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Pousse café surprise

Pousse café surprise



Je sors de la piscine. Je suis trempée, fourbue, mais heureuse d’avoir activé mon corps de jeune quinqua. J’ôte le disgracieux bonnet de bain devenu obligatoire, récupère mes affaires et pénètre dans la cabine pour me changer. Mes jambes fines et musclées arpentent le sol nu. Une fois à l’abri des regards, j’ôte les bretelles de mon maillot une pièce et libère ma poitrine opulente qui ravit mon mec. En pensant à lui, je lui envoie un SMS :

– Je sors de la piscine. On se rejoint à Cora ?
Il me répond dans la foulée :
– D’ac, mais tu ne mets ni culotte, ni soutif…

Je souris à ses demandes coquines. Il adore fantasmer sur mon corps lorsque nous sommes en public et j’avoue que ça ne me déplaît pas trop non plus. En fait, ça a même tendance à m’exciter vraiment.
Je finis d’enlever le maillot mouillée, dévoilant mon corps entièrement. Un sexe bien lisse et des seins que je ne trouve pas assez ferme à mon goût… Pas mal vu mon âge. Je sais que je fais encore saliver bien des mecs plus jeunes que moi.

Je roule jusqu’au supermarché et sa cafétéria, vaguement excitée par la proposition d’Alan. Je me gare, consulte mes textos et mes notifications Facebook quand une Sandero anthracite se gare en face. Il est arrivé !
Il sort en me souriant. Je m’approche et l’embrasse pendant qu’une de ses mains s’immisce sous ma mini-jupe en cuir. Il constate que j’ai obéi à sa suggestion, en caressant mes fesses, puis en s’aventurant sur l’ouverture de ma vulve rasée. Je frémis d’aise, mais je le repousse :

– T’es fou ! Si quelqu’un nous voyait ?
– Il se réjouirait. Tu es donc hostile à l’idée de faire plaisir à un(e) inconnu(e) ?

Il plaisantait… ou pas. Difficile de savoir avec lui.
Nous nous sommes dirigés vers la cafétéria et nous avons commandé notre café. On a discuté de tout, de rien, mais je sentais qu’il me dévorait du regard. Ses yeux plongeants dans mon décolleté où l’on devinait les globes généreux de mes seins.
Je ne vous dirais pas que ça me faisait mouiller. Je ne vous le dirais pas…

– Quand je n’ai pas de culotte, je sens l’air sur mes parties intimes, ça me fait bizarre.
– Agréablement bizarre ?
– Oui, j’avoue.

Il avance sa main jusqu’à mon décolleté et caresse les globes proéminents de mes seins. Je sens que je fonds davantage.

Avant de partir, j’indiquais aller faire un tour par la case toilettes. Il m’annonça partir devant. Un petit bisou, un sourire et nous nous séparâmes.

A cette heure, les WC étaient déserts. Je vérifiais que ma coiffure vaguement désordonnée restait correcte, mais aussi que personne ne pourrait subodorer mon absence de sous-vêtements. Je ne suis pas du tout exhibitionniste, même si j’aime m’habiller un peu sexy.

Je poussais la porte des toilettes en pensant à Alan quand je fus poussée brutalement en avant. Une main se plaqua sur ma bouche pour m’empêcher de crier tandis qu’une autre remontait ma micro-jupe, dévoilant mes fesses à sa vue.
Je sentis quelque chose de chaud et dur se collait sur moi. Son sexe ?

Il avait poussé la porte derrière lui et nous étions donc à l’abri des regards. Il me bascula légèrement en avant, livrant un peu plus mes orifices. J’étais à la fois terrifiée et vaguement excitée. Son sexe s’insinua dans ma fente humidifiée par la séance avec Alan.

– Chut, c’est moi…
– Alan ? Mais tu es fou !

j’avais murmuré ma réponse encore subjuguée par cette entrée en matière un poil féroce.
Le plaisir montait doucement maintenant que je savais qui était mon « agresseur ». Il me pilonnait doucement tout en dégrafant mon haut, pour caresser mes seins.

Derrière la porte, des talons sur le carrelage indiquèrent une présence féminine. Je m’arrêtais, mais Alan me susurra de poursuivre. Je me mordis les lèvres car je sentais venir l’orgasme tandis que son organe me remplissait, caressant mon clitoris. Ses mains pinçaient mes tétons. j’étais à l’agonie.
Un bruit de robinet les talons s’éloignèrent.
Mon orgasme s’échappa bruyamment.

Les talons revinrent :
– Il y a quelqu’un ?

Alan continuait son va et vient pour atteindre le Nirvana à son tour, mais sur un rythme plus lent pour ne pas faire trop de bruits. Je m’extirpais de sa hampe, craignant de ne pouvoir retenir un nouvel orgasme. Je me mis à genoux face à lui et pris son sexe dans ma bouche. Je me mis à lui lécher le gland tout en le masturbant tandis qu’il m’empoignait les seins.

Les talons s’éloignèrent à nouveau.

Ma deuxième main lui caressa les testicules avant d’explorer son anus. Ma bouche coulissait sur son sexe turgescent tandis que ma langue continuait à le titiller. Il libéra un jet qui atteignit ma joue et mes cheveux. Fou rire réciproque devant cette apothéose inattendue. Je m’amusais à lui lécher les dernières gouttes de sperme s’échappant de sa verge. Il m’embrassa à pleine bouche, échangeant une partie de son fluide corporel :

– Je t’aime !
– Je t’aime aussi, mais tu es complètement fou !
– Tu aurais dû t’y attendre : je t’avais envoyé ce scénario par écrit il y a quelques semaines…
C’était vrai, mais pour moi, ce n’était qu’un texte érotique pour m’exciter. Maintenant, c’était plus que ça…

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