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L’entrepot.

L’entrepot.



Quand on est étudiant, on n’a pas toujours le sou et comme les études coûtent cher, il faut bien se soumettre à accepter de travailler. Je ne fus pas en reste et je me présentai un vendredi matin dans un magasin-entrepôt. On y stockait, pour les distribuer aux épiceries, des tas de produits exotiques : café, thé, épices de toutes sortes.
Je fus reçu par une dame d’environ quarante ans, grande, svelte, élégante, aux courts cheveux châtain, à la poitrine conquérante. Son sourire accueillant inspirait confiance et me mit rapidement à l’aise. Elle me posa des tas de questions sur ma famille, mes études, mes moyens d’existence. Sans doute mes réponses furent-elles satisfaisantes car elle me proposa de commencer le lundi suivant.

Le lundi, bien habillé, je me présentai à son bureau. Elle m’expliqua longuement le travail qui consistait surtout à veiller à l’approvisionnement des magasins de détail répartis dans la région. Avec un employé plus âgé, je classais les commandes, recherchais les denrées dans les rayons, les emballais et les expédiais. Ce n’était pas monotone et je m’en trouvai vite satisfait, d’autant plus que je ne rencontrais la patronne que le soir à la fermeture de l’entrepôt. Mes vacances se passèrent donc à jouer au marchand de café.
Un jour, peu de temps avant la fin des vacances, l’employé que j’aidais tomba malade et je me retrouvai seul à m’occuper de toute l’expédition. La patronne, qui travaillait à la comptabilité, vint s’inquiéter de la situation.
— Ça va ? me demanda-t-elle. Tu t’en tires bien ? Ce n’est pas trop compliqué ? Si tu as un problème, n’hésite pas à m’appeler. Je serai là.
— Oui, cela ne va pas trop mal. Je me sens un peu seul. J’espère que Raymond guérira vite car je risque de ne pas m’en sortir au moment des grosses commandes.
— Ne t’inquiète pas. Je viendrai te donner un coup de main.
— Merci ; mais pour l’instant, je fais bien tout seul.
— Comment ? Tu le fais tout seul ?
En disant cela, elle me jette un regard où brille une petite flamme coquine. Je rougis et ne réponds rien.
– Tu ne parles pas ? Moi, si : il m’arrive de le faire toute seule.
Je ne dis toujours rien et n’ose la regarder, tant je suis gêné. J’ai pourtant bien compris son allusion à la branlette. Je ne suis pas né de la dernière lune. Elle non plus d’ailleurs, et j’ai comme l’impression que je suis en train de me faire draguer.
— Je t’ennuie avec mes réflexions. C’est quand tu veux.
Elle s’en va en tortillant du cul. Je rentrai chez moi perplexe, me demandant si elle ne cherchait pas un moyen de me liquider si je répondais à ses avances
Heureusement, elle passa sa journée avec des représentants et le chef comptable. Je ne la vis pas en partant. Ce ne fut que partie remise. Deux jours plus tard, elle vint me trouver alors que j’étais en haut de l’échelle à roulettes. Je cherchais du café de Cuba, remisé sous le toit de l’entrepôt.
— Qu’est-ce que tu fais là-haut ? Tu vas te tuer ! Veux-tu bien descendre. Que je ne t’y reprenne plus ! As-tu compris ? Je ne suis pas assurée contre les sottises de mes employés.
Quand j’arrivai en bas de l’échelle, elle me regarda avec un œil faussement courroucé.
— Ne recommence plus. Je préfère monter moi-même. Allez ! Tiens l’échelle, je monte.
Elle grimpe allègrement pendant que j’assure son ascension. Elle m’interpelle et, instinctivement, je lève la tête au moment où elle se penche vers moi. Nos regards se croisent. Je baisse les yeux mais elle me rappelle. Évidemment, je vois ses cuisses bien haut, jusqu’à sa culotte. Je rougis mais elle ne m’a pas vu.
— Att**** ça ! Et tiens bon, je descends.

