Chapitre I : la punition du jour Julie
Le mercredi est un jour particulier, c’est le jour de la punition hebdomadaire. Un employé, homme ou femme, est choisi par le grand patron, il reçoit tôt le matin, 4-5 dossiers de la part des responsables d’équipes, qui proposent des candidats à la punition au vu de leurs résultats et son envie, il fait son choix et informe lui même la personne par mail.
Il informe aussi, une personne ayant une activité unique dans son genre, cette personne est en charge d’organiser toutes les activités « particulières” de l’entreprise. Ce poste est actuellement occuper par une femme Evelyne 43ans recruté spécialement pour ce rôle, elle avait été maîtresse professionnel pendant plusieurs années mais les limites posé par les clients l’avaient exaspérer, ce travail avait été un réel joie pour elle, pas de limite à sa perversité, elle envoie régulièrement au patron des idées de punitions ou d’humiliation du personnel.
Le mercredi, elle enfile le rôle de bourreau en charge d’appliquer la punition hebdomadaire.
Il est 10h, Julie une jeune femme de 28ans, employé depuis 3ans, mère d’un enfant, elle avait vécu la transformation de la société dans sa nouvelle forme, au début assez angoisser par ce changement, elle s’est très vite habituer aux nouvelles coutumes de l’entreprise, la nudité ne lui pose pas de problème ayant une plastique assez avantageuse malgré ses seins qu’elle trouve trop petit, elle trouve les idées du boss assez excitante, elle ne loupe jamais les diffusions d’acte pervers sur le réseau intranet de l’entreprise, les punitions, les caméras dans les pièces d’adultère.
Ces changements ont eu un impact direct sur sa sexualité, sa libido s’est trouvé boosté, elle avait une vie sexuelle simple avec son mari, baise le samedi sans plus, mais depuis peu, elle a expérimenté de nouvelles pratiques comme la sodomie. Elle est aussi moins négligé elle portait peu d’intérêt à l’entretien de son corps désormais elle fait du sport régulièrement, et entretient la pilosité de sa chatte. Son mari ne la satisfaisant pas assez, elle s’est déjà tapé au bureau grâce au aménagement du boss la moitié des males du service, dont un plan à trois.
Mais aujourd’hui une épreuve qu’elle redoute depuis la mutation de l’entreprise, être la cible des idées perverse du patron.
Il est 10h un mail arrive …
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Julie,
Votre supérieur m’a fait part de vos mauvais résultat au travail et quelques retards qui semble lié à votre vie personnel, ceci est inacceptable, d’après votre dossier vous venez d’avoir un enfant il y a 6 mois, c’est une bonne chose mais en aucun la qualité de votre travail ne doit en pâtir.
Après consultation de votre dossier, et la validation de la médecine de travail, vous êtes désigné comme « l’exemple de la médiocrité de la semaine » et serait punis comme il se doit. Présentez vous auprès du bureau du responsable des sanctions corporelle et humiliation, étage 14 Bureau 4C à 11h15.
En espérant que cette punition vous remettra je pense dans le droit chemin de la productivité.
perversement,
Richard Knocks
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Julie reste sans voix, elle sait qu’elle n’était pas au top de sa forme mais de la à être désigner comme l’exemple du jour ! Cependant elle savait que ce jour arriverait et ce n’était qu’un question de temps, les motifs annonçaient même si partiellement vrai ne sont qu’un prétexte.
La matinée passa plus vite qu’elle le cru, elle n’ose imaginé ce qui va se passer pourtant elle connait le procédé pour avoir déjà vu les punitions et les humiliations d’une cruauté et d’une perversité parfois extrême.
L’heure arriva, elle se présente au bureau, et frappe !
– Entrez !
Elle rentre dans le bureau, très sobre et bien rangé !
– bonjour, prenez un siège, vous êtes bien Madame Duncan Julie, service comptabilité 28ans, employé depuis 3ans ?
– oui Madame
– bien je ne reviens pas sur vos fautes ça m’intéresse pas du tout, je suis la pour appliquer au mieux votre sanction. Il est 11h18, votre sanction commence, veuillez vous lever et mettre vos mains derrière la tête.
sans rien dire le feu aux joues, elle se lève doucement et obtempère
– écoute moi bien je ne me répéterai pas ! tu dois parler uniquement si je te le demande ! je vais t’expliquer brièvement ce que va se passer. Ta punition aura lieu dans la cafétéria tu sera nue attaché à un endroit où tout le monde passe ! ils te verront bien avec une vue dégagé sur ta chatte. Pour la punition physique, chaque employé aura le loisir d’appuyer sur 4 boutons dont ils ne savent pas a quoi ils sont reliés, l’un des bouton, t’enverra une décharge électrique dans tes seins, un autre sur les lèvre des ta chatte, un autre sera relié directement à ton clitoris et enfin le dernier sera relié à un plug en métal dans ton trou du cul d’incompétente.
Julie n’en revenez pas elle avait jamais vu cette punition, elle avait deja vu une fois dans la salle de réunion un commercial de se prendre de une décharge électrique d’une arme de self défense dans ses bourses mais jamais celle la !
– bon suis moi
Elle ouvre une porte qui conduisit à une pièce où sont stocké toutes sorte d’instruments des fouets, des cannes, une série de godes impressionnant et un tas d’accessoires de bricolage, une partie de la pièce était carrelé avec une table d’examen.
– Comme tu le sais toutes les punitions et humiliation sont filmé et des 14h sur le site interne de la société tout le mode pourra revisionner ta ‘performance’ maintenant déshabille toi entièrement !
Sans chercher à discuter Julie obéis, retire son chemisier et son tailleur, elle était assez petite 1m60 pour une 60ene de kilo elle avait des seins assez petit et une chatte pas rasé mais bien entretenu.
– parfait assis toi sur la table mains sur la tête, je vais te placer les électrodes aux différents endroit, je vais commencer par tes seins tiens toi droite et ne bouge pas
Elle prend une petite boite et sortie une aiguille se terminant pas un bout en plastique, pinça le téton du sein gauche le tira et transperce d’un coup sec le sein juste en dessous du mamelon. Elle att**** le deuxième sein et recommence l’opération. Pour que l’aiguille ne bouge pas elle place un petit embout en plastique empêchant l’aiguille de se retirer.
– parfait je vais préparer ta chatte allonge toi sur la table, plie les jambes et avec tes mains att**** les chevilles
Julie s’installr et pris soin de bien ouvrir son entrejambe
– pafait bouge plus
De même que pour les seins elle transperça les lèvres de part en part.
– pour tes seins et tes lèvres je n’ai plus qu’a accrocher les électrodes, pour ton clitoris pas besoin de préparer c’est une pince mordante, tu vois je ne suis pas si méchante tu pensais que j’allais aussi le percer j’imagine. Il reste ton trou du cul, mets toi a quatre pattes, et relève ton cul comme il faut.
Elle prit sur sa table de préparation, un plug en metal, elle appliqua un peu de lubrifiant sur l’entrée du cul et sur le plug.
Assez rapidement elle place le plug !
– lève toi c’est bon
Julie doucement se releve.
– marche pour voir
Elle s’excute elle marche assez maladroitement jambe un peu ecarté !
– ça me fait toujours rire de voir ça ! bon c’est l’heure de descendre
Elle prend sur la table un collier en cuir, elle le place autour de son cou et accroche une laisse.
– bon on y va suit moi
Elles sortent ains du bureaui, julia baisse la tete dans le couloir toute honteuse, les gens qui la croise la regarde discrètement, d’autres sont amusé mais absolument pas choqué comme si cela était normal dans cette société. Elles descendent au 1er etage, la où se trouve la cantine,
– voila c’est ici tu vois, j’ai tout préparé pour toi ce matin
En effet une chaise spéciale est installée sur un plateau a roulette
– assis toi et écarte les jambes !
Julie s’exécute la chaise estassez basse et toute en alluminum, elle pose ses chevilles contre les pieds arrière de la chaise.
– avance ta chatte au bord de la chaise
Elle obtempère, sa chatte est largement ouverte. Elle estensuite bien attaché à la chaise des lanières de cuir sont fixées aux montants de la chaise, elle ne peut plus fermer les jambes, les bras sont attachés dans le dos de chaise.
– bon comme personne aime manger dans un vacarme de cri tu vas avoir le droit à un joli bâillon boule.
Elle place le bâillon boule en serrant derrière la nuque.
– te voila prête il reste plus qu’a faire les branchements
Elle roule la chaise jusqu’à son emplacement entre le plat principal et les desserts, elle fixe des petites pince en fer aux aiguilles qui traversent ses seins, les fils partent ensuite vers un appareil électrique, en passant les mains sous son cul elle branche les fils au plug en métal, branche les fils sur chatte, puis elle se positionne devant sa chatte le clitoris était bien visible dans cette position, elle le saisit le caressa un peu puis le tira légèrement avec 2 doigts et enfin elle place une pince crocodile sur le son bouton rose ! Julie ne peut s’empêcher de pousser un cri étouffé par son bâillon.
– voila tu es prête, je vais te laisser ici le service de la cantine commence dans 10min tu as le temps de te préparer ! ne t’inquiètes pas je ne te pers pas de vue la caméra situé au plafond te zoom parfaitement le réseau interne et moi même vont te regarder avec attention.
Rapidement les premières personnes arrivent, ils ne sont pas tellement surpris de voir Julie, la première personne fut une femme elle pose son plateau la regarde attentivement et appuye sur le premier bouton une décharge aussi traversa la chatte, Julie pousse un grognement étouffé par le bâillon !
La femme s’exclame – « excellent système je pense que tu vas pas t’ennuyer ce midi »
Aussitôt un deuxième homme s’approche et essaye un autre bouton, la décharge ce coups-ci inonde son rectum !
La décharge suivante est pour son clitoris, jamais Julie aurait pensé ressentir une telle douleur son bouton d’amour.
La 4eme est encore pour son rectum mais d’une intensité différente plus forte elle comprit aussitôt la perversité de la machine l’intensité peut changer d’une pression à une autre ainsi elle ne sait pas qu’elle douleur elle va avoir.
Les personnes se succédent l’humiliation et la douleur est total, cul, clitoris, seins et chatte chaque pression d’un bouton la place dans un état de frayeur permanent elle ne sait pas où et a quelle intensité elle va etre confronté.
Au milieu du service, la tortionnaire refit son apparition avec à la main une petit bouteille spray.
– Alors on s’amuse bien, je pense que à du t’habituer à la douleur maintenant
Julie frénétiquement secoue la tête pour monter sa désapprobation
-Vraiment ? dommage pour toi
Elle approche de Julie puis aspergea les seins et la chatte d’eau !
– Ce n’est pas juste de l’eau, j’ai ajouté une bonne dose de sel qui va rendre ton corps plus conducteur tu vas mieux ressentir les décharges.
Elle s’approche de la console et essaye chacun des boutons, Julie ressent pleinement les décharges dans un cri étouffé ! soudain avec le sourire au lèvre elle appuye sur les 4 boutons en même temps.
Julie crie dans son bâillon et secoue la tête dans tout les sens, son corps était en sueur la douleur extrême, elle pleure à chaude larme.
Le défilé des habitués de la cantine continue certains ayant compris presse plusieurs boutons ! d’autres personnes ayant fini de manger repasse par Julie pour relancer des décharges.
Les grognements de protestation du début ne sont plus que des plaintes à peine audible !
Son corps est luisant de sueur, durant le service environ 200 personnes ont du s’amuser à lui envoyer des décharges !
Quand le service s’arrête elle n’est plus qu’une loque, sa tortionnaire la détache, ces jambes ne peuvent plus la porté. On la transporte en brancard au service infirmerie. Elle est installé dans un lit où elle peut reprendre ses esprits tranquillement. Au bout de deux heures, elle peut enfin se relever, elle est autorisé à s’habiller et à rejoindre son bureau.
Dans les couloirs, elles croisent ses collègues qui la regarde avec un grand sourire, certains même lui disent un petit mot d’encouragement ou de félicitation sur sa « prestation”. Au fur et à mesure, elle ressent une certaines fierté et elle est très impatiente de voir sa punition sur le réseau interne.
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