Myriam, 42 ans, en pleine crise de la quarantaine vient de divorcer ; elle est partie vivre en Ile de France avec son fils Abdel, âgé de 17 ans. Grâce à son mari, elle a pu s’acheter un petit pavillon dans la région parisienne, à 5km de l’hôpital où elle travaille comme infirmière. Elle est brune, a des cheveux mi-longs et la peau mate. Elle mesure 1m75 et pèse 65 kg ; une bonne paire de seins et de magnifiques fesses la rendent plus jeune que son âge réel.
On est au mois de janvier ; c’est la première semaine de boulot.
On est mercredi ; il fait gris sur Paris. Il est 8h, et je commence à 9h. J’ai des porte des porte-jarretelles blancs avec une tunique noire ; mes talons aiguille sont également noirs. Je prends ma voiture et me dirige vers l’hôpital ; quand j’y arrive, je vais directement dans les vestiaires. J’enlève mon blouson, pose mon sac, enfile une blouse blanche et pars prendre mon service. Aujourd’hui, je dois m’occuper des entrées des urgences ; je travaille avec une femme : Cécile, 44 ans, blonde, super belle et bonne à marier malgré ses quatre enfants. Je lui fais la bise et m’assois derrière mon bureau qui est collé au sien. La journée est calme ; il n’y a pas beaucoup d’entrées. À 10h30, je sors devant les urgences avec un café et j’allume une cigarette. Je suis assise sur un banc à l’entrée quand un jeune Noir, grand, musclé et très beau vient me parler.
– Excusez-moi, Madame ; c’est ici, les urgences ?
– Oui : c’est ici.
– Merci !
Il repart en direction des urgences ; c’est fou comme je le trouve craquant, ce mec… Ma cigarette finie, je repars travailler. Je le vois qui attend devant le bureau pour être enregistré ; je m’assois et lui demande :
– On s’occupe de vous ?
– Non.
– OK : je vais vous prendre. C’est comment, votre prénom ?
– Marcus ; j’ai 22 ans.
– Merci. Et vous êtes là pour quoi ?
– Euh, ça me gêne un peu…
– J’entends de tout : c est mon métier.
– Bah, en fait, j ai de grosses douleurs quand je fais pipi.
– Bien. Je vous laisse vous asseoir : un médecin va venir vous prendre.
– Ah… mais c est pas toi ?
– Eh non !
– Dommage…
– Oui : dommage !
– Tu t’appelles comment ?
– Myriam.
– Tu as quel âge ?
– 42 ans.
– Franchement, tu es trop belle pour une femme de 40 ans ; ton mari doit se faire plaisir !
– Je suis divorcée, et j’ai un fils de 17 ans.
– Ah ? Bah, tant mieux pour moi ! Tu as un numéro ? Comme ça on se revoit…
– Oui, avec plaisir !
Je lui donne mon numéro, et il part en me disant :
– Je t’appelle ce soir.
– OK !
Je retourne à mes occupations ; Cécile constate :
– Tu es devenue une couguar, ma parole !
– Arrête ; j’ai encore rien fait.
– Oui, c’est ça… C’est pas à moi tu vas le faire !
Je rigole et continue à travailler. Je finis le boulot à 16h et rentre directement chez moi. Je prends une douche ; quand je ressors, mon fils est en train de faire ses devoirs dans le salon. Je ne le dérange pas et vais dans la cuisine me faire un café et fumer une cigarette. Mon téléphone sonne ; je réponds : c’est Marcus qui m’invite à boire un verre ce soir à 20h. J’accepte son invitation et pars me préparer : j’enfile des bas fantaisie noirs, une mini jupe en coton noir, des talons aiguille blancs et une chemise blanche avec un décolleté en V. Je me maquille ; Marcus est déjà là. Je sors et monte dans sa voiture.
– Tu es magnifique !
– Merci. On va où ?
– Il y a un bar tranquille à côté.
On roule et on arrive dans ce bar, situé dans un coin perdu. On s’installe à une table pour deux au fond de la salle, cachée aux autres clients par une tenture rouge, et on commande deux verres de whisky.
– Dis-moi, Myriam, pourquoi tu as divorcé ?
– Mon mari a appris que je couchais avec son grand frère.