Je saisis au vol les kilos de café de Cuba puis, les ayant posés à terre, je reprends les montants de l’échelle. Arrivée presque à ma hauteur, elle s’arrête.
— Tiens-moi, j’ai ma chaussure qui se sauve. Prends-moi à la taille.
Ce que je fais. Elle continue à descendre et se laisse glisser si bien que mes mains, sans que je le veuille, saisissent sa poitrine. Elle se laisse aller.
— Ah ! Merci ! Heureusement que tu étais là, sinon je crois que je serais tombée… Alors, tu as senti comme mes seins sont durs ?
Je reste muet. Je comprends qu’elle l’a fait pour m’éprouver.
— Tu ne dis toujours rien. Tu es devenu muet ? C’est le fait d’avoir touché mes seins qui te met dans un tel état ? Je ne savais pas que je pouvais faire un tel effet sur quelqu’un. Eh bien ! Je suis contente de moi. Si le cœur t’en dit, tu peux remonter avec moi. Tu as bien mérité de prendre un petit remontant.
— Merci, mais j’ai encore deux commandes à préparer. Elles doivent partir ce soir.
— Tu es une vraie perle. Mais je t’attends pour l’apéritif.
— Non, je rentre chez moi : ce soir, j’ai une sortie avec des copains.
— Alors, tu préfères sortir avec des copains plutôt que de passer un moment avec moi ? Ce n’est pas très galant. Tu fais la fête, et moi je suis toute seule.
— Excusez-moi, je ne voulais pas vous fâcher ni vous faire de peine.
— Reste, alors. Tu ne le regretteras pas. J’ai de la bonne sangria qui vient tout droit d’Espagne. Et une surprise.
— Laquelle ?
— Ah ! Non, petit curieux. C’est une surprise ! Si je te dis quoi, ce n’en sera plus une.
— Qu’est-ce qu’on va dire chez moi si je ne rentre pas à l’heure ?
— Retourne vite ; tu diras que tu as du travail et tu reviens tout de suite. D’accord ?
Une demi-heure plus tard, je suis de retour à l’entrepôt. La patronne m’attend devant le rayon du sucre. Elle a renversé un sac et s’occupe de balayer. Elle me voit, s’accroupit et, ouvrant largement ses jambes, me laisse contempler sa fourche simplement couverte de la petite culotte. Je reste à regarder la fente bien visible et je sens que ma queue réagit immédiatement. Elle a remarqué la direction de mon regard.

— Viens m’aider, dit-elle, au lieu de regarder ma culotte ; il y a plus pressé : ramasser le sucre qui reste. Ma culotte, ce sera pour après ; tu verras tout ce que tu voudras. Je te le montrerai. C’est juré ! J’espère que tu ne le regretteras pas ! Tu pourras même me la retirer toi-même pour voir ce qu’il y a dedans.
Je m’empresse de l’aider à nettoyer mais mes mains tremblent et elle s’en rend compte.
— Qu’est-ce que tu as ? Tu trembles ?
— Ben oui.
— C’est moi qui te mets dans cet état ?
Je ne réponds toujours pas.
— Pourquoi ne dis-tu rien ? Je te fais peur ?
— Un peu. Si je vous le dis, vous allez peut-être vous fâcher.
— Voyez-vous cela ! dit-elle en souriant. Un grand garçon qui n’ose pas me dire que ma culotte l’excite. C’est bien cela, n’est-ce pas ?
— Oui, vous avez deviné.
— Je peux la retirer, si c’est elle qui gêne ta vue. Allons, fait-elle en se relevant, c’est fini. Viens prendre un verre chez moi. Tu acceptes ma proposition, je suppose. Tu n’as plus peur que je sois fâchée contre toi ? Je m’appelle Céline. Tu peux me tutoyer, c’est plus intime pour ce que nous allons faire.
Je sens que je bande et ma bite doit se deviner dans mon pantalon. Elle me regarde et sourit.
— Ma parole, tu bandes… Ta queue fait une bosse dans ton slip et cela se voit de loin. Regardez-moi ce petit coquin. On dirait que je lui fais de l’effet. C’est vrai ? Tu as envie de moi ?
