Histoires de sexe viol Histoires érotiques Histoires érotiques couples amateurs

Expériences multiples en camping

Expériences multiples en camping



Expériences multiples en camping (de Oli Mart 1977)
Histoire publié dans RêveBébé

Les femmes sont belles. Elles sont magnifiques même. Chaque femme a en elle au moins une chose belle et remarquable… Les yeux, la bouche, la chevelure, une silhouette générale, un détail du corps même, un galbe de sein, le port de la tête, une paire de fesses rebondie, des jambes fines et dessinées, une aisselle lisse avec un bras fin…

Il est rare que je ne trouve pas un élément intéressant dans le physique d’une femme. Parfois cela peut provenir d’une façon de bouger, une grâce particulière, quelque chose qui exprime la sensibilité spéciale de la gent féminine.

Bref j’aime les femmes, et les regarder est un passe-temps que j’apprécie, partout et toujours.

Les hommes ne m’attirent pas, en revanche. Non qu’il n’y ait pas d’hommes beaux évidemment ou sensibles ou même féminins par certains points de vue, mais je ne trouve pas les hommes attirants, même si je suis très excité par le porno gay, trans et bisex.

Je m’appelle Éric et j’ai 38 ans. J’ai l’air un peu plus jeune et je suis en forme, 80 kilos pour 1,85 m, mince sans être maigre et avec un corps assez sportif bien que pas aussi sculpté que je le voudrais. Je fais attention à moi et à mon corps, en maîtrisant mon côté bon vivant ; je suis épilé à peu près partout, sauf les jambes, que je n’épile que l’été. J’aime la douceur de la peau glabre, en particulier sur le pubis, les testicules et les fesses.

J’ai un travail valorisant socialement, je vis à l’étranger en expatriation depuis quelques années dans plusieurs pays, ce qui me permet un bon niveau de vie, des voyages réguliers et de rencontrer des gens d’horizons et pays très variés.

Je suis marié à une jolie brune de 1,68 m originaire d’Europe de l’Est et j’ai trois enfants de 10 à 4 ans. Une famille classique et unie et une vie atypique et riche de découvertes…
Avec mon épouse, Iva, nous avons une vie sexuelle qui va et qui vient un peu, en fonction des périodes de rush au boulot et de l’agenda chargé d’Iva qui est consultante en freelance. Ma femme est sans doute plus classique que moi, l’éducation sans doute ; cela dit les circonstances peuvent la transformer et la rendre sexuellement beaucoup moins classique.
Lorsqu’elle est sérieusement excitée, il y a peu de choses qu’elle ne ferait pas. Ainsi elle aime la fellation, mais encore plus la sodomie. Nous la pratiquons très régulièrement et l’orgasme est à peu près systématique avec une stimulation du clitoris en même temps…

Néanmoins, ce qu’Iva préfère, je pense, c’est que je lui déguste sa petite chatte, tout en lui caressant du doigt les grandes et les petites lèvres ; lorsque son excitation est déjà bien montée, elle devient folle quand je descends doucement mon doigt plus bas, vers son anus, que j’utilise ma salive et son jus mélangés pour lubrifier, que je réchauffe doucement son petit trou en tournant mon doigt tout autour en appuyant de plus en plus. J’adore le « haaa » ou le « hooo » quand mon doigt bien lubrifié pénètre presque tout seul, avec beaucoup de délicatesse ; à partir de là, il faut rarement plus de quatre à cinq minutes de ce traitement, doigt qui va-et-vient dans son anus et langue qui lèche son clitoris, pas trop vite, pour qu’elle explose dans un orgasme dévastateur…

Nous testons régulièrement des choses nouvelles pour pimenter notre vie sexuelle, car de mon côté, pour maintenir la libido, j’ai souvent besoin de nouveauté…

Ainsi, nous pratiquons l’un sur l’autre des massages inspirés de massages tantriques, un peu plus « straight to the point » que les vrais massages tantriques, cela dit… Plume, masque sur les yeux, huile de massage parfumée, nous nous massons toutes les zones érogènes et pas, jusqu’à l’orgasme. On utilise aussi des sextoys et parfois des liens…
J’aime aussi qu’Iva me pénètre l’anus d’un doigt ou avec un sextoy mais ce n’est pas une pratique très régulière, car elle a peur de me faire mal, ne sait pas très bien s’y prendre et peut-être que cela l’inquiète un peu aussi que j’aime la pénétration anale, allez savoir.

L’été dernier, j’ai poussé la famille à tenter des vacances un peu plus simples que d’habitude. Munis de notre tente, nous sommes partis faire du camping à la mer, près d’Hyères dans le sud-est de la France. Les enfants étaient ravis de la destination, de la mer et du camping, les côtés un peu inconfortables leur échappant totalement.

