— Chapitre III —
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Ce serait malhonnête de laisser croire, que tous les jours de chaque mois qui se sont écoulés j’ai eu à ma disposition une conquête, ancienne ou nouvelle pour satisfaire mes envies.. Ce n’est pas le cas. Il y à eu des moments ou je me suis trouvé sans copine, voir ou je n’avais pas forcément envie d’avoir une présence étant assez facilement solitaire. J’en suis même arrivé à la conclusion que si je n’avais pas eu un tel goût pour les femmes en général et le sexe en particulier je serais sans doute resté célibataire.
Mais mon corps et surtout ma libido demandaient plus. Je peux le dire sans honte je suis un fervent adepte de la masturbation et des jeux solitaires. Même quand j’ai une amie, une femme, même dans ce cas il m’arrive très fréquemment de me masturber une ou plusieurs fois par jour. Il suffit que je ferme les yeux et je fais un petit cinéma, je revois telle ou telle scène j’en invente une avec je ne sais pas, la petite voisine ou une fille croisée dans la rue et c’est parti. Le plus souvent il faut avouer c’est avec le visionnage d’un film que je pratique cette activé.
Maintenant internet permet une source quasi illimité de support pour les fantasmes, du meilleur au pire on peut le dire. Donc j’ai passé de longs moments à jouer tout seul, et j’y ai pris et j’y prend encore beaucoup de plaisir. C’est peut être a cette pratique que je dois un certain tonus au lit. Souvent je retarde l’arrivée du plaisir très longtemps, il m’est arrivé de rester en érection a me caresser durant la totalité du film pour n’éjaculer qu’a la fin. Dans d’autres cas surtout si le film est constitué de plusieurs scènes différentes avec des contextes, des filles très différentes il m’arrive d’avoir plusieurs orgasmes à la suite.
Dans les années 75 avant les magnétoscopes il y avait heureusement les sex shops que j’ai assidument fréquenté.. Ils projetaient des films dans des petites cabines privées ou l’on étaient libres de se palucher si on voulait, juste faire attention aux tâches quand même.. j’ai visionné un nombre incalculable de ces vidéos super 8mm qui sautaient, n’avaient pas le son etc.. mais qui étaient parfois très très hard.. Toute une époque..
Puis plus tard le magnétoscope permit le visionnage plus facile des films et la quantité devenait plus importante également, la variété plus grande. Je ne compte pas non plus le nombre de fois ou j’allais avec ma copine du moment dans un sex shop pour acheter un gadget ou juste voir un film.. Et naturellement cela donna lieu a des pipes mémorables, ou une baise dans la cabine exiguë. Même avec Annie ma femme je me souviens de quelques pipes sympa dans un sex shop.
Et il y a le cas ultime, où le sex shop est tenu par une femme là ca deviens très très chaud surtout si on à des affinités avec la patronne cela m’est arrivé, car dans ma ville les sex shop ont eu la particularité d’être souvent tenus par des femmes.
Donc j’ai pas mal meublé le temps avec des branlettes auxquelles je prenais plaisir, il y eu même des soirs un peu délire ou je décidais de pousser la plaisanterie très loin.. Ça m’est arrivé plus d’une fois d’ailleurs a divers moments de ma vie.. c’est taper un record dans la journée arriver à jouir le plus grand nombre de fois pour ma part je n’ai jamais pu dépasser 24 fois et les 4 ou 5 dernières fois j’avais un orgasme oui mais plus une goutte de sperme, ou vraiment une gouttelette et il faut admettre que sur les 10 dernières fois l’érection est plutôt symbolique du moins il serait impossible de pénétrer une partenaire.
N’oublions pas également dans ces jeux solitaires, le plaisir anal, hé oui vous le savez maintenant j’aime beaucoup qu’on s’occupe de mon petit cul, hé bien je m’en suis occupé seul.. Massage de prostate avec des vibromasseurs c’est plus pratique, mais on peut aussi ajouter les diverses pénétrations, d’objets, de canettes de légumes rarement mais c’est arrivé. Pour passer à ce stade il faut que je sois très excité ou vraiment en manque depuis longtemps.