Je ne réponds pas et rougis légèrement. Elle me prend par le bras et nous remontons ensemble à son appartement au-dessus de l’entrepôt. Elle me fait entrer dans un salon cossu à l’atmosphère chaude et m’installe dans le divan recouvert de velours grenat. Les fenêtres sont protégées par de longs rideaux blancs et des tentures du même tissu que le divan et les fauteuils. Sur le mur d’en face est accroché un tableau représentant un satyre lutinant de près une jolie nymphe aux seins généreux. Elle s’éclipse en s’excusant. Mon cœur bat d’énervement et je ne sais quoi faire de mes mains. Je sens bien qu’il va se passer quelque chose et cela me met mal à l’aise.
Elle revient avec un plateau de boissons et de biscuits qu’elle dépose sur la table basse. Elle me présente un verre déjà plein et la corbeille de biscuits. Elle a ôté sa robe à fleurs et passé une courte jupette en corolle et un corsage transparent à moitié boutonné qui bâille sur ses seins largement découverts. Les mamelons percent le tissu léger.
— À ta santé ! Et merci pour le coup de main. Au fait, on se connaît mal.
Elle me pose des questions sur ma vie, mes études, mes ambitions, mes goûts. Je lui réponds simplement. Elle ne cesse de me regarder et je me rends compte qu’elle baisse les yeux vers mon pantalon qui forme une bosse à l’endroit de la braguette. C’est vrai que sa tenue à moitié déshabillée me trouble très fort et me fait bander sec. Elle soupire et me demande à brûle-pourpoint si j’ai une petite amie… Je lui cache ma relation avec ma tante et avec la grosse Gina…
— Non, non.
— Tu n’as jamais essayé de draguer une fille? Tu m’as l’air d’être un garçon bien sage. Tu t’intéresses aux filles, quand même ?
— Oui, un peu, mais je n’ai pas beaucoup le temps de batifoler. Je préfère réussir mes examens. Les sorties, c’est pour les vacances.
Elle rit et son rire sonore est communicatif.
— Sais-tu que tu me plais beaucoup ?
Elle pose sur ma cuisse sa main, qui remonte jusqu’à ma fourche et se penche vers moi tout en me caressant à travers le tissu.
— Tu peux bien m’embrasser, tu sais, je ne te mangerai pas. Quoique…
Avant d’avoir ma réponse, elle me prend la tête et approche sa bouche qu’elle pose sur la mienne. Je sens alors sa langue qui passe sur mes lèvres, me mordille. Elle s’écarte un peu.
— Tu n’as jamais embrassé une fille ?
— Si, mais jamais comme ça, mentais-je.
— Je vais t’apprendre à embrasser une femme pour lui faire comprendre qu’on a envie de la baiser. Embrasse-moi, donne-moi ta langue, pousse-la dans ma bouche et frotte-la contre la mienne.
Elle relève sa jupe, découvrant sa petite culotte, m’attire contre elle, passe ses bras autour de mon cou et, se renversant sur le divan, elle me couche sur elle en ouvrant ses jambes qu’elle passe autour de mes reins, me retenant ainsi prisonnier. Notre baiser de plus en plus passionné fait gonfler ma queue. Elle s’en rend compte.
— Je sens quelque chose de dur contre mon ventre. Ne serait-ce pas ta pine, par hasard ?
Je ne réponds rien. Elle insiste.
— Bon dieu ! Comme tu bandes. Je sens que ce sera quelque chose de bon quand tu l’enfonceras dans ma cramouille.
J’essaie de me libérer, mais elle me tient bien. Elle ondule et me fait sentir son mont de Vénus. Voilà ma patronne qui me drague et qui me fait comprendre ouvertement qu’elle a envie de faire l’amour avec moi. Est-ce possible ?
— À quoi penses-tu ? me dit-elle soudain, me tirant de mes réflexions.
— À ce qu’il m’arrive.
— Pourquoi ? Cela ne te plaît pas ? Ça te gêne ?
— Ben non.
— Tu as peur de quelque chose ?
— Tu ne vas pas me congédier si je ne suis pas à la hauteur ?
— Grand fou ! Bien sûr que non. Attends de m’avoir baisée pour savoir si tu n’es pas à la hauteur de mes envies. Si tu ne sais pas comment t’y prendre, je t’apprendrai volontiers ce que tu dois me faire. Viens, montre-moi ta bite.
Je m’écarte. Elle défait ma ceinture, mon pantalon tombe et elle glisse sa main dans mon slip. Évidemment, je bande encore plus que tout à l’heure. Elle saisit ma bite dans le slip et la masse lentement.
– Ouh ! Qu’elle est grosse ! Et tu te plains ? Avec ça, tu vas faire des ravages. Je le sens. Je crois que je mouille. Sens ma culotte, elle doit être trempée.
Elle pose ma main libre sur son bas-ventre et entrouvre les jambes pour la laisser s’insinuer entre elles. C’est vrai que sa culotte est mouillée…
— Comme tu es mouillée ! On dirait une petite fontaine. Comment cela se fait-il ? Demandai-je naïvement.
— Alors, tu ne sais pas ? Tu m’étonnes. Écoute, je vais t’expliquer. Tu dois savoir qu’une femme aime bien quand on la câline et surtout quand on ose lui mettre la main dans sa culotte. Cela la fait mouiller… C’est toujours ainsi. Quand je suis toute seule et que l’envie me prend, je me caresse et je me branle jusqu’à me faire jouir. Caresse-moi à travers le tissu, cela m’excite beaucoup. Laisse-moi te caresser aussi. Je sens ta bite qui bande fort contre mon ventre. Quel morceau tu vas me mettre ! Allez ! N’aie pas peur.
Elle s’écarte un peu et je pose la main sur sa culotte, insinue deux doigts dans la fente à travers le tissu et sens tout de suite l’humidité sur mes doigts. Elle me regarde et ses yeux brillent.
— Oui ! Comme ça ! C’est là que tu dois continuer !
Je fais pénétrer un doigt, puis deux dans le vagin trempé. Puis je les remonte à la jointure des lèvres et je découvre comme un petit bout de chair que je sens durci.
— Oh oui ! Ouiii ! Tu as trouvé mon clitoris. C’est bon, sur mon clito ! C’est le point le plus sensible chez une femme. C’est comme ça qu’elle se fait jouir quand elle est seule. Continue à le frotter ; je le sens tout gonflé, comme ta bite. C’est booon ! C’est bon ! Va plus vite : je crois que je vais déjà jouir tant je suis excitée. Oooouh ! Oooouh ! Encore tes doigts dans mon con ! Ouiiii ! Que c’est bon ! Encore ! Encore ! Encore !
Pendant ce temps, elle a sorti ma bite de mon slip et la masse à deux mains. L’une la tend au bas de la hampe tandis que l’autre, humide du jus qui en sort, frotte le sommet du gland. Je sens que je vais jouir si elle continue. Elle s’en aperçoit, serre ma bite à deux mains, colle sa bouche à la mienne pour un baiser plus mouillé que jamais. Sa respiration se fait plus courte, elle ferme les yeux et se serre tout contre moi, pressant ses seins contre ma poitrine.
— Oh ! Que c’est bon de te sentir contre moi. Ne jouis pas tout de suite, j’ai tellement envie de ta grosse bite que je sais toute prête à me faire défoncer la moule et à lui donner ton jus de couilles. Continue à me caresser, je veux jouir avec tes doigts puis avec ta bouche puis avec ta bite. Je veux tout de toi ce soir.
Elle s’écarte un peu, lâche ma pine qui reste toute droite. Elle soulève sa jupe, me découvrant son ventre blanc et plat. Une tache humide forme une auréole sur le fond de la culotte.
— Ôte ma culotte ; je veux te montrer ma chatte.
— Oui, j’ai envie de la voir.