Premier jour : arrivée au camping, paperasse (très jolie réceptionniste brune aux yeux verts, sans doute une étudiante en stage pour l’été, miam), montage de la tente, déballage de valises, installation des lits, puis direction… la plage. Elle était belle, le sable fin, le temps superbe et l’eau fraîche sans être froide. Conditions idéales, quoi.
Le camping étant haut de gamme, pas besoin de s’emm… sur sa serviette à bouquiner pour faire passer le temps (oui, le farniente je ne suis pas fan) : terrain de beach-volley, raquettes, plate-forme pour plonger dans l’eau, bref plein d’activités sportives et ludiques possibles. Ouf !

À peine débarqués sur la plage, petit plouf, pique-nique rapide, re-petit plouf et direction le beach-volley avec ma femme. Deux couples jouaient l’un contre l’autre et ils nous proposèrent immédiatement de compléter les équipes, un de chaque côté. Iva rejoignit un couple d’environ 45 ans, relativement en forme. De mon côté je complétai une équipe plus jeune ; je leur donnais une petite trentaine. Ils étaient beaux tous les deux : lui (Marc) faisait un bon deux mètres, larges épaules et physique impressionnant : très musclé et donnant un sentiment de puissance et de virilité, un brun avec un beau visage ciselé à la mâchoire puissante, mais harmonieux ; elle (Noémie) avait un physique tel que je les adore chez les femmes : pas très grande (1,65 m), fine, longues jambes en proportion du reste, galbée sans être super musclée, des fesses terriblement rondes et fermes, des seins menus, mais apparemment bien formés (autant que le bikini pouvait laisser voir) et beaucoup de grâce et d’assurance aussi. Le tout sous un visage délicieux, blonde aux cheveux raides avec une queue de cheval, des grands yeux bleu intense, avec une bouche pulpeuse et un sourire légèrement asymétrique qui lui donnait un côté rieur et provocateur à la fois… Bref, en langage courant, une petite bombe atomique. Ils étaient dissemblables, mais unis par une grande beauté…

Je vous passe le match qui n’eut finalement un intérêt sexuel que limité, même si le « paysage » était décidément blond et magnifique… Pas facile de se concentrer sur la balle et le jeu J.

Le sel, la crème solaire, la transpiration et bien entendu le sable avaient achevé d’attaquer mes nerfs… Il fallait à tout prix que je me lave. J’ai commencé par un petit plouf dans la mer avec Iva, mais aussi avec Marc et Noémie. À part être beaux et sportifs, ils étaient aussi sympas et curieux. Nous avons rapidement sympathisé en prenant un pot ensemble après le bain ; ils n’étaient pas mariés et n’avaient pas encore d’enfants bien qu’ensemble depuis le lycée. On sentait une grande complicité entre eux. Ils vivaient à Paris et avaient une vie dynamique, des boulots engageants, des amis à foison et aimaient à sortir en boîte régulièrement.

Ils étaient intéressés et intrigués par nos vies, vivre à l’étranger, fréquenter des cultures différentes, parler plusieurs langues, visiter… Cela leur paraissait aventureux donc excitant et ils se projetaient assez bien dans ce type d’expérience plus tard.

Pendant la conversation, j’observai Noémie qui a une énergie sexuelle, un sex-appeal réellement fort et une forme de magnétisme que j’ai perçus, car elle est très tactile et très vive. Joueuse et enjouée, drôle, mais étrangement pas vraiment sûre d’elle malgré sa beauté. Marc était calme, posé, pas très loquace, mais il se dégageait une confiance en soi positive, une grande simplicité et de la force, de la puissance avec des yeux doux, une sorte de roc énorme et protecteur. Une présence certaine, douce et rassurante, une capacité d’écoute et un regard attentif. Il devait avoir du succès le salaud !

D’ailleurs, Iva était clairement sous le charme de Marc, comme moi je buvais les paroles de Noémie tout en adorant chaque mimique de son visage et les mouvements involontairement provocants de son corps lorsqu’elle racontait des histoires. Un fantasme vivant, je pensais… Et je reconnaissais chez Iva aussi des petits tics de séduction typiques de lorsqu’elle discute avec quelqu’un qu’elle trouve attirant… Remettre une mèche de cheveux derrière l’oreille en penchant légèrement la tête, une manière de mordre ses lèvres (qu’elle a joliment pulpeuses il faut dire), un rire différent aussi, un peu plus nerveux… Je me demandais si elle avait envie de faire l’amour avec lui…

Je me demandais aussi quel type de vie sexuelle avait ce couple jeune, beau et apparemment si soudé… J’ai toujours pensé qu’il était souvent très incertain d’imaginer la vie sexuelle des gens, même de ceux qu’on connaît intimement… Un apparent Don Juan qui peut-être est en réalité hyper coincé du cul, ou au contraire cette fille à lunettes apparemment très sérieuse et sage qui pourrait être totalement désinhibée et sauvage.
Mais c’est quand même une activité que je trouve drôle, imaginer la vie sexuelle des autres…