Ce n’est pas évident de se donner ce genre de plaisir sans en concevoir une légère honte, du moins on se sent un peu mal alaise comme si on était vraiment trop différents des autres.. mais je peux vous assurer que les autres ne sont pas mieux, car j’ai réussi a avoir des discussions avec des hommes ou des femmes qui admettent que parfois ils ont des pratiques solitaires pas forcément orthodoxes.. Mais en général tout ca reste bien cachés dans leur jardin secret et enfoui dans leur placard.
Quand j’avais une vingtaine d’année, dans les années 75 la libéralisation des mœurs étaient bien en cours. On vivait dans un mode de liberté qui se rétrécit comme peau de chagrin en 2010.. Je le reconnais j’ai vécu dangereusement sans aucun doute toutes ces années.. Je n’ai jamais utilisé de préservatifs, et nous n’y pensions même pas. Une fois une seule j’ai récupéré une bonne vieille « chaude pisse » qui fut sans conséquence.. J’en reparlerais plus tard pour les circonstances qui sont amusantes d’ailleurs.
De nos jours les plus jeunes sont tristes et souvent coincés vis a vis du sexe. Une liberté de façade existe, mais on le voit bien les rapports filles/garçons ont bien changé.
Je vais sans doute me sentir vieux d’un seul coup mais je vais le dire… A mon époque !! On courrait la gueuse sans vergogne et je dois dire que jeunes filles et femmes ne se faisaient pas prier pour partager quelques moments d’intimité.
Parfois même ce fut tellement fugitif qu’on se demande si c’est bien vrai. Comme cette rencontre dans le train.
Parti en stage pour mon job je revenais de Bordeaux par un train de nuit, il y avait encore des compartiments c’est vous dire si c’est ancien. Je me trouve dans ce train presque désert. J’étais arrivé en avance et avait trouvé un compartiment sans aucune difficulté donc. Peu de temps avant le départ, une jeune femme passe dans le couloir, puis reviens et s’installe en face de moi dans le compartiment. Elle demande si elle peut s’installer, bien sur ca ne me gêne pas au contraire. Pantalon patte d’éléphant, une blouse a fleur par dessus, une veste avec un gros col de fourrure et un bonnet.. Ile ne fait pas chaud .. Elle paraît jolie mais peu souriante, du moins elle semble triste. Elle s’installe en face de moi le long de la fenêtre se met a l’aise et prend un livre.
Pendant le voyage nous avons commencé à bavarder un peu, elle venait de se faire larguer par téléphone, son mec avait profité de son voyage dans de la famille pour se casser. Elle était vulnérable c’est certain, j’ai été la bonne oreille, là au bon moment. Je lui ai fait comprendre qu’elle était jolie, je le lui ai dit également. Elle ne m’a pas trouvé repoussant, elle avait besoin d’une présence et de câlins. J’étais là. On a flirté au début et puis on aurait pu en rester là se revoir.. je ne sais. J’avais envie d’elle c’était évident et elle s’en est rendue compte. Trahie elle a voulue se venger sans doute et nous avons fait l’amour sur la banquette. Pas de folies non, mais nous avons tous les deux pris du plaisir. A Austerlitz on s’est longuement embrassé, on c’est séparé je ne l’ai bien sur jamais revu, je ne sais ni son nom ni même son prénom, mais je revois encore son visage dans la pénombre à la sortie de la gare.
C’est incroyable ce qu’écrire mes aventures me fait du bien, je crois que j’ai trop longtemps gardé certaines choses pour moi.. certaines sont légères et d’autres sont vraiment des fardeaux, à un point inimaginable.
Au moment ou j’écris ces lignes, je ne sais pas encore si je vais oser les écrire. Je ne sais pas si les lecteurs ( si il y en a) comprendront tout et surtout accepteront tout. Dans chaque homme il y a une part d’ombre, plus je vieillis plus je sent que la mienne est un boulet et que en fin de compte j’ai beaucoup de mal a regarder en face certains de mes actes, à tort ou a raison, je ne sais pas si j’aurais pu influer sur les choses, les changer ou si en fin de compte je ne suis que victime de tout cela. Mais c’est plus tard que j’aborderais cette période à la fois si belle et heureuse j’ose le dire mais qui finit mal dans un déchirement que je crois n’avoir pas encore pu surmonter. C’est à la lueur d’une nouvelle épreuve que j’en viens à me livrer ainsi.