— Oh ! Que j’ai de la chance ! Que j’en suis heureuse ! Et je mouille encore plus fort, rien que d’y penser. Sens comme je coule de la chatte. Mets tes doigts dedans : tu verras que je ne te mens pas. Et toi, montre-moi ta pine. J’aime bien voir une bite qui bande fort comme la tienne.
Je m’écarte d’elle, la laissant m’ôter mon slip. Je me retrouve complètement nu dans ses bras. Je ne tiens plus et, d’un geste rapide mais doux, je fais glisser sa petite culotte qui tombe. Je lui dégrafe sa jupe et lui ôte sa blouse qui suit le même chemin. Elle n’a pas de soutien-gorge. Ses seins haut placés me regardent avec leurs mamelons rose foncé bien plantés sur une aréole légèrement enflée. Je me sens bander encore plus fort. Ma bite est à l’horizontale, presque à hauteur de sa chatte.
Je me penche et pose ma bouche sur sa toison.
— Oh ! Oui ! Embrasse-moi là. J’adore quand on me broute le minou. Tu n’es pas jaloux, j’espère ?
— Pourquoi veux-tu que je sois jaloux ? Je présume qu’à ton âge, tu n’en es pas à ta première bite.
— Oh non, bien sûr ! J’ai commencé jeune ; à quatorze ans, je prenais ma première dans la chatte. J’en étais folle. J’espère surtout que je n’en suis pas à ma dernière. Du moins, je l’espère… Non, je pensais à ta belle queue bien dure. Elle pourra faire l’affaire si tu en as bien l’envie ; parce que moi, je voudrais bien la garder pour moi.
Elle rit.
— Je suis folle et je rêve tout haut. Vas-y, lèche-moi la moule.
Je passe la langue sur la fente ouverte. Elle frissonne.
— C’est bon, ta langue… Fourre-la dans la fente et suce mon clito. Viens, ne restons pas ici. Tu es mal mis et tu risques de te faire mal. Allons dans ma chambre, nous y serons à l’aise pour nous aimer très fort.
Elle me prend le bras et nous allons dans sa chambre. Nous tombons ensemble sur le lit. Je la caresse doucement. Partant du cou, je descends lentement pour la toucher du bout des doigts sur le ventre, m’attardant au nombril, puis l’intérieur des cuisses, là où la peau est si douce qu’on dirait de la soie. Je frôle le sexe et remonte vers le ventre. Elle saisit ma main et la repose sur sa toison noire contre la fente rose qui s’ouvre soudain. Et je vois. Une longue fente au sommet de laquelle jaillit une sorte de petit pois tout rond et presque rouge enfermé dans un petit étui mais qui semble s’offrir à la caresse de mes doigts. Elle se tortille dans tous les sens.
— Oh oui ! Oh, mon chéri ! Joue avec mon clitoris. J’adore quand on l’excite. Touche-moi, oui, touche-moi. J’ai envie. Regarde, je vais te montrer comment je fais quand je me branle.
Je retire ma main, qu’elle remplace aussitôt par la sienne. Je la regarde se caresser. Elle commence doucement avec son médius, écartant les lèvres de deux doigts de l’autre main. Son doigt monte et descend d’un mouvement régulier, faisant le tour du petit bouton sans le toucher puis, glissant le long de l’ouverture jusqu’à l’entrée du vagin, remontant vers le bouton pour le titiller du bout de l’ongle, redescendant plus bas, pénétrant dans le canal où il s’enfonce, sort et entre et sort tandis que l’autre main, plaquée sur le sommet de la fente astique de plus en plus vite le clitoris maintenant sorti de son étui.
— Regarde comme je me branle bien. Toi aussi, tu dois te branler mais ne te fais pas juter ; j’ai besoin de ton foutre car je sens que ma chatte va te faire ta fête. Elle s’ouvre toute grande pour accueillir ton gros machin.
Ses reins ondulent et elle gémit doucement, soupire de plus en plus vite. Ses gémissements s’amplifient, deviennent des râles tandis que sa croupe se secoue sur le lit. Ses yeux brusquement se révulsent, sa respiration devient un halètement alors que ses doigts entrent et sortent rapidement du vagin et que l’autre main frotte le clito devenu violacé. C’est l’explosion. Elle s’arc-boute et en poussant un cri aigu, puis retombe sur le lit. Je suis stupéfait. Je viens de voir une femme se faire jouir devant moi et je n’ai rien osé faire. Ma bite est tendue comme jamais et je suis prêt aussi à jouir. Lentement, elle reprend ses esprits.
— Alors, tu as bien vu ? Comment m’as-tu trouvée ? Tu as aimé ?
— C’est merveilleux, j’en suis tout ébahi. Oh oui, j’ai aimé ! Tu es superbe. Comme c’est beau une femme qui jouit…
—Ta bite est toute dressée ! C’est ta bite que je veux. Chéri, mets-la-moi vite ! Viens me biter. Fous la moi. J’ai envie, chéri. Oui, viens, j’ai envie ! Tu m’as bien excitée. Mais tu vas bien me fourrer avec ta grosse pine bien large bien qu’elle ne soit pas très longue! Remplis-moi !

Ses paroles cochonnes m’excitent encore plus ; et c’est vrai qu’elle est dure, ma pine.
— Oui, je vais te la mettre, bien profond. Comme ta chatte est belle, ainsi ouverte… Je vois ton clito tout gonflé.
Elle pose sa main sur sa chatte et, du bout de son médius, elle chatouille son bouton.
— Il est tout sorti de son étui, mon clito. Tu le vois ? Il est tout dur. Passe ta langue dessus une dernière fois et puis tu me donneras ta grosse bite.
Elle m’attire sur elle, saisit ma pine et la pointe à l’entrée de sa grotte béante. Elle se frotte le clito avec le gland et, brusquement, je la pénètre d’un coup jusqu’au fond de sa moule. Elle pousse un cri puis se met à gémir.
— Oh ! Quel gourdin ! Quelle bonne bite ! Elle m’emplit toute. Elle est bien dure. Comme je la sens bien ta matraque ! Je veux te sentir au fond de mon ventre ! Ah ! Que c’est bon ! Encore, mon petit chéri ! Ah, se faire baiser par un petit jeune ! Vas-y ! Vas-y ! Baise-moi bien ! Oh oh oh oooooh ! Que ta bite est bonne dans mon con ! Je vais jouir ! Je vais jouir ! Et toi, jouis avec moi ! Donne-moi ton jus ! Ça vient, mon amour, ça vient ! Je vais jouiiiiir ! Je vais jouiiiir ! Ouiiiiiii ! Ouiiiiii ! Encoooore ! Encooooore ! Je jouiiiiiis ! Ça y est, je jouiiiiiiis ! Vas-y ! Décharge décharge! Aaaaaaaah ! Aaaaaaaaaah !
Elle soulève son ventre et se colle à moi. Ses yeux se révulsent et ses bouts de seins sont devenus tout violacés et durs comme des cailloux. Elle m’agrippe par les fesses pour me faire pénétrer au fond de son vagin au moment où, en grognant, je vide mes couilles en elle.
— Oui ! Je te sens jouir ! Comme c’est booon ! Je jouis encore !
Je reste sur elle le temps de me remettre. Sa respiration est courte, ses yeux me fixent.
— Oh mon chéri, qu’est-ce que tu as fait ? Comme j’ai bien joui ! dit-elle en revenant à elle. Reste sur moi, je veux encore te sentir. Quelle chance : ta bite ne débande pas ! Je la sens si grosse dans ma moule. Ne te retire pas. Baise-moi encore. Fais-toi aller vite, vite.

Je reprends mon mouvement dans sa chatte, maintenant si trempée que je ne la sens presque plus. Je le lui dis. Aussitôt, je sens les muscles du vagin qui se crispent et ma bite se trouve coincée. C’est délicieux de se sentir prisonnier. Je la défonce du plus fort que je peux.
— Oh ouiiii ! Oh ouiii ! Oh ouiiiiii ! Que c’est boooon ! Je vais encore jouiiiir ! Je vais jouiiiiiiir ! Tu me tues de plaisir. Ouiiiiiii ! Ouiiiiii ! Encore ! Encore ! Encoooore ! Défonce-moi! Je vais jouiiiiir ! Ça y est ! Ça y est ! Je jouiiiiis ! Ouiiiii, je jouiiiiiis ! Aaaaaaah ! Aaaaaaaah !
Je me glisse contre elle tandis que mon foutre mélangé à sa cyprine s’écoule de sa chatte béante. Céline reste un moment sans réactions, les yeux clos, un sourire satisfait sur les lèvres comme quelqu’un qui vient de trouver le bonheur. Je laisse ma main traîner sur son corps, titillant ses mamelons tout gonflés par les baisers et les caresses. Je la bécote dans le cou puis pose ma bouche sur la sienne. Elle réagit et nos deux langues s’unissent pour un long baiser plein de désir qui la réveille.
— Oh là là ! Oh là là ! Deux fois ta bite en un quart d’heure et tout ce que j’ai joui avant en me branlant et avec ta langue sur mon bouton. Je suis épuisée, mais je me sens tellement bien… Prends-moi dans tes bras. Je vais m’endormir près de toi. Il y a si longtemps que je n’ai pas joui comme ce soir et c’est grâce à toi !
Nous restons ainsi un bon moment à savourer les suites du plaisir que nous nous sommes donné. Céline a posé sa main sur ma bite et cherche à lui redonner sa vigueur, en la branlant. Mais j’ai besoin de reprendre un peu de forces si je dois lui faire l’amour une autre fois avant de partir. Nous ne bougeons plus ; sa main glisse sur le drap. Elle s’est endormie.

Je suis rentré très tard chez moi, heureusement sans remarque. Le lendemain, Céline m’attendait. Elle me sauta au cou, m’enlaçant et m’embrassant passionnément. Je sentais son corps nu sous sa petite robe à fleurs car elle poussait son pubis pour que je sente qu’elle avait envie de recommencer. Ce que nous avons fait tout de suite. Elle avait fermé l’entrepôt, prévoyant ce que nous allions faire. Ce fut une matinée de baise. Je ne sais plus combien de fois elle a joui. Quand midi sonna, nous étions toujours au lit à nous aimer.

— Je suis heureuse, me dit-elle, je reprends goût à l’amour et tant pis si je pourrais être ta mère. J’ai envie de toi car tu m’as redonné l’amour de mon corps. J’aime quand tu me regardes avec ton regard brillant et plein de désir. J’aime caresser ta queue, la sentir gonfler et durcir sous mes doigts et dans ma bouche. J’aime quand tu te branles devant moi pour m’exciter. J’aime quand nous nous branlons tous deux ensembles pour nous exciter mutuellement. Je me rends compte que je ne peux me passer de tes mains, de ta bouche, de ta langue, de ta bite. Alors, reste travailler ici le temps que tu voudras : ainsi, tu pourras me baiser autant que tu en auras envie. Depuis hier, j’ai envie de toi, toujours. Ta bite m’a rendu la joie de vivre. Ma chatte est à toi quand tu veux. Ne la laisse pas sans ta bite. Si tu le désires, tu peux venir habiter chez moi ; tu me trouveras toujours dans mon lit, prête à satisfaire tes envies de mon corps. Je te le donne pour tout le temps que tu le souhaiteras.

Elle me sourit. D’un sourire plein de promesses d’amour. Je ne répondis pas. Non que je n’eusse pas envie de vivre avec elle, mais je me rendais compte que mes études pourraient en pâtir. Je le lui dis doucement. Céline comprit tout de suite.
— Tu as raison d’être sage. C’est moi la folle qui, après cette nuit et cette matinée, me fais des illusions. Tu viens quand tu veux, je t’attendrai.
— Je continue à travailler chez toi le temps qu’il me faudra pour payer mes études. Merci pour tout ce que tu me donnes.
— Comme tu veux, du moment que tu acceptes de faire l’amour avec moi.
— Bien sûr.
Je restai toutes les vacances et je travaillais tous les samedis et tous les congés.

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