J’ai toujours fantasmé sur l’échangisme et le mélangisme. Je n’ai jamais abordé le sujet avec Iva « sérieusement », tout au plus ai-je essayé de la titiller lors de nos rapports : après un bon cunnilingus, j’aime la pénétrer en missionnaire et l’embrasser à pleine bouche en lui faisant goûter son jus intime ; j’aime dans ces cas-là lui glisser à l’oreille que j’aimerais la voir lécher le sexe d’une autre femme… En général cela l’excite et contribue à faire monter la pression érotique lors du rapport, cependant impossible d’en tirer une vraie discussion à tête reposée ensuite, elle se referme comme une huître… Peut-être n’ai-je pas la bonne approche…

Finis nos cocktails, nous nous séparâmes avec un petit pincement au cœur pour moi. Eux aussi avaient l’air un peu triste… Iva retourna auprès des enfants et moi je décidai d’aller à la salle de sport (voir l’incroyable « body » de Marc m’incitait à bosser sans doute…) puis au sauna… Et au sauna (mixte), sur qui tombai-je ? Sur Noémie, qui était couchée complètement nue sur son drap… Vision sublime et excitante… Je décidai de garder mon propre drap autour de mon bassin et de m’asseoir, craignant que malgré la chaleur de l’endroit, une érection ne crée un incident diplomatique…

Noémie était très naturelle, elle s’assit aussi pour discuter, sans rien couvrir de son corps… Ses seins étaient sublimes, effectivement pas très gros, mais magnifiquement formés ; sur son pubis, une toute petite ligne de poils très blonds à la verticale, en dessous un sexe merveilleusement entretenu et très joli avec des lèvres fines et totalement épilées… Elle était assise en tailleur, ce qui donnait une vue plongeante. Apparemment elle n’était pas gênée du tout… Après avoir parlé de tout et de rien, elle me demanda subitement si nous faisions souvent l’amour avec Iva… Après avoir sans doute piqué un bon fard (mais bon la chaleur du sauna aidant ça n’a pas dû se voir), je répondis prudemment et je lui retournai la question… Elle me dit qu’avec Marc ils avaient toujours été gourmands de sexe, mais qu’elle recherchait comment pimenter sa vie sexuelle, se réinventer en quelque sorte, car une forme de train-train s’installait petit à petit entre eux… Je décidai donc de l’interroger sur leurs habitudes sexuelles. En gros, ils pratiquaient à peu près tout sur elle de manière « classique », quant à lui il avait toujours refusé qu’elle s’approche de son anus… Ils utilisaient des sextoys sur elle, parfois des jeux de rôles… mais toujours entre eux…

Elle me dit qu’elle aurait envie d’autre chose… Sans préciser quoi…

Puis elle me proposa qu’on boive un pot avec eux le soir après avoir couché les enfants… Autant vous dire qu’après la conversation avec elle, je me bénissais d’avoir gardé mon drap autour du bassin et je n’hésitai pas longtemps avant d’accepter… La machine à fantasmes s’était mise en marche, au point que le sauna qui d’habitude me relaxe complètement, cette fois-ci me laissa de marbre…

Je rentrai à la tente et informai Iva de l’invitation de nos nouvelles connaissances. Je vis un petit air de gourmandise dans son regard, apparemment la machine à fantasmes se mettait en marche aussi chez madame !
Nous couchâmes les enfants et allâmes nous doucher ensemble, espérant un rapide endormissement de la marmaille pendant notre douche. Nous nous savonnâmes l’un l’autre avec force attouchements ; nous étions tous les deux excités, mais d’un commun accord tacite nous nous contentâmes de caresses et préliminaires…
Finie la douche, les enfants dormaient, pour notre plus grand bonheur. Nous nous habillâmes de manière assez sexy-sport… et nous nous mîmes en route avec deux bonnes bouteilles de vin…

Noémie et Marc avaient loué un bungalow et ils nous accueillirent dans des tenues… sexy-sport. Apparemment nous étions sur la même longueur d’onde.

L’ambiance était sympa et détendue. Après deux verres, il commençait à faire objectivement chaud et la conversation bifurqua doucement sur le sauna. Marc demanda si je n’avais pas été choqué du manque de pudeur de Noémie, ce qui me valut un regard mi-provocateur mi-gêné de Noémie et un regard interrogateur d’Iva… Je lui répondis qu’ayant vécu dans les pays de l’Est et les pays nordiques, j’étais habitué à croiser des nanas nues dans les saunas et que ma foi, non je n’avais été ni choqué ni gêné… Il demanda ensuite si la conversation avait été intéressante, avec un grand sourire charmeur… Je rigolai et je dis qu’elle avait été très intéressante… Iva demanda de quoi nous avions parlé. Elle avait les joues un peu rosies maintenant qu’elle avait fini son troisième verre de vin et Marc lui dit que nous avions échangé sur nos vies sexuelles… Il dit ça avec une voix douce, avec aucun sarcasme, mais plutôt comme pour tester la réaction d’Iva. Avait-il perçu qu’elle était l’élément qui pouvait freiner les dérives ? Vu sa capacité de se taire et d’écouter, je me disais que oui…