Pour l’heure continuons les vertes années.
Un peu plus de 20 ans c’est le bel age, les amis et amies sont légion et certains sont déjà établis, mariés même et on n’a pas du tout l’intentions, l’envie ou même l’idée de tromper un ami. Pourtant parfois les circonstance font que cela arrive.
Thierry et Mikaela étaient pariés depuis 2 ans, lui jeune professeur, elle cherchant sa voie l’enseignement sans doute elle était en pleine thèse d’histoire. Mais voilà notre belle Mikaela enceinte, belle oui, italienne d’origine, Sarde même , très typée la peau mate, des yeux noirs un regard de braise. Petite très petite, un petit bout de femme adorable et une super copine. Thierry était le type même du mec, fan de foot, de bière et de conneries en tout genre. Il était amoureux de Mikaela et tous nous le comprenions bien, mais jamais dans notre petite bande nous aurions eu idée de la draguer, même si tous nous envions Thierry.
Mais parfois une grossesse change beaucoup de choses. Comme je n’étais pas du même modèle que son mari, le foot m’a toujours emmerdé, je suis passionné d’histoire, nous avions une affinité intellectuelle.
De plus et çà c’est aussi un trait de caractère qui m’a sans doute aidé avec les femmes, je sais écouter. Je ne compte pas le nombre de fois ou je fus choisi comme confident par une amie, une collègue, même sans qu’il y ai quoique ce soit entre nous.. je ne suis pas l’homme de toutes quand même! Avec Mikaela comme avec d’autres quand ca n’allait pas, bobo au cœur ou dispute j’avais le droit aux confidences et je remontais le moral, tentait d’arrondir les angles.
Notre belle italienne, se retrouva donc enceinte à 20 ou 21 ans je n’ai plus ce détail en mémoire. Nous étions heureux pour eux deux et tout alla très bien pendant un temps. Quelques mois après cette nouvelle, Mikaela commença à me passer des coups de fils, elle n’avait pas le moral et se posait des questions. Dans son état, il arrive que l’humeur soit perturbée, je lui remontait le moral tant bien que mal, mais j’avais l’impression qu’elle ne me disait pas tout.
Et un soir au tel elle déballa toute l’affaire. Depuis que son ventre avait commencé à s’arrondir, Thierry avait été de moins en moins empressé, leurs relations sexuelles s’espaçaient au point qu’elles étaient inexistantes depuis plus d’un mois et que malgré ses tentatives, Thierry se dérobait.
Ma première réaction fut de dire c’est par égard pour toi, il a peut être peur etc. Mais une incident était venu ternir l’histoire, elle avait trouvé un numéro de tel par hasard sur le bureau de Thierry. Elle n’avait pas osé appeler et elle me demandait de le faire pour elle. Assez gêné j’essayais d’échapper à ce piège mais bon je ne pouvais pas la laisser comme çà. Je finis par appeler le numéro pour tomber sur une femme qui à l’évidence recevait beaucoup de coups de fil d’homme en mal de compagnie.. en deux mots une pute.
Je ne pouvais pas lui dire çà tout net je décidais avec son accord de parler de son problème à Thierry. Ce fut au début un peu houleux, me demandant de quoi je me mêlais, mais il se radoucit et je finis par arriver enfin a discuter. Au bout du compte il m’avoua un peu honteux qu’il était bloqué par la grossesse de Mikaela, il était toujours amoureux, avait envie d’elle mais était incapable d’assumer le fait de lui faire l’amour alors que son ventre s’arrondissait.. J’avais ma réponse j’étais soulagé.. je ne lui parlais pas du numéro de tel.
Retour vers ma belle amie italienne, j’explique la situation, je lui dit que le numéro, bon c’est une pute qu’il a du avoir une envie de décompresser, bref j’arrange l’affaire non sans essuyer quelques larmes et la cajoler sur mon épaule. Moi j’avais du mal a comprendre l’attitude de Thierry car j’ai toujours trouvé la grossesse esthétique chez une femme, c’est peut être bête mais je trouve dans ce ventre disproportionné beaucoup de beauté. Une femme enceinte pour moi c’est toujours beau.
Quelques semaines passèrent, nous nous voyons assez fréquemment et un soir de match de foot, nous étions là réunis a 6 ou 7 amis et amies chez Mikaela, tout le monde commençais à s’exciter devant les 22 connards en culotte courte qui jouent à la baballe. Mikaela m’attira dans le bureau pour bavarder d’autres choses.
Je m’inquiétais de son état, comment ca se passait pour elle, compte tenu de la situation.
Elle me demanda tout net :
« Est ce que je te plais? »
Surpris j’avais bien du mal a donner une réponse.. je finis par dire que oui mais que c’était une amie.. Thierry un ami etc..
« Oui je sais tout çà , mais tu sais j’en peut plus, j’ai trop envie, je m’use les doigts mais je ne suis pas satisfaite et c’est de pire en pire je deviens folle »
Je lui dit que je comprenais la situation, mais que c’était quand même difficile pour moi..
« Écoute je ne t’ai pas dit que j’étais amoureuse, je veux juste que tu me caresse, que tu me fasse vraiment jouir c’est tout . Je ne vois que toi et il n’y a qu’avec toi que je feras çà justement tu n’est pas amoureux, et tu sera pas malheureux quand on arrêtera»
J’étais interloqué, je ne m’attendais pas à ce genre de proposition.
Là où je fut encore plus surpris c’est quand elle me prit la main pour la poser sur ses cuisses. Elle portait une robe boutonnée devant, mais pas mal de boutons étaient ôtés et les pans de la robe s’écartèrent me dévoilant sa chatte, pas de culotte, elle avait préparé son coup.
Mikaela, avait le rouge au joues et les yeux baissés. Elle est morte de honte. Je laisse glisser ma main vers le haut de ses cuisses. Instantanément elle les serre. Et les yeux pleins de larmes me demande pardon. Je lui explique que c’est a moi de demander pardon , que je n’aurais pas du céder ainsi. Je la console et tout rentre dans la norme.
C’est une amie, je ne lui en veux pas le moins du monde, elle est désemparée et sa situation est difficile. J’en voulais beaucoup a mon pote Thierry de lui faire çà.
Quelques jours se passent, et le vendredi soir suivant, coup de fil, Mikaela.
Bonjour, ca va.. les banalités habituelles, et puis elle revient sur ce qui c’est passé le we précédent. Je ne saisi pas où elle veut en venir, elle est un peu confuse, s’excuse, dit qu’elle aimerais bien quand même.
« Je voudrais quand même que tu vienne demain si tu peux , je suis seule Thierry part tout le We pour un tournoi de foot, je m’ennuie »
« Tu veux que je vienne te tenir compagnie? Pas de problème »..
« Oui vient avant midi, on mangera ensemble »
Le lendemain, je suis chez Mikaela et Thierry un peu avant midi. Je suis bien élevé et c’est vraiment une super copine, en plus elle n’a pas le moral je lui apporte un petit bouquet de fleurs.
Quoi de plus simple ? Pensez y je n’en connais pas une qui ne craque pas pour un petit bouquet. Ce genre de petites attentions font la différence souvent.
Mikaela, vient m’ouvrir et semble ravie de mon petit présent. Je lui demande comment se passe la grossesse, ca semble bien aller. C’est vrai qu’elle c’est bien arrondie déjà presque 6 mois. Nous passons un excellent moment pendant le repas. J’arrive même à la faire rire comme avant.
Après on va prendre le café, comme elle n’a pas arrêté d’aller et de venir, je lui dit de s’installer confortablement au salon, je connais les lieux, je vais chercher le café.
Je passe dans la cuisine récupère le café, les tasses sont déjà prêtes sur un plateau. Je reviens dans le salon et là.. Je manque de foutre tout le plateau par terre.
Mikaela est sur le canapé, nue et sublime avec son ventre rond, ses cuisses légèrement écartées ses seins sont gonflés et les tétons bruns bistre sont dressés, ses cheveux bouclés tombent en cascade sur ces épaules.
Elle me fait un petit signe et me dit :
« Viens j’ai trop envie de caresses, j’ai été idiote je te demande pardon »
Je la trouve tellement belle, que je ne me pose aucune question. Je m’approche et instinctivement je m’apprête à pose un baiser sur ses lèvres.
Elle pose sa main sur ma bouche et dit :
« Non, tout mais pas çà je pourrais pas »
Je comprend ce qu’elle veut dire. Un baiser c’est l’expression d’un sentiment, les caresses, le sexe, ce n’est pas forcément le cas. Je pose quand même un baiser sur sa joue, elle me laisse faire. Je suis intimidé, pourtant ce n’est pas le cas en général. Mais avec elle, c’est vraiment spécial, je lui dit qu’elle est vraiment belle. Je me retiens de lui dire que Thierry est idiot d’agir comme çà. Je pose mes mains sur ses épaules, et doucement je caresses son cou, elle laisse aller sa tête en arrière, ses lèvres sont entrouvertes, et frémissantes, sa langue pointe et humecte ses lèvres les yeux mi clos elle savoure mes douces caresses.
C’est plus un massage que je pratique qu’une caresse sensuelle. Elle pose ses mains sur les miennes, et lentement me fait descendre vers ses seins, qui sont durs et dressés. Je commence à peine à effleurer leur courbe qu’elle pousse un petit gémissement.
Mikaela est à fleur de peau, la pauvre est vraiment en manque de caresses. Son souffle est court, je descend doucement, massant avec le plus de légèreté possible cette poitrine magnifique. Elle est frémissante de la pointe des cheveux aux orteils elle est doucement agité par de minuscules frissons. J’ai du mal à me détacher de la contemplation de son visage, c’est l’image même du plaisir qu’elle goute, qu’elle retrouve, le plaisir des caresses que lui refusait son mari. J’aurais aimé garder une photo de son visage à cet instant. Bien que ma mémoire à vraiment enregistrer ce moment, je revois même ce tout petit bouton sur l’aile de son nez. Elle se cambre quand la paume de mes mains passe sur ses tétons. Les aréoles sont larges vraiment foncées, d’un brun bistre, ses seins sont énormes en fait elle a beaucoup pris de poitrine avec sa grossesse. C’est magnifique.
Je suis maintenant très excité et ca fait un moment que je bande. Peu m’importe je veux que Mikaela soit bien, déjà que c’est pour elle difficile, je ne veux a aucun prix la brusquer. Il n’est même dans mon intention de prendre du plaisir, mais de lui en donner. Mon plaisir je le prend dans le grain de sa peau, dans sa chaleur, ses gémissements et surtout dans la vision de cette belle femme au ventre rond, qui s’abandonne. Je veux qu’elle ait le plus bel orgasme qui soit. Elle le mérite. Mes mains descendent toujours, je viens de passer les monts de sa poitrine, je caresses ses flancs. Je m’agenouille comme en prière devant une madone. C’est le cas c’est l’amour physique incarné, le plaisir ayant pris corps.
Ce sont des instants forts qui m’ont marqué. J’avais, j’ai toujours le plus grand respect pour Mikaela et franchement je n’aurais jamais pensé être dans cette situation un jour avec elle.
Elle me susurre « que c’est bon , continue s’il te plait ».
Mes mains sont maintenant sur son ventre, je le caresse doucement. Là j’éprouve un grand plaisir à ce geste, moi qui n’ai pas eu la chance d’avoir un enfant. Ces instants où j’ai pu caresser ce ventre plein de promesse sont chers à mon cœur.
Je pense que maintenant à l’aube de mon dernier âge. Je suis conscient de ce qui me manque du vide que je ne pourrais jamais combler. Plusieurs fois j’en ai eu la promesses et chaque fois elle m’est refusé.
C’est bien la première fois que je le dis mais il est déjà arrivé que je pleure dans la nui, sur ce grand vide en me souvenant de celles dont le ventre avait répondu à mes attentes, amours enfuies, disparues.
Quand j’étais avec Mikaela, je pensais qu’un jour une vie dans le ventre d’une autre serait le prolongement de ma vie et que je lui prodiguerais ces caresses. Hélas, la vie, cette chienne, me le refuse.. Cette fois c’est terminé.
Mikaela, soupire sous mes caresses. Lentement, après avoir longuement caressé son ventre, je laisse glisser mes mains sur ses cuisses. Elle à la peau douce, mate et elle frémit. Doucement je remonte vers son sexe, sa toison est fournie, et je ne distingue pas vraiment la blessure. Ses poils frisés et noirs son doux sous mes doigts. Je me rend compte qu’elle est agité d’un tremblement continu. Mikaela se laisse descendre sur le canapé me dévoilant ce sexe que je vais honorer. J’écarte ses cuisses, les lèvres s’écartent, dévoilant le rose de son sexe, ses petites lèvres sont minuscules. Son bouton est légèrement saillant et pointe le bout de son nez en haut de ses lèvres. J’approche ma bouche, je dépose un baiser sur cette chatte. Elle sent bon, très bon. Un parfum lourd entêtant. Mikaela tremble de tous ses membres maintenant. Ave mes pouces j’écarte les grandes lèvres et je vois combien Mikaela attend mes caresses, elle est trempée, inondée est le mot juste. De fins ruisseaux de nectar glissent lentement entre ses fesses. Ses poils aux abord de sa crevasse son collés sur sa peau qui est étincelante dans la lumière. Je pose mes lèvres au milieu de cette offrande palpitante. Mikaela pose ses mains sur ma tête et agrippe mes cheveux. Je lèche et goutte son nectar, quel goût, c’est affolant un goût musqué, avec des senteurs de poivre. C’est brulant, sa chatte est une vraie fournaise et elle palpite a chaque coup de langue. Chaque spasme expulsant un peu plus de liqueur. Avec mes doigts je tire en arrière les petites lèvres à leur jonction décalottant un clitoris bien plus gros que je ne le pensais. Gros pas vraiment mais long, très long ainsi décalotté il ressemble vraiment a un gland en miniature. Je l’agace du bout de la langue. Mikaela m’attire contre son sexe et se cambre, enfouissant mon visage dans cette fleur humide. Mes joues sont mouillées, mon nez aussi. Je continue à sucer le bouton.. Je ne peux vois le visage de mon amie a cause de ce ventre rond. Mais je sais qu’elle est en extase, je sent que son orgasme est imminent. Dans son vagin le jus est plus épais maintenant. Je la travaille uniquement avec ma langue. Ses cuisses se serrent spasmodiquement sur ma tête, elle s’agite, j’ai peur qu’elle tombe. Et soudain elle pousse un grand cri, je sens sa chatte vraiment agitée de mouvements convulsifs, je continue a aspirer son clitoris. C’est un hurlement maintenant qui se prolonge, ses hanches roulent et son bassin est projeté vers le haut, elle est cambrée. Son souffle haletant, cette fois elle tremble de tous ses membres. Je donne le coup de grâce en glissant doigts dans sa chatte.. Son orgasme dure, ses mains on agrippé le tissus du canapé d’une part et mon épaule de l’autre, elle me fait mal tant elle serre. Enfin elle retombe j’ai les lèvres, le nez les joues et le menton trempés. Son odeur est sur moi. Je peux enfin voir son visage, une fine sueur perle sur son front, ses tempes, ses cheveux sont un peu collés. Elle a l’air radieuse, les yeux mi-clos elle peine a reprendre son souffle. Elle m’attire vers elle, de sa main elle caresse et essuie mon visage. Elle dit d’une toute petite voix essoufflée « C’est bon, bon, bon… » Puis elle attire mon visage prés du sien et pose ses lèvres sur mon front pour me faire un gros bisous.
« Viens je vais m’occuper de toi » dit elle
« Mais non laisse donc » dis-je, je ne voulais pas qu’elle pense que je profitais de l’aubaine.
« Idiot, tu dois être en forme non? »
Je ne peux que hocher la tête.
« Allez donne moi çà je m’en occupe »
Je laisse tomber mes fringues, je suis nu ma queue est gonflée et dressée, le gland est même passablement humide. Mikaela, approche sa bouche et doucement lèvres serrées sur mon gland, elle m’aspire. Elle est assise sur le bord du canapé, je suis debout. Ses mains, caressent mes fesses, remontent sur ma poitrine, tout en me suçant elle me regarde, ses doigts s’emparent de mes tétons, les roule, les pince. C’est bon j’adore qu’on me travaille le bout des seins de cette manière. Elle me suce avec science, alternant les rapides allez retour, avec des plongées qui me font entrer dans sa gorge. Mikaela me donne le meilleur d’elle même, elle en a les larmes aux yeux tant elle me prend loin. Après la minette que je lui ai prodigué, je ne tiens pas longtemps. Je sent que je vais jouir, elle aussi s’en rend compte et cesse de me sucer au dernier moment. Elle me fait gicler sur ses gros seins offerts.. mes jambes me portent a peine,tandis que de lourdes giclées s’écrasent dans son cou, sur ses seins et dévalent dans le sillons traçant des lignes luisantes sur sa peau.. J’adore la voir ainsi.. JE dois m’assoir, elle me caresse le front, gentiment. Elle a les yeux brillants.. « Pardon, je peux pas dans ma bouche, je suis désolée, mais c’était bon quand même » Avec une tendresse infinie, je dépose un baiser sur son ventre, puis sur sa joue en lui souriant. « C’était très bon, tu est adorable »
Elle regarde mon sexe qui est toujours presque aussi dur. Je comprend sans qu’elle me le dise. Mikaela, s’installe confortablement, ouvre grand ses cuisses et je glisse doucement mon sexe en elle. Ses lèvres sont rouges et sont agitées de petits spasmes. Son sexe brulant m’engloutis, mouillée comme elle est j’ai l’impression de me frotter à de la soie. J’essaie de ne pas trop porter mon mon poids sur son ventre. Je malaxe ses seins qui sont chauds et encore humides de ma semence. Je lime lentement, laissant mon érection revenir à son maximum. Je suis excité, je sais que je ne tiendrais pas des heures pour un second orgasme. Mikaela accompagne mes mouvements avec son bassin, elle est en transe. Avec mon pouce je me met a caresser doucement son clitoris, elle deviens hystérique, me serrant contre elle avec ses jambes elle me fait pénétrer le plus loin possible en elle. Sa chatte palpite et serre ma queue spasmodiquement ajoutant ce massage a mes allez retour.. Mes couilles sont dures, je sent monter le jus dans ma tige .. C’est violent a grand coups de rein je me déverse en elle tandis qu’elle arrive a l’orgasme elle aussi sous la caresse de mes doigts. Une telle synchronie est rare et difficile a obtenir.. Je m’allonge prés d’elle sur le canapé.. J’ai une folle envie de l’embrasser mais c’est interdit. Je pose des bisous sur son front et je la cajole doucement. Tournée vers moi elle me sourit, me regarde et doucement elle dépose un baiser sur mes lèvres « C’était trop bon, tu est un amour, je n’avais jamais pris mon pied comme çà »
Il faut avouer que c’est agréable de s’entendre dire ce genre de choses.. Sans jouer les fanfarons j’admets que ce genre de confidence, on me l’a souvent faite. Il est a peu prés certain que je suis souvent tombé sur des femmes, qui avaient été déçues par leur mari ou partenaire. Je ne pense pas être aussi doué que çà. Et puis quelle est la part de ce compliment qui est juste une envie de faire plaisir à l’autre, une façon de dire merci…
C’est ainsi que jusqu’à la fin, je fus le complice de Mikaela, au point que 2 jours avant son accouchement nous faisions l’amour dans mon lit. Après elle redevint l’amie de toujours et ceci se fit sans aucun problème ni pour elle ni pour moi. Je restai toujours son confident. Un soir ou nous étions réunis elle me glissa dans l’oreille. « Tu sais c’est dommage que je ne suis pas amoureuse de toi, car tu a des avantages qui me manquent un peu tu sais »
Je reparlerais plus tard d’elle, tout n’est pas terminé…
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