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Annabelle raconte : cinéma X

Annabelle raconte : cinéma X



Je m’appelle Annabelle, j’ai 30 ans, je suis assistante sociale, mariée depuis 8 ans, deux enfants, je suis à Paris en stage pour une semaine.

Je suis plutôt bien foutue, 1m65, de longs cheveux châtain clair, une poitrine aguichante, j’adore voir les hommes se retourner sur mon passage, je porte une robe blanche évasée et des hauts talons, j’aime le mouvement de cette robe qui suit le déhanchement, mon mari appelle cela : onduler des roucouleuses !

Nous sommes dans les années 70, je suis très curieuse des « choses » du sexe et justement, en cette année 1972, c’est la déferlante des films X ; je me dis qu’il faut que je m’instruise et en plein après-midi de cette belle journée d’été, je vais faire ce que je ne peux pas faire dans ma petite ville où tout le monde se connaît, ici tout m’est permis… je me décide à franchir le pas et à rentrer dans un de ces cinémas spécialisés.

C’est un cinéma permanent, le film est donc commencé, sur l’écran une fille au minou complètement rasé se fait lécher par un mec qui bande comme un taureau ; ça me donne des idées, je n’avais jamais pensé que l’on pouvait se raser le minou et je me demande ce que dirait mon mari si je reviens de Paris comme une petite fille…

Il n’y a pas beaucoup de monde dans la salle et je m’installe vers le fond dans une rangée où il n’y a personne ; la lumière se rallume quelques minutes, le temps que le film soit recadré et c’est reparti ; j’ai eu le temps de voir que je suis la seule femme présente dans la salle, j’ai également été repérée, des spectateurs changent de place, j’ai maintenant un homme d chaque côté et je sens derrière le souffle d’un ou plusieurs autres.

Mes voisins ont sorti leur sexe et se masturbent tranquillement sans se cacher, j’ai envie de partir mais je reste sans savoir pourquoi. Des genoux viennent se coller sur les miens, je ne réagis pas, mais lorsque mon voisin de gauche plaque sa main sur un sein, je le repousse violemment, il att**** ma main et la pose sur son sexe, je la retire comme si je m’étais brûlée. Mon voisin de droite a posé sa main sur ma cuisse, j’essaie également de le dégager ; j’ai compris, je m’en vais.

Malheureusement alors que j’essaie de me lever, je sens que mes longs cheveux sont retenus par derrière, je suis prisonnière sur mon siège et inutile de crier, personne ne m’entendra avec les cris de plaisir et les ahanements du film.

Celui qui me maintient les cheveux passe maintenant une main dans l’échancrure de la robe, je ne porte dessous qu’un soutien-gorge et un mini slip. Il a investi le soutien-gorge et me caresse le sein, il s’empare du téton et commence à le pincer, c’est immédiat, j’ai beau me tortiller pour essayer vainement de lui échapper, je suis extrêmement sensible de la poitrine, je le sens durcir et l’autre prend le même chemin.

Pendant que je suis occupé à dégager l’étage supérieur, mes voisins ne sont pas restés inactifs, je suis troussée jusqu’à la taille et j’ai beau serrer les cuisses, j’ai au moins un doigt dans le slip et à défaut de rentrer, il a trouvé l’emplacement du clitoris, je le sens sortir de son capuchon mon corps me trahit, je mouille abondamment et inconsciemment, j’ouvre les jambes en essayant comme je peux de retenir un petit grognement de plaisir.

Aussitôt c’est la curée, maintenant que j’ai les jambes ouvertes et que le passage est lubrifié, ils ne se privent pas de me masturber, mon bassin se tend, je m’arcboute, j’offre mon sexe à leurs mains avides, je suis complètement écroulée sur le siège, je jouis en permanence, je m’entends crier mais je ne peux pas me retenir, je n’ai même pas fait attention que celui qui s’occupait de la poitrine a carrément dénudé le haut, j’ai les seins à l’air, la robe remontée jusqu’en haut des cuisses, je sens que l’on essaie de m’enlever le slip, dernier rempart de ma pudeur, je ne résiste pas, je me soulève pour qu’ils ne l’arrachent pas, je branle les sexes des voisins, il y en a un qui jouit, j’ai la main toute poisseuse, l’autre se lève devant moi, il m’att**** par les jambes, me soulève et me baise, j’ai enfin ce que j’attendais, une queue dans le vagin, il se déverse très vite, il se dégage, un autre vient prendre sa place, j’entends une voix derrière :

– Retourne la !

Je me retrouve basculée sur le siège, les seins pendants de l’autre côté du dossier tandis qu’une main m’ouvre la bouche et qu’un sexe énorme en prend possession, je fais une fellation pendant que je suis baisée en levrette. Dès que l’un se retire après avoir explosé, un autre prend sa place, tout le cinéma doit être regroupé autour de moi.

Soudain une douleur atroce, il y en a un qui me sodomise, j’essaie de me dégager mais il me tient par les cuisses et ne lâche pas jusqu’à ce qu’il ait éjaculé dans mon cul.

Cette douleur m’a dégrisée, je ne me laisse plus faire, de toutes façons, comme ils ont eu leur compte, ils ne cherchent plus à me retenir, je quitte le cinéma en abandonnant mon slip sur le champ de bataille. Je fuis tout en réajustant le haut. Je pue le foutre, j’ai du sperme sur la figure dans les cheveux, j’ai les jambes poisseuses, la robe souillée, je me précipite vers le métro pour rejoindre mon hôtel.

En plus le métro est bondé, je suis écrasée entre la barre verticale et un mec qui me colle ; il a dû sentir, dans tous les sens du mot, que je n’avais pas de culotte, je perçois une main exploratrice.

Non merci j’ai amplement donné, je descends au premier arrêt et je prends la rame suivante, il m’a suivi ce con !
Dès que je remonte dans le métro, il me recolle avec un air faussement innocent, cette fois la moutarde me monte au nez, j’att**** sa main, je soulève ma robe et je colle sa main sur mon sexe toujours dégoulinant au point de laisser des traces à terre partout où je passe.
Il la retire poisseuse, complètement dégoûté, il l’essuie sur ma robe qui n’en demandait pas tant et disparaît dès la prochaine station.

Je peux enfin, sans me faire remarquer, me glisser jusquà ma chambre, m’enfermer et prendre une longue, très longue douche.

Le téléphone sonne, c’est mon mari qui vient me souhaiter une bonne nuit…

J’ai honte, mais putain, qu’est-ce que j’ai joui !

J’ai eu peur de me retrouver enceinte ou d’avoir chopé une MST, même pas !

Le vendredi en rentrant chez moi, j’ai retrouvé le mari et les enfants, il ne s’était rien passé !
J’avais fait en urgence, nettoyer la robe, elle était aussi immaculée que moi… et si 43 ans après je vous raconte cette histoire, je vous interdis, bien qu’il y ait prescription, de la rapporter à mon mari…

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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