Avant qu’Iva réagisse, il lui demanda ce qu’elle pensait de notre vie sexuelle, si elle se sentait épanouie et si nous avions des pratiques intéressantes… Il la regardait intensément, Iva souriait en rougissant, mais ne recula pas. Elle lui dit la vérité, que oui elle se sentait épanouie et que notre vie sexuelle était assez variée et riche…

Il demanda de donner des exemples… Encore une fois elle ne recula pas… Elle parla des liens sur notre lit, du masque pour rendre l’autre aveugle, des plumes, massages particuliers, etc., etc.
Je voyais Noémie à côté qui était scotchée à la bouche de ma femme et qui avait l’air terriblement excitée par le moment… Elle se leva pour resservir tout le monde et vint s’asseoir sur le canapé où j’étais assis, assez près pour me toucher avec son bras et ses cuisses. Quel contact électrisant.

Marc était à table juste en face d’Iva et il lui proposa de s’installer dans le deuxième canapé, plus confortable. Ce qu’ils firent ; Iva était elle aussi visiblement excitée d’avoir un peu exhibé des éléments de notre vie sexuelle devant des inconnus. Ils étaient eux aussi en contact. Ils recommencèrent à parler entre eux, mais un peu plus doucement, la promiscuité permettant de baisser le ton.

N’entendant plus leur conversation, Noémie et moi commençâmes notre propre conversation, nos visages étaient très proches ; elle me dit que Marc était sous le charme d’Iva qui est selon elle une très belle femme. Je lui répondis qu’elle-même était magnifique et très désirable, elle me sourit et posa sa main sur ma cuisse, nouvelle décharge électrique. Puis elle s’approcha et me fit un petit baiser sur les lèvres ; elle recula et je m’approchai à mon tour ; nous commençâmes alors à échanger un baiser plus long, j’ouvris la bouche, elle aussi, et nos langues se trouvèrent ; j’adore embrasser, apparemment elle aussi… Le baiser dura longtemps, je lui caressai les bras et le dos, doucement, en revenant doucement vers l’avant, caressant aussi le côté du sein, un de ces endroits galbés que j’aime tant chez les femmes.

En ouvrant les yeux, je constatai qu’Iva me regardait avec un air de divine luxure et Marc l’embrassait dans le cou tout en lui caressant les seins sous son chemisier ample.

Son regard excité m’indiquait que la voie était libre alors je me concentrai sur Noémie qui n’était pas en reste. Elle me déboutonnait la chemise tout en continuant à m’embrasser profondément. De mon côté je baissai la fermeture éclair de la petite robe d’été. Elle se leva et la fit glisser par terre. Elle ne portait rien du tout en dessous et c’était une vision de paradis. J’enlevai ma chemise et je l’attrapai, elle était toujours debout ; elle se mit à califourchon sur moi, de face, et m’embrassa à nouveau, je caressais ses zones érogènes secondaires, le cou, les épaules, les aisselles et autour de ses seins, sans toucher les aréoles, qui étaient pourtant apparemment bien bandées, bien dures… Puis je l’attirai vers moi et alors je commençai à embrasser et à lécher ses seins, qui étaient hyper réactifs ; je les suçai, je les mordillai doucement, pendant qu’avec mes mains je caressai son dos et ses fesses.

Ses seins étaient doux, fermes, délicieux, et Noémie était très sensible, elle gémissait doucement en me tenant la tête entre ses mains. Je descendis vers son ventre, elle se mit debout entre mes jambes. Je progressai doucement et mes mains passèrent de ses fesses à ses hanches puis descendirent le long des cuisses à l’extérieur, jusque derrière les genoux, partie très douce et très sensible. Tout en embrassant son pubis en descendant tout doucement, je passai mes bras autour de ses jambes pour caresser l’intérieur des cuisses en remontant, jusqu’à toucher la fossette des fesses, qu’elle avait parfaitement dessinée, un vrai régal. Je passai doucement la tranche de ma main dans sa raie et je la sentis frissonner de plaisir… Puis je redescendis avec les deux mains caressant ses fesses cette fois, de manière franche. Je passai mes mains entre ses cuisses, là où la peau est si fine et douce, je frôlai ses grandes lèvres sans les toucher, pendant que ma bouche continuait à fureter sur son pubis, et descendait le long du pli entre le pubis et la cuisse.

Plus je descendais, plus je sentais de la tension dans ses bras qui me tenaient la tête. Elle me lâcha les cheveux pour s’attaquer elle-même à ses seins… Elle se pinçait doucement les tétons en tournant ses doigts… Ma langue avait atteint les grandes lèvres. Je la basculai sur le canapé et pris ses jambes sur mes épaules. Elle était offerte, totalement, et rose d’excitation. Je commençai à la goûter avec ma langue, sur les lèvres d’abord, puis je commençai à déguster son bouton qui était tout érigé par l’excitation. Elle était bien mouillée et sa chatte était petite, rose, bien dessinée avec des petites lèvres et totalement épilée sauf la petite ligne sur le pubis blond. Je la léchai avec délectation, j’adore donner du plaisir aux femmes ainsi ; mes mains remontaient et prenaient ses seins, les caressaient et leur agaçaient les tétons à mon tour, puisqu’elle avait l’air d’apprécier ce type de caresse un peu fort. Elle gémissait de plus en plus fort, et son râle se mêlait à un autre râle à la voix plus grave : Marc avait sorti son sexe et Iva était en train de lui administrer une fellation royale, alternant les prises en bouche chaudes et humides, et les coups de langue du gland jusqu’aux testicules. Il était parfaitement épilé lui aussi, comme moi.

Je recentrais toute mon attention sur le délicat travail que j’avais en cours, pour le plus grand bonheur de Noémie qui couinait doucement à mes coups de langue sur son clitoris. Tout en adaptant le rythme de ma langue sur le clitoris à ses réactions, pour faire monter la pression petit à petit, je caressais maintenant de la main gauche ses lèvres, en tournant autour de son vagin, puis j’insérai mon majeur ; elle ne couinait plus, elle feulait maintenant, elle me tenait à nouveau la tête. Je bougeais mon doigt en le pliant et dépliant, pour stimuler son point G. En parallèle ma main droite commençait à tourner autour de son anus, en appuyant suffisamment pour créer de l’excitation ; il était lui aussi parfaitement lubrifié grâce au mélange de son jus intime et de ma salive, qui coulaient doucement. Elle tortillait le bassin et m’invitait à aller plus loin encore, et j’obéis, en massant plus franchement son anus et en poussant très légèrement mon doigt sur ses sphincters, qui se contractaient d’abord, puis se relâchaient doucement. Elle s’ouvrait doucement et je ralentissais un peu avec ma langue pour ne pas créer de surexcitation, mais laisser maintenant le plaisir monter aussi par l’anus.

Lorsque je sentis un relâchement suffisant et une lubrification idéale, je pénétrai son anus avec mon majeur droit et elle poussa un « ooooh » de satisfaction. À partir de là, pas de pitié, je faisais des va-et-vient triples, la langue sur le bouton d’or, un doigt sur la paroi supérieure de son vagin lui intimant de venir, et un doigt dans son cul, qui allait loin et ressortait presque entièrement. Noémie s’agrippait à ce qu’elle pouvait, mes cheveux, les coussins du canapé, ses seins, et elle gémissait son plaisir qui montait. Je ralentissais un peu le rythme de la langue, mais en appuyant un peu plus fort. Avec Iva, en général cela ralentit l’arrivée de son orgasme, mais en décuple aussi la puissance. Avec Noémie, le truc fonctionna aussi et elle finit par exploser dans un râle, prise de secousses incontrôlables. Quand je sentis que l’orage était passé, je m’allongeai à son côté et je l’entourai de mes bras en embrassant son cou fin, long et délicieux. Elle était moite de transpiration et son cœur battait la chamade…

J’en profitais pour observer nos deux acolytes. Iva était maintenant en train de se faire prendre en levrette sur l’autre canapé, ils étaient maintenant complètement nus et Iva semblait tellement chétive sous les coups de boutoir de Marc qui était tellement grand, large et musclé… Iva tendait sa croupe en arrière et appuyait sa poitrine et son menton sur le canapé en couinant…

Noémie aussi les regardait, et semblait maintenant en mode totalement zen… Elle se retourna néanmoins et se mit à m’embrasser à pleine bouche, goûtant au passage son jus. Instantanément je me mis à durcir et bander sec même, surtout qu’avec ses petites mains magnifiques, elle me caressait le torse et descendait petit à petit vers mon sexe. Elle se mit à descendre en m’embrassant les tétons puis en me léchant les abdos et elle descendit d’abord pour lécher mes testicules fraîchement épilés. Elle prit mes jambes sur ses épaules à son tour et tout en me léchant les bourses et la tige, sans toucher au gland, elle me caressait le périnée et l’intérieur des cuisses. Je ne savais pas si elle me rendait la monnaie de ma pièce ou si elle pratiquait habituellement ce genre de caresses un peu tantriques, mais je m’en fichais éperdument. C’était juste délicieux. Puis elle remonta et me prit en bouche. Sa bouche était brûlante et la sensation sur mon gland était merveilleuse…

Elle entama des va-et-vient et me caressait les bourses et le périnée. Puis elle se mit à prendre avec deux de ses doigts du jus de sa chatte pour lubrifier mon anus ; elle répéta l’opération plusieurs fois et quand mon anus fut suffisamment lubrifié et réparé, elle entra un doigt doucement. C’est une caresse que j’adore et elle le savait après notre discussion dans le sauna ; comme je savais qu’elle était très curieuse de ce type de caresse sur les hommes sans avoir jamais pu tester sur Marc qui s’y refusait… J’étais excité au possible, avec sa petite langue elle jouait autour de mon gland, la couronne, le frein… Et son doigt était maintenant complètement entré dans mon fondement et elle appuyait vers le haut sur ma prostate, elle caressait en alternant des petits cercles et des petits allers-retours en pliant ses deux dernières phalanges pour bien masser la prostate. Je sentais que ça montait, mais je résistais, je voulais sentir l’orgasme arriver à son paroxysme. J’avais senti Iva crier, Marc grogner et la tension baisser dans la pièce…

Ils s’étaient rapprochés de nous maintenant, Marc observait un peu fasciné, Iva se pencha sur moi et m’embrassa profondément. L’idée qu’elle goûtait le jus de Noémie et moi celui de Marc m’acheva et je partis dans un orgasme magistral, un de ceux qui explosent dans la tête et qui secouent les membres et le tronc de spasmes presque électriques. Noémie avala tout en me regardant avec des yeux emplis de défi et de satisfaction mêlés. Quelle cochonne ! Elle m’embrassa une dernière fois le gland et se leva pour aller boire.

Nous prîmes chacun notre tour une petite douche, la taille de celle-ci ne permettant hélas pas de faire cela à plusieurs… Marc ouvrit une nouvelle bouteille de vin blanc, bien fraîche et nous servit tous. Nous trinquâmes au plaisir… Je reprenais mes esprits doucement après cette belle jouissance…

Marc se montrait curieux des sensations que j’avais ressenties lorsque sa femme me massait la prostate… Je lui suggérai d’essayer afin de vivre ces sensations qui sont différentes et très fortes… Je pensais qu’il était tenté d’essayer, puisqu’il me posait ces questions… Je me trompais lourdement comme le prouverait la suite !

Cela faisait une petite demi-heure que nous dégustions notre vin en parlant ; la discussion était animée et sympathique… Deux groupes s’étaient formés : nous les garçons étions installés à table, les deux filles s’étaient installées ensemble sur un canapé ; leur discussion avait l’air animée et secrète, elles s’étaient rapprochées et se parlaient derrière leur verre.
Je regardais Marc qui me parlait, je me disais que décidément les femmes devaient le trouver irrésistible, car en plus de la pure beauté physique, il était aussi intéressant et drôle…

Je le vis se figer et je regardai ce qu’il regardait : les filles !

Elles étaient en train de s’embrasser tendrement, bouche à bouche… Seules leurs bouches se touchaient, on voyait leurs langues qui s’emmêlaient. C’était torride… Deux femmes magnifiques qui s’embrassent, c’est un spectacle merveilleux… Et l’une de ces femmes était la mienne, qui n’avait pas eu de relations lesbiennes malgré mes imprécations…

Marc et moi étions subjugués… Les bouts de seins de Noémie étaient en train de pointer au fur et à mesure que le baiser devenait de plus en plus passionné… On voyait littéralement l’excitation grandir chez elle. C’est elle qui commença à caresser le cou et la poitrine d’Iva tandis que celle-ci jetait ses bras autour du cou de Noémie.

Un silence assourdissant provenait de Marc et moi, qui étions aussi immobiles que des statues… mis à part une érection qui commençait à dresser nos sexes de voyeurs…

Noémie agaçait les tétons d’Iva qui gémissait, elle les faisait tourner en pinçant. Iva gigotait du derrière sous la caresse, signe qu’elle mouillait très fort… La sentant à point, Noémie commença à descendre le long de son cou, jusqu’à son sein gauche, dont elle prit le téton en bouche. Noémie avait les yeux fermés et était dans un état de transe ou presque… Elle me dira plus tard qu’elle était surexcitée par le fait que ce soit une femme qui la caressait… Noémie passait d’un sein à l’autre, on la voyait tantôt lécher ou sucer, tantôt mordiller, et par contre on entendait l’effet sur Iva… Noémie descendit encore en léchant Iva de manière ininterrompue des seins jusqu’au pubis ; elle se mit à genou presque en position de prière en écartant les cuisses d’Iva puis elle se mit à la lécher à l’intérieur des cuisses en se dirigeant vers les grandes lèvres doucement, d’un côté, puis de l’autre… Elle savait manifestement comment provoquer l’attente qui rendrait encore meilleur le premier contact avec le clitoris et les petites lèvres… Et ça marchait, Iva était folle, elle faisait des « hoooo » implorants… Noémie mit fin au suspense en plaquant sa bouche sur le sexe d’Iva, dont le « hoooo » était cette fois un mélange de surprise et de reconnaissance…

Le léchage en règle commençait, un doigt vint pénétrer le vagin d’Iva en complément et apparemment il était fureteur et expert, si j’en juge par les sons émis par Iva !

Le spectacle pour Marc et moi était superbe : d’où nous étions, nous avions une vue plongeante sur les fesses et le sexe bien ouverts de Noémie, la position à genoux en prière donnant une vision à damner tous les saints. Nos sexes étaient totalement à la verticale désormais. Merci les filles !

Nous nous levâmes pour admirer le spectacle et nous fîmes bien, car il était assez évident qu’il n’allait pas durer très longtemps, Iva étant dans un état d’excitation inouï. Marc se positionna derrière Noémie, et lui caressait le sexe avec un doigt. Il glissait juste sur les lèvres et le clitoris, il m’invita à essayer, elle était trempée d’une mouille très glissante, son clitoris était raide d’excitation, a priori de ce qu’elle faisait à Iva. Cette fille était décidément très chaude. Je me faisais cette réflexion quand Iva explosa dans un très bel orgasme, bien bruyant comme elle sait le faire… Noémie se rassit à côté d’Iva et l’embrassa doucement sur la bouche. Iva avait toujours les yeux fermés et elle digérait les effets physiques de la force de son orgasme.

Marc se mit debout à côté de Noémie qui comprit le message et commença à le sucer. Iva se leva pour aller une nouvelle fois se doucher… J’en profitai pour piquer sa place à la gauche de Noémie, à qui je commençais à sucer les seins, pauvres seins qui avaient si bien bandé, mais avaient été délaissés par Iva pour qui ce devait être trop pour une première expérience lesbienne…

Le sexe de Marc était juste au-dessus de ma tête et ses couilles me touchaient parfois. Je levais la tête pour admirer le spectacle de la belle bouche de Noémie avalant le gros sexe de Marc. Un beau va-et-vient, il avait les yeux fermés et elle se régalait apparemment. Elle baissa les yeux et me vit admirant sa technique. De sa main gauche, elle me prit la tête sous le menton pour me la faire lever, elle sortit la queue de Marc de sa bouche et l’approcha de ma bouche, en me poussant maintenant doucement, mais fermement derrière la tête. Cette queue était belle et je trouvais Marc désirable pour un homme, alors j’ouvris la bouche et je lui embrassai le sexe, pour goûter. C’était assez insipide. Je commençais par lécher la tige tout du long, jusqu’au frein, puis je l’embouchai. La peau était tellement douce et délicate.

Je restais ainsi sans bouger quelques secondes, la langue plaquée sur son frein et la tige. Et je commençai à bouger, en utilisant la langue bien mouillée comme j’aime qu’on me le fasse. Noémie était fascinée, elle me tenait toujours derrière la tête avec sa main gauche, et elle se branlait avec la main droite.
Marc gémissait, je ne savais pas vraiment s’il avait compris le changement de partenaire… Puis Noémie vint me rejoindre en lui léchant les bourses. Là il ne pouvait ignorer que deux personnes s’occupaient de lui, dont un homme… Il ouvrit les yeux et nous regarda. Il était submergé par l’excitation. Il se repositionna devant nous et Noémie et moi le prîmes chacun d’un côté, sa queue coulissait entre nos deux bouches. C’est le moment que choisit Iva pour ressortir de la salle de bain. Elle était surprise, évidemment, mais elle eut un regard lubrique, elle trouvait le tableau excitant apparemment. Elle s’assit sur une chaise en nous regardant et en se triturant doucement les seins.

Mon excitation était renforcée par l’excitation que je percevais chez Iva. Je n’étais pas bien sûr de comment elle aurait pris de me voir sucer un homme… Noémie se leva et disparut, Marc s’assit sur le canapé et instinctivement je me mis entre ses cuisses pour le sucer du mieux que je pouvais… À mon tour d’être en position de prière, fesses en l’air et bouche sur un beau sexe d’homme. Je me sentais terriblement femme tout à coup, malgré l’érection presque douloureuse entre mes jambes… Je le suçais goulûment, je léchai le gland, la tige, les couilles, je massais son périnée, il gémissait un petit peu et me caressait doucement les cheveux…

Je sentis un liquide froid sur mon anus, Iva était toujours assise et elle se masturbait maintenant en me regardant sucer Marc et me faire apparemment préparer l’anus pour autre chose… J’en déduisis que l’insatiable Noémie avait décidé à nouveau d’innover dans le stupre et la luxure… Elle me caressait l’anus avec le lubrifiant, elle faisait des tours, elle appuyait doucement sans pénétrer, en forçant doucement les sphincters, c’était une sensation ultra-excitante, surtout quand je suçais une queue de l’autre côté… Elle m’ouvrait l’anus, elle commença à faire coulisser juste à l’entrée trois doigts, en écartant autant que faire se peut… Elle remit du lubrifiant et dit que j’étais prêt. Marc se dégagea, se leva et vint se placer derrière moi. Il frottait son sexe sur mon anus, ce qui m’électrisait, puis il appuya son gland doucement, il poussait un petit peu, délicatement. Je poussais aussi pour faciliter le passage. Noémie avait bien travaillé, car son gland passa sans douleur les sphincters. Passé le gland, il put pénétrer petit à petit, régulièrement. Je sentis qu’il me remplissait le cul, c’était une sensation incroyable. Il s’immobilisa au fond, m’agrippa les hanches et entama un va-et-vient assez lent. Les sensations étaient douces, excitantes. Il prit du rythme, accélérant progressivement. Iva s’était levée pour regarder la pénétration. Elle vint se placer devant moi sur le canapé et je commençai à lui déguster l’abricot en me faisant limer. J’aimais ce qu’il me faisait, c’était merveilleux. Noémie s’était installée à côté d’Iva et lui roulait une pelle d’enfer. Iva mouillait à nouveau de manière incroyable, moi je léchais son clitoris, en commençant à lui doigter le cul. Elle haletait et jouit. Marc continuait à me limer, de plus en plus vite.

Puis Iva se leva pour aller s’installer sur l’autre canapé, n’en pouvant plus. J’en profitai pour changer de position. Je me mis sur le dos, par terre sur le tapis. Marc mit un gros coussin sous mes fesses, il me leva les jambes pour les mettre au-dessus de ses épaules. J’étais plié en angle droit, les genoux remontés et mes fesses étaient ouvertes. Marc posa à nouveau son sexe sur mon anus, qui vibrait d’envie d’être à nouveau pénétré. Il n’eut pas à forcer tellement j’étais ouvert, il pénétra d’un coup.

La pénétration était différente, son gland appuyait plus sur ma prostate et je comprenais maintenant sa question sur les sensations lors du massage de la prostate, voilà quelle avait été son intention ; je n’avais pas compris, mais Noémie oui et elle avait tout organisé pour que cette porte entrouverte par Marc s’ouvre et que son fantasme à peine exprimé se réalise… Il me limait bien en me remontant les jambes, il me tenait les chevilles. Noémie vint s’asseoir sur mon visage, tournée vers Marc. Je commençais à la lécher et à lui sucer le clitoris, elle aimait ça. Elle se mit finalement en position de 69 et commença à me sucer à son tour. C’était merveilleux de se faire sodomiser tout en se faisant sucer.

Après quelques minutes ainsi, et alors que je sentais l’explosion proche, Iva vint près de nous et commença à agacer les tétons de Noémie. Celle-ci ne se le fit pas dire deux fois. Elle interrompit sa tâche, se leva, prit Iva par la main, s’installa dans le canapé jambes bien écartées et fit descendre Iva, qui était hésitante, mais subjuguée par ce petit bout de femme si excitée et si décidée. Elle se mit à lui lécher la chatte franchement, Noémie lui tenant la tête en relevant les jambes pour donner accès à tout son sexe et à son anus aussi. Iva léchait tout ce qui se présentait comme si elle était affamée.

Marc avait maintenant encore relevé mes jambes et s’appuyait les mains sur le sol et la queue au fond de mes entrailles. Quelle sensation incroyable, la profondeur à laquelle il me prenait, il était partout. Il me sodomisait en missionnaire, j’avais vraiment l’impression d’être sa femelle en chaleur, je sentais son poids sur moi, son corps musclé ; je comprenais enfin ce que cela faisait d’être baisé par un homme et quel homme ! Je me sentais petit, féminin. Il me ramonait le cul et frottait ma prostate ; c’était merveilleux, car on se regardait dans les yeux. Son visage était très près du mien et je me sentais tellement à lui que je l’embrassai spontanément sur la bouche. Il se laissa faire, ouvrit la bouche, j’entrai ma langue dans sa bouche. Il embrassait bien, il avait une langue douce étonnamment fine pour un homme de sa taille et musculature. On ne s’y attendait pas. J’étais sa chose, je lui appartenais totalement. Il me serrait fort, m’embrassait tendrement et m’enculait tellement profondément… Un moment magique, je n’aurais jamais cru vivre une expérience pareille, une telle fusion avec un autre homme… Noémie nous regardait nous embrasser amoureusement, elle était littéralement hypnotisée. Iva lui léchait maintenant le clitoris et avait un doigt dans son vagin et un doigt dans son anus. Noémie partit dans un magnifique orgasme, elle tira Iva vers elle pour l’embrasser à pleine bouche à son tour.

Les deux filles se couchèrent sur le canapé, enlacées, et nous regardèrent, Marc et moi, l’un puissant en train d’enfiler l’autre, heureux d’être pénétré si bien. Je couinais à la sensation du sexe de Marc sur ma prostate, il continuait à m’embrasser de plus en plus sauvagement, il limait mon cul très vite maintenant. Je le sentis grossir encore, se raidir et m’inonder les entrailles de son sperme, déclenchant en même temps mon propre orgasme. J’éjaculai sans même toucher mon sexe. Un véritable orage s’était déclenché dans ma tête. Nos cœurs battaient la chamade, nous nous regardâmes dans les yeux et Marc m’embrassa à nouveau avec la langue, passionnément.

Nous fûmes interrompus par les filles qui applaudissaient en disant « eh les amoureux, et nous alors ?! »…

La soirée s’acheva après un dernier verre. Premier jour des vacances terminé ! Le reste des vacances s’annonçait passionnant !

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire