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Le Domaine d’Infern’O (24)

Le Domaine d’Infern’O (24)



Inauguration de la « Milking Factory »

Aujourd’hui notre Maître nous a fait revêtir une robe d’apparat toute en soie et dentelle, encadrant notre poitrine, nue comme il se doit.
En bas la robe est largement ouverte, dévoilant notre sexe et son tatouage.
Pour l’occasion nous portons aussi des bas noirs tenus par un porte jaretelle en dentelle.
Notre Maître arrive, il est vêtu d’un élégant smoking.
Il nous accroche une laisse plaqué or à nos anneaux de cou et nous conduit dans la cour où nous attend un véhicule électrique, suivi par d’autres.
En cortège nous gagnons la côte opposée de l’île, dans une zone que je n’avais encore jamais visité.

Nous nous rendons à l’inauguration de la « Milking Factory » , une nouvelle unité de production laitière pour laquelle, souvenez vous, nous avions été sélectionner 40 esclaves à la forte poitrine chez un grossiste.
Après un quart d’heure de route , nous arrivons devons un ensemble de quatre bâtiments ultra modernes.
A la suite d’autres soumises elles aussi accompagnés par leur Maîtres en smoking, nous arrivons dans un hall ou se bousculent une bonne centaine de personnes , outre des soumises il y a un tas de VIP accompagné de leur compagne. Toutes ont des tenues très chic rivalisant d’audace.
Des assistantes , seins nus, portant un plateau fixé sur leur ventre et maintenu par des chaînettes fixées à leurs mamelons, passent entre les invités pour offrir champagne et zacouskis.
Au fond de la salle trône une tribune , devant un immense rideau rouge.

Le Directeur du Domaine d’Infern’O y prend place, et commence son discours ;

Chers membres du Conseil d’Administration, chers investisseurs, chers membres du personnel du Domaine, je suis fier et heureux de vous accueillir dans notre toute nouvelle unité de production laitière.
Comme vous le verrez tout a été pensé pour assurer une production intensive de qualité, tout en visant à une rentabilité maximale.
Depuis quelques jours, un premier lot de 40 productrices, triées sur le volet, a commencé à être conditionné pour développer une lactation abondante.
Dans quelques instant le rideau derrière moi va s’ouvrir et vous dévoiler notre première batterie de 20 unités. Je dis première car d’autres unités suivront dans les prochains mois afin de pouvoir répondre à une demande mondiale croissante.

Les rideaux s’ouvrent alors sur une musique d’opéra.

Les invités découvrent alors quatre rangées d’esclaves , maintenues complètement immobilisées à quatre pattes dans des box , un tuyau dans la bouche et des trayeuses fixées aux seins.

On apporte alors au Directeur un boitier muni d’un gros bouton rouge. Celui-ci appelle une dame et lui demande d’appuyer sur le bouton.
Ceci déclenche les machines qui commençent alors à traire les esclaves.
Mesdames et messieurs, vous êtes sans doute intrigué par le tuyau fixé dans la bouche des productrices…
Celui sert à délivrer de façon régulée par informatique la nourriture , la boisson , les vitamines et sels minéraux dont les esclaves ont besoin, mais aussi un coktail secret entretenant une intense lactation, plus pendant quelques semaines un complément hormonal dont le but est d’encore accroître leur développement mammaire afin d’augmenter à terme les quantités produites.

Grâce à ces nouvelles unité de traite, nous pouvons maintenir les esclaves en production 6 heures durant. Ensuite nous les relevons afin d’éviter qu’elles s’enkylosent et nous leur faisons faire deux heures d’exercice dans une salle spécialement équipée à cet effet, que nous visiterons tout à l’heure.
Après ces exercices, les esclaves sont alors remises 6 heures en production , suivie de 2 nouvelles heures de salle d’exercice, puis de 6 heures de repos au dortoir.
Chaque esclave totalise donc 12 h de production par 24 h, ce qui offre un rendement maximal.
On nous invite alors à nous approcher des box de traite.
Comme vous le remarquerez, leur croupe est accessible et à bonne hauteur de pénétration.
En effet, explique le Directeur, nous avons trouvé un complément de revenus , car durant leur phase de production, elles pourront être saillies par des clients qui paierons un forfait à l’heure pour les utiliser. .. Mais pour vous aujourd’hui c’est gratuit.
Très rapidement, de nombreux invités ne se font pas prier ..et aidé par leurs compagne investissent les orifices ainsi gracieusement offerts.
On propose alors à ceux qui le souhaitent de découvrir la fameuse salle d’exercice.
7256 et moi-même nous y rendons entraînées par notre Maître.
C’est alors qu’un invité nous interpelle et en montrant mon tatouage d’esclave demande :
Comment se fait il que celle-ci ne soit pas en production ?
Mon Maître ne souhaitant pas rentrer dans les détail de cette erreur , répond simplement que je suis encore en stage de « perfectionnement »…
Nous arrivons alors dans la salle dite d’exercice.

Le centre de celle-ci est est occupé par un axe central allant du sol au plafond , de cet axe partent 6 bras horizontaux que des esclaves enchaînées poussent pour faire tourner l’axe.
Tout autour des gardiens veillent et utilisent de temps en temps le fouet pour assurer le maintien de la cadence.
On nous explique que ce mécanisme actionne une vis d’archimède qui remonte de l’eau de la mer vers un bassin haut qui se déverse ensuite dans une turbine produisant de l’électricité… récupérée pour alimenter les trayeuses et ainsi diminuer les coûts d’exploitation tout en fournissant aux esclaves un exercice salutaire.

Prodigieusement diabolique, s’exclame notre Maître…

A ce moment un invité s’approche de moi et se met à me soupeser les seins ..en demandant s’il peut « m’utiliser » …
Je vous en prie dit notre Maître en lui tendant ma laisse …

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