– Ah, tu es une chaude, dis-donc…
– Je suis une femme qui a des envies.
– Mais je ne te juge pas ; tu as raison de faire ce que tu aimes.
– Eh oui, sinon je ne serais pas là avec toi !
– C’est sûr… Je dois te dire un truc : tu m’excites grave !
– C’est quoi qui t’excite, chez moi ?
– Le fait que tu sois une maman arabe et que tu es super bonne.
– Merci ; c’est gentil.
– De rien !
Sous la table, j’ai ôté une de mes chaussures ; avec mon pied, je commence à lui toucher la bite. Au bout de quelques minutes, il vient s’asseoir à côté de moi et sort sa bite. Bordel, comme elle est grosse et grande ! Je commence à la branler.
– Suce-moi, Myriam…
– Tu es chaud, dis-donc !
– À point : j’ai envie de te faire hurler comme une pute !!!
– Hummmmmm…
Sur ces mots, j’abaisse ma tête, embouche sa grosse queue noire et commence à le sucer ; je dois le pomper pendant une bonne dizaine de minutes avant qu’il me crache toute sa semence dans la bouche. J’avale tout jusqu’à la dernière goutte et lui dis :
– Tu me ramènes ?
– Waouh, j’ai envie de toi !
– Non : une autre fois.
On monte dans sa voiture et il me ramène. Devant chez moi, il me dit :
– On se voit demain ? J’ai trop envie de toi !
– Viens dormir à la maison…
– Et ton fils ?
– Ah, tranquille.
– OK.
On se gare et on rentre chez moi. Mon fils dort : on est donc parti directement dans ma chambre. J’enlève mes talons, mes collant, mes habits et je me retrouve en string et soutien-gorge devant Marcus ; je m’allonge sur le lit et il commence à me faire des bisous sur les cuisses, puis il m’enlève ma culotte et commence à me lécher la chatte. Je ne tarde pas à jouir.
– Oui, oui, oui… Annnh !!! Anhhh !!!! Anhhhh !!! Anhhhh !!! Anhhh !!!! Oui ! C’est trop bon !
Après ce long cunnilingus, il se déshabille et présente sa grosse bite à l’entrée de mon trou. Quand il la rentre, je pousse un long cri de plaisir.
– Ouuuuuuuuuuuuuuuuuhhhhhhh ! Putain, elle est grosse !
Il commence à faire de lents va-et-vient ; petit à petit, le plaisir monte sous ses coups de reins de plus en plus forts. C’est trop bon !
– Oouuu….io…u….iiiiiii. C’est tr……o…….ppppp b…o…….nnnnnn ! Défonce-moi, mon bébé ; vas-y, baise-moi comme une pute !
– Tu veux que je te baise comme une pute ?
– Oui ! Arrache-moi, fais-moi crier comme une grosse salope que je suis !
– Mais ton fils va nous entendre…
– Annnnnh, c’est pas grave ! Baise-moi, mon bébé !!!
Il me met à quatre pattes et m’encule à sec.
– AIIIIIIIEEEEEE AIIIIIIIIIEEEE AIIIIIIIIIEEEEE AIIIIEEEEEE AIIIIIIEEEE AIIIIIEEEE AIIIIIIEEE AIIIIIIEEEE AIIIIIIIIEEE AIIIIIIEEEEE AIIIIEEE… Tu me fais mal !!! Sniff, sniff, sniff, j’ai trop mal, Marcus, mon amour, mon cœur… Arrête !!
– Ferme-la, sale pute ! Tu voulais que je te baise comme une pute ? Même ton fils t’entend te faire baiser… T’aimes ça ?
– Oh, putain… Oui, oui, oui, oui… Éjacule-moi au fond de la chatte ! Lâche-moi ta semence !
Sur ces mots, il m’éjacule des litres de sperme au fond de la chatte ; je reste dix bonnes minutes à récupérer, puis il recommence à me baiser comme un dingue. Au bout de la deuxième fois, je me retiens plus : je deviens sa grosse chienne… À un moment, je vois mon fils venir nous regarder par la porte entrouverte, mais je jouis tellement que je ne dis rien et je continue à me faire déchirer les orifices par mon nouvel amant
Ajouter un commentaire