau, enfin, en principe.
20 minutes plus tard j’étais entrain de ranger le bordel quand Marie arriva. Coiffé, maquillé, rouge éclatant sur les lèvres, en jeans hyper moulant et petit top bourgogne. Doux Jésus, bandante a mort comme a la télé.
-Tu té égratigner le front Paul ?
-Je sais.
-Le film.
-Hein ! Ah !
Elle me tendit la main. J’y déposer la petite carte flash…
-Désoler Paul, je peux pas…
-Je sais, m’excuse encore.
-Sa vas, Pierrette s’en vient. Faut que j’y aille.
J’eu droit a un autre baisé, elle essuya le rouge au coin de ma bouche avec son pouce et fila…
Je fini de nettoyer le cœur léger et prit une douche. Quant j’en sortit je vis un jeune gars qui me rapportait ma chaise. J’enfiler une serviette et sortit. Il me regarda des pieds a la tête. Maudite blessures.
-Est à vous !
-Ouiii…
-On la trouvée dans la rivière y avait une marmotte coucher dessus.
-Pardon !
-Wais ! Elle avait laisser un petit cadeau mais on la nettoyer.
-Merci.
-Ses sexy les jambes raser comme ça monsieur, on se fait un petit souper ?
-Pardon !

Quand Pierrette arriva, je prenais un autre café assit au soleil. Le calme était revenu, l’escouade de tronçonneuse avait terminer son travail et filer vers le lac. Le silence, j’en jouissais, la drogue de ma vie.
J’avais préparer mon pack-sac avec un lunch et de l’eau et je méditais en repensant a cette nuit et a Suzanne. Allai-je la perdre encore une fois ? Moi je l’aimais depuis toujours, mais elle c’était Mike. Elle m’aimait aussi mais pas autant… Et Marie…
Le cerveau me chauffait.
Pierrette était radieuse habiller comme hier, pantalon d’armé et sandale, même camisole verte sans soutien-gorge et elle c’était faire une petite couette qui partait du sommet de sa tête. Elle portait un petit sac a dos vert également.
-Mon petit Paul sa va ? Et la roulotte !
-Sa vas, et votre copine ?
-Sa vas ! Mais la maison de son fils a été inonder, on va être seul tous les deux. Je suis prête, sacré tempête hum ! On se déshabille maintenant ?
Ma bite frétilla.
-Non, on a un bout de chemin a faire sur la route. Dis-je en me levant et allant chercher mon sac.

On marchait vers le nord en direction du lac en discutant de l’ouragan. Le temps était frais mais sa se réchauffait vite, le soleil radieux, ses seins se balançaient doucement et pointait. Cela éloigna mes idées sombre… Comme toujours elle marchait tête haute mignonne comme tout à peine maquiller et j’allais la baiser. Yes !
-Pis Paul, rassure-moi, tu la fourrer ma belle grande nièce, a ta sauter dessus ?
-Oui ! Fis-je fièrement en déglutissant tout en me frottant le derrière de la tête ou j’avais encore une petite bosse.
Elle sourit en me regardant.
-Good. Sa prouve qu’a t’aime bien !
-Ah oui !
-Hum, est dure a étendre celle la je te jure. Y en as une maudite gagne qui ce son essayer tu t’en doute. Mais tes en plein son genre et a moi aussi.
-Oh, donc si on se trouve un petit endroit tranquille… On baise comme des bêtes ma belle Pierrette ?
Ses beaux grands yeux se fermèrent de moitié en louchant vers moi.
-Hum, mes ans mon petit Paul ! Pis cette fois Marie seras pas la pour…
La mer qu’on voit dansé le long des golfs clairs… on stoppa.
-Ces le mien. Fit-elle en ouvrant son sac a dos. Elle sortit son petit appareil quelle avait soigneusement emballer dans un sac hermétique comme je lui avais suggérer même si son sac a dos tout comme le mien était en principe étanche. Elle l’ouvrit et je vis une jolie photo de Marie.
-Oui ! Marie… Ah oui… Té ou ? Hein… Ben oui, vers le lac juste a côté… Ok…
Gros soupir.
-C’est Marie ? Demandai-je.
-Ouais, a l’arrive !
-Pardon !
-Salut !
On se retourna tous les deux d’un seul block. C’était elle qui s’en venait et complètement nue, sauf des sandales aux pieds avec un petit sac a dos a l’épaule et elle y rangeait son téléphone. Elle pencha la tête en nous apercevant et parut étonner de nous voir. Moi je fixais ses seins qui se baladaient joliment, sans parler de son déhanchement, ni de ses longues jambes ni de sa jolie trace de bikini bien visible.
Gros soupir.
-Ces pas une marche nu-fesses en principe ? Demanda telle une fois devant nous en rajustant son sac a dos.
Ses longs cheveux gonflés glissaient sur ses épaules et elle c’était débarrasser de toute trace de maquillage.
J’avais des chaleurs et Marie aussi, elle rougissait.
-Wais, mais on a un petit boute à marcher dans le chemin. Répondis-je.
-Merde ! J’ai même pas pensé à amener mon maillot, j’étais trop presser de vous ratt****r. J’ai prit une chance en venant par ici.
-Cé pas grave, fit Pierrette en se débarrassant de sa camisole pis du reste, on va se mettre tout nue aussi, si quelqu’un viens on va l’entendre de loin.
-Ok ! Fis-je ravit en me déshabillant à mon tour ressentant déjà plein de petit frétillement dans le bas ventre.
Gros sourires des filles en apercevant mon sexe qui s’élevait pas a coup. On fourras nos vêtements dans nos sacs et on repartit avec juste nos chaussures. Je marchais fièrement entre les deux et elles regardaient ma bite en pleine érection a présent qui sursautait gaiement. Un coup a droite, un coup a gauche.
-Pense y même pas Marie ! L’avertit Pierrette soudainement.
-A quoi !
-T’en as profiter cette nuit de ce beau pénis la, ses a mon tour.
-Ah, t’est plate Pierrette. Tant pis, j’ai mon téléphone, je ferais de jolie photo de champignons hein Paul. Pour ta collection.
Je lui jeter un petit regard indigner qui la fit sourire.
-Ben oui, bonne idée. Dis-je platement me sentant coupable un peut d’avoir fait une copie du film hier.
-J’ai rarement vu un gars bander aussi vite, et vous ma tante.
-On est trop sexy cé pour sa. Sa guérit tes petites zébrures Paul, mais ton front ses quoi ?
-Batman voulait ma roulotte !
J’eu droit a des regards étranges et des gros rires. Elles étaient reparties et moi surexcité. Je voyais des seins qui se baladait d’un coté comme de l’autre et des beaux culs bien ronds quand elles me devançaient un peut.
-Mais ton rendez-vous Marie ! Lui demandais-je déjà en sueur.
-Annuler à dernières minutes, le beau garde-chasse ma ramener, yé fin.
Gros sourire moqueur avant de rajouter.
-Pis sa me tentait pas de rester la toute seul toute la journée a me faire bronzer pis me reposer.
-Pis ton camion ? Demanda Pierrette.
-Une agence de location va m’amener quec chose après midi. Un autre 4×4 je pense avec ce qui faut pour la roulotte et emmener l’autre a scrap.
-Sa vas nous faire du bien une petite marche tranquille en forêt ma grande. Avec un bel homme bander ben dur en plus.
Des rires et des rires.

La grande rousse regardait fréquemment un peut partout, surtout derrière nous.
-Relax fit Pierrette, y as personne.
Marie me jeta un coup d’oeil en pinçant la bouche.
-Wais !
Le soleil continuait à s’élever dans un ciel sans nuage, il faisait de plus en plus chaud et j’étais au paradis humant l’odeur douce de la forêt toujours en pleine érection et on hurla tous les trois…
Un énorme porc-épic traversa la route a quelques pieds de nous en grognant et disparue dans les bois et on entendit au même moment derrière nous une auto qui s’approchait.
-Merde ! Fit Marie en se pognant les seins et filant dans le bois par ou l’a****l était apparu, on suivit.
Moi et Pierrette on stoppa une fois hors de vue du chemin mais Marie continuait.
-Tu vas ou ? Cria Pierrette en riant. En Abitibi !
Elle revint mains toujours croiser sur les seins en soupirant.
-Ta fret aux boules ? Demanda Pierrette.
-Hum ! Ah ! Non !
Elle garda ses mains la tout de même.
On entendit l’auto s’arrêter, une portière qui claque, des pas et… Toc ! Toc ! Toc !
Un silence. Les sons porte loin en forêt et cela provenait de leur roulotte.
-Maudit, est pas la Gille. Fit une voix grincheuse de femme.
-Ok vient ans sacrement !
Sans doute le mari et grognon en plus.
-Eh ! Ta vue le 4×4, seigneur, d’in coup qu’est morte.
-Sa se peut.
Un silence.
-Yas pas de corps dedans !
-Ok, arrive !
-Fait chier, j’aurais aimer sa me faire poser avec elle. Tant pis. On ira au salon a Montréal, y vas y avoir des vedettes.
Encore des pas et la portière qui claque.
Marie soupira… L’auto repartit vers le village.
On reprit la route en souriant.
-Quoi ? Demanda Marie. Cé pas drôle. A veut aller à mon enterrement juste pour voir des vedettes. Jésus-Christ. Sa peut tu !
-Cé pas ça, lâche tes seins ma grande, c’est une obsession ? Té aime tant que ça ?
-Pas autant que Paul, fit-elle en se les lâchant finalement, y me les a pogner toute la nuit. Un vrai petit bébé qui s’accrochait a sa mère.
-Et, d’in coup qu’est morte ! Fis-je imitant la madame. Oh Y as pas de corps !
Moi et Pierrette on éclata de rire.
-Ben drôle. Fit Marie, super drôle, y vont dire à tout le monde que j’ai été écraser par un arbre. Je risque de passé pour morte au nouvelles, a mes nouvelles.
-Ben, fit Pierrette très terre à terre, tu vas réussir à faire remonter tes cotes d’écoute, en vacances en plus, plein toué pas. Cé pas Jean Paul Langlois qui pourrait faire ça.
On continua en riant.

-On y est. Dis-je en stoppant sur un petit pont. Un minuscule ruisseaux passait en dessous légèrement gonflé par la pluie de cette nuit. J’y étais venu avec Suzanne deux jours plutôt, c’est la quelle m’avait parler de cette chute. L’eau était clair cette journée la, mais aujourd’hui elle était brunâtre. Le petit cour d’eau était très étroit, large de 2 pieds guerre plus border par de hautes fougères et s’enfonçait dans la forêt en ligne droite sur 20 pas environ avant de bifurquer.
-Faut suivre le ruisseau mes Dames et…
Un véhicule s’en venait du lac et vite a part sa, même plusieurs. On se regarda tous les trois.
-Câlice les bûcherons ! Lâcha Marie paniquer en se reprenant les seins.
-Vite dans le ruisseau… Ordonnai-je.
Pierrette sauta dans l’eau la première, suivit de Marie et de moi.
Mes pieds s’enfoncèrent dans de la boue épaisse jusqu’au mollets et l’eau nous arrivait au genou. Le fond vaseux du ruisseau était aussi efficace que des boulets d’esclave.
-Avance Pierrette ! Fit Marie en la poussant par le sac a dos, moi je m’accrochais au siens fasciner par ses belles fesses. On avançait péniblement pas a pas peinant à extirper nos pieds du mélange épais et gluant. L’eau du ruisseau devint toute noire.
-Je veux ben, fit sa tante en riant, ma la maudite bouette m’empêche d’avancer plus vite.
-TABARNAK ! Fit Marie. Je le savais, on va me voir les fesses au nouvelle, je le savais ben.
-Au moins on te verra pas les boules. Lâcha Pierrette pragmatique.
Marie tenta de s’agripper au fougères pour entrer sous le couvert des arbres mais rien a faire.
-Un autre Youtube ma grande ! Fit Pierrette amuser bras lever comme un funambule peinant à garder son équilibre.
Je partit à rire, elle aussi et les véhicules approchaient tandis qu’on faisait quasiment du sur-place.
-Ah non, fit Marie, Ciboire ! Y vont s’arrêter çé sur pour me regarder le cul pis filmer sa. Marie Lemieux nu fesses dans un ruisseau, je vais en entendre parler longtemps.
-Merci pour le mien. Fit Pierrette.
Le convoi était si prêt qu’on s’entendait plus.

Et la j’eu un éclair de génie, je pousser les filles.

Des hurlements et… oupsss… Disparue les deux rousses, sauf deux belles paires de fesses toute blanche se démarquant de l’eau noire puis des jambes et des bras qui s’agitaient tandis que trois gros pic up passait à vive allure. Personne ne regarda vers le ruisseau. C’était bien les bûcherons.
Hi ! Papa allait se faire sermonner, je devais me préparer un pieu mensonge.
Je les aider à se relever, elle était recouverte d’une épaisse boue noire et de fines herbes, sans parler de leurs cheveux sale plaquer sur le visage on aurait dit les survivant d’une étrange catastrophe.
Je les regarder se dégager les yeux et cracher, puis se nettoyer les seins dont les pointes avaient subitement gonfler puis le ventre et les bras.
Wow !
Leurs petits yeux tout blanc me regardait méchamment.
-J’ai eu une bonne idée hein les filles. Dis-je joyeusement fier de moi. Personne vous a vue, enfin, sauf les fesses. Mais y on pas arrêter, grâce à moi, je leur et fait mes gros yeux méchants.
-Tabarnak ! Lâcha Marie en crachant tout en se vidant les oreilles avec les doigts. On dirait que chut revenue à Fort Boyard.
-Wais, c’était une bonne idée Paul ! Fit Pierrette en retirant de long filament d’herbe de ses cheveux.
Marie me regarda en souriant trop joliment et vlan. Elle me poussa et je disparue sous l’eau sur le dos. Y avait que mon petit périscope qui dépassait du jus noir.
Elle riait toutes les deux quand j’en ressortis en crachant moi avec.
-C’est l’aventure ! Fit Pierrette en repartant. J’aime ça ! Avoua telle avec entrain.
-Une petit marche tranquille hein. Fit Marie en la suivant.
Je pencher la tête d’un bord et de l’autre pour me vider les oreilles a mon tour en repartant. Ce fut pénible jusqu’au détour, sans parler des longues fougères qui nous chatouillait les épaules et le visage. Mais la vue était belle devant moi. Hum ! Vraiment. Deux belles femmes couvertes de boue peinant à avancer dans ce petit ruisseau.
Peut à peut on marcha sur de la roche et du sable puis l’eau s’éclaircit.
On reprit notre souffle un moment.
-Pourquoi est-ce qu’on est pas passer par le bois Paul ? Demanda Marie en me fixant avec un sourire étrange.
-Eh ! Suzanne m’avait dit qu’il fallait suivre le ruisseau alors…
-Cé pas grave, on continue. Ordonna Pierrette qui s’amusait visiblement.
-Ya même pas assez d’eau pour ce laver. Releva Marie en se remettant en route en enlevant encore de la boue de ses bras.
Je faillit leur parler d’un documentaire fabuleux sur les parasites qui se comptait par millier dans la boue et les marécages de nos belles forêts mais… Mon petit doigt me disait que c’était pas le bon moment et j’étais trop occuper à regarder leur fesses travailler.

Plus on avançait et s’enfonçait dans la forêt plus j’avais l’impression qu’on reculait dans le temps. Ici aussi il y avait partout des branches casser, des arbres déraciner qu’il faillait enjamber prudemment quand ils étaient en travers du ruisseau. Mais c’était calme, apaisant et…
Pierrette hurla.
-Seigneur !
-Quoi ? Fit Marie.
-Ah, c’est juste une petite truite, je pensais que c’était une anguille. Regarde la, entre les roches est cute.
-Ya pas d’anguille dans c’est petite rivière la. Me senti-je obliger de spécifier. En faite…
-Ben oui est cute ! Fit Marie sans m’écouter.
Gros soupire en penchant la tête. Ma vertèbre craqua. Outch !
Rester derrière je regardais émerveillé les deux filles plier en deux regardant une truite. Wow !
Ma bite qui avait ramollit en cour de route se relevait doucement tandis que je fixais leur sexe. Elles étaient cul contre cul seins pendant, mains sur les genoux, quels merveilleux spectacle que je ne pouvais pas, malheureusement, immortalisée.
-Regarde Paul si est cute. Me dit Marie en tournant la tête vers moi. Ok, fit-elle en se redressant. Je pense que notre guide devait passer en avant Pierrette.
-Wais, les truites l’intéressent pas, en tout cas pas celle qui sont dans le ruisseau ma grande.
Fou rire.
-Bon, fit Marie, aller Paul, en avant, qu’on se rince l’oeil nous autres aussi.
Je soupirer en les devançant…
-Oh que cé cute, hein Marie ?
-Wais, beau petit cul.
-Non les bébés truites, regarde…
-Ou ?
-La…
Je me retourner et eu droit au même spectacle. Ah les filles.

On arriva à l’embouchure du ruisseau trente minutes plus tard. Il provenait d’une petite rivière de roche au courant plus rapide mais pas tellement plus profonde qu’on entreprit de remonter prudemment pour ne pas glisser et se renverser un pied.
On avançait tous les trois cote a cote à présent et on entendait la chute. Encore un grondement lointain mais sa s’amplifiait.
Ici la forêt semblait plus ancienne, plus sombre, les sapins et les épinettes étaient plus haut et plus massif. De chaque côté de la rivière de grosses roches rondes étaient recouvertes de mousses vertes, un vrai tapis de mini-golf. C’était magnifique. Moi et les filles on observait un silence quasi religieux comme si on découvrait un nouveau monde tandis qu’une envoler de corbeau planait haut dans le ciel limpide. Quand on passait à l’ombre de gros arbres l’air devenait plus frais et les seins des filles se couvraient de grosse chaire de poule.
Un moment donné Marie stoppa devant moi jambe écarter et se plia en deux comme seul une fille peut le faire pour prendre un peut d’eau dans ses mains et se laver le visage. J’eu une vue imprenable sur l’anus plisser et du sexe ovale juste en dessous entourer de joli poil noir, avec ses belles grandes lèvres brunes et les petites plus pâle et luisante. Wow !
Je déglutis ressentant une envie furieuse de la prendre comme ça et en levant les yeux je vis Pierrette qui me regardait tout sourire.
-Cé beau dans le coin hein Paul !
-Hum !
-Ça fait du bien. Fit Marie en se relevant.
On reprit la route et je me disais qu’il n’y avait rien de plus beau au monde que le spectacle de deux jolies filles nue marchant en forêt. Enfin pour un homme.

La rivière grimpait doucement, l’eau tiède nous chatouillant les chevilles. On contourna de gros rochers, passa sous d’immenses branches de sapin qui s’étirait jusqu’a toucher l’eau et soudain on eu un aperçu du paradis.
-Wow ! Fit Marie.
-Génial ! Lâchai-je.
-Cool ! S’exclama Pierrette. Y a même une cabane.
La chute était plutôt une grande cascade bruyante d’une centaine de pieds de long qui se jetait dans un immense bassin au fond sableux entourer d’une belle plage jusqu’au arbres sur la droite. L’eau se déversait sur la gauche ou on était, la le rebord était escarpé et surélever d’une bonne dizaine pieds jusqu’a la forêt. Mais on pouvait quand même apercevoir un peut en retrait un ancien campe en bois rond délaver par le temps, tout gris a présent mais qui semblait encore solide. Une gros panache d’orignal blanchi était clouer au-dessus de la porte, un classique. Un ancien quai avait été construit tout près de nous, mais il avait été emporter par l’eau. Il ne restait que quelques poteaux et un vieil escalier pour grimpait la haut. On y monta prudemment, une fois sur le terrain la vue sur le bassin et la cascade était superbe. Il y avait une table de pic-nic aussi en bois rond fait main et ternie mais encore bien solide. On y posa nos sacs et on s’y assit pour reposer nos mollets douloureux et boire de l’eau. Les filles avec la peau couverte de boue sécher semblaient sortirent tout droit de la guerre du feu et moi aussi sans doute.

-On est belle a voir ma grande !
-Absolument, dis-je, vous avez un petit coté préhistorique très excitant.
-Y as tu quec chose qui vous excite pas vous autres les gars. Demanda Marie amuser.
-Oui, le bonhomme carnaval.
Elles rirent.
-Wais, allons nous laver. Ordonna Pierrette. Tu viens Paul ?
-Hum, mais je vais aller voir dans cabane avant.
Je les regarder se débarrasser de leurs chaussures et redescendre en marchant sur la pointe des pieds et plonger dans le bassin. Ça sa éveille les bas instincts d’un homme.

Le terrain était en friche, de hautes herbes avaient poussé et il y avait des souches un peut partout. De près la cabane me parut beaucoup plus grande. Sur le coté de la porte il y avait une affiche écrite a la peinture noire.
Entrer, manger, dormez, mais ne briser rien S.V.P. Merci.
J’entré sur le qui vive, au cas ou, en repensant à ma chauve-souris. Il n’y avait qu’une grande pièce avec un coin cuisine, une vielle table en bois user par le temps et quatre chaises disparates devant de grandes fenêtres a carreau qui faisait le coin. Un gros poêle a bois jaune et noir trônait près d’un comptoir avec lavabo et pompe a bras peinte en rouge. Pas d’armoire de cuisine sauf en dessous. Sur le dit comptoir s’entassait des cruchons remplie de sucre de sel de farine etc… C’était écrit au feutre noir sur les contenants et il y avait aussi de la vaisselle d’une autre époque poussiéreuse a souhait.
De l’autre coté il y avait un grand lit double des années 50 ou 60 tout en fer brun-noir et égratigner recouvert d’un simple matelas propre et pas trop vieux. Au-dessus une autre fenêtre donnait sur la forêt rideau a carreaux jaune et blanc totalement ouverts.
Je m’imaginais déjà plein de choses en palpant le matelas.
Hi ! Hi !
Le toi, légèrement en pente, était soutenue par de grosses poutres sur laquelle était accrocher à des clous gigantesques toute sorte d’objets anciens et rouiller. Faucille, scie, etc… Y manquait que le masque de Jason.
Je soupirer, moi qui avais toujours rêver d’avoir un chalet, j’enviais les propriétaires. J’enviais ce silence apaisant…

Assit au fond du basin en me pinçant le nez, j’admirais a travers l’eau brune les jambes des femmes qui se lavait les cheveux debout près de moi. Et la je vis une petite truite aller tirer sur un poil pubien de Marie qui sursauta en donnant une tape dans l’eau. Le petit poisson fila à vive allure droit sur moi. J’arrondis les yeux en tassant ma tête le plus vite que je pouvais sous l’eau, il me toucha l’oreille. Je refit surface en crachant a plein poumon.
-Seigneur c’était quoi ça, un poisson ? Demanda Marie en lissant ses cheveux par derrière.
-Jaws ! Répondis-je en reprenant mon souffle.
-Ben oui !
Elle secoua la tête décourager en me regardant rieuse et Pierrette me demanda.
-Belle vue d’en dessous monsieur Cousteau ?
-Pas autant qu’au-dessus jolie sirène ! Répondis-je radieux.
Elles étaient magnifiques et trop excitante toutes les deux a regarder se laver avec la cascade en arrière plan…
-Pierrette ?
-Oui Paul.
-Papa y a le goût.
-Oh !
-Yen peut put !
-Pauvre lui !
-Bon, fit Marie en sortant de l’eau comme une déesse pour aller s’étendre sur le sable fin levant un genou, bras le long du corps. Une vrai pub pour voyage dans le sud. Faite pas sa a coté de moi, aller dans cabane les obséder.
-Ça doit être plein de poussière la dedans. Fit Pierrette.
-J’ai une meilleure idée. Dis-je en repensant à mon rêve